Une séance sportive

Faire du sport ! Au-delà d’une simple recommandation, c’était devenu vital pour moi, autant pour se renforcer musculairement que pour se vider la tête. Moi c’est Gabriel, 31 ans, blond, 1m60 pour 60 kilos, style minet aucun poils sauf aisselles et pubis, autant dire un petit modèle. Gay assumé sans être extraverti, je me fonds assez bien dans la masse et ça me convient.

Pour mes séances de sport, je choisis une salle de mon quartier plus cher que la célèbre enseigne pour surtout éviter l’afflux. Autant faire mes séances discrètement. C’est vrai que je crains le regard des autres, je n’ai jamais été à l’aise avec mon corps que je juge banal : ni gros ni musclé, juste banal. En revanche, la nature généreuse m’a donné un cul bombé qui fait mon unique fierté.

Le premier jour se passe sans relief. J’y vais très tôt. Je fais des mouvements à droite ou à gauche pour tester mes capacités. Mes séances suivantes s’enchainent à un rythme plus soutenu. Je suis un programme strict et commence à prendre de l’assurance.

Après trois semaines, je remarque que la salle est peu fréquentée le matin. Il y a les nanas venues faire de la marche rapide et se prendre en selfie, les cinquantenaires tentant de se maintenir en forme et évidement l’éternel bodybuilder qui adore mater son reflet dans n’importe quoi. Surtout, tout le monde reste focus sur son entrainement. D’un naturel convivial, je suis un peu déçu, mais je m’adapte.

Le lundi de la 4ème semaine, je commence par le rameur lorsque je remarque un homme arrivé. Il est brun, plutôt grand, 1m80 je dirais, volumineux sans être musclé, des jambes puissantes, et surtout un corps velu. Son allure m’électrise tant il détonne avec les autres. Il passe à côté de moi en me disant bonjour avec un grand sourire. Je balbutie un bonjour poli. Quel regard ! Je suis tellement hypnotisé que j’ai cessé mon exercice à la seconde. Me reprenant, je regarde derrière moi et je le vois se diriger vers les vestiaires au sous-sol. Arrivé à l’angle de l’escalier, il me jette un regard.

Non, un homme comme ça ne peut pas être intéressé. Le mec est juste sympathique. Je tente de me résonner. Je me lève pour me diriger vers une autre machine en tentant de masquer mon érection. Il est vrai que le sport accroit la libido même si ce mec y est un peu pour quelque chose. Quand il ressort du vestiaire, il commence ses séances sans me calculer. Je me dis que je me suis fait des idées.

Quelques jours plus tard, c’est squat ! Je choisis un jour où c’est désert jusque 10h pour ne pas me taper la honte. Je me positionne, barre sur les épaules avec un poids minimum et commence les exercices en regardant vers le miroir pour vérifier si je ne m’explose pas le dos. C’est compliqué mais j’enchaine comme je peux. Au bout d’un mois, mon corps commence déjà à esquisser une silhouette et ça me plait. Au milieu d’un mouvement, je sens des mains se poser sur mes reins : « tu te places mal, redresse-toi » entends-je. Je sursaute et regarde dans le miroir. C’est le brun de l’autre jour. Je ne l’avais même pas vu arriver. Il est plus massif que dans mes souvenirs. Torse développé. Un peu gros mais ça me plait. C’est deux mains m’emprisonnent les hanches. Je ne réponds pas et continue les mouvements qu’il m’impose. Il est presque collé à moi. Je peux sentir son odeur très agréable. Séance terminée, je le remercie. « Pas de quoi, me répond t-il, nous avons tous débuté. Tu as de bonnes bases. Il te manque juste la technique. Mais ça viendra. Au fait, moi c’est Laurent ». Je me présente et le remercie en retour. Il repart ensuite faire sa séance.

Je ne peux m’empêcher de le regarder toute la matinée. Son regard, son allure tout m’attire. En repartant, je vais le remercier à nouveau.

« - De rien, répond t-il avec un grand sourire, si tu veux, je suis là demain matin à la même heure, je pourrais te montrer d’autres mouvements.

- Entendus, à demain alors ».

Je repars très charmé. Non, je ne dois pas me faire des idées. J’ai 31 ans, mais jamais de réelles expériences. Pas vierge mais presque. Non, je dois me chasser ça de la tête.

Le lendemain, je me change dans les vestiaires lorsqu’il arrive. Il me fait la bise ce qu’y m’étonne agréablement. Il se dirige vers son casier et commence à se déshabiller. Quel corps, quel cul ! Taillé parfaitement, je remarque qu’il est poilu à souhait : torse, bas du dos, fesses, cuisses. Tout est parfait. Je détourne le regard pour éviter de me faire surprendre. Je retire mon jeans et passe mon short. Heureusement, mon caleçon est serrant et empêche ma queue d’être visible tant elle est dure. Je suis monté correct, proportionnel à mon corps, 15 cm grosseur normal.

Nous commençons la séance sur le banc de musculation. Je m’allonge sur le dos et commence à soulever la barre et lui assure les mouvements. J’ai une vue total sur l’entre-jambe de ce beau mec habillé d’un débardeur moulant. Je remarque dans cette position des aisselles très poilues, ce qui ne calme pas mes sens. Il félicite mes mouvements et on enchaine les exercices. Je remarque qu’il est de plus en plus tactile, se colle volontiers à moi, m’entoure de ses bras. Je tente de rester concentré avec difficulté. Que cherche t-il ? Il veut que je termine à la barre fixe. Je me positionne et commence à monter et descendre en pliant les jambes. C’est difficile et au bout de cinq allers-retours, je n’en peux plus. Il me prend alors par la taille et m’accompagne, me soulève presque sans problème. Quelle force !

Exercice terminé, je lâche la barre et retombe collé à lui, son bassin au niveau de mes reins. C’est agréable. Je le remercie et lui dit que je vais me changer, profiter que la salle soit vide pour être tranquille. Il me répond qu’il reste encore quelques instants et me dis que nous pouvons remettre ça plus tard.

Arrivé dans les vestiaires, je mets ma serviette et peux enfin retirer mon short et caleçon. Je n’ai pas débandé de la séance. Un vrai supplice. Je suis en sueur, une douche s’impose. J’accroche ma serviette et commence à faire couler l’eau. J’apprécie les douches de la salle. On est comme dans un cocoon, lumière peu forte, ça repose. Je laisse l’eau couler lorsque je sens quelqu’un qui se colle à moi et m’enserre. Je reconnais ces bras, c’est Laurent. Je sens ses poils contre mon dos, son pubis. Sa tête penchée sur la mienne. Ses mains me caressent le torse, les bras. Alors qu’il passe sa main droite sur mes fesses, sa gauche arrive sur ma queue en pleine forme. Il la caresse doucement. Sans me retourner, je passe ma main à l’arrière, touche ses fesses, caresse ses abdos. Qu’est-ce qu’il est poilu. J’arrive sur sa queue déjà en demi-molle. Je commence un va-et-vient agréable. Il aime, je sens son souffle. Nous continuons ce mouvement, l’eau chaude coulant sur nous. Il me retourne et me regarde. Dos collé au mur, il m’embrasse, sa langue est douce. Ses mains continuent à me toucher partout. Moi, je reste collé à la lui, serré au plus prêt. J’embrasse son cou, descends sur son torse tout en caressant ses bras et ses aisselles. Lui se laisse faire, la tête en arrière. J’arrive dans son pubis. J’y engouffre mon nez. Je veux sentir la virilité et profiter de chaque minute. Je me mets à genoux et entreprends d’embrasser tout autour de se queue sans y toucher pour faire monter son plaisir ; ses couilles bien pendantes ; son haine ; ses cuisses. Qu’est-ce qu’il me plait. Je remonte ensuite sur sa queue et pose mes lèvres sur son gland. Je veux le faire bander sans mes mains. Je débute la succion. Je le sens s’abandonner. J’amplifie le mouvement qui devient de plus en rapide. Je lâche et regarde sa queue. Il n’est pas encore totalement dure, mais qu’elle est appétissante. Je passe alors ma langue dans son prépuce et lèche le gland doucement tout en lui massant les couilles. Il râle de plaisir. Je reprends la fellation cette fois accompagnée des mains. Ca y est, il durcie. Quelle queue, elle doit bien faire 19 cm assez grosse sans être monstrueuse. Il est parfait.

Nous continuons comme ça quelques minutes avant qu’il me relève de ses bras fort pour m’embrasser brusquement. Alors que nos langues jouent, il me retourne et passe sa main entre mes fesses. J’ai peur, je ne suis pas aguerri à la sodomie. Il passe sa langue le long de mon dos en me caressant les fesses sans oublier ma queue droite. Il me plaque davantage et je sens une masse entre mes fesses. Il y engouffre son visage et je sens sa langue sur mon anus. C’est agréable. Il écarte encore plus mes fesses et continue plus intensément son exploration. C’est chaud, c’est bon. Je sens mon corps se détendre de plaisir. Il remplace sa langue par ses doigts. Un, deux, puis trois. La chaleur de la douche aide à me détendre. C’est bon.

Il se relève et me plaque encore plus sur le mur lorsque je sens son gland sur mon anus. Il force doucement. C’est douloureux mais je ne lui dis pas. Depuis le début de la douche, nous nous sommes pas adressé la parole. L’eau qui coule encore aide à la pénétration. Je l’espère en tout cas. Il me positionne un peu mieux et continue de forcer le passage. Je pousse des soupirs de douleur mais ne dis rien de plus. Je veux en profiter. Mon désir doit être plus fort que la douleur. Arrivé au 3 / 4, il stoppe pour que je puisse m’habituer tout en me caressant partout. Mais je veux le sentir totalement !

J’entreprends un mouvement de bassin qui le surprend. Il m’accompagne doucement. Accélère. La douleur est encore présente mais je me mords les lèvres. Il m’écarte du mur et me mets à quatre patte. La position est plus agréable et je peux me laisser aller. La douleur laisse place à un plaisir étrange. Il accélère ses mouvements. Je commence à pousser des cris qui, même avec le bruit de l’eau et la salle vide, peuvent se faire attendre. Il met sa main puissante sur ma bouche tout continuant le limage en rythme. Il est totalement en moi. J’entends ses couilles claquer. Ça m’existe. Je ne me touche pas alors que je bande sévèrement. Je veux faire durer le plaisir. Laurent se colle à mon dos et m’entoure de ses bras. Il me maintient tellement fort qu’il m’impose les mouvements. Je m’écroule sur le sol de plaisir. La tête sur le côté. Il me pose sa main sur ma tête et me maintient dans cette position tout en me baisant. Il est maintenant totalement en moi sans difficulté.

Après quelques minutes, il sort de mon anus et me relève. Je suis désarticulé tellement c’est bon. Il me plaque et commence à me faire une fellation hard. Alternant gorge profonde et branle. Je n’en peux plus. Je ne veux pas jouir maintenant. Non, je veux profiter encore et toujours.

Il se relève et m’embrasse à pleine bouche pendant qu’il met mes bras autour du coup, me plaque et me soulève, passant mes jambes sur ses bras. Il n’a pas de difficulté de me soulever tant je suis léger. Il s’enfonce d’un coup en moi. Je réprime un cri dans son cou. C’est bon. Ses mains me tenant les fesses, il me baisse sans retenue. Je suis aux anges. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés ainsi.

Toujours en moi et me tenant fermement, il me décolle, ouvre la porte de douche et sort. J’ai à peine eu le temps de réaliser, qu’il s’assoie sur le banc le long des douches. Je panique à la seconde, et si quelqu’un rentre. Je n’ai pas le temps de lui dire qu’il me met sa langue dans la bouche tout me faisant faire des va-et-vient. Il me met les pieds sur le banc de chaque côté de ses fesses et intensifie les mouvements. J’oublie tout. La sensation est intense. Il me fait faire des mouvements tels que sa queue ressort presque et s’enfonce d’un coup en moi. Il me fouille la bouche, m’embrasse le cou tout en me maintenant avec fermeté.

Le désir au maximum, je l’entoure de mes bras. Je continue le rythme tout en faisant des mouvements de bassins. Il souffle de plaisir dans ma bouche lorsque je sens une chaleur immense m’envahir. Je perds brusquement mes forces. Je ne peux que le serrer très fort. Je sens mon anus se raidir. Il est en feu. Je ne comprends pas ce qu’il se passe. Mais c’est si intense que je perds tous repères. Quelques secondes après, je n’ai plus de force. Je le lâche et je m’abandonne dans ses bras. Il comprend et m’allonge sur le banc. Tout en restant en moi, il continue de m’enculer avec fougue en me caressant lorsque quelques secondes après il se bloque et je sens un liquide m’envahir. Je ne réagis pas tellement je suis au bord du malaise. On reste comme ça 1 ou 2 min à souffler, moi allongé et lui mains en arrière, en sueur. Quand je reviens à moi, j’aperçois du sperme sur ses poils de ventre. C’est le mien. J’ai joui sur lui sans me toucher. Rien qu’avec les frottements et la force du plaisir.

Il se retire et se lève du banc. Je reste allongé et le regarde. Il va dans la douche, éteint l’eau et me tend une serviette avec un sourire tout en s’essuyant avec la sienne. Il aide à me lever et m’embrasse. Un baiser tendre. Je me dirige alors vers les toilettes et lui commence à s’habiller. Quand je sors, le vestiaire est désert. Je me nettoie rapidement et ouvre mon casier pour me rhabiller.

En sortant, je traverse la salle et remarque un mec sur une machine. J’espère qu’il n’a rien vu. Non, il a certainement utilisé le vestiaire mixte. Arrivé au portique, le gérant de la salle me demande si la séance s’est bien passée. Je lui réponds par l’affirmative et lui dit à plus tard. « Passe une bonne journée » ajoute-t-il avec un sourire. Ca réaction me surprend. Non, il n’a rien pu voir. Normalement, il n’y a pas de caméra de surveillance dans les vestiaires. Je me rassure mais je m’en moque en fait. Je n’ai pas revu Laurent dans la salle.

Je sors dans la rue et mets mes écouteurs. Direction chez moi. Ma séance était intense. Au coin de la rue, je vois Laurent sur son téléphone. Qu’est-ce qu’il est beau. Arrivé à son niveau, il me sourit et me dit en s’approchant : « je t’attendais ».