Histoire réelle déroulée en 2018 dont des éléments et les protagonistes sont légèrement adaptés pour l’histoire. Bonne lecture
Une panne de train
L’atmosphère de ce wagon est suffoquante en cette fin d’été. De retour du boulot, je me laisse doucement prendre par la chaleur, tranquillement assis dans le carré en queue de wagon. J’ai la trentaine bien tassée, un physique lambda, ni gros ni mince qui a un petit succès et je suis gay assumé sans en faire trop. J’ai surtout un cul bombé qui fait ma fierté.
Le train emprunte un trajet plus long à cause de travaux. Je vais encore rentrer tard, mais qu’importe. Je profite de la chaleur et du calme pour me reposer. Ce soir, il n’y a presque personne. Peut-être trois ou quatre voyageurs et évidemment pas de contrôleur présent. A l’unique arrêt prévu, un passager monte et prend place dans la rangé voisine de la mienne. Je lève un œil agacé d’être réveillé et reconnais Maxime. J’ai parfois eu l’occasion de le covoiturer. Il est plus grand que moi, environ 1m75, cheveux rasés que je suppose bruns, mate de peau, un visage très avenant et surtout une carrure et des bras impressionnants qu’il ne met pas du tout en avant. En résumé, un beau mec au physique agréable.
— Salut, me dit-il avec sourire.
— Oh, bonjour, je ne me n’attendais pas à te voir ici.
— Oui, j’ai loupé le covoiturage et me voilà obligé de prendre le train. Je n’ai même pas de billet, me dit-il en riant.
Qu’est-ce qu’il est charmeur. Et pour avoir beaucoup discuté lors de nos trajets, il est cultivé, intéressant et intelligent. Mais malheureusement, il est hétéro même s’il m’avait avoué que plaire aux hommes ne le dérange pas. Ça m’arrangeait car il est dans mes goûts.
Nous poursuivons la discussion presque allongés, lui comme moi les pieds posés sur le siège d’en face. Il n’a pas changé de boulot et vit toujours chez sa mère. Radicalement différent de moi qui suis rangé depuis fort longtemps. Faut dire que nous avons 10 ans de différence. Mais il semble heureux pour l’instant et profite de son célibat en baisant à droite et à gauche. Qu’il profite, il a raison. Les minutes passent et nous sombrons progressivement dans un demi-sommeil.
L’arrêt brutal du train me renverse sur le siège voisin. J’ouvre les yeux pour constater que nous sommes stoppés en pleine voie au milieu des arbres, ce que confirme l’annonce du conducteur. Fais chier, je vais encore rentrer tard. Surtout qu’il nous reste au moins 1h de trajet. Je me tourne vers mon voisin. Collé à la fenêtre, il tente de comprendre l’origine de l’arrêt.
— C’est certainement un feu de broussaille ou quelque chose sur la voie, lui dis-je.
Il acquiesce et s’assoie en face de moi, l’air agacé.
— Je vais louper mon rencart. Je ne peux même pas prévenir, il n’y a pas de réseau, bougonne-t-il.
— ça va vite se débloquer. Tu as un rendez-vous avec qui ?
— Avec une amie. Mais j’espère faire évoluer nos rapports, me dit-il.
— Je te le souhaite. Tu es mignon, ça serait dommage de gâcher, lui dis-je en le taquinant.
Je le sens gêné et très flatté dans son égo. Qui ne le serait pas ? Les hommes ont beau faire croire, ils aiment les compliments, même (surtout) ceux venant de gays.
Brusquement, le train saccade, nous faisant perdre l’équilibre, avant de s’arrêter à nouveau. Définitivement réveillé par les soubresauts, je remarque que les jambes de mon voisin sont très poilues et que son short les met très en valeur. Masquant une demi-molle, je ressers mes cuisses, en espérant qu’il n’ait rien vu. Lorsque tout d’un coup, je sens sa main sur mon genou. Il le tire, le rapproche du sien et garde sa main dessus avec pression. Je tourne un regard surpris vers lui. Maxime a les yeux baissé vers ma jambe. Après quelques secondes, il caresse doucement mon genou en s’étendant sur ma cuisse.
— Tu fais quoi lui, lui dis-je sans m’éloigner.
Il me lance un regard malicieux et tendre. Ce mec me fait fondre. Il cale ma jambe gauche entre les siennes tout en passant sa main le long de mon jeans. A quoi joue-t-il ? Il s’approche davantage de moi et monte sa main vers mon entre jambe.
— Oh, je te fais de l’effet ! plaisante-t-il.
— C’est la chaleur.
— On va faire baisser ça.
Il décolle du siège, me plaque avec ses mains sur mon dossier et m’embrasse à pleine bouche. Un baiser violent et fougueux. « Doucement », lui dis-je en le repoussant. Interloqué quelques secondes, il reprend son baiser tout aussi fougueux mais moins bourrin. Si ses conquêtes aiment ça, ce n’est pas mon cas. En tout cas, pas dans ce contexte.
Ses mains passent sous ma chemise et caressent mon torse imberbe. De mon côté, je ne peux m’empêcher de palper son entre-jambe qui paraît énorme. Il soupire, se soulève totalement en emmenant ma chemise avec lui. Me voilà torse nu dans le train. Et si quelqu’un approche ? Il ne me laisse pas le temps de réfléchir qu’il fait glisser mon bassin vers l’avant, retire mon pantalon et mes chaussures. Dorénavant en caleçon, je suis interloqué par sa fougue. Je reste dans cette position et regarde Maxime ôter son t-shirt et déboutonner son short.
Le voilà en une fraction de secondes en boxer devant moi. Quelle beauté. Son torse très musclé n’est pas poilu, sauf sur le vente. Ses jambes, comme je le supposais, sont puissantes et très poilues. Il s’assied sur le siège d’en face et me met debout entre ses jambes. Sa tête collée à moi, il m’embrasse le torse et le ventre tout en passant sa main sur mes fesses. Il descend rapidement sur ma queue déjà bien dure sous le tissu. Il baisse mon caleçon que je retire et prend directement en bouche mes 15 cm. Et bien, il a de la pratique pour un hétéro, m’étonne ai-je.
Il accompagne le mouvement en branlant ma queue en rythme. Je pousse des soupirs de plaisir tout en lui tenant la tête. Quelle bouche. Je vis un rêve éveillé. Il dirige sa main gauche vers mes fesses et mon anus qu’il caresse avec douceur. J’accompagne son geste d’un mouvement de mon bassin. Il comprend le message et insiste davantage sur la zone. Il arrête sa fellation et me regarde tout en me masturbant. Je passe ma main sur son visage et l’embrasse. Ses deux mains enserrent alors ma taille et me met brutalement à genoux devant lui. A ses pieds, j’embrasse son torse et descend sur son boxer déjà gonflé tout en caressant ses jambes. Ma bouche sur sa queue, je la branle avec mes lèvres au travers du tissu. Il souffle et profite de l’instant les yeux fermés. Je vais le faire grimper au ciel !
Je lui retire son boxer et me retrouve avec une queue de 19 cm d’une grosseur convenable qui se dresse, noyée dans un foisonnement de poils. Une gourmandise rien que pour moi. Je l’engouffre dans ma bouche sans attendre. Surpris, Maxime sursaute en poussant un petit cri. Je joue avec son gland épais avec ma langue et débute un va-et-vient intense, autant que ma bouche peut le permettre tant sa queue est longue. Il est en extase. Il pose sa main sur ma tête et m’accompagne.
— C’est bon, souffle-t-il.
Sa satisfaction me rend dingue et j’accélère la cadence. Maxime perd ses moyens et bouge tellement les jambes que je doive cesser.
— Désolé, me souffle-t-il, tu m’as rendu dingue.
— C’est la pratique, lui réponds-je en branlant sa queue tout en lui embrassant son genou poilu.
Il me sourit et me lève en même temps que lui. Nos bites droites l’une contre l’autre, nous nous embrassons en jouant avec nos langues. Ses deux mains m’écartent les fesses pour libérer mon anus. Je comprends sans détour ce qu’il souhaite faire. Je crains que le passage ne soit difficile. Je n’ai rien ici pour me permettre une pénétration sans douleur. Il me laisse la place et me fait mettre à genoux de côté sur le siège, le cul en l’air.
Placé derrière moi, Maxime écarte mes fesses et fourre sa langue dans mon anus. Je soupire de plaisir. Il sait y faire. Il alterne langue et doigts. Accélère la rythme, ressort pour embrasser mes fesses et revient sur mon anus avec fougue. J’ai rarement été bouffé comme ça. J’ai tellement chaud que ma queue est dure et suintante de plaisir. Sans m’avertir, il m’enfonce un premier doigt. La douleur me paralyse instantanément. Il va me déchirer.
Je l’entends alors sortir de sa poche un petit emballage que je devine être du lubrifiant. Une précaution prise pour son rencart prévu ce soir, pensais-je. Le gel aide grandement mon anus à se dilater. Un doigt passe, puis deux, puis trois. En sueur, je pousse des petits cris encourageants. De sa main libre, il branle ma queue raide. Je ne veux pas jouir maintenant. Je veux profiter. Je veux que ça dure éternellement.
Maintenant bien ouvert, il se lève, met ses mains sur mes hanches et présente son gland sur mon anus boursouflé. Pourvu que personne ne vienne. Le train n’a toujours pas redémarré et j’ignore l’heure. Il rentre progressivement. La douleur m’échauffe. Mais je le laisse faire. De longues minutes passent pour que je m’habitue à sa grosseur. Doucement, il débute la pénétration. Même si je suis rempli, il ne doit pas être totalement en moi car je ne sens pas ses couilles.
Les premiers mouvements me font pousser des gémissements que j’étouffe dans le siège. Il doit prendre ça pour un encouragement et accélère. De ma main, je lui fais comprendre de se calmer ce qu’il fait sans attendre. Je regarde sur le côté et vois son reflet sur la vitre. Tête en arrière, il prend son pied, j’en suis certain. En même temps que le va-et-vient s’intensifie, la douleur fait place au plaisir. Je suis en extase entre ses mains.
Après un instant qui me parait trop court, il me redresse du fauteuil, me met les pieds au sol et, tout en restant en moi, me maintient alors qu’il s’assoit. Dos à lui sa queue en moi, je continue la baise en me branlant. Cette position ne lui plait pas semble-t-il. Il me tire contre son torse en sueur et passe ses bras sous mes jambes qu’il me ramène contre mon torse. Ainsi placé, je suis à sa merci.
A l’aide de mes bras, je soulève mon bassin pour laisser sa queue libre de ses mouvements. Il ne demande pas son reste et me pilonne avec force. Je ne m’y attends pas et commence à faire beaucoup de bruit. Heureusement, personne n’est là, enfin je crois. Je le sens souffler dans mon dos. Il prend son pied ce qui multiplie mon plaisir. Je veux lui faire totalement lâcher prise. Je me libère de son étreinte et me lève. Il n’a pas le temps de réaliser que je me place face à lui et m’empale sur sa queue.
Nos lèvres jointes, j’entreprends une baise dont j’ai le secret. Je veux qu’il soit à moi. Il souffle et réprime des cris dans ma bouche. J’accélère la cadence. Nos corps en sueur ne font plus qu’un. Il m’entoure de ses bras et me sert très fort. Cet homme est un dieu, mon dieu. Alors que les mouvements se font de plus en plus fort, il dégage sa bouche et pousse un cri en même temps que je sens un liquide m’envahir abondamment et s’échapper de mon cul. Je continue de bouger doucement le temps qu’on reprenne nos esprits.
Après quelques minutes dans ses bras forts, il me relève face à lui et met ma queue encore raide dans sa bouche. Je le laisse faire, ne lui touchant pas la tête. Il est le maître. Il alterne gorges profondes et branles avec un plaisir qu’il assume pleinement maintenant. Je lui dis que je vais jouir mais il en a cure. Alors qu’il est en gorge profonde, j’éjacule dans sa bouche en enserrant sa tête dans mes bras. C’est si intense que j’en tremble. Il avale mon sperme et poursuit la fellation plus doucement. Trempé, je m’écroule repu sur le siège d’en face. Lui n’a pas changé de position. Jambes et bras écartés, il me regarde essoufflé en souriant. Sa queue encore légèrement gonflée pend sur le côté. Je pose mon pied dessus et commence un mouvement de masturbation ce qui le fait rire aux éclats.
J’accompagne son rire et me rhabille. Il fait de même et reprend sa place en face de moi. Le train redémarre. Nous continuons le voyage sans cesser de parler et surtout en imaginant la réaction des autres voyageurs si on avait été surpris.
Arrivé à destination, il fait totalement nuit, ce qui n’empêche pas les autres voyageurs de nous regarder avec insistance. Nous nous quittons sur le parvis de la gare en se faisant la bise et surtout en nous promettant de se recontacter.
— Qui sait ? Lui réponds-je.
Ange-02
angeday02@gmail.com
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