Les personnages existent (moi et mon chéri) mais l'histoire est fictive bien qu'inspirée de faits réels.
Il s'était endormi tard, il pensait à lui, à son torse, à son odeur... Cela faisait plusieurs jours qu'ils ne s'étaient pas vus. Il s'était perdu dans des pensées autour de son travail, de quelques pensées nostalgiques du temps passé, notamment de souvenirs avec lui puis le sommeil était venu le chercher.
Son sexe, épais et lourd, commençait à s'ériger pendant qu'il dormait. Zak est un homme de 28 ans, de taille moyenne, un brun barbu aux cheveux épais, bronzé car avec des origines algeriennes, bien bâti, plutôt trapu, un dos et des épaules larges, des avant-bras et des mains musclés. Des poils recouvraient son torse, son dos, ses membres, des poils doux et longs. Un vrai ours, très viril.
Ses rêves furent doux et sensuels cette nuit-là. Il s'imaginait avec son homme, dans sa voiture. Il avait déjà fait l'amour avec lui dans sa petite citadine en pleine nuit. Hugues est un homme blanc de 34 ans, un peu plus grand que lui, chauve mais barbu châtain, plutôt musclé avec des pectoraux assez développés. Dans le rêve de Zak, ils se prenaient à tour de rôle, alternant les positions, les étreintes passionnées, les caresses. Sa bouche prenait son sexe, sa bave salivait sur le membre imposant. Parfois il prenait sa tête dans ses mains pour le maintenir au fond... Profondément. C'était chaud et humide. Ils étaient bien. Les étreintes sexuelles étaient entre la douceur et la force. Il le prenait vivement, donnant des coups de rein à l'homme qu'il aimait. Il adorait sentir son sexe en lui, écouter ses gémissements, caresser voire frapper ses fesses, le prendre par les reins ou le maintenir en lui mettant ses doigts dans sa bouche. Il aimait qu'il lui dise qu'il lui appartenait, qu'il était à lui.
Alors que son rêve était à son apogée, un bruit de porte le réveilla. Il était tout de même dans un semi état d'éveil. Il put regarder l'horloge numérique, 4h20. Mince, il avait laissé la porte ouverte. Soudain, un homme surgit dans le noir. Il ne pouvait pas le distinguer. Cet homme lui mis une main sur la bouche puis lui enfila une sorte de cagoule qui l'empêchait de voir et ne permettait pas une respiration facile et complète. L'homme lui attrapa les mains et les noua avec de la corde. Que se passait-il ? Zak, ne pouvant plus trop bouger, n'était pas chez lui. Il était chez une amie et n'attendait son chéri que pour 6h du matin car son transport ne le faisait arriver dans la capitale qu'au petit matin. Mais il avait bien vu l'heure... 4h ! Cet homme qui venait de l'agresser ne pouvait être Hugues, c'était un intrus.
Les liens étaient sacrément noués. Il essaya de se lever mais l'homme posa son corps sur le sien. Il ne pouvait pas vraiment bouger. Le sexe de Zak avait rapidement dégonflé, étant en position de faiblesse. Mais cet homme sur lui, bandait. Il le sentait. Zak était sur le ventre et sentait le sexe fort et gonflé de son agresseur dans son dos, près de ses fesses. Cette sensation et ce sentiment d'oppression mi-violent mi-sexuel, l'excitèrent. Zak se remit à bander. Il s'en voulait, il se faisait agresser et prenait du plaisir. Le violeur lui cracha à la raie des fesses et lui introduisit un doigt dans l'anus de manière brutale. Notre personnage eut mal et l'agresseur lui trifouilla les entrailles. Un doigt, deux, puis trois, des allés et venus... La douleur se transforma petit à petit en plaisir. Zak se sentit faible, il commença à onduler des fesses comme s'il en voulait davantage. Violé mais excité ! Puis, un court instant l'homme mystère retira ses doigts. Cet instant fut silencieux, Zak se sentit vide, mais aussi reposé. Puis subitement il sentit le sexe, énorme, épais, veiné, monstrueux de l'assaillant. L'homme était en lui. L'homme commença à le prendre avec force, il se retirait, quasiment entièrement puis rentrait en lui avec fougue et conviction. Zak se fit prendre de longues minutes. Il haletait, gémissait, prenait du plaisir. Il se laissa aller complètement. Il était en extase. Il ressentait les coups de rein, le gland de l'homme sur sa prostate. Zak mouillait du sexe ; un long fil reliait sa bite au matelas, il bavait. Il n'avait pas pris de plaisir ainsi depuis si longtemps. Il se retourna, fit face à son agresseur, lui saisit le sexe et le guida jusqu'à son trou béant, dilaté. Il voulait être pris, encore... Et voir cet homme, sentir ses bras, muscles, ses poils, son sexe. Le pillonage continua. Parfois, il lui crachait dans la bouche. C'était excitant ! L'homme vint en Zak, il éjacula quatre longs jets dans l'anus du jeune homme. Ce dernier se sentit rempli, mais il avait encore le sexe tendu, droit, bandé. Il avait besoin de vider ses couilles pleines. L'assaillant, vidé, se mit à sucer Zak de toutes ses forces. Sa rapidité d'action, sa langue, ses compétences en la matière étaient excellentes. Le violeur décida alors de s'empaler sur le sexe de Zak tout en lui faisant face. Le violeur devint passif. Il bougeait ses fesses avec entrain, dynamisme autour du membre dur. Zak lui pris une fesse dans chaque main. Il souleva l'homme, son sexe sortait presque de son trou, puis avec ses mains d'homme fort, il lui pris les reins et entraînait ses fesses le long de son membre pour s'enfoncer parfaitement en lui. Les mouvements recommencèrent, s'accélérèrent... Il l'avança, le prit profondément, l'avança puis s'encra davantage. Il aimait sentir son sexe dans ses entrailles. Les mouvements forts et précis le firent jouir. Il poussa quelques cris, soupirs de satisfaction.
Ils s'arrêtèrent un instant...
Puis les deux hommes s'embrassèrent amoureusement, langoureusement. Cela faisait une semaine qu'ils ne s'étaient pas vus. Zak pris la parole : "Comment cela se fait que tu sois là si tôt ?" L'assaillant, qui ne fut autre que l'homme qu'il aimait, Hugues, lui répondit "J'ai voulu te faire une surprise, j'espère qu'elle fut bonne." Zak lui expliqua qu'il l'avait reconnu rapidement, dès lors qu'il avait senti ses longs doigts en lui.
Pour une fois, Zak avait apprécié une surprise. Des surprises comme celles-ci, on en redemanderait !!!
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MonsieurdeRennes
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