" Ah putain mes clefs !". Victor se maudit d’avoir oublié ses clefs au bureau. Il va falloir y retourner. Il est déjà presque 20h. Lui qui espérait une soirée chill avec ses amis… Il leur fait signe de ne pas l’attendre et reprend son velo en direction du 10ème. Il n’y aura sûrement personne évidemment au bureau mais pour le coup la clef du bureau il l’a avec son antivol de vélo. C’est déjà ça.
Victor a 29 ans, il vient de quitter sa copine. Il en avait tellement marre de son manque d’engagement. Il avait bien besoin de parler de tout ça avec ses potes mais se dit que ça pouvait bien attendre une demi-heure. Quoi qu’il en soit, ça le changeait des soirées sportives : il noyait sa solitude entre escalade et course à pied depuis sa rupture. En quelques mois, son corps avait déjà changé et son 1m80 s’était sérieusement musclé.
En cinq minutes, il se retrouve devant la porte cochère et s’avance dans le bâtiment. Comme prévu, la porte est fermée. Il se précipite vers son bureau. « J’ai l’impression que la lumière du sous-sol vient de s’éteindre » se dit-il « Bizarre… Je fais quoi, je vais vérifier? » Il se donne du courage, traverse le bureau et descend l’escalier. Il distingue deux silhouettes. Et prend peur. « Mais c’est qui ? » dit-il. « C’est moi, Victor » répondit une voix.
Il reconnait la voix de Guillaume, son chef. Il bosse avec lui depuis un paquet d’années maintenant. Il s’est toujours dit que c’était un peu étrange d’être ami avec son boss mais ce dernier semblait également l’apprécier. Guillaume était bien et bien dans sa quarantaine, lui aussi faisait beaucoup de sport, ce qui lui permettait de bien contrôler l’effet qu’à généralement le temps sur les hommes de son âge. La course à pied l’avait rapproché de Victor. Lui aussi trouvait étrange sa proximité avec Victor. Mais outre cette proximité, Victor représentait surtout un fantasme. Parce que c’était un garçon de l’équipe et parce que tout indiquait qu’il était hétéro à 100%, Victor resterait dans la case fantasme et c’était mieux ainsi.
« Mais tu fais quoi là ? ». Machinalement, Vic allume la lumière et s’apercoit que Guillaume n’est pas seul. Un jeune jeune reubeu – il apprendra plus tard qu’il se prénomme Majid - assez musclé est avec lui. Autre détail : les pantalons des deux sont ouverts. Il n’y a pas d’ambiguïté. Ces deux-là n’étaient pas en train de jouer aux cartes. Guillaume garde un silence gêné mais Majid lui sourit et dit : « tu as fait exprès de faire débarquer un bogoss ? » Guillaume sourit à son tout et regarde Vic avec un air interrogatif. Vic hésite un instant et se dit que le rebeu est sacrément bien gaulé et que après ça, Guillaume ne pourra plus rien lui refuser.
Vic s’avance donc avec un effet immédiat : le jeune rebeu baisse son pantalon et fait admirer une belle bite à moitié dure que Guillaume commence à branler tout en l’embrassant. Sa bite est vite dure : elle est droite, épaisse et d'une longueur d’au moins 20 cm. Vic s’approche et unit sa bouche au baiser des deux autres. Il sent la main de Sébastien caresser son cul. « Putain, il est rapide le patron ! » Il laisse Guillaume faire. Guillaume lui aussi défait son pantalon. Et laisse sortir sa bite très dure et droite. Plus petite que celle de Majid mais qui a l’air d’être un bel outil pour perforer les cul les plus serrés.
Majid se met à genoux et commence à sucer Guillaume qui semble aux anges. Il soupire et ferme les yeux alors que le baiser entre Vic et Guillaume poursuit.
Vic à son tour défait son pantalon. Guillaume découvre enfin la bite de son petit protégé. Il n’est pas déçu. Elle est fine et très droite un peu plus longue que la ssienne. Guillaume commence à le branler. Puis Majid s’en occupe en gémissant. Guillaume n’en peut plus et s’agenouille lui aussi pour sucer son beau Vic.
Son cœur bat la chamade. Il n’aurait jamais cru celà possible .
Guillaume entend Vic soupirer alors que la bouche de son boss descend sur son sexe. Majid n’est pas en reste et lèche les couilles du jeune homme. Vic caresse doucement les cheveux de ses deux suceurs. Il a bien fait de descendre...
Guillaume se relève et sort une capote. Majid se retourne et montre alors ses fesses : elles sont magnifiques, très larges et rebondies, presque féminines. Guillaume a l’air décidé à en profiter. D’un geste précis, il déchire la capote, l’enfile sur sa bite dure comme du bois et retourne un peu sèchement Majid. Il l’embrasse dans le coup et le pénètre lentement mais sans s’arrêter, ne laissant pas la choix à son partenaire. Celui-ci retient son souffle face à la douleur de cette pénétration rapide. Mais il se détend bientôt et commence même a bouger son cul pour montrer a Guillaume combien il est impatient que le limage commence. Guillaume reste immobile. A la grande surprise de Vic, il sort une deuxième capote et la lui tend.. Il n’y a pas d’équivoque.
Vic s’exécute et l’enfile lui aussi. Il n’a jamais pénétré de garçon. Il se rappelle alors sa copine d’école qui adorait la sodo et se dit que ça ne doit pas être trop différent. Il se positionne devant le trou de Guillaume et commence à pousser en se tenant à ses hanches. Le boss est assez serré il ne doit pas souvent offrir son cul. Cela excite encore plus Vic qui sent les fesses souvrir dans la douleur.
Vic l’embrasse Guillaume dans le cou, il veut que ce moment soit inoubliable pour lui. Il le pénètre lentement. Quand il est entièrement en lui, il lui dit je te laisse donner le rythme. Et Guillaume commence à aller et venir dans le cul de Majid qui se met tout suite à gémir ! « Le boss a l’air d’être un bon baiseur » pense Vic. Il suit d’ailleurs son mouvement et le lime tendrement. L’excitation des 3 est intense. Vic ne va pas tarder à éjaculer tant le cul de Guillaume serré sur sa bite. Il voit la sueur perler sur le dos de Guillaume qui les yeux mi-clos à l’air en extase. Guillaume est en effet au sommet de l’excitation, sa bite dans ce cul offert de jeune rebeu et son cul pénétré par son Victor chéri dont il n'aurait jamais soupçonné la tendresse et la force. Celui-ci lui dit doucement : « je vais bientôt jouir». « Moi aussi ! Allons-y ensemble ! » Et de deux coup de reins leurs couilles se vident puissamment et en un même râle. Les 3 hommes se détachent à regret et commencent à se rhabiller en s’échangeant des regards complices.
En 5 minutes tout est rangé et tout le monde se sépare devant la porte cochère... avec des étoiles dans la tête.
Seboly
Oliparis1307@gmail.com