Je suis antillais, pour clarifier la compréhension de tous voici quelques indications de langage.
Cocotte/coucoune = Chatte
Lolo/Kok = Pénis
Koké = avoir un rapport sexuel
Macome = insulte homophobe
Chapitre-1
Il a mis sa main dans ma cocotte…
Qu’est-ce que je raconte, je n’ai pas de cocotte, je suis un homme…
Pourtant, c’est bien ce qu’il m’a dit « je vais toucher ta cocotte » il me prévient comme si cela allait changer quelque chose…
Je m’appelle Gabriel, j’ai 19 ans, je ne suis pas très grand, je mesure 1,70 m, j’ai un petit corps musclé est sec avec un cul bombé et bien cambré, qui fait craquer toutes les filles. Je suis un métis avec des locks blonde, des piercing et énormément de tatouage. Je crois que mon frère Raphaël et moi nous sommes dans une compétions implicite, à qui en aura le plus. Généralement entre jumeau ce sont des choses qui arrivent sans que l’on ait besoin de parler.
Nous avons choisi le ghetto et les gangs. Un milieu machiste ou la virilité est primordial, aucun homme ne m’a jamais touché ni même envisagé de me toucher par peur des représailles. Mais le monde de la rue à ces règles, et je me suis retrouvé dans une citation terriblement délicate.
Raphaël et moi avons rejoint un gang, il y a plus d’un an, tout se passe bien, nous avons fait nos preuves et nous sommes assuré une place relativement confortable. Nous avons même réussi à nous faire un nom auprès des autres gangs de la région.
Ce soir, c’est l’inauguration du nouveau club, Bien sûr, c’est une couverture qui permet de blanchir l’argent des baquages. Nous avons en charge la gestion des ventes et les sanctions en cas de perte ou de tout autre manquement.
Il y a de l’alcool et des filles, tout est réuni pour que la soirée soit monstrueuse, trois ti-punch, et deux joints plus loin, je suis bien. Mon frérot et moi on s’ambiance comme des malades. Au bout d’un moment, je dis à mon frère que je reviens, car j’ai une envie présente.
J’entre dans les toilettes, je déboutonne mon jean et commence à pisser, il y a pas mal d’aller et retour et d’un coup cela ce calme tout le monde est parti, il ne reste que moi et un autre gars, quand je me retourne, je vois que c’est Dylan, le petit frère du boss.
- Eh comment va mec tout se passe bien ?
- Ouais, c’est poser, ton brother est où ?
- Il danse, ou il boit, ou il fume, ou les trois en temps, le connaissant.
Il se mit à rire, et poursuivi.
- C’est bien ce que vous avez réussi à faire, continuez comme ça.
- C’est normal timal, ici c’est la famille, on fonctionne pour le groupe.
- Justement, j’ai une mission pour toi. Au même moment, il s’était approché de moi alors que j’étais appuyé contre le mur.
- Ouais aucun problème, c’est quoi ?
À cet instant, il me bloqua contre le mur me susurra à l’oreille.
- Je vais mettre ma main dans ta cocotte, et tu vas te laisser faire.
Je sentis un frémissement parcourir tout mon corps, je ne savais plus quoi faire, il était hors de question de le laisser toucher mon intimité, mais je ne pouvais pas faire grand-chose contre lui, le frappé signerait mon arrêt de mort, et le laisser faire mon déshonneur. J’étais plongé dans la tourmente impossible de réfléchir, j’étais perdu dans un brouillard qui obscurcissait ma vision. Quand je repris mes esprits, j’étais plaqué face au mur fesse nu le jean et le boxer au niveau des chevilles.
- Eh timal il se passe quoi là ? Lâche-moi, c’est quoi ton problème putain ?
Pour seule réponse, il cracha dans sa main et doucement comme si mes complaintes et me voir me débattre l’excitait davantage, il approcha sa main près de mes fesses.
J’eus un haut-le-cœur lorsque je sentis la fraîcheur de sa salive touchée mon anus.
- Hummm, tu as une grosse cocotte dis donc, tu caches bien ton jeu.
Ces mots résonnaient dans ma tête alors qu’il caressait ma fente avec de petits gestes circulaire, son avant-bras me maintenait bien plaqué contre le mur et m’obligeais à cambrer le dos. J’avais du mal à l’avoué, m’ai une chaleur commencée à monter dans mon bas-ventre, comme si cela me plaisait, comme si j’étais excité par ce qu’il était en train de me faire.
Impossible, je ne suis pas un macome, et pourtant, c’est avec effrois que je réalisais que j’étais en train de bander, mais que surtout, j’avais arrêté de me débattre et qu’à présent, c’était moi qui lui tendais mon cul. Les choses passèrent à une tout autre dimension lorsqu’il commença introduire un de ses doigts dans mon fondement, je sentis ma cocotte se détendre délicatement comme si elle n’attendait que ça, qu’es ce qui était en train de m’arriver, comment c’était possible, n’étais-je pas censé ressentir une violente douleur ? Au lieu de cela, j’étais là comme une pute à gémir contre le mur des toilettes du club, n’importe qui aurais pu rentrer à n’importe quel moment et ce serait fini pour moi.
- Regarde comme tu mouilles, salope. Je savais que tu allais aimer ça.
Il avait raison, j’aimais ça, et en plus je mouillais plus qu’une femme mon anus était dilaté, deux de ses doigts était en train de me travailler la rondelle. Je n’avais aucune idée du moment auquel il avait introduit le deuxième en moi, en revanche si j’étais sûr de quelque chose, c’est que je m’avérais être une pisseuse, mon cul mouillais plus que la chatte d’une femme, mes cuisses était trempé. J’étais à bout, je sentais mon corps me lâcher jamais, je n’avais ressenti une telle sensation.
Dylan me lâcha tout en retirent ses doigts de moi. Je me retrouvais sur les genoux, je n’avais plus suffisamment de force pour rester debout. Il resta là un moment à me fixer tout en reniflant ses doigts.
- Tu viendras me supplier de te koké bientôt.
Je restais là sans rien dire, sous le choc de ce qui venait de se passer. Quant à lui, il se dirigea vers l’évier pour se laver les mains, j’en profitais pour me rhabiller et je sortis rapidement des toilettes. Je constatais que la sortie était gardée par ces deux potes, qui me lassèrent un regard accompagné d’un sourire en coin. Il avait tout prévu ! C’est pour cela que tout le monde était parti des toilette, et que personne n’y était rentré, j’étais le seul imbécile à être resté…
J’avais rejoint Raphaël qui était complètement alcoolisé, et je ne tardais pas le rejoindre pour oublier ce qui venais de se passer.
- Tu étais où pendant tout ce temps frérot ?
Mon frère et moi nous sommes très proche et très fusionnel, je suis prêt à tuer pour lui et lui de même, impossible pour moi de lui dire ce qui c’était passer, son impulsivité rendrais la situation des plus compliquée.
- Non rien, j’avais besoin de respirer un peu.
Cette réponse avait du mal à me convaincre moi-même alors lui encore moins, mais il me tendit juste son joint et continua à s’amuser avec les filles.
La soirée avait atteint un niveau de débauche rarement égalé, et Raphaël était littéralement « out of control » alors nous avons décidé de rentrer. Sur le chemin, j’étais déconnecté de la réalité, j’avais envie de me battre, et en même temps de me faire koké. Je sentais le fantôme de ses doigts bougé en moi.
Une fois rentré douché et au lit, je pus prendre du recul sur la soirée,
- Qu’est qui c’est passer ?
Je me parlais à moi seul comme pour me rassurer.
Je me mis face au miroir de ma chambre et j’écartais mes fesses pour pouvoir distinguer mon anus, c’était la première fois que je le regardais, il était tout rose et légèrement gonflé. La position n’étant pas pratique, je m’allongeai donc sur le dos, je relevai mes jambes et à ce moment, je le distinguais clairement, effectivement, il était bien plus charnu que celui des filles que j’avais déjà koké, mais aussi bien plus jolie, c’est comme s’il réclamait un lolo. Comment j’avais fait pour ne jamais prendre le temps de le regarder ?
J’étais là, nu allongé sur le dos, l’intimité exposée face au miroir, pourquoi ne pas jouer avec ? Personne ne le saurait jamais. Je portais mon index et mon majeur à ma bouche pour bien les lubrifier et je me mis en tête de reproduit l’expérience, moi-même et à mon rythme.
Je commençais par me caresser doucement, en insistant sur l’orifice, plus je me caressais plus j’avais l’impression qu’il était gonflé, comme s’il se gorgeait de sang. En fait, j’avais une cocotte, une grosse cocotte de qui ne demandais cas être utilisé. Je frôlais l’extase à chaque passage de mes doigts. C’était le moment maintenant de rentré, délicatement je sentant mon muscle se rompre avec douceur l’intérieur était tellement chaud et doux, cela me faisait bizarre me je continuais, mes yeux était presque fermé et mes dents s’agrippais à mes lèvres comme pour contenir mes ralles de plaisir, j’accélérais le mouvement au fur et a mesure et je sentais le plaisir m’envahir.
- Yo timal, c’est quoi ce bordel ?
Je sursautais, les yeux ouvert, je pouvais clairement apercevoir dans le miroir Raphaël me fixer.
- T’es un macome maintenant ?
Roses Sky
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