Depuis la fenêtre de mon bureau je matais le jeune black qui était en train de travailler au remplacement du moteur de mon portail électrique. La petite vingtaine, les cheveux tressés, des boucles d’oreille et un discret piercing en or. Pas très grand et plutôt mince je l’avais trouvé charmant dès son arrivé. Sa voix très sensuelle avait terminé de me faire succomber à son charme.
Il avait capté je pense que je ne le laissais pas indifférent et quand le chantier fut terminé après 2 jours, je lui proposais de venir prendre un café dans la maison. Une fois son matériel rangé, il sonna à la porte d’entrée et j’allais lui ouvrir.
« Viens, rentre, ne fais pas ton timide. »
« Je crois que je sais ce que tu veux... »
A peine la porte refermé il se jeta sur moi pour m’embrasser et me serrer contre lui. Je sentais la chaleur de son corps en même temps que sa langue jouait avec la mienne. Il ne fallut pas longtemps pour que que je sente son érection contre la mienne à travers nos vêtements. Il sentait la transpiration après une journée de travail au soleil mais je trouvais cela excitant, chose rare chez moi...mais cela montre bien que le charme opérait. J’arrivais à me libérer partiellement de son étreinte et lui dit :
« T’es vraiment chaud toi….tu veux on prend une douche, cela sera plus agréable ? »
On se dirigeait vers la salle de bain tout proche, je lui enlevais son tee-shirt et contemplais son corps musclé et sec...ses abdos bien dessinés. Il était imberbe, seul une fine ligne de poil descendait de son nombril vers son bas ventre. J’enlevais mon tee-shirt et repris mon étreinte l’embrassant dans le cou. Je dégrafais son pantalon pour permettre à mes mains de se glisser dedans et sous son boxer pour caresser ses fesses. Mon érection me faisait mal. Dans un murmure il me dit entre deux embrassades :
« encule moi là tout de suite debout contre le mur. »
Je le retournais, baissais son pantalon et son boxer à mi-cuisse. Je baissais mon short à mon tour, libérant ma queue. Je crachais dans ma main pour lubrifier mon gland et le positionnais entre ses fesses. Je poussais sans trop d’effort pour faire pénétrer ma queue au fond de son cul jusqu’à ce que les poils de mon pubis viennent s’écraser sur ses fesses. Il gémit de plaisir. Je restais immobile quelques secondes le temps qu’il s’habitue puis je commençais à le baiser. J’attrapais sa queue que je n’avais pas encore vu dans la précipitation de notre étreinte et je la sentais dans ma main bien dure et droite. Je la branlais avec vigueur au même rythme que j’allais et venais dans son petit cul serré.
Nous étions tous les deux transpirants et nos odeurs de mâles se mêlaient l’une à l’autre, je sentais celle de sa queue qui m’excitait bien. Tous les deux très chauds, notre baise ne dura pas bien longtemps et je sentis sa queue se contacter avant d’éjaculer abondamment sur le mur de la salle de bain et dans ma main. Au même moment je jouissais abondamment au fond de son cul me serrant à lui pour mettre ma queue au plus profond de ses fesses. Nous restâmes quelques secondes sans bouger et sans rien dire jusqu’à ce que je le libère de mon étreinte et sorte ma queue poisseuse de ses entrailles. Je le pris par la main et l’emmenais vers la douche.
Je laissais l’eau couler jusqu’à ce qu’elle arrive à température puis le commençais à le savonner comme si c’était un enfant. Il m’interrompit à plusieurs reprise pour m’embrasser. Je m’attardais sur ces fesses pour bien les savonner, et glisser mes doigts dans son cul bien ouvert par notre coït. Puis je jouais longuement avec sa queue qui n’étais pas circoncise et qui ressemblait fort à la mienne, la couleur noire en prime. Il semblait interdit et encore sous l’effet de notre jouissance commune. Je lui dis :
« J’espère que t’es chaud pour un deuxième round, un peu plus doux et plus sensuel cet fois ? »
« Oui t’inquiète je reprenais juste mes esprits...putain on me l’a pas fait souvent et j’avais oublié à quel point c’était bon de se faire enculer comme ça... »
Je voulais pas casser l’ambiance mais je supposais qu’il avait une copine et qu’il n’avait pas souvent l’occasion de vivre sa sexualité selon sa vrai nature. Il me confirmera mon hypothèse par la suite au fil de nos discussions.
La douche terminée, je le prenais par la main et l’amenait dans la chambre. Je m’allongeais sur le dos et lui dit :
« Suce moi bien la queue »
Il ne se fit pas prier et s’enfourna directement ma bite dans la bouche. Il suçait comme il embrassait avec beaucoup de vigueur et d’envie comme si sa vie en dépendait. Il s’y prenait très bien et s’occupait également bien de mes couilles. Je ne restais pas inactif et pendait qu’il me la suçait je jouait avec sa queue bandée en faisant glisser son prépuce sur son gland, caressant les couilles, jouant avec la mouille qui s’échappait de son méat.
Au bout d’un certain temps je luis indiquais que je voulais inverser les rôles et c’est moi qui goûtait à sa queue rendue salée par toute la mouille qu’il avait déversée pendant qu’il me suçait. Je dégustais sa queue avec un plaisir non dissimulé et m’efforçais de l’avaler en entier à plusieurs reprises. J’avoue que quand je suce un mec qui me plaît cela me donne des envies...Aussi je me mis à califourchon sur lui et entrepris de frotter son gland dans ma raie des fesses. Très excité, je n’eus aucun mal à m’asseoir sur sa queue et à ressentir le plaisir infini de la pénétration anale. Une fois habitué à son engin, je commençais à m’agiter pour le faire aller et venir en moi. Je me penchais pour l’embrasser. Ses mains couraient sur mon dos et mes fesses, ses caresses m’électrisaient complètement. Il voulut branler ma queue mais je retirais sa main et lui dit :
« Pas tout de suite, tu vas me faire jouir trop vite... ».
Après quelques minutes à jouer les « power-bottom », et une fois le cul bien ouvert, je me mis sur le dos, jambes relevées et il vient glisser sa queue entre mes fesses. Je caressais son ventre, ses abdos et ses tétons sans jamais quitter son regard. Il se penchait régulièrement pour m’embrasser avec la langue mais je préférais qu’il reste bien droit pour mieux sentir sa queue m’ouvrir le cul. Je posais mes pieds sur son torse. Il me les caressa avec délice tout en continuant à me pilonner le trou. Il pris mon pied et passa sa langue entre chaque orteil en finissant par me sucer le gros orteil. Putain que c’était bon.
Après quelques minutes de se traitement je lui demandais :
« Je veux que tu me fécondes »
Il accentua ses coups de boutoir dans mon cul. Je pris sa main et la posa sur ma queue pour qu’il me branle. Enfin je glissais ma main sous mes fesses pour attraper ses couilles et les malaxer pendant qu’il me pinait. Il ne résista pas longtemps à ce traitement. Je serrais plusieurs fois les fesses pour bien comprimer sa queue. Il jouit alors brutalement en poussant un grognement pendant que mon propre sperme coulait dans sa main sans vouloir s’arrêter. Il se pencha sur moi pour attraper ma bouche et me serrer contre lui. Nous venions de vivre un moment magique.
« C’était trop bon... » arrivais-je tout juste à articuler.
Après une nouvelle douche et un échange de nos numéros de téléphones il quitta les lieux laissant un grand vide dans mes entrailles comme dans la maison.
Lucas
deslucas57@yahoo.com
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