Absolument hétero, c’est ce que je me persuadais. J’avais un groupe d’amis, étudiant dans la ville voisine, que je ne voyais que le week-end… et dans ce groupe, il y avait ce beau garçon, Victor, mon âge, 22 ans, avec son charme qui ne me laissait pas insensible.
Mais non… ce devait être qu’une certaine admiration. Rien de plus.
Dès que je le pouvais, je rejoignais ce groupe d’amis le week-end, des soirées où l’alcool coulait à flot et toutes les folies étaient permises.
Mais cette année-là, un des amis du groupe, Mattia, avait eu la bonne idée de partir en erasmus en Suède. Qu’à cela ne tienne, une bonne raison de voyager !
Avec 4 amis du groupe, Leo, Victor, Emil et Mael, nous voilà partis dans une petite ville de Suède rejoindre Mattia. Mattia ne résidait pas en ville, mais sur le campus universitaire. En réalité, une résidence composé de 5 blocs d’immeubles de 4 étage, en arc de cercle, à une dizaine de kilomètre de la ville, et deux tiers entourée par la forêt.
Victor et Mael était déjà sur place, j’ai donc fait le voyage avec Emil et Leo.
Dès mon arrivée, à la résidence, Victor est là pour bous accueillir. Il Faut dire que Mattia est en cours. Je croise son regard si charmant, il est en débardeur qui moule ses pecs parfaitement et laisse deviner des plaques de chocolat clairement dessinée. Je suis un peu hypnotisé.
Il nous emmène dans l’appartement de Mattia. Il faut dire, que dabs chaque bloc, il y a un appartement par étage, avec un immense séjou-cuisine, un très long couloir avec 12 chambres. Mattias a pu enprunter la chambre d’un des colloques pour nous loger, nous sommes ainsi 3 par chambres. Il y a un lit de 140cm dans chaque chambre, et Mattia s’est procuré deux matelas gonflables.
Je me débrouille pour me retrouver dans la 2e chambre dans laquelle vistor s’était installé. Emil se met également là.
Nos affaires à peine posée, Mattia nous propose un apéro à l’étage du dessous. Il n’est que 16h, mais nous sommes en février, et il commence déjà à faire nuit, nord oblige.
Je ne suis pas en reste quand il s’agit de boire, et les bières se succèdent, en alternance avec quelques joints que je roule. La musique est à fond dans cet immense salon, dans lequel se mélange une quarantaine de jeunes, issus de tous les pays européens.
La soirée est déjà bien avancée, et entre la fatigue du voyage, les bières et les joints, je commence à me sentir défoncé. Mon reagrd croise celui du beau Victor, moulé dans son débardeur bleu clair. L’alcool faisant effet, je me surprend à le mater. Quel corps ! Ces pecs, si bien dessinés ! Mon regard descend, passe sur ses abdos clairement visibles, et descend sur son pantalon. Un pantalon slim qui lui dessine des jambes incroyable, et laisse deviner un paquet bien marqué. Mes yeux sont comme attirés par cet entrejambe. Victor me regarde.
« Ca va Lamine ??? »
je sursaute. Il vient de s’adresser à moi.
Je bégaie. Puis je lui réponds que je sortirais bien fument un joint. Il m’accompagne. Je roule, et il me propose que l’on marche dans la forêt pour fumer.
Nous sommes maintenant en plaine forêt. Le joint est fini. Il nous faut retourné.
« C’était par où déjà » je demande à Victore.
« Tu te fous de ma gueule, tu sais plus d’où on vient ? En même temps je t’ai vu me mater le boul au lieu de regarder où on allait ». Clairement, le cul de Victor était incroyable. Mais ça je n’allais pas le lui dire.
Je me vénère.
« Qu’est ce que t’as dit connard ? »
je le pousse violamment. Il tombe par terre. Il est surpris, mais ne manque pas de me faucher mes jambes de son pied droit. Je m’écroule sur lui. Il me choppe aux épaules et me fait basculer pour me maitriser et se retrouver sur moi. Je ne me laisse pas faire, et lui balance un coup de genou dans le ventre. S’en suit un roulé boulé, avec des coups de par et d’autre. Il se retrouve a nouveau par dessus moi. Je sens son paquet me pressé la cuisse. Je me mets à bander.
Je le renverse sur le côté, et me retrouve au dessus de lui. Il se débat. De ma main droite je saisi son paquet à travers son jeans slim et maintien ma prise durant de longues secondes.
« hey c’est ma bite » dit-il enfin.
« Ah scuse moi ».
Je réalise. J’allais me redresser mais voilà qu’il me roule une grosse pelle. Ma main qui tenait toujours son paquet lache sa prise et sans réfléchir remonte vers la taille pour entrer dans son boxer et lui saisir directement sa bite. Il me retourne, se met au dessus de moi et d’un coup me retire le haut puis mon pantalon et boxer. Je me laisse faire. Je me retrouve nu, ma bite, légèrement courbée et de 18cm, complètement dure. Sans que j’aie le temps de réagir il enfourne ma bite dans sa bouche. Oh putain que c’est bon !!!!!!! Je laisse pousser de petit cris. Puis je le retourne moi aussi et le désabille. Nous nous retrouvons nos deux corps nu se frottant, sa bite qui fait bien 23cm vient évraser la mienne de tout son poids. Il me roule une pelle.
Je n’ai jamais ressenti une sxcitation pareil.
À ce moment-là, nous entendons plusieurs voix nous appeler.
« Victor, Lamine ??? »
Il s’est passé une bonne demi heure, et jos potes sont en train de ratisser la forêt à notre recherche. Je panique, nu contre Victor.
« Oh merde, ils sont là, on fait quoi ? » je demande.
Victor se leve, me lance mes vetements « habille toi ». Je mers mon tshirt et mon pull, mais je ne trouve pas mon boxer. Des lampes de poche se rapprochent.
« Vite » me lance Victor qui est déjà rhabillé.
Je remet donc mon jean sans boxer. Alors que je le boutonne, Mattia surgit derrière l’arbre le plus proche.
« Mais vous êtes-là ??? Vous faites quoi ??? »
Victor se jette sur moi et me maitrise par terre.
« Rien, on se bat simplement » répond-il. Je sens sa bite qui bande à fond contre ma jambe…
Lxxxy
Autres histoires de l'auteur :