Épisode précédent
Initiation - formation 21
Pendant ce temps, Habib baise Monsieur Gatien tandis que Latyr se fait sucer.
Après les grognements et les jurons de plaisirs, le silence s'installe.
" On peut s'occuper de ta promotion Antoine ? Tu ne peux pas le sortir de son box ? Car j'aime bien quand on s'assied sur ma queue ou que l'on me branle pendant que l'on me suce ? ", demande Monsieur Abdou.
" Oui, oui et lui rouler des pelles ! ", disent les fils.
Après réflexion et tergiversation Monsieur Antoine accepte. Il est déjà tard et il n'attend plus personne. Mon box s'ouvre et je suis libéré.
Habib et Latyr me soutiennent.
" Indique moi la douche Antoine que je le nettoie, il a du foutre séché partout et il empeste ! ", dit Monsieur Abdou.
Monsieur Antoine nous conduit dans sa salle de bain et nous laisse.
Monsieur Abdou me fait entrer dans la douche avec lui.
Il est grand, baraqué et a une petite moustache noire.
Sa peau est douce et légèrement parfumée.
Sa queue est bandée et sans doute aussi grosse que celle de son frère. Il porte son gland très haut.
Son pubis est couvert d'une courte toison frisée
Sur ses cuisses deux grosses couilles imberbes rebondies, pendent.
Il fait couler l'eau sur moi, prend du gel de douche et me savonne de la tête aux pieds. Il insiste sur mes parties génitales, décalottes mon gland, nettoie bien mon prince Albert et la chainette. Ma queue qui a envie de bander tire dessus.
" Ah encore une astuce de Monsieur Jean ! Je vais en équiper mes lopes également ! ".
Il savonne ma raie. Ses gros doigts pénètrent mon anus. Puis il fixe l'embout de douche pour les lavements et me l'enfonce dans l'anus. L'eau tiède coule et m'apaise.
Ensuite il me tend la douchette et le gel et me demande de le savonner.
Mes mains caressent ce corps ferme, ses fesses rebondies, s'immiscent dans sa raie.
Je remets du gel et lui savonne la queue à deux mains, puis ces grosses couilles.
Il me demande de me mettre à genoux et de le sucer. Dans cette position, son membre me semble encore plus grand et plus gros.
Je prends son sexe en bouche et tout en le branlant doucement ou en lui massant ses couilles, je fais ce qu'il m'a demandé.
Au bout d'un moment, il me relève, me fait prendre appui sur la paroi de la douche et écarte mes fesses. Il se met à genoux à son tour et commence à me bouffer le cul. Sa langue est gloutonne et pénètre mon trou.
Puis, se remettant debout, il me fait tourner la tête et me roule une pelle d'enfer. Sa grosse langue envahie ma bouche, il salive abondement et j'avale. Ensuite il frotte son gland dans ma raie et me pénètre d'un coup. Je crie sous la surprise.
Nous sortons de la douche. Il s'assied sur les toilettes et me demande de venir m'asseoir sur son pieu. Je le prends dans la main et le dirige au bon endroit, puis doucement, je m'assieds dessus. Ma descente me semble interminable. Lorsque mes fesses touchent ses cuisses j'ai l'impression d'en avoir jusqu'à l'estomac.
Monsieur Abdou me demande de me retourner.
Je me relève, le chevauche en lui faisant face et me renfonce le pieu dans le cul.
Monsieur Abdou appuie une main derrière la tête et me sort sa langue que je suce. Puis il me roule de nouveau une pelle qui n'en fini plus.
Je sens son sexe grossir en moi, je monte et je descends. Au bout d'un moment il me demande de me mettre à genoux et me tend sa queue que je prends en bouche. Elle vibre et Monsieur Abdou me donne sa semence en de nombreux et puissants jets. Je m'étrangle, je ne peux pas tout avaler, il m'en sort par les trous de nez.
Monsieur Abdou éclate de rire récupère son jus sur un doigt qu'il me donne à sucer.
Bien sûr j'aime bien Monsieur Aimé, mais si je dois changer de Maître c'est à Monsieur Abdou que j'aimerai appartenir.
Je ne sais pas pourquoi, cette pensée peut encore me traverser l'esprit. J'ai honte vis-à-vis de Monsieur Aimé et comment est-ce que j'arrive à être encore excité car avec tout ce que Maître Jean me fait vivre, je ne suis plus un être humain, mais une machine à donner du plaisir, un vide couilles, un déchet.
" Allez, nous allons rejoindre mes fils ! ".
" Par ici ! ", appelle Monsieur Antoine depuis une pièce voisine. " J'ai pensé que si vous disposiez d'un grand lit ce serait plus confortable ! ".
" Mes fils ! ", dit Monsieur Abdou, " je vous laisse, je vais descendre avec Antoine me faire poser un piercing au sein. N'abimer pas la lope de Monsieur Jean, surtout ! ".
" Non papa ! " répondent-ils en coeur.
" Dit papa, tu me la mettras quand tu remonteras ! ", demande Osseynou.
" Ecoute mon fils, n'oublie pas que je suis ton père ! Certes je t'ai initié, mais tu n'es pas en retard de l'avoir et il me semble que c'était même encore ce matin ! ", répond Monsieur Abdou.
Les fils seuls, m'ordonnent de me mettre à genoux et me présente tour à tour leur queue. Elles sont toutes aussi grosses que celle de leur oncle et de leur père, à l'exception de celle d'Osseynou qui est un peu moins volumineuse mais tout aussi respectable.
Puis ils se mettent en ligne et je passe d'une bite à l'autre.
Habib à un air plus vicieux. Il faudra que je m'en méfie. A chaque fois que je le suce, il me pince douloureusement les tétons.
C'est lui qui le premier me demande de me mettre à quatre pattes sur le bord du lit. Il se place entre mes jambes les écartes encore plus avec ses genoux et me saillie comme une bête.
Osseynou vient s'installer à quatre pattes devant moi et me présente sa rondelle toute rose sur cette peau noire. Je commence à lui bouffer le cul. Latir présente sa queue à Osseynou qui commence une fellation. Au bout d'un moment Habib dit " Latir vient prendre la place et toi Osseynou dégage ! ".
Habib s'allonge sur le lit son visage à la hauteur du mien.
"Osseynou, suce-moi ! " ordonne-t-il à son frère. Puis il happe ma bouche et m'embrasse goulument.
Puis c'est Latir que se retire de moi et Osseynou vient prendre sa place. Ils ont ainsi défilé dans mon cul et ma bouche un bon moment.
J'entends quelqu'un monter les marches et Monsieur Abdou apparaît dans la chambre.
Initiation - formation 22
" Et bien, je vois que l'on ne s'ennuie pas ici ! ", s'exclame-t-il.
Osseynou, je vois que tu n'es pas occupé, viens ici donner ton fion à papa ! Pendant qu'Antoine me posait mon piercing, Gatien m'a sucé pour me détendre, mais là je suis trop excité !".
Très rapidement il dit : " Habib retire toi de là et va voir Antoine c'est ton tour ! ".
Habib s'exécute en faisant la moue et Monsieur Abdou prend sa place.
Je ne sais pas pourquoi mais je préfère cette queue d'homme mur à celles de mecs jeunes
Ainsi, allèrent-ils chacun leur tour se faire poser leur piercing.
Quand tout le monde a été servi, Monsieur Antoine et Gatien sont venus se joindre à nous et ils ont continués dans une orgie frénétique, qui a durée jusque tard dans nuit
A leur départ, après être tous passés à la douche, Latyr supplie son père en me désignant : " achète le moi papa s'il te plait, j'aimerai bien qu'il soit à mon service, il est tellement bon ! ".
" Arrête Latyr, tu sais bien qu'il appartient à Monsieur Jean qui doit déjà fournir la commande de ton oncle. Nous verrons si un jour il est mis en vente ! ", répond Monsieur Abdou
A chaque fois que l'on parle de vente, de me vendre, de me céder etc... j'en ai la chair de poule. Mais cela relève sans doute d'un fantasme. Ils se sont tous passés le mot pour m'impressionner, me soumettre. Je suis persuadé qu'un jour Maître Jean va me rendre ma liberté, peut être avec une indemnité ou un truc de ce genre, ficelé par un contrat juridique pour que je ferme ma gueule
Sur le pas de la porte, Monsieur Abdou dit à ses fils : " montez dans la voiture, je reviens de suite ! ".
J'entends monter l'escalier et il arrive dans la chambre il me fait lever et m'embrasse avidement sur la bouche, me donnant toute sa salive.
" Assied-toi et suce moi une dernière fois ! ".
A peine dans ma bouche il me largue sa purée, me relève, m'embrasse la prend dans sa bouche avant de me la rendre.
" Je ne sais pas quand nous nous reverrons, mais on se reverra. Tu es une bonne pute ayant du coeur à l'ouvrage et du courage. Continue comme ça et si j'ai l'occasion de te racheter, je le ferai pour moi et pas pour Latir ! ", me glisse-t-il à l'oreille.
Il m'embrasse sur la joue et s'en va
Je reste à ruminer un moment allongé sur le lit.
Monsieur Antoine qui monte se coucher avec Gatien, me jette une couverture en me disant : " tiens dors. A demain. Ton Maître vient te chercher ! ".
Au petit matin, je suis réveillé Monsieur Antoine qui se glisse sous la couverture.
" Tu dormais ? " me demanda-t-il. Je lui réponds que la fatigue a eu raison de moi, bien que mes états d'âme m'ont tenus éveillé un moment.
" Etats d'âme ? " questionne-t-il. Je lui réponds que je me dégoute, que j'ai été quasiment kidnappé par Maitre Jean qui a fait de moi la pire des putes, un déchet humain, sans dignité. Monsieur Antoine me dit : " tu es bien logé, bien nourri, servi, et tu as du sexe sans devoir draguer, sans devoir chercher. Bien sûr tout cela a un coup, celui de ta soumission et de ta liberté ! ".
" Si tu le veux bien, je vais te raconter ma vie !". ajoute-t-il.
" Voilà, j'avais 18 ans quand mes parents ont disparu. Ils sont partis un soir et ne sont jamais revenus. Mon père avait gaspillé tout notre argent au casino, il n'y avait plus rien et notre logement était une location. Je faisais plus vieux que mon âge. J'étais grand, finement musclé et j'étais déjà ému par les corps d'hommes nus. Un oncle, ami de monsieur Jean m'a recueilli, m'a nourri, et a payé mes études. Il m'a élevé comme un fils, sauf que très vite il a exigé de faire ma toilette. J'ai protesté, disant que je savais depuis longtemps me laver seul, mais il m'a menacé et je me suis laissé faire. Dans un premier temps, il ne voulait pas que je prenne une douche et faisait ma toilette au lavabo, lui étant en peignoir. Il insistait beaucoup sur ma raie, mes fesses, et mes parties génitales me décalottant à fond pour bien nettoyer le gland, disait-il. Evidemment je bandais à chaque coup. Lorsque j'étais nu devant lui il me regardait attentivement. Une fois il a enlevé son peignoir et je le voyais pour la première fois nu. Je le trouvais très beau, un sexe magnifique et j'étais émus. Viens enfin le moment où il m'a fait entrer avec lui dans la douche Il me savonnait et je devais le savonner à mon tour, surtout sa bite énorme. Nous bandions tous les deux. Un soir qu'il m'a entendu pleurer dans ma chambre, il est venu me chercher et m'a fait coucher dans son lit. Il m'a entouré de ses bras et m'a serré contre lui. Il en fut ainsi tous les soirs suivant. Je sentais sa queue dure collée sur mon dos et j'aimais ca. J'avais un ami de lycée. Sa mère était décédée et il vivait avec son père. Un week-end par mois j'étais autorisé à aller rejoindre mon ami.
Il dormait dans un petit lit d'une personne et il n'y en avait pas d'autre. Je dormais donc avec lui malgré l'étroitesse du lit. Nous dormions mal. Un week-end mon ami s'en est plaint à son père qui lui dormait dans un lit de deux personnes. Le problème fut vite résolu. Le père m'a dit que je n'avais qu'à coucher avec lui. Très vite dans la nuit, j'ai été victime d'attouchement. Le père m'a d'abord serré très fort la queue bandée, puis il s'est mis à me branler et à me faire juter. Un peu plus tard, il m'a branlé jusqu'à me faire juter, puis il m'a sucé. Très vite il m'a demandé de lui faire la même chose et comme ce bel homme bien monté me plaisait, je n'ai pas dit non. A partir de ce moment là il ne m'a plus touché que rarement. Mon ami à très vite pigé le truc et il ne m'a plus parlé. Son père, m'a dit que j'étais sa petite femme et durant tout le week-end je devais évoluer chez lui à poils, cuisiner, faire le ménage. Son fils me regardait avec mépris. Il est arrivé que certains week-end, il invite des amis, tous des hommes que je devais servir, puis soulager avec ma bouche. Un jour j'en ai parlé à mon oncle qui m'a dit que tout cela était normal et que d'ailleurs, il le connaissait. A partir de ce moment là, chaque soir et chaque matin j'ai dû sucer mon oncle. Lui en faisait de même de temps en temps. Un matin, alors que j'étais couché sur le côté lui tournant le dos, mon oncle a commencé à jouer avec ma rondelle, il m'a lubrifié, a flatté mes muscles fessiers avec une douceur qui m'a étonné. Puis d'une main experte, il a calé l'extrémité de son gland au centre de ma rosette fripée. Il m'a demandé si je le sentais bien placé. Je lui ai répondu que je le croyais et je l'ai supplié de ne pas me faire ça ! Malgré tout, il m'a demandé de respirer à fond, plusieurs fois, sans me contracter. Il appuya sans forcer, laissant mon anus bien préparé s'ouvrir et se dilater naturellement sous la pression de son sexe raidi.
Pour me distraire, il a glissé ses mains sous son buste et compressé mes seins dont il titillait habilement les tétons tumescents.
Il m'a demandé, tout en mordillant le lobe de l'oreille, de m'ouvrir et de bouger mon anus.
Il m'a donné un coup de reins plus vif, et il m'a enculé. Je gémissais de douleur ; un réflexe m'a fait serrer les fesses, mais le gland était passé et le plus dur était fait. En me mordant les lèvres je lui ai demandé s'il était entré...
Rolex59
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IMPORTANT
Rêve ou réalité, ces histoires ne sont pas un art de vivre et surtout, elle ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection vis à vis des maladies sexuellement transmissibles. Faites comme les gens qui aiment la vie, leurs proches : PROTEGE TOI ET METS DES CAPOTES