J'ai 21 ans et je m'appelle Bruno. Je suis étudiant.
Je vis dans un petit appartement avec mon père, ma mère nous ayant quitté et, dans une certaine promiscuité. Nous n'avons qu'une seule chambre, grande certes mais dormons dans des lits séparés, un grand lit pour lui, un petit pour moi.
J'ai beaucoup de vénération pour mon père, la cinquantaine, petit homme brun râblais, tout en muscle et en poils, le crâne rasé et le visage barré par une grosse moustache et, j'ai une certaine attirance physique pour ce beau petit mec qu'est mon père et qui est certainement à l'origine de mon attrait pour les hommes et soyons franc à l'origine de mon homosexualité.
Je n'ai pas beaucoup d'expérience en ce domaine, juste quelques branlettes, quelques pipes, bouffages de cul, mais à ce jour je ne me suis jamais fait baisé. Je sais que cela peut se faire mais je n'ai pas idée des sensations que cela procure et on dit que c'est douloureux !
Bien que ne l'ayant jamais vue, j'imagine, à voir la grosseur de la bosse qu'il a dans son slip qu'il doit avoir été gâté par la nature.
Dieu qu'il est beau en tee-shirt blanc son petit cul moulé dans un jean's serré, la braguette prête à exploser.
Certaines nuits, je l'entends bouger dans son lit, je devine par le froissement du drap des gestes rapides, j'entends de petits soupires furtifs et finalement sans équivoque, le sommier grincer, un râle et plus rien. Je me dis qu'il ne ramène jamais une femme à la maison, du moins je pense. A-t-il une copine ou va-t-il aux putes ? Toujours est-il que cela ne doit pas lui suffire ! Mais jamais je n'aurai osé lui poser de questions.
Comme mon père travaille beaucoup j'ai pris en charge le ménage. Chaque jour je fais les lits et de temps en temps alors que mon père n'est pas encore rentré du travail, je retrouve son lit défait, ou le mien froissé. De même parfois la poubelle de la salle de bain est pleine de papiers essuie-tout pas très propres. Il m'est arrivé en la vidant de trouver des capotes pleines et en dessous de son lit des emballages de préservatifs de différentes tailles et marques. De même j'ai également pris en charge le linge, que je met au lave linge, que je repasse et range. C'est ainsi que j'ai vu apparaitre des strings et des jokstraps.
Bref je n'y ai pas prêté plus d'attention que cela, mon père était encore jeune et c'était dans l'ordre des choses qu'il ait encore des besoins sexuels.
J'avais parlé de mes découvertes à mon copain Mickael. Il est un an plus âgé que moi, homosexuel à fond, et il n'a qu'une idée en tête, c'est de me dépuceler le cul. Mickael habite le même palier que nous.
Il connait tous les endroits de dragues du coin, boites, saunas etc... Je dois dire qu'il affiche son homosexualité avec vergogne et Mickael a surtout une langue de pute. Depuis mes révélations il n'arrête pas de me parler de mon père, de me poser des questions osées. Nous n'avons pas les mêmes horaires de cours et je me demande parfois s'il ne joue pas les détectives privés.
Un jour il me dit, : " tu sais, en sortant de chez moi, ce matin, j'ai vu un type du style maghrébin sortir de chez vous. Ton père lui faisait des signes d' " au revoir " avec la main ".
A chaque fois que je le voyais c'était des questions ou des informations du style : " ton père c'est branlé cette nuit ?. As-tu trouvé des capotes ? Tiens j'ai vu Mustafa le turc du kebab de la rue Froissard entrer chez vous etc... etc... !
Il a voulu m'emmener sur des lieux de dragues, dans des bois et des parking. Il voulait me déniaiser. J'étais trop timide pour aller au devant d'hommes ou de me laisser approcher par eux. Nous allions souvent au bois de la fontaine. Après nous être garé sur le parking, nous nous enfoncions dans les fourrés. Immanquablement Mickael sortait sa queue, prenait ma main et m'obligeait à le branler, puis à le sucer et lorsqu'il était bien dur il me plantait là et s'enfonçait dans le bois. Parfois un mec apparaissait, s'approchait de moi et je me sauvais. Lorsque nous nous retrouvions Mickael et moi, il me demandait de lui bouffer le cul. L'ouverture de son anus, le goût de gel et de sperme qui m'arrivait dans la bouche me donnait la conviction qu'il avait bien été baisé. Sa question était toujours la même : " c'est quand que je te baise ? "
Pour ne pas " mourir idiote " comme il me le disait j'ai fini par accepter de me laisser caresser par des mecs mais en présence de Mickael et sans jamais accepter la pénétration. Petit à petit je me déniaisais.
Un jour, mon cours ayant été annulé en dernière minute, rentrant chez moi, j'ai surpris mon père attablé dans la salle à manger, assis face à un black au crâne rasé lui aussi la trentaine, et se touchant les doigts, les yeux dans les yeux. Mon arrivée les a surpris au point que mon père a renversé sa tasse de café ! Embarrassé, il m'a présenté Ibrahim, un collègue, qui était venu lui faire part de ses soupçons de restructuration dans leur entreprise. Ibrahim s'est levé et s'est sauvé sans une parole, sans même me serrer la main.
Mon père a épongé vite fait le café, a rangé les tasses dans l'évier de la cuisine et est parti s'enfermer dans la chambre en me disant d'aller me promener. Je ne suis pas sorti de suite et je l'ai entendu faire du rangement.
Je me suis réfugié chez Mickael, à qui j'ai raconté ce qui s'était passé. Mal m'en a pris car il m'en a mis plein la tête.mon Nous avions suffisamment de preuves qu'en mon absence mon père recevait des mecs et que selon Mickael ce n'était pas pour tricoter. Certes, mais ce n'était pas pour autant qu'il baisait avec eux !
Merci de me donner votre avis et vos idées
Rolex59
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