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soumission & Domination 192
PH, Vacances à la maisons-8 PH chez mon bijoutier.
Alors que je me fais, avec difficulté, à l'idée de devoir ramener PH chez lui, Marc me propose qu'on l'emmène avec nous en Espagne.
Moi, je suis d'accord, mais ses parents ? PH nous dit que si c'est Emma qui leur demande il n'y aura pas de résistance.
Je lui téléphone pour la prévenir que nous arrivons. J'ai de la chance elle est chez elle.
Nous sautons dans la SLS et je fonce, impatient de lui demander ce service.
Elle nous attend dans son bureau, tailleur Chanel et collier de perles, très belle, façon grande bourgeoise.
Nous lui soumettons notre dilemme et ce que nous attenons d'elle. Elle nous regarde un moment et doit déceler chez nous un truc qui fait pencher la balance de notre coté. Elle décroche le téléphone et appelle la mère de PH.
Comme l'avait prévu PH, sa mère accepte sans trop se faire prier que son fils parte en vacances en Espagne avec le sien (à Emma, soit moi même) et des amis à lui (soit à moi).
Elle demande juste à Emma de lui renvoyer son fils quelques heures avant le jour du départ.
Ph prend l'initiative de contourner le bureau et penché sur Emma de lui rouler une pelle. Ça lui fait de l'effet, je vois son chemisier se soulever rapidement. Je vais fermer la porte à clef et retourne auprès d'eux. PH l'a levée et je peux me coller contre son dos et venir lui sucer une oreille. Elle palpite ! Je m'écarte le temps de lui retirer veste et chemisier et de faire glisser sa jupe au sol. J'en profite pour quitter mes vêtements et rester en boxer.
Avec Emma je déshabille PH, ce n'est pas long, une chemisette, un short et un slip. Il bande comme un malade ce salaud ! Il s'y est facilement mis à la meuf !!
Je fais sauter les dernières barrières, soutien gorge et culotte, d'Emma et vire mon boxer.
Emma est prise en sandwich. Je place ma bite entre ses cuisses et y retrouve celle de PH en train de frotter son périnée. Comme PH lui roule un patin, je place mes mains sur ses seins et fait tourner les tétons entre mes doigts.
Je les sens se gorger de sang et raidir tout durs.
Emma parvient juste à repousser PH le temps de nous jeter " vous êtes fous " avant d'être emportée par la vague.
Je la soulève sou les bras et basculant en arrière, je nous allonge sur le tapis. PH suit le mouvement.
Nos deux bouches s'affairent sur la peau d'Emma, de sa bouche à son clito, pas un cm² ne nous échappe. PH est entre ses cuisses en train de lui manger le bouton quand mes mordillements de tétons lui arrachent un premier orgasme. PH en ressort un peu étourdi par le claquement de ses cuisses sur ses oreilles !
Il force ses jambes à s'écarter et reprend son taf. Alternant clito et langue dans le vagin. De mon coté, j'ai laissé les tétons se refroidir et à genoux au dessus de sa tête je lui présente ma bite à sucer.
Elle s'en empare aussitôt. Je n'ai plus qu'à basculer le bassin pour faire coulisser ma queue jusque dans sa gorge.
Penché en avant, mes doigts titillent son clito quand PH s'occupe de fourrer son vagin avec la langue. Il y a parfois télescopage et PH se retrouve à me sucer les doigts d'une façon très salope !
J'attire vers moi mon short et en sort quelques kpotes. J'en ouvre une et la présente à PH. Il s'en habille aussitôt et se place pour s'enfoncer en Emma. Il lui relève les jambes et je l'aide en les tirants vers moi jusqu'à ce que le trou soit juste à la hauteur de la queue de PH. Il n'a plus qu'à s'enfoncer dedans, ce qu'il fait sans attendre.
Malgré ma queue dans sa bouche, nous entendons Emma réagir. Je recule un peu pour faciliter sa prise d'air et nous l'entendons gémir de plaisir.
Ça me raidit la queue encore plus. Je mate la bite de PH entrer et sortir d'Emma. Ses grandes lèvres gorgées de sang, luisante de leur lubrifiant naturel, collent à la hampe de PH.
Les mouvements de ce dernier s'amplifient. Il sort complètement pour mieux renter à nouveau.
J'attends le moment propice et profite qu'il soit dehors pour relever le bassin d'Emma en tirant légèrement sur ses jambes. Quand PH va pour la planter à nouveau, sa bite trouve l'anus d'Emma et emportée par l'élan s'enfonce jusqu'aux couilles. Cris de plaisir de part et d'autre. PH accélère la sodo tellement il préfère son cul à sa chatte.
Je le laisse faire quelques minutes puis je prends ma part. Je délaisse la bouche d'Emma et nous mouvons jusqu'à ce qu'on puisse la prendre à deux.
Je lui laisse roder l'anus d'Emma et pénètre son vagin. J'y suis mieux quand elle se fait défoncer l'autre trou. Nous avions testé avec un gode, c'était déjà pas mal, mais là, avec la bite de PH c'est encore meilleur. La compression supplémentaire que cela apporte, les rencontres de nos glands et les frottements de leurs couronnes nous excitent un maximum. Ayant Emma face à moi, je la serre sur mon torse et nous nous roulons un patin. Je me fais mordre la langue quand elle jouit à nouveau. Avec PH, je la lime jusqu'à exploser à mon tour. PH nous suit de près et je me retrouve avec leurs deux corps empilés sur moi. PH se retire avant d'être trop mou et d'abandonner sa kpote au fond du cul d'Emma. Ça allège ma charge. Emma reste sur moi. Nous nous embrassons avec la fougue des premières fois.
Remis de nos émotions, nous passons ensemble à la salle de bain (commune avec sa chambre). Propres et rhabillés, nous la quittons, PH la remerciant à nouveau pour son intercession auprès de sa mère. Emma nous souhaite, avec un clin d'oeil, de bonnes vacances.
Le lendemain nous passons prendre le café chez madame mère (de PH).
Tenue classique à en mourir, mais il faut cela pour ne pas effrayer la bourgeoise et pansement sur l'oreille percée de PH. Le fiston a droit a une nouvelle série de recommandations et au garnissage de son portefeuille avec un bon paquet d'Euro avec la consigne de partager les frais.
Il en profite pour lui dire que si elle n'y voyait pas d'inconvénients, il allait se faire percer l'oreille comme moi. Et de lui rappeler qu'Emma m'avait bien laissé faire, moi !
Alors qu'elle allait, je pense, le lui interdire, l'argument " Emma " et tout ce que cela sous entend emporte le morceau. J'ajoute que je lui prêterai quelques cailloux. Madame mère accepte à reculons.
Du coup, PH trop impatient arrache son pansement et montre son oreille en lui disant qu'il avait anticipé son accord.
J'ai eu comme l'impression qu'elle allait le gifler. Elle a commencé à dire " ça te donne l'air d'une t... " et s'est arrêté brusquement se rappelant sans doute que mon propre piercing porte fièrement des cailloux de grandes valeurs.
PH et moi avons fait comme si nous n'avions rien entendu et elle nous a laissé partir sur la recommandation ultime de bien nous amuser.
Comme PH voulait augmenter ses bagages avant que nous repartions, je lui indiquais que l'Espagne en ce moment ce serait plutôt maillot que smoking. Nous sommes quand même repartis avec une valise de plus !
Retour à la maison. Marc nous demande si nous avons l'accord. PH le serre dans ses bras et lui dit que sa mère n'a pas résisté. De profil je vois bien l'effet qu'il produit sur Marc. Je me colle à son dos (à PH) et appui sur ses épaules. Il résiste juste le temps de comprendre où je veux en venir.
Il s'agenouille alors et je délace le short de Marc libérant sa virilité triomphante.
PH recouvre aussitôt le gland de sa bouche et lui procure le traitement spécial qui m'avait subjugué lors de notre première rencontre. A savoir l'utilisation de sa langue hors norme en un ballet fantastiquement excitant qui n'épargne aucun mm² de la surface hypersensible de notre sexe : couronne, pulpe et méat compris.
Pour échapper à cette hyper sensibilisation de son extrémité, Marc lui prend la tête et s'enfonce violemment, jusqu'aux couilles. Coincé au fond de la gorge, il se calme. Je lui indique quand mon pauvre PH n'en peut plus de l'apnée forcée auquel il est soumis. Il s'écarte en s "excusant pour mieux y revenir aussitôt. Chassez le coté dominateur et il revient au galop !.
PH encaisse comme un pro. Il faut dire qu'entre les coups de boutoir de Marc et le fait que, debout derrière lui, je lui bloque la tête il n'a pas trop le choix.
Mais c'est une situation qu'il apprécie. Sans être maso comme Ric, il aime être dominé.
Je me penche au dessus de lui quand de son autre main, Marc m'attrape par le cou et écrase ses lèvres sur les miennes.
Après un long roulage de pelle, il me dit de préparer le cul de PH.
Je m'écarte et PH qui avait entendu se met à 4 pattes sans attendre. J'arrive tant bien que mal à lui retirer ses quelques vêtements sans interrompre trop longtemps la fellation puis lui écartant les fesses m'attaque à assouplir sa rondelle.
Ma langue enduit de salive son anus et quand je la " pointe " je réussi à la faire pénétrer de quelques millimètres. J'ajoute encore de la salive et mes doigts entrent en action. Un puis deux jouent à ouvrir de sphincter. J'améliore sa préparation en crachant dans son trou ouvert par l'action conjuguée de mes deux indexes.
Sur ordre muet de mon homme, je me kpote et encule mon PH. Il a un sursaut de surprise probablement persuadé que Marc le passerait le premier à la casserole.
En attendant je profite de son adorable cul. Sous mes mains je peux sentir les muscles de ses fesses se contracter et se détendre quand je le pénètre ou quand je ressors. Je perds le contact avec la réalité, tout occupé à limer PH pour l'amener au plaisir.
Marc me pousse l'épaule. Je comprends que je dois céder ma place. Je me retire.
Marc kpoté estime que PH est suffisamment chaud pour pouvoir se prendre sa queue directement. Il le pénètre d'un seul coup ce rein. PH grimace un peu, je prends sa tête entre mes mains et lui roule un patin. Il devient alors très salope comme il sait bien le cacher. Je le vois donner de grands coups de cul en arrière pour mieux se planter sur les 22cm de Marc. Ce dernier apprécie la bonne volonté de PH et accentue aussi de son coté ses coups de rein. Les chocs entre leurs deux corps se répercutent jusqu'à moi et font claquer nos dents. Je m'écarte et préfère lui confier ma queue. Il m'avale jusqu'aux couilles. Ses trous sont vraiment très profonds et Marc et moi en profitons à l'extrême.
Je décide qu'il n'y a pas de raison que mon PH ne soir pas comblé aussi. Je me coule sous lui et nous faisons un 69 alors que Marc continu à l'enculer.
A chacun de ses coups de rein, je me prends la tige de PH au fond de la gorge, tout comme PH se prend la mienne.
Ça nous fait tellement de bien que je ne tarde pas à juter. Je n'ai que le temps de reculer et de sortir de sa bouche avant d'exploser sur son visage. En même temps je sens PH arriver au même stade et j'expulse son gland alors qu'il se met à éjecter son sperme. J'en ai aussi plein le visage.
Les contractions anales consécutives aux éjaculations de PH amènent Marc à la jouissance lui aussi. Il reste calé au fond du cul de PH et rempli sa kpote.
Dès que Marc est sorti de son cul, PH s'écroule sur moi. Nous restons ainsi jusqu'à ce qu'Ammed nous apporte des serviettes humides pour nous essuyer.
PH sursaute, il n'est pas encore habitué à ce que nos hommes de service interviennent à tout moment.
Je décide que PH et moi irons le lendemain à Paris chez mon " bijoutier " préférer pour commander un anneau de piercing en or massif et surtout voir ce qu'ils peuvent faire avec les cailloux que j'ai récupéré dernièrement (cf. SD 169). Je leur téléphone pour savoir si mon vendeur particulier peut nous recevoir. Il n'est pas en vacances et peut nous recevoir en fin de matinée.
Nous prenons la route après un petit déjeuner copieux. Même s'il y a un peu de distance, je préfère que nous y allions en moto, question circulation dans Paris.
La route est bonne et même si nous nous arrêtons pour refaire le plein, nous jugulons nos envies de baiser et cela alors que PH n'arrête pas de me faire bander et que mon cockring augmente encore l'effet.
Je suis content quand je gare ma moto devant la devanture. Le service de sécurité prévenu nous laisse entrer sans nous retarder. De l'autre coté de la porte mon vendeur attitré nous attend. Il mate de suite que je bande comme un ouf !
Dès que nous entrons dans le salon particulier, il ferme la porte à clef et tombe à mes genoux. Le temps de relever la fermeture éclair et de sortir ma teub et il se jette dessus comme un affamé. PH nous regarde avec des yeux comme des soucoupes. Je lui dis que c'est pour ça que nous nous sommes retenus avant.
PH sort la sienne de son jean et se place à mes cotés. Le vendeur saisit tout de suite l'occasion et plonge sur la nouvelle queue. PH apprécie le fait d'être avalé jusqu'aux couilles direct. Pendant qu'il le pipe, je dis au vendeur qu'il va falloir prendre les dimensions de PH pour lui faire le même cockring que le mien.
Je le vois attraper un mètre ruban dans sa poche et d'entourer la base du sexe de PH couilles comprises. Je vérifie que la mesure est précise malgré les mouvements des deux protagonistes. Je note la dimension sur le bloc posé sur le bureau.
Je relève le vendeur sans que celui-ci lâche la bite de PH. Ok, je me contenterais de son cul ! je le tire en travers du bureau et lui mets pantalon et boxer sur les chevilles. Je me kpote vite fait et m'enfonce dans son cul. Vu la facilité avec laquelle je le pénètre, je me doute qu'il a préparé son trou à ma venue.
Depuis plus de 200 Km que je bande, je me défoule pour son plus grand plaisir. PH n'en revient pas. Il hallucine de la situation et me regarde enculer la salope alors qu'il lui bourre la gueule.
Nous venons à peu près en même temps. Je m'enfonce une dernière fois au fond du vendeur et libère le flot de mon sperme dans la kpote. PH lui se retire et jute dans la poubelle heureusement située au pied du bureau. Quand le vendeur se redresse, nous voyons qu'il à le poing fermé sur son prépuce retenant son jus.
Après libération dans la poubelle à son tour et que ma kpote pleine ait rejoint leur production, une fois réajustés, nous passons aux choses sérieuses.
Le vendeur redevient professionnel et nous discutons de ce que je veux pour PH.
Les mêmes anneaux que les miens, que ce soit le piercing à l'oreille ou le cockring (d'où la prise de mesure). Pour les cailloux, je lui sors les deux bagues (rubis et émeraude) et lui demande s'il peut le faire retailler et monter en pendentifs comme les miens.
Il sort une loupe qu'il se visse à l'oeil et examine les bagues. Après quelques minutes il me dit que je détiens là deux pierres de grande valeur au regard de leur taille (grosseur) et de leur pureté.
J'adore les bonnes surprises ! Même s'il y avait peu de risques que je me sois fait refiler de la camelote, c'est toujours agréable d'avoir été autant " apprécié " (cf. SD 169).
Il appelle un de ses collègues qui nous rejoint rapidement. Ce dernier démonte les bagues et pèse chaque composant, les montures en or blanc, les diamants qui entourent les pierres principales et bien sûr les pierres principales. Il me fait une estimation des pertes de poids pour les transformer en larmes comme mes pendentifs. Ils seront donc plus petits que les miens. J'ai l'idée de lui demander s'il serait possible de faire une seule larme avec les deux pierres. Il refait ses calculs et là, les pertes seraient réduites. Par contre la monture sera différente pour assurer la cohésion des deux pierres. Je demande à PH ce qu'il en pense. Ça lui convient, il apprécie l'originalité d'avoir une larme bicolore.
Ils nous signent un papier comme quoi ils ont pris en charge les pierres de couleur et les montures et moi je signe un bon de commande pour la transformation de pierre et la fabrication des " anneaux ". Ils me rendent les diamants qui ne servent pas. Je glisse contre ma poitrine le sachet en velours qui contient la vingtaine de diamants. Il sera toujours temps plus tard d'en faire quelques choses.
Nous prenons rendez vous 1 mois plus tard (soit fin aout) pour les réalisations.
Le retour est interrompu par une baise sur une aire de repos. En effet déjà sur le périphérique PH me malaxait le paquet et malgré notre vidange de couilles je bandais sans attendre.
Nous arrivons rapidement sur l'autoroute. Je lâche la pression en tournant à fond la poignée. La moto cabre légèrement et nous nous payons une pointe de vitesse libératrice. PH se colle instinctivement encore plus contre mon dos.
Je réduis la vitesse à un dépassement raisonnable des 130 Km/h.
Quand je n'arrive plus à tenir, je m'engage dans une aire d'autoroute que je connais pour avoir un circuit de détente réservant des coins à peu près discrets.
Je laisse la zone sanitaire et les familles dont les mioches tournent autour et m'engage dans la partie boisée. Nous passons devant deux voiture vides et poussons jusqu'à une antenne sur la gauche. Le sol est bien dur et j'avance la moto jusqu'à ne plus être visible de la voie principale.
Moto sur la béquille, casques sur les rétros, j'attrape PH et le serre dans mes bras pour un patin violent (à la mesure de l'excitation qu'il m'a maintenu en haut des cuisses).
PH est dans le même état que moi, il décolle son bassin pour pouvoir relever la fermeture de ma combi par le bas et baisser son jean aux genoux. Quand il arrive à sortir ma bite raide, il se plie en deux pour me la bouffer. C'est tellement bon que j'ai failli lui tapisser la bouche avec mon sperme. Heureusement la boule qui réduit ponctuellement le diamètre de mon cockring appui sous mes couilles et me retient.
Je suis trop excité pour laisser durer les préliminaires ! Je me kpote et tourne PH le poussant contre la moto.
Je l'encule sans précaution (trop tendu probablement). PH accuse le coup même s'il me dit que c'est trop bon et d'y aller franchement.
Je me calme, je suis très excité mais je ne voudrais pas juter comme un lapin ! Cela va faire quelques minutes que j'encule PH quand deux mecs arrivent au travers du bois. Vieux et moches, je leur dis que c'est privé et qu'ils peuvent nous laisser. Le premier tourne les talons mais le second s'approche et défait son pantalon. Il laisse apparaitre une monstruosité ! Une bite d'au moins 25cm encore molle. Il la branle de ses deux mains et elle se raidit bien droite terminée par un gland si gros que je ne pense pas que je pourrais le mettre dans ma bouche. PH comme moi est hypnotisé par la bite qui ne cesse de grossir devant nos yeux. Même Eric et Xavier peuvent se rhabiller ! Alors que mécaniquement j'encule toujours PH, le mec nous propose de s'occuper de lui. Vu la taille du mastard (au moins 30cm) qui lui pend jusqu'aux genoux, je décline et le laisse se branler à coté de nous. Je reprends ma sodo avec sérieux et PH ne tarde pas à souffler. Comme il se tient des deux mains à la moto, j'espère le faire jouir du cul. J'accentue mes coups de reins et, tout content, le fait jouir sans qu'il ne se soit touché. Je rempli ma kpote aussitôt après. Et le mec qui se branlait à coté de nous, verse son sperme sur le sol, malgré sa grosse bite, il n'en sort pas plus de ses couilles que des nôtres !
Quand de retour à la maison, nous racontons notre rencontre à Marc, il nous dit ne pas avoir vu de bite de cette taille lui non plus.
Jardinier