1er Épisode | Épisode précédent
Petit rappel, tous les protagonistes de l'histoire sont bien sûr majeurs !
Eté 2014-4
Fin août me reviennent Jona et François, en forme olympique comme après chaque période.
Ils ne peuvent pas me dire grand-chose, sauf que cette année, ils sont partis à l'étranger s'entrainer avec des commandos. L'année passée ils avaient tâté du parachutisme et là, ils avaient été initiés à la plongée et revenait même avec leur brevet de grande profondeur.
Leurs collègues français avaient été très contents de leurs performances à tous les deux. Leurs hôtes leur ayant spécialement mené la vie dure sachant qu'ils n'étaient " que" des civils !
Même s'ils se sont fait étaler plus d'une fois lors des séances de corps à corps, ils avaient forcé le respect des professionnels dont c'était le quotidien.
Du coup je les fais mettre à poil pour déceler des traces de coups. Rien ! J'ai beau les inspecter sous toutes les coutures, pas de bleus ni d'estafilades. Jona me dit qu'ils ont appris aussi à encaisser à moindre frais.
Je saurais aussi qu'ils ont trouvé sur place de quoi libérer leurs libidos, et sans sortir de leur campement. Que si le " don't ask, don't tell " n'était révolu que depuis ces dernières années, ils n'en faisaient déjà plus cas bien avant dans cette unité. La sécurité de tous impliquait une parfaite connaissance de chacun et une confiance totale entre les membres du groupe.
Leurs deux petits culs avaient même attirés en dehors du cercle homo, deux hétéros y avaient succombés.
Les marques de bronzage de leurs piercings au téton les a obligé à se dévoiler un peu. Emporté par l'ambiance " confiance ", ils ont même dévoilé leur activité d'Escort ce qui a bien fait rire leurs hôtes.
En termes de compétence, même s'il reste encore un an d'étude à Jona, il serait déjà à même d'ouvrir un club multisports ! C'est son rêve et je crois que j'y participerai. François quand à lui continu ses études d'ingénieur.
Je les garde une semaine à la campagne pour le plus grand plaisir des autres occupants de la maison. Ils dorment énormément et quand je m'en étonne, ils me disent que les heures de sommeil n'avaient pas été nombreuses au campement.
PH, Ernesto et moi profitons de leurs entrainements et des nouvelles techniques de combat qu'ils ont apprises.
Sans atteindre leur niveau d'expertise, nous augmentons notre potentiel défensif. Déjà qu'avec le krav maga, les derniers qui nous avaient sous estimés s'étaient retrouvés avec épaules et poignets luxés, maintenant ce serait l'hôpital à tous les coups !
Les séances finissent toujours par une bonne douche et toujours aussi par une bonne baise.
Emma nous réquisitionne. Le souvenir de son passage en Espagne au retour de Grèce la fait nous convoquer tous les 5 chez elle.
On emprunte la 300C et débarquons dès le départ de sa vielle cuisinière. Pablo n'est évidemment pas un problème !
Dès l'arrivée je prends les choses en main. Nous la portons jusque dans sa chambre au lit, maintenant démesuré, seul capable de soutenir nos 6 corps emmêlés. Mise à poil en deux secondes, nous aussi et la fête commence.
Pour commencer, je nous aligne tous au garde à vous, les bites à la verticale et lui passe la main.
Emma défile devant nous, soupèse les couilles, caresse les bites, frotte quelques glands déjà sortis de leurs prépuces puis passe dans notre dos.
Là, ce sont nos fesses et nos rondelles qui sont flattées et caressées. Elle défonce même quelques rondelles juste pour voir nous dit elle alors que Jona, le premier à qui elle le fait sursautait de surprise.
Elle nous embrasse tous, enfin elle nous roule des pelles quoi ! Je me demande si elle ne reste pas plus de temps avec ses deux co-vacanciers ! Si c'était possible je dirais que nous en sortons en bandant encore plus raide. Ses douces mains y sont pour quelque chose, passant le temps de son baiser à masser nos sexes turgescents. Elle y met même les deux mains pour les 24cm d'Ernesto, alors que pour les autres c'est une à branler l'autre à malaxer les couilles.
Nous restons stoïques, debout, épaules contre épaules. Même quand elle se plie pour entamer la série de fellation. A genoux, elle ne peut prendre la totalité de notre espagnol. Du coup cela rompt l'alignement quand elle se couche sur le dos, la tête hors du matelas et qu'elle lui dit de venir lui remplir la gorge.
Nous nous répartissons de chaque coté du couple pour admirer le travail. Ernesto est délicat. D'abord c'est ma " mère " et puis il tient à la peau de son gland !
Il s'enfonce doucement, recule quand il faut mais à terme plaque quand même ses couilles sur le nez d'Emma.
Nous les laissons seuls à se toucher quelques instants. Puis nous n'y tenons plus et c'est la " curée ". Dans la mêlée j'arrive à plaquer ma bouche sur son sein droit et me cogne le crane contre François qui s'occupe du gauche. Sans lâcher le téton, je tourne le cou et vois PH ventouser la chatte d'Emma. Je suppose que c'est donc Jona qui lui prépare la rondelle puisqu'Ernesto est toujours debout.
Elle nous surprend avec un orgasme quasi immédiat. Son corps s'arque sous les nôtres et retombe sans qu'aucun d'entre nous n'ait lâché son " morceau ".
Pendant plus d'une demi heure nous allons intervertir nos positions mais sans autres pénétrations que sa bouche par nos langues et nos queues.
Nous l'avons fait jouir au moins deux autres fois de plus et avec une intensité plus forte encore.
Puis nous entamons les pénétrations. Directement nous investissons en simultané son vagin et son anus. Nous somme cinq quand même !
Elle arrive même à s'occuper de nous tous en même temps : Ernesto dans sa chatte, moi dans son cul, PH qui lui chatouille les amygdales avec la bite de Jona dans sa main droite et celle de François dans sa gauche. Nous arrivons à tenir quelques temps, jusqu'à ce qu'un de ses orgasmes nous bloque tous en position avant un relâchement vital (pour les deux dont les bites ont été pressées !).
Après ça dégénère bi. Nous testons la sodomie des deux qui pénètrent Emma, mais aussi l'emboitement (bite/cul) de 4 mecs dont le premier encule Emma alors que le 5ème contrebalance la pénétration anale par la présence de sa queue dans son vagin.
A 5 mecs et une meuf, y'a plein de situations à tenter et pour se faire plaisir.
A la fin, nous avons tous pénétré tous les trous disponibles. Avec 3 pour Emma et 2 par mecs, ça nous a fait dans les 11 possibilités différentes et certains plus d'une fois ! Nos mains se sont égarées sur des m² de peaux lisses et bronzées, ont massé des muscles, des corps caverneux et des lèvres gonflées. Nos bouches ont embrassé lèvres et Lèvres, sucé clito, bites et rondelles. Nos langues ses sont glissées dans le moindre recoin caché de nos corps enfiévrés, enfin la totale !
L'après midi nous a laissé tellement lessivé que pas un n'a pensé aller nager après. Nous nous sommes douchés en silence, repus mais vidés du moindre spermatozoïde pouvant être produit ce jour là. Emma quand à elle nous regardait faire, couchée sur le ventre elle-même éreintée !
Même les savonnages mutuels n'ont pas réussit à faire lever nos queues. C'est dire l'état de fatigue dans lequel notre petite séance nous avait laissé.
Emma était contente car d'habitude c'est elle qui ressort la plus fatiguée de ce genre d'ébats.
Le retour à la maison s'est fait dans un silence sépulcral. Les trois à l'arrière dormaient carrément alors que PH me parlais pour éviter mes endormissements.
Le soir même, diner rapide et dodo. Réveil le lendemain à 11h pour tous et uniquement parce que Marc et Hervé débarquaient vers midi.
J'ai laissé Samir aller les chercher à l'aéroport alors que nous tentions de nous réveiller par quelques exercices physiques. Le douchage à l'eau froide a finalement réussit là où la nage flegmatique n'y était pas arrivée.
Quand ils ont débarqués, nous étions tous les 5 présentables même si c'est Jona et François qui avaient le mieux résistés. L'entrainement il n'y a que ça de vrai.
Ils sont encore bien bronzé nos deux quadras et puis les fins d'après midi sur les bords des piscines de leurs hôtels entretiennent leurs hâles.
Marc est content, il a réussi lors de ce dernier voyage à entrainer Hervé à baiser du " local ". Jusqu'à présent, il se contentait de sa main en attendant le retour en Europe pour baiser Ernesto.
Cela fait plaisir à ce dernier qui, depuis le début de leurs relations, l'exhortait à le faire.
On s'aime beaucoup et même tout court mais l'exclusivité n'est pas au programme. Je crois bien que c'est un peu de ma faute !! Je suis un accumulateur compulsif........ de beaux mecs !
En attendant, même s'ils se sont vidés les couilles avec les natifs du pays, ils sont d'attaque. Dans le sens Est-Ouest, je décalage horaire n'est pas trop fatiguant. De plus je crois bien être le seul à avoir osé, tenté et réussi à baiser en vol.
C'est pas de ma faute, un des steward était vraiment canon et son pantalon lui moulait le cul mieux qu'un cycliste ! Nous avons profité du moment de sommeil de la quasi- totalité des passagers pour nous retrouver dans la queue.... de l'avion (non mais !). Après m'être fait offrir un café, je suis passé directement aux choses sérieuses. Alors qu'il me tournait le dos pour ranger, j'ai collé mon bassin contre ses fesses. La barre raidie de ma bite s'est placé suer la linge d'entre fesses. Il ne pouvait plus ignorer l'effet qu'il me faisait.
Coups d'oeil dans la cabine et il m'a poussé dans les toilettes. Peu de place, juste ce qu'il faut pour baisser nos deux pantalons, moi m'enfiler une kpote et lui d'enduire sa rondelle du gel d'un sachet sorti comme par miracle de sa poche.
Petit trou d'air nous a déséquilibrés juste au moment de la pénétration et je me suis retrouvé collé sur son dos la bite bien au fond de son cul. Même le ciel était de mon coté, c'est un signe non ?
Pas égoïste, je l'ai branlé au rythme de mes coups de rein. Son cul avait une bonne tendance à retenir ma bite et a ne pas vouloir la laisser ressortir. Un effet collatéral de l'altitude ou performance individuelle, je ne sais pas encore n'ayant pas réitéré la chose. Mais en attendant nous étions très excités par la situation et ma bite donnait tout ce quelle pouvait en terme de dilatation.
Quand il s'est vidé dans la cuvette des WC moi j'ai rempli ma kpote.
Quelques instants de toilette et de réajustements de ceintures et nous sommes sortis. Nez à nez avec le copilote (il a une barrette dorée de moins que le comandat de bord sur l'épaule !), baraqué, gueule de baroudeur.
Gène de mon steward. Moi, rigolard lui dit qu'il est arrivé quelques minutes trop tard pour profiter - je lui caresse la braguette - de deux petits culs en manque. Là maintenant il, n'en restait plus qu'un, le mien.
Il a alors envoyé le steward en cabine et me retenant par le bras, m'a poussé vers le sol. A genoux devant lui, je me suis douté un peu de ce qu'il me voulait.
Vous commencez à me connaitre, il ne m'en faut pas beaucoup pour me décider ou pour me convaincre de tester une nouvelle marchandise !
Sous le bleu de son uniforme, se cachait un beau mandrin bien raide, circoncis et légèrement courbé vers le sol d'une bonne 20aine de cm et d'un diamètre en raccord (dans les 5/5,5). Ses belles couilles étaient bien pendantes comme je les sortais de leur cocon de coton.
Je n'ai pas attendu qu'il me pousse la tête pour engouffrer la marchandise. Bien meilleur que le repas qu'on nous avait servi plus tôt. Je crois et il me l'a confirmé après, que de l'avoir englouti entièrement dès le premier pompage ma positionné en véritable salope.
Comme quoi le premier contact est souvent révélateur !
Il m'a fait glisser sur le sol pour tourner le dos à la cabine et me coincer contre les roulantes sagement (elles) rangées.
J'ai vu plus tard pourquoi. Il me cachait des regards des passagers venus utiliser les WC. Deux fois il a cessé ses coups de rein le temps qu'ils entrent et sortent.
Il ne m'aura pas enculé mais bien défoncer la gorge quand même. Jutage dans des serviettes en papier et chacun est retourné à ses occupations. Evidement, Marc que j'accompagnais m'a traité de petite pute quand je me suis rassis à ses cotés 40 minutes plus tard.
Toujours est-il qu'eux ne s'étaient pas vidés les couilles depuis leur départ d'Asie et nous l'avons su rapidement. Et Ernesto et moi avons été les premiers à en profiter. Marc m'a attrapé et j'ai pris un plaisir immense à le laisser me dominer, m'enculer quasiment à sec alors qu'Hervé en faisait de même avec Ernesto. Nous nous sommes fait saillir comme deux bonnes salopes accros à la bite de leurs mecs. PH, libre lui, nous donnait sa queue à sucer chacun à son tour.
J'adore quand Marc est brutal. Pour Ernesto, il m'en parlera plus tard, c'était quasiment la première fois qu'Hervé se comportait pareillement. Il était en général plus doux. Mais cela n'avait pas été sans déplaire à Ernesto.
Tout comme le fait qu'il commence à baiser des locaux lors de ses déplacements, notre Hervé prend de l'assurance comme gay.
J'en fais aussi les frais quand Marc et lui décide d'échanger leurs mecs (c'est-à-dire nous deux, Ernesto et moi). Le souvenir que j'avais de ses dernières enculades, était effectivement, une certaine douceur et une prévenance totale sur le bien-être du mec qu'il enculait.
Là, ses coups de rein étaient impérieux. Ses couilles claquaient contre les miennes avec force et son bassin écrasait mes fesses à chaque pénétration. Finalement c'est bien meilleur comme ça. Au moins il utilise la totalité de sa longue bite et même le dernier centimètre qui est souvent le plus épais !
Je me penche vers Ernesto, délaissant la queue de PH, pour lui rouler un patin. J'arrive à lui glisser que son mec est encore meilleur qu'avant. Je ne sais pas si c'est le fait d'enculer des petits asiatiques quand il est en déplacement avec Marc, mais il s'est virilisé !! Il utilise ses 21cm avec plus de force et ce pour notre plus grand plaisir (à nous les enculés).
Quand je réussirais à en parler avec lui, Hervé me confiera que baiser des petits (question format) " indigènes ", plutôt soumis dans leur comportement l'avait rendu plus " brutal " s'il voulait du répondant. Ça plus le fait qu'il n'y avait pas de sentiments avait renforcé son coté viril.
Je lui ai roulé une pelle et l'ai assuré qu'il n'en était que meilleur pour nos petits culs. Ernesto était d'accord avec moi, même s'il ne lui dirait sans doute jamais.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!