1er Épisode | Épisode précédent
Sosthène dans le grand bain
Alors que je vais pour le mettre aux enchères comme toutes mes nouvelles recrues, je reçois un appel d'Henri l'ami d'Emma et " père " de Kev.
Il voudrait offrir un mec à son " fils " pour son anniversaire et pour être sûr de ne pas se tromper quant au physique qui le branche vraiment, il me dit qu'il me fait confiance. Pae ailleurs il sait que Kev adore les belles queues et me demande si je n'aurais pas un beau noir pour satisfaire cette exigence.
Je pense aussitôt à Sosthène. Je lui explique le cas mais aussi que j'allais le mettre aux enchères pour sa première vrai prestation dans ma société. Il connait le principe car je crois bien me souvenir qu'il en avait été l'instigateur.
Evidemment il me dit que ce n'est pas un problème mais qu'il n'a pas 2 heures à passer pour obtenir ma dernière acquisition. Pour couper court, il me propose un chiffre qui se situe dans le très haut de ces pratiques mais ajoute qu'il le gardera 24h du samedi PM au dimanche PM. Bien sûr il prend les frais de voyage en 1ère à sa charge.
Je ne peux refuser. C'est un ami ! En plus cela retardera d'autant son passage aux bites XXL, même si Kev avec ses 21x5.5 ne fais pas partie des petites bites !
Evidemment la date est fixe et je vérifie vite avec Sosthène sa disponibilité. Je lui annonce aussi les conditions de sa première prestation. Ça l'excite d'être un cadeau d'anniversaires. Que ce soit pour un ami à moi par contre lui met un peu la pression.
Je le déstresse. Le fait que ça lui prenne un WE entier (voyages compris) ne le dérange pas. Il me dit qu'il bossera dans le train.
Henri m'envoie un mail pour les détails. Un chauffeur viendra chercher Sosthène à la gare et l'emmènera directement chez lui. Il me demande de lui mettre dans ses bagages un costume chic pace qu'il comptait l'emmener avec Kev dans un des plus grand restaurant de Paris pour fêter son anniversaire.
Le samedi matin, Sosthène passe au Blockhaus faire ses bagages. Je lui choisis le costume qu'il va porter, la chemise et la cravate. Pour le reste il se débrouille et je le vois mettre un soin particulier au choix de ses sous-vêtements. Il emporte aussi des jeans de marques et des hauts fashion qui mettent en valeur son physique.
Quand je l'emmène à la gare, je vérifie qu'il a suffisamment de liquide sur lui, qu'il a bien l'adresse d'Henri et ses coordonnées téléphoniques. Ça le distrait. Il emporte aussi son portable pour travailler dans le train. C'est la première fois qu'il voyage en 1ère et me demande comment on fait pour déjeuner. Je lui dis que j'ai pris l'option plateau à la place avec son billet. Il n'aura pas à trainer au wagon bar.
Rapport d'Henri :
L'Escort a été pris en charge par mon chauffeur à l'heure prévu. Quand je le vois entrer dans mon appartement, je suis content. Pas surpris, car je sais que Sasha ne m'aurait jamais envoyé du second choix, mais le garçon parait ouvert et aborde un visage intelligent.
Quand nous échangeons quelques mots, je ne me suis pas trompé. Il me dit être en étude de lettre et que sa soeur fait l'école des Chartes. Je lui demande s'il a prévu d'aller la voir ce WE.
Il me répond que non, il n'était là que pour moi et ne l'avait même pas contactée. Il verrait s'il lui restait du temps avant son train dimanche soir.
Nous discutons littérature. Il a de bonnes bases en classique et les dernières parutions ne lui sont pas étrangères. Le dernier Nobel de littérature non plus, je note qu'il a lu plusieurs de ses ouvrages.
C'est agréable de ne pas avoir à parler économie de marché et vision économique du monde.
Le temps passe et Kev ne va pas tarder à revenir des courses que je lui ai demandées de faire.
Je lui propose un café et il accepte de m'accompagner.
Coté physique, Sasha me l'a bien choisi. Son jeans serré ne cache pas grand choses de ses " qualités " innées. Je suis sûr que Sasha y a pensé lorsqu'il me l'a recommandé pour Kev. Je sais que mon " fils " qui est surtout actif avec moi aime se faire démonter l'anus de temps à autre.
Kev entre dans l'appartement. Je lui laisse la suite du compte rendu.
Kev :
Quand je rentre chez Henri avec mes paquets plein les mains, je vois en face de lui, en train de prendre un café, un jeune black assez beau.
Cela m'étonne parce que depuis que je suis avec lui, c'est la première fois que cela arrive. Peut-être avait il fait appel à des escorts mais jusque-là jamais en ma présence. Sans que cela ne me vexe, je suis peiné qu'il ne m'en ait pas parlé. Il est vrai que nous en faisons plus l'amour autant qu'aux débuts de notre relation. Le fait qu'il m'ait adopté, a aussi participé à ce ralentissement, je m'en aperçois maintenant.
Alors que je reste figé devant le tableau, je dois arborer une figure qui en dit long puisqu'Henri se lève, me rejoint et me roule une pelle. J'ai du mal à l'apprécier comme d'habitude. Henri s'écarte et me montrant le black me souhaite un bon anniversaire. L'imbécile, il m'a fait peur !!
Je comprends enfin la véritable raison de la présence du tiers.
Il se lève et se présente. Sosthène ! Il n'y a que nos Caribéens pour utiliser des noms aussi anciens. Il est jeune mais je sais qu'Henri aura fait attention qu'il soit majeur. Il est canon et le renflement central de ses jeans attire tout de suite le regard.
Henri me dit que c'est un des Escorts de Sasha. Il vient de chez lui, c'est son premier contrat et il est pour lui jusqu'à demain après-midi.
Comme je connais les tarifs des premiers contrats chez Sasha, je remercie Henri pour ce cadeau d'une telle valeur.
Henri continu en me donnant le programme du soir. Il nous informe qu'il a réservé le restaurant pour 20h30 et souligne que cela nous laisse 3h30 pour que j'installe Sosthène chez moi. Il nous chasse et nous demande de revenir au plus tard vers 20h.
Je l'aime trop ! Il se doutait que je bandais et qu'il me serait dur d'attendre la fin de la soirée.
Je laisse les paquets en vrac et prends le bagage de Sosthène et lui dis de me suivre. Il me demande de lui laisser les porter mais je ne m'arrête pas. Il est obligé de me suivre. J'aime assez la timidité qui le prend alors que l'ascenseur descend.
Quand nous entrons dans mon immeuble 2° plus loin, il admire l'architecture rénovée. Il trouve très bien aussi mon duplex dans lequel nous entrons. J'accroche son bagage dans l'entrée et le pousse jusqu'au canapé dans lequel je le fais tomber.
Sans précaution j'ouvre mon " cadeau ". Son t-shirt vole en même temps que son pull cintré. Pour le pantalon c'est plus dur comme il colle à sa peau. Du coup j'ai juste le temps de voir la marque du slip qui descend avec. Je reconnais un des fournisseurs préférés de Sasha. Un bel Aussiebum, à effet je le parierai ! Quand il se dresse nu devant moi, je lui tends son sous-vêtement pour qu'il le remette.
Effectivement le choix était judicieux. Le paquet, soutenu par la poche, son paquet est projeté devant lui et avec son volume de départ... J'adore.
Il s'approche alors de moi et commence à me déshabiller. Il prend son temps et je crois bien qu'il s'aperçoit que je bous intérieurement. Il me met torse nu et se plaque contre mes pecs pour me rouler une pelle. J'aime ses lèvres et sa voracité. Souvent les mecs que je trouve refusent de se laisser embrasser et encore plus que je mette la langue !
Quand il quitte mes lèvres c'est pour laisser les siennes glisser sur ma peau jusqu'à mes tétons. Ils sont déjà gros habituellement à force de les travailler mais là, sous la sollicitation de sa langue et de ses dents, ils sont tout gonflés.
Il me laisse alors pour s'agenouiller et défaire mon pantalon. Ma bite déforme déjà le tissu et il sait ce qui l'attend ! Comme moi tout à l'heure, il arrache mon boxer avec le chino. Ma queue en jaillit comme un diable à ressort. Mon gland lui frappe la joue alors qu'il se plaque sur mon ventre.
Sosthène se penche alors et mes 21cm disparaissent entre ses lèvres. Dieu que c'est bon ! J'ai eu beau m'être fait sucer il y a pas une heure par un vendeur de chez Abercrombie où je faisais quelques emplettes, sa bouche est 10 fois meilleure. Elle est surtout beaucoup plus profonde que celle du minet hypertrophié des épaules.
Je ne sais pas où Sasha va les chercher mais les quelques Escorts que j'ai eu l'occasion de pratiquer ont toujours été tops.
Je le laisse faire jusqu'au moment où je vois qu'il compte continuer jusqu'à me faire jouir. Pas si vite, nous avons 3 heures, enfin plus que 2h30 devant nous !
Je le relève avant qu'il n'ait réussit son coup. Je profite un moment de ses lèvres soyeuses. Je suis plus large et plus costaud que lui. Dans mes bras, il ne peut ni fuir ni changer de position. Je sens sa bite gonfler son trunk. Je décolle mon bassin juste le temps de faire tomber ce dernier morceau de tissu qui nous sépare. Sa bite se dresse contre la mienne et j'ai bien l'impression que c'est lui qui gagne à la compétition de qui a la plus longue ! Mes mains quittent sa tête pour ses fesses et tout en le maintenant contre moi je lui fais rouler des hanches. Nos sexes se frottent l'un cotre l'autre et j'aime trop ça.
Il décolle ses lèvres et, dans mon oreille, me dit qu'il est recto/verso tout à ma disposition. Ça, je le savais mais c'est toujours bon de l'entendre de sa part. Mes mains s'avancent dans le sillon qui permet de séparer ses fesses. Mes doigts s'enfoncent et je pose mes deux majeurs sur sa rondelle. Pas un poil n'a gêné ma progression en dehors de son buisson hyper taillé au-dessus de sa bite, il est d'une douceur pré-pubértienne. Ça aussi c'est la patte de Sasha.
C'est à mon tour d'honorer sa virilité. Depuis le passage d'Éric dans ma gorge et mon cul, il n'y a pas beaucoup de bite que je ne puisse prendre des deux côtés ! Celle-là va passer toute seule. Son gland vient me gratter les amygdales et je l'entends souffler au-dessus de moi. Ses mains viennent même se poser sur mes épaules pour soutenir sa station verticale.
J'aime faire cet effet.
Il me redresse à son tour et toujours tout bas, comme s'il avait peur de sa propre voix, il me dit de l'enculer.
Si j'aime préparer longtemps le cul qui va recevoir ma bite, des fois je suis trop excité et alors le mec mange grave ! Ça va être son cas ce soir. Je l'envoie valser sur le canapé. Je lui tire le bassin en arrière et comme je me kpote, il prend la position idéale pour une prise en levrette.
Mes kpotes sont quand même bien lubrifiée et la sueur qui coule entre ses fesses vont faciliter la pénétration. Je présente mon gland et alors que je le pose sur sa rosette, cette dernière palpite d'impatience. Sasha l'a bien formé. Il attend patiemment le désir du client. Il ne recule pas avec impatience pour abréger le supplice, il attend, tendu comme une corde de piano.
Quand je le pénètre, ce n'est pas un cri de douleur mais un soupir de soulagement qu'il laisse échapper. Sans m'arrêter, je continue ma progression dans ses muqueuses et je ne cesse de pousser que quand je sens mes couilles se coller aux siennes. Là, j'attends, non pas que Sosthène s'habitue à ma bite mais je suis trop bien au fond de lui. Sa rondelle pulse autour de la base de ma queue et me fait comme un effet de pompe.
J'attends qu'il n'attende plus pour me déchaîner. Il s'accroche au dossier du canapé pour garantir sa position alors que debout derrière lui, mes mains accrochées à ses hanches, j'utilise la totalité de mes 21cm pour le limer. De temps à autre, j'attends que sa rondelle se referme avant d'y replonger ma bite.
Comme il me l'avait confié, il accepte avec plaisir les effets de mon excitation.
Je le redresse pour lui tourner la tête et abuser de ses lèvres. Mes reins, totalement indépendants continu leur oeuvre de labourage.
Quand j'arrive à me décoller de sa bouche, je le fais pivoter sur ma queue et le repose dos sur l'assise du canapé, ses jambes contre mon torse et reprend le labourage de ses reins.
Face à face, je peux voir directement les effets de mon action sur son visage. Mais bientôt je ne vois plus rien car je ne résiste pas à écraser ses lèvres carmin avec les miennes.
C'est collé de la bouche au cul que nous prenons notre premier pied intégral. Quand je sens son sperme se diffuser entres nos abdos collés, je jute à mon tour et rempli ma kpote. Ce n'est que totalement vidés, nos corps apaisés que nos bouches se décollent enfin et que nos langues se laissent.
Malgré le temps qui passe nous prenons 10mn pour retrouver la réalité.
Après c'est la course évidemment. Heureusement ma douche permet de nous laver ensemble.
Je l'aide à mettre ses boutons de manchette. Il n'en a manifestement pas l'habitude. De même je lui fais un noeud de cravate Windsor, plus équilibré que celui qu'il s'apprêtait à faire.
Nous sommes un peu en retard mais quand même dans les temps quand nous débarquons chez Henri. Il voit nos cheveux encore mouillés et comprend bien ce que nous faisions il n'y a pas longtemps.
Il redresse mon propre noeud de cravate et passe une main dans les cheveux de Sosthène pour y mettre un semblant d'ordre avant de donner le départ. Dans l'ascenseur, il me demande si le cadeau que j'ai entamé me plaisait. Il se permet de me demander cela devant Sosthène parce qu'il connait déjà la réponse. Nos yeux brillants étaient de bons indices.
Je l'embrasse tendrement et lui dis que je n'aurais pas mieux choisi moi-même.
Sosthène rougit !
Le trajet est lent et je vois que Sosthène regarde par la glace le spectacle des parisiens en train de courir sur les trottoirs. La porte de la berline nous est ouverte et nous prenons pied devant le restaurant. Je déstresse Sosthène que je sens tendu. Je lui dis que s'il a un doute, qu'il me regarde faire et qu'il m'imite après.
Nous entrons et sommes dirigés vers notre table. Le restaurant est quasiment plein. Je vois quelques têtes de connaissances et leur fait un léger signe de tête. Henri fait un écart pour saluer un de ses pairs.
La table est un peu en retrait même si nous voyons la totalité de la salle.
Une coupe de champagne nous est servie afin d'attendre l'entrée. Henri nous dit avoir déjà choisi les plats et demande à Sosthène s'il y a des mets qu'il n'aime pas, dénégations de sa part.
Henri sort deux petit paquets plats de sa poche et m'en tend un en me souhaitant un bon anniversaire avant de poser l'autre devant Sosthène.
Je vois bien que ce dernier ne comprend pas. A voix basse, il essai de refuser et tente de repousser le cadeau vers Henri.
Mon homme lui dit que lui aussi gardera un souvenir de mon anniversaire.
J'ouvre. Le paquet vient de la place Vendôme. Trop plat pour une montre, et trop gros pour une bague, j'écarte le papier et ouvre l'écrin. Un jonc en or brille sur le fond noir. Je pense à un cockring avant de voir que son diamètre est un peu gros même pour moi. C'est donc un bracelet. Sans attendre je l'enfile à mon poignet droit. Je dois forcer un peu pour passer la main, comme ça je ne risque pas de le perdre.
En face de moi, Sosthène est bloqué devant le même présent. Je l'entends souffler à Henri qu'il ne peut accepter. Et ajoute qu'il est déjà payé pour être là.
Henri lui dit que c'est pour ça que c'est un cadeau et pas autre chose. Il lui dit de ne pas le vexer et de le mettre à son poignet lui aussi.
Avec un peu plus de mal que moi, ses mains sont un peu plus grosses que les miennes, il obtempère. Sur sa peau, l'or rend encore mieux. Ses joues sont noires de son trouble. Pour le détendre je lui dis que je suis très content qu'Henri ait pensé à cela. Mon cadeau principal c'est lui, ce que nous avons au poignet c'est juste pour nous rappeler ce bon moment. Henri confirme que c'est juste cela et que c'est pour ça qu'il a fait graver la date dessus.
Le diner est délicieux, mais c'est l'inverse qui serait étrange dans un tel lieu. La conversation est intéressante. C'est ça qui est bien avec les garçons de Sasha. Ils sont beaux, baisent bien et en plus loin d'être cons ! Son costume est classe et je le lui dis. Il rit et me répond que c'est Sasha qui l'a emmené faire les boutiques car il n'en avait pas.
Je comprends mieux ses problèmes pour nouer sa cravate.
Le dessert arrive trop vite tellement le moment est agréable. Je sais qu'il l'est aussi pour Henri. Je commence à bien le connaitre mon " père ". Même pour mon anniversaire, il aurait écourté si Sosthène n'avait pas été au niveau.
Quand il apprend que c'est son premier séjour à Paris, il décide de rentrer en passant devant les monuments de Paris.
C'est touchant. Si dans un premier temps Sosthène se retient, quand on traverse le Louvre, il a le nez collé au carreau et ne le décolle plus.
Je me promets que demain je l'emmènerai à la tour Eiffel. Je sais c'est cliché mais c'est à faire quand même.
Nous prenons un dernier café chez Henri. Je profite d'un court séjour de Sosthène aux toilettes, je suggère à Henri qu'on pourrait se le partager cette nuit. Il refuse que c'est mon cadeau à moi tout seul et quand Sosthène réapparait, il nous chasse de chez lui.
La nuit qui suit est très très courte et j'ai profité de mon cadeau jusqu'à m'écrouler de fatigue vidé complet. Son coup de rein pour propulser sa queue en moi m'a fait autant de bien que sa rondelle musclée autour de ma bite. Je crois quand même l'avoir mis dans le même état !
Au réveil j'ai mal partout et si j'en crois la délicatesse avec laquelle Sosthène bouge lui aussi doit avoir un peu mal aux fessiers !
La douche en commun nous redonne vie et une apparence décente. Je me sens rajeunir à ses côtés. Il a encore une fraicheur qui bientôt va disparaitre avec le nombre de prestation !
Je le presse. Il remet ses jeans à se faire violer sur place et je l'imite, après tout mon physique n'a rien à lui envier. Un coup d'oeil à la glace de l'entrée, j'y vois deux beaux jeunes hommes un blanc et un métis que tout homo normalement constitué mourrait d'envie de mettre dans son lit. Ok je ne suis pas modeste, juste réaliste !
Je le pousse dehors. Il croit quelques minutes que nous retournons chez Henri mais non, direction le métro. Il plisse le nez quand on s'engouffre dans la bouche. Comme nous sommes grands, nous respirons au-dessus des autres, descente à Trocadéro.
La descente, la traversée sur le pont d'Iéna donne une belle vue sur la tour Eiffel.
Je prends 2 billets et nous faisons la queue. Je l'abandonne le temps d'aller acheter 2 hot dog. La moutarde coule sur sa main et je la lui attrape pour lécher son doigt. Ça ma vaut une remarque désagréable d'un mec plus loin derrière nous. Je l'entends et j'attrape Sosthène pour lui rouler une pelle. Il me laisse faire et quand l'autre réitère ses insultes, je me déplace jusqu'à lui. Il réalise à ce moment-là qu'il est plus petit et bien moins large que moi. Il s'excuse. Je laisse tomber un " t'es trop con mon pauvre " et retourne près de Sosthène. Autour de lui il doit subir les lazzis que son attitude a provoqués au point qu'il se casse avec la meuf vulgaire qui l'accompagnait.
Sosthène est comme un gamin. Nous prenons l'ascenseur jusqu'au premier et montons le reste à pied. Il me met presque un étage dans la vue ! Tout en haut la vue est superbe, pas chaude mais superbe quand même. Il m'attrape et me roule un patin tellement il est content. Puis il s'excuse de m'avoir fait ça.
Il est trop ce gamin ! Quand nous descendons il me remercie de l'avoir emmené là. Nous reprenons un deuxième hot dog et le mangeons en marchand. Il me questionne sur Sasha. Il se demande s'il ne lui a pas fait confiance trop vite, même si jusque-là tout s'est bien passé. Je le rassure. Je connais l'animal depuis maintenant 7 ans et jamais il n'a pris quelqu'un en traitre. Il me croit sinon, comme il me dit, il n'aurait pas autant d'amis ni d'escorts.
Nous flânons il n'y a pas de sexe entre nous et c'est soudain très agréable. Par les quais nous rejoignons le Louvre. Nous prenons un café en terrasse. Deux filles à la table d'à côté nous draguent. Elles sont jolies hollandaise d'après leur accent quand elles parlent en anglais. Elles sont un peu lourdes et je me penche vers Sosthène pose mes lèvres sur les siennes juste un instant. Cela suffit pour qu'elles s'excusent en riant de nous avoir " dérangés ".
Soudain il s'affole de son train et s'aperçoit qu'il l'a loupé. Il va pour courir à la gare. Je le retiens, ses bagages !! Il prendra le suivant. Quand il s'inquiète que Sasha lui a payé le billet en première, je l'assure qu'il pourra quand même l'échanger.
On repasse vite à l'appart et je l'aide à ranger son costume dans son bagage. Je l'accompagne en taxi. Nous faisons l'échange du billet et j'attends le train avec lui, même s'il me dit que je peux le laisser.
Je ne le quitte qu'après l'avoir mis au train. J'appelle alors Sasha pour lui expliquer que son petit nouveau aura du retard. Ça le fait rire et il me demande de lui envoyer un compte rendu, d'où le texte ci-dessus.
Je récupère Sosthène avec 2 heures de retard. Il s'excuse de m'avoir fait ce coup-là.
Je remarque le jonc qu'il a au poignet. Cadeau d'Henri ? Il acquiesce. Je lui montre ma caisse et lui dit que ça ne m'étonne pas. Comme il ne comprend pas je lui dis que la moitié de ma SLS est de sa part.
Je le ramène au Blockhaus prendre sa voiture. Il monte faire la bise à PH et Ludovic puis rentre vite chez lui.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!