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Février le Ski-1
Pour Février j'organise une semaine à la montagne. En plus de la maisonnée, Marc et Hervé plus nous 4 (PH, Ernesto, Ludovic et moi), à part deux " médecins " tous mes escorts répondent présent. Même ceux qui n'ont jamais fait de ski sont partants. A ceux-là s'ajoutent Max et Enguerrand que leurs très bons résultats m'empêchent d'interdire de venir.
Comme on ne veut pas s'embêter, je trouve un hôtel dans une grande station des Alpes où je retiens un étage entier, le dernier car il est privatisable. De leur côté, Jona et François s'arrangent pour nous faire mettre 4 chasseurs alpins à notre disposition pour nous enseigner et ou améliorer nos techniques de ski.
Nous voyageons en train. Les places sont retenues depuis début janvier et nous sommes répartis dans deux wagons contigus. Direct jusqu'à Lyon où nous changeons de train. Dans le train les portables chauffent et ça bosse dans tous les coins pour dégager le plus de temps possible durant la semaine. A l'arrivée 4 minibus nous attendent devant la gare. Ils nous montent à la station.
Le débarquement dans le hall de l'hôtel d'une 30aine de personnes en même temps désorganise un peu la réception. Mais rapidement, le directeur nous prend en charge et nous emmène directement à notre étage. Dès l'ascenseur, mes acolytes se dispersent et courent de chambre en chambre afin de s'installer. J'ai juste le temps de leur dire que la suite à trois chambres est pour moi (ce qui inclus Marc, PH, Ludovic, Hervé et Ernesto). Le directeur nous y accompagne et en même temps nous rappelle les services que son établissement peut nous fournir : restauration et service à l'étage, piscine, spa, salle de musculation et même boite de nuit en sous-sol mais aussi réservation de matériel et de moniteurs particuliers aussi sans compter qu'il se chargeait de l'obtention des forfaits.
Une heure après que Jona ait passé un coup de téléphone, les quatre militaires se présentent à l'accueille et le demande. Jona va les chercher puisqu'il faut un code pour aller jusqu'à notre étage. Quand ils sortent de l'ascenseur avec leurs paquetages et leurs skis sur l'épaule, ce n'est pas le fait qu'il n'y ait que des hommes qui les choquent (ça en caserne ils en ont l'habitude) mais plutôt le luxe dans lequel ils vont passer la semaine. Deux chambres leur ont été laissées. Que les lits soient doubles ne leur posent pas de problème.
Je leur demande s'ils ont d'autres vêtements que leurs uniformes. Mais c'est évident que non puisqu'ils sont en service commandé ! Sauf une paire de survêtements. Quand ils ressortent, ils tombent sur mes escorts tous à moitié à poil en train de passer les uns chez les autres.
Je m'aperçois que je ne les ai pas décrits. Ce sont 2 jeunes lieutenants et 2 caporaux chef, tous dans les 23/25ans, entre 1,80 et 1,85m, carré d'épaules et étroit de hanches. Leurs Knickers ne moulent pas que leurs cuisses et ils font honneur au sexe masculin.
Mais là, le molleton des survêtements ne les avantage pas quand Jona me les ramène pour qu'on discute ensemble de la semaine à venir.
Ma première question est pour savoir s'ils ont été volontaires ou si leur capitaine les avait désignés. C'est avec plaisir que j'apprends qu'ils étaient tous les 4 volontaires.
J'établi le programme. La première matinée leur permettra de faire 4 groupes selon les niveaux que nous avons. Je leur rappelle qu'à part Jona et François qui doivent devenir capable de passer partout, pour le reste du groupe c'est aussi des vacances.
Quant à leurs conditions parmi nous, je ne vois pas de raison de leur faire un régime particulier. Je prends en charge leurs frais. Ils ont les mêmes droits que nous dans cet hôtel. Pas question qu'ils mangent à part ou bien qu'ils restent dans leurs chambres alors que nous allons nager ou danser. Je leur fais confiance pour trouver dans les gardes robes emportés par chacun les jeans, et polos qui en feront des nôtres.
Ils sont un peu surpris par mon entrée en matière. Le plus vieux des lieutenants me remercie au nom d'eux 4. Il essaye de me dire qu'ils sont quand même en service commandé et de ce fait ils ne peuvent accepter.
Devant eux, j'appelle aussitôt Le colonel responsable de nos deux " agents (Jona et François) ". Quelques mots et je raccroche. Encore 5 minutes et c'est le sien (de portable au lieutenant) qui sonne. Nous l'entendons plusieurs fois dire " oui capitaine" avant de raccrocher.
Avec un grand sourire vers nous et ses 3 collègues, il nous dit qu'effectivement, il vient de recevoir l'ordre de se fondre dans le décor.
François leur dit qu'en bons homos, nous avons tous emporté trois fois plus de fringues que nécessaire et que quelques soit les circonstances, ils trouveront de quoi être raccord avec nous.
La fin d'après-midi se passe dans la boutique du loueur à s'équiper en skis et chaussures. Le matériel est récent à défaut d'être neuf. Les 4 professionnels nous aident à choisir le matériel adéquat à chacune de nos morphologies.
Pour cette première soirée, Jona leur indique chez qui ils vont emprunter leurs vêtements. Il connait les caractéristiques de chaque et sait du coup qui sont ceux dont les physiques sont les plus proches des leurs. Quand nous nous retrouvons tous pour aller diner, ce n'est que par leur coupe de cheveux réglementaire qu'ils se distinguent de nous. Les polos déjà ajustés sur mes escorts moulent de façon très sexe leurs pecs et on peut même compter les abdos ! Ils ont lié connaissances avec les escorts et ça discute travail des deux côtés. J'accapare le lieutenant responsable du petit groupe, sans uniforme il fait plus jeune. Les jeans slim qui lui ont été prêtés font ressortir ses cuisses puissantes et malgré cela son paquet promet beaucoup. Je le garde à notre table. Nous le mettons au parfum concernant notre petit groupe. Ce que sa hiérarchie lui avait dit de nous tiendrait sur un timbre-poste. Je suis content qu'il ne se sauve pas en courant quand nous lui apprenons qu'il va devoir enseigner son ski à une bande d'homos plus obsédés par le sexe que par la neige. De la table de droite, un des caporaux envoie qu'il faut pas mourir idiot. Il se fait aussitôt charrier par ceux de sa table.
Quand je m'en ouvrirais plus tard à Jona, il me dira en souriant que son colonel avait pris en compte la spécificité de notre petit groupe lors de la sélection des chasseurs alpins et qu'ils savaient donc ce qui les attendait.
La soirée se passe bien. Tout le monde a fait connaissance avec nos 4 moniteurs et réciproquement. Ils se retirent dans leurs chambres par grade. Mes escorts se pressent dans notre suite pour savoir ce qui est autorisé avec eux autres. Je leur interdit juste de les violer et que pour le reste ce sont de grands garçons eux aussi, non ?
Franche rigolade de mes escorts.
Le lendemain matin je suis debout de bonne heure (je n'ai pas besoin de beaucoup de sommeil). Je descends prendre le petit déjeuner et j'y trouve mes 4 moniteurs avec Jona et François. Je m'assois à leur table. Jona est entrain de leur donner un aperçu du niveau sportif de chacun. Leur chef me demande comment je me situe en ski.
Ma réponse : 3ème étoile il y a déjà pas mal de temps les fait sourire. J'ajoute que ce qu'il nous faut ce n'est pas tant apprendre à skier de façon académique mais de rapidement nous permettre de descendre des pistes rouges en prenant du plaisir. Donc basta de l'apprentissage du chasse neige.
Ils sont d'accord avec moi. Nous sommes trop vieux pour passer plusieurs semaines à des apprentissages de gamins. Ils se sont déjà répartis les groupes. Un des caporaux va se prendre les néophytes et l'autre le groupe juste au-dessus. Les lieutenants se prennent l'un les plus expérimentés (avec Hervé Marc, PH et Ludovic) et l'autre (le chef) les intermédiaires dont je fais partie avec Jona et François.
Max et Enguerrand qui ne veut pas lui être séparé sont aussi dans notre groupe.
Tout cela est confirmé dans la matinée. Et nous nous quittons pour la journée.
Notre lieutenant nous regarde descendre deux pistes rouges chacun avant de nous réunir. Nous sommes 7. Il y a les 5 déjà sus nommés plus Maxou et Clément.
Il fait un point avec chacun et décide qu'à chaque descente il va prendre l'un de nous. Maxou ne peut s'empêcher de lui demander s'il pourra garder son pantalon, le fond de l'air étant frais. Notre moniteur met quelques secondes à comprendre que sa formulation pouvait prêter confusion dans l'esprit tordu d'un PD en chaleur.
Un petit coup d'épaule et Maxou mange la piste. En fin de matinée nous avons tous reçu ses premières remarques et nous les avons déjà mises en pratique. Il passe encore son après-midi à rectifier nos positions et autres " plantés de bâton ".
Quand nous retrouvons les autres en fin de journée, nous sommes sur les rotules. Ce qui me fait plaisir c'est que les meilleurs sont dans le même état.
A l'étage, c'est l'heure des douches. Comme nous sommes chez nous, toutes les portes des chambres restent ouvertes. L'eau chaude a eu son effet relaxant car j'entends vite des courses poursuites. Quand j'arrive, je vois Enguerrand à poil, coursé par nos deux russes dans le même appareil, se réfugier chez nos deux lieutenants. Il hurle qu'il demande protection et se cache derrière notre instructeur.
J'admire la ruse de mon petit beau-frère ! Il a calculé juste et nos deux militaires sont encore en boxer. Je reste à la porte alors que s'ensuit une fausse bagarre entre l'armée et mes deux slaves.
Surpris les deux lieutenants se font étaler comme des bleus. Mes duettistes russes les laissent se relever et ils luttent sérieusement. Les forces sont égales. Les militaires sont plus lourds et plus expérimentés mais mes hommes sont plus lestes et ils savent faire des yeux à la " chat botté " de Shrek juste au moment où ils vont s'en prendre une et ça désarme leurs adversaires. Du coup ils se retrouvent sur le dos, mes deux Escorts sur leurs ventres tout ce petit monde bande et les pelles tentées par les vainqueurs ne sont pas rejetées. J'entre en jeu et redresse mes escorts en m'excusant auprès de nos militaires de leurs comportements déplacés. Puis je mate très franchement les boxers blancs déformés par leurs sexes en pleines formes.
Réponse des intéressés, pas de problème nous étions volontaires pour vous encadrer !
Dans mon dos c'est aussi ce que me rappellent les deux caporaux déjà accompagnés de près par un de mes couples.........chacun. Après un instant de gêne, éclat de rire général. Avant de les laisser régler leur " petit problème ", je préviens les militaires qu'ils sont aussi libres que mes propres hommes et que ce qui se sera passé cette semaine ne fera pas l'objet d'un rapport de ma part.
J'entends un " heureusement " provenant de mes escorts. Des caporaux un " super, en plus des vacances ont va vraiment s'éclater " et du lieutenant " chef ", " OK les gars on se fait ça comme ça ".
Maintenant tout est clair et pas besoin de se retenir pour eux ni avec eux.
On se fringue pour descendre diner. Ça se vanne sur les progrès de chacun, à l'apéritif, les 4 militaires me donnent un bref aperçu de leurs journées. Puis nous dinons. Vu les dépenses énergétiques de la journée, nous faisons un sort à la carte du restaurant. Quand je vois nos militaires hésiter alors que nous même reprenons un deuxième plat, je leur rappelle qu'ils doivent se fondre avec nous et que s'ils sont les seuls à ne pas en reprendre ça va faire tâche.
Nous remontons nous détendre avant de descendre à la piscine. Elle est fermée mais pas pour nous. Je trouve deux Aussiebum pour nos lieutenants et je charge Jona de trouver de quoi couvrir les culs des caporaux.
J'attends qu'ils les passent pour qu'on descende. Le système suspenseur de couilles les avantage, encore que cela n'ait pas été nécessaire.
Notre traversée du hall en direction de la piscine détourne quelques regards et pas que des femmes présentes !
La piscine de l'hôtel fait 25 m par 4 lignes d'eau. Nous l'envahissons. Ce qui étonne nos militaires, alors qu'ils pensaient que nous allions faire les fous, c'est qu'on se répartit dans les lignes et que nous nageons en files. Ils s'intègrent et ils tiennent le rythme plusieurs km de suite.
Quand nous sortons de l'eau, Anthony se permet quelques conseils. Ils sont bien reçus, nos militaires sont pros et ils savent que ce n'est pas leur sport de prédilection.
Retour à notre étage en passant par le bar où notre arrivée en peignoirs blancs perturbe les autres consommateurs. Chacun prend l'alcool qu'il désire. Je commande juste une coupe de champagne pour nos benjamins Max et Enguerrand.
Nous remontons détendus par l'eau et par l'alcool. Alors que je vais pour me coucher, je note que le couloir est vide mais que les portes des chambres restent ouvertes, même celles des militaires. Je laisse les nôtre ouvertes aussi et c'est rapidement que nous parvient des bruits tout autres que de sommeil.
Nous même (Marc, PH, Ludovic et moi) nous câlinons avant de sombrer dans les bras de Morphée.
Je me réveille ce coup-ci le premier. Je passe de chambre en chambre voir qui dort avec qui. Pour cette première nuit les couples sont restée ensemble sauf mes deux russes qui ont capté les deux lieutenants et que je trouve entassés dans le lit King size tous les 4, à poil, les militaires sur le dos et mes deux escorts le bras en travers de son lieutenant.
Je me glisse au chevet de mon lieutenant et lui hurle à l'oreille un " garde à vous " qui le réveille en panique. Il se redresse et éjecte du même coup Viktor qui le couvrait à moitié. Je m'écroule de rire. Ils me sautent dessus à 4. Je finis à poil sous leur douche. Mon intervention a réveillé tout l'étage. Ça tombe bien c'était un peu ce que je voulais.
Nous sommes dans les premiers au petit déjeuner. Avec l'expérience de la veille, tout le monde mange beaucoup plus ce matin. Les militaires comme Jona nous poussent à avaler des sucres lents pour tenir toute la matinée.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!