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1er Épisode | Épisode précédent

Soumission & Domination 340

Février le Ski-2

Jour 2

La seconde journée est plus fun que la première. Après une vérification que les conseils de la veille avaient été bien mémorisés, notre militaire nous emmènent vers une piste de bosses. Arrivés en haut, c'est impressionnant. Certaines bosses sont très prononcées et rien que d'imaginer la descente, on sait qu'on va se faire secouer.
Petit briefing avant d'entamer la descente. Rester souple sur ses cuisses, légèrement en arrière et dans un premier temps ne pas se focaliser sur la ligne droite ! Merci quand même.
En fin de matinée, nous nous en sortons honorablement mais les batteries épuisées. On décide d'une pause. Le chalet d'altitude propose une carte réduite mais suffisante. Les prix sont inversement proportionnels ! Un vrai racket, même si les charges sont élevées.
Avant que le réflexe " économie " de notre moniteur se manifeste, je commande pour lui. Comme il fait beau, on mange en terrasse et nos combinaisons grandes ouvertes sur nos torses imberbes (pour faciliter la production de vitamine D bien sûr) attirent les regards. Sans se jeter des fleurs, nous étions la plus belle brochette de jeunes mecs de la terrasse. Et quand l'équipe N°1 est arrivée, c'est devenu plus chaud.
Quelques jeunes filles ont été déçues quand Ludovic et PH m'ont roulé une pelle avant d'aller commander dans le chalet. On parle de nos descentes. Eux se sont fait quelques noires partantes du sommet. Jona qui voudrait enchainer dessus l'après-midi se fait calmer par notre Lieutenant qui nous dit que nous devons encore faire des progrès.
L'après-midi est plus calme et c'est tant mieux pour nos cuisses qui commencent à chauffer dur.
Entre les courbatures de la veille plus le travail de la journée, nous investissons le spa de l'hôtel afin de dénouer nos muscles martyrisés. Clem se dévoue et nous sommes quelques-uns à bénéficier de la magie de ses mains. João et Sosthène nous dévoilent leurs talents cachés de masseurs et viennent à sa rescousse.
Nous avons juste le temps de  monter nous habiller pour le dernier service du diner.
Avant de remonter, nous prenons un alcool au bar. Il ne faut pas beaucoup de temps pour nous faire aborder les uns les autres, aussi bien par des meufs que des mecs, dont quelques étrangers que notre groupe intrigue. Alors que nous pensions y rester 1/2 heure, finalement nous ne remontons qu'1h1/2 plus tard et certains avec un n° de téléphone supplémentaire.
Sur notre palier je préviens que chacun est libre de baiser avec qui il veut en dehors du groupe mais pas à cet étage. C'est la seule contrainte que j'y mets avec le port de kpotes évidemment. Ils comprennent tous pourquoi.
En attendant les couples se mélangent pour la nuit. Ce n'est pas souvent qu'ils se retrouvent tous ensemble au même endroit aussi longtemps. Ça leur rappelle le 1er de l'an qui a duré 3 jours pour certains.
Mes deux russes se font coiffer au poteau par Max et Enguerrand. Quand ils arrivent pour leur 2ème nuit avec nos lieutenants, ils trouvent les deux benjamins déjà coulés au fond du lit alors que leurs hôtes sont encore dans la salle de bain. Je surveille l'explication de texte qui s'ensuit. Au final les jeunes gagnent et Viktor et Nicolaï arrivent se faire consoler chez nous.
Ils ne vont pas regretter leur changement de plan. Nous sommes 6 à pouvoir les satisfaire. Et ça ne manque pas. Entre la défonce de leurs rondelles et l'usage immodéré de leurs bites autant dans des bouches que dans des culs, ils s'effondrent cassés définitivement.

Jour 3

Le réveil est plus dur pour certains ce matin. Les plus inexpérimentés ont des courbatures et les moniteurs leur promettent une journée plus cool où ils vont peaufiner les techniques apprises

Le nôtre nous prévient qu'il va passer à la vitesse supérieure. Si nous voulons rejoindre le groupe 1 et le laisser avec juste Jona et François, il ne nous en voudra pas. Je regarde mes autres collègues à qui s'adresse cet avertissement. Ils refusent de laisser tomber et espèrent bien en apprendre encore plus. Nous montons au plus haut de la station et partons en hors-piste. Nous commençons à descendre une combe quand nous sommes rejoints par une demi-douzaine d'autres chasseurs alpins en uniformes eux. Chacun de nous se fait " cornaquer " par un des militaires. Dans l'ensemble, ils sont aussi jeunes que les nôtres et très pros aussi. Les premières 10aines de mètres nous chutons, le temps d'adapter notre position sur les skis à la surface poudreuse de la neige. Je comprends pourquoi notre lieutenant a appelé du renfort. Nous progressons tous à une vitesse différente et du coup nous sommes en sécurité avec notre " moniteur " personnel. Le mien est très bon car je ne mets pas longtemps avant de prendre le coup. Un peu plus en arrière que normalement, les fesses vers les talons, je progresse bien et mes lacets perdent rapidement en amplitude. Le mec me félicite d'avoir pris le coup aussi vite. A mes côtés ça se défend pas mal non plus.

Jona et François sont eux encore plus encadrés. Une première pause nous est octroyée à mi-chemin de la station à la limite haute des sapins. Les militaires sortent de leurs sacs à dos des barres de protéines. Ils nous en offrent. Je ne sais pas ce qu'il y a dedans mais c'est bon et nous redonne des forces. Il y a sûrement des sucres rapides aussi. On fait plus connaissance le cul isolé de la neige par des branches de sapin. Ils sont tous militaires de métier bien sûr et depuis 6 à 7 ans. Et tous célibataires aussi / surtout ! Nous finissons la matinée de combe en combe pour rejoindre la station. Il est encore tôt, à peine midi. Notre lieutenant propose que nous déjeunions avant de remonter. Alors qu'ils sortent de nouvelles barres, je vise le restau du bas des pistes vide encore. Sans manger à se faire éclater l'estomac, prendre un plat chaud ne sera pas du luxe. J'impose ma décision. Mon " lieutenant " nous suit alors que ses collègues nous disent qu'ils attendront dehors.
Hors de question que le groupe se scinde ! Je les invite et notre militaire doit les convaincre que c'est OK. Sans alcool, la tartiflette remplis les deux offices : nous réchauffer et remplir les batteries. Une tarte aux myrtilles plus tard nous sommes prêts à partir. Enfin dès que Enguerrand et son coach seront sortis des toilettes.
C'est chose faite avant que nous chaussions tous nos skis. Mon Enguerrand tout sourire et le militaire un peu rouge quand même. S'il ne s'est pas fait le cul de mon beau-frère, je veux bien être pendu !

Nous repartons pour le sommet de la station et partons sur l'autre versant. Nous sommes plus à l'aise et nous enchainons les parties nues et boisées sans plus de problème. La traversée d'un bois plus touffu nous disperse tous. Quand nous en sortons, c'est en ordre dispersé et il nous manque Max et son chasseur. Quand ils nous rejoignent, l'excuse est que Max s'était empêtré dans une taille de sapin et qu'il avait mis du temps à remonter. Je crois qu'avec lui aussi je vais avoir une conversation.
En fin de journée, ils nous donnent rendez-vous pour le lendemain puisqu'ils restent jusqu'à la fin de notre semaine. Ils sont logés à la gendarmerie de la station. Ils se font tirer l'oreille pour accepter de diner avec nous à l'hôtel. Mais je sais qu'ils vont affoler mes autres comparses et je sens mes " benjamins " demandeur. Comme je ne peux rien leur refuser à ces deux-là...

En rentrant à l'hôtel je réserve une de leur salle de réunion pour notre dîner. On retrouve l'équipe dont certains sont déjà sous la douche. Je préviens Marc et les autres de nos invités pour le dîner. D'une seule voix, Max et Enguerrand disent aux autres qu'ils sont super sympas et super canon aussi.
Je les retrouve après ma douche. Ils sont encore sous l'eau tous les deux. Je les questionne sur les " viols " qu'ils ont opérés sur leurs " chasseurs " particuliers. Max éclate de rire et nous dit que le sien était bon et heureusement car les fesses à l'air, il n'avait pas fait chaud sauf pour sa rondelle. Enguerrand renchéri que le sien était super bien monté en plus. Deux " chaudasses " !!
Mes escorts et nous même apportons un soin particulier à nos tenues, effets des invités probablement. Les jeans les plus slims sortent des valises, les t-shirt collent les pecs et les abdos mieux que des combinaisons de lutte !

Quand nos invités nous rejoignent, eux aussi ont fait des efforts. Mon lieutenant y est sûrement pour quelque chose, tout comme le choix des Chasseurs alpins.  En civil, ils gardent un intérêt pour les vêtements moulants eux aussi. Et ce sont de vraiment beaux bestiaux ! Ils sont sous-officiers mais loin d'être bourrins pour autant.

Le plus jeune intéresse vraiment mon Marc. Evidemment !! Ernesto, lui, semble fixer l'intérêt d'un des nouveaux, surtout ce qui est outrageusement moulé en haut de ses cuisses. Ils se répartissent entre mes escorts autour de la grande table.
Ils acceptent un apéro avant le diner. Ils sont venus à pied. Ils se mettent vite dans l'ambiance et c'est parce que je fais particulièrement attention que je m'aperçois qu'il en manque un, celui d'Enguerrand et bien sûr ce dernier !
Je m'esquive vers les toilettes réservées à notre salle. Ils y sont évidemment. Un seul WC est fermé. Je prends celui d'à côté et monté sur le siège, je mate par-dessus la cloison. Mon petit beau-frère est en train de tailler une pipe sur une bite bien épaisse. Quand il la sort complètement, je vois qu'elle est aussi d'une bonne longueur, a vue de nez dans les 20cm x 6. Il me voit alors qu'il lève la tête et demande à son militaire si ses gorges profondes lui plaisaient. Son clin d'oeil ne passe pas inaperçu et le pompé lève à son tour la tête et panique à voir ma tête. Enguerrand le retient par les fesses et je descends et frappe à la porte. Ils m'ouvrent.

Je tombe sur un fessier bien rond, musclé par des années de ski et de sport.je bandais déjà de les mater. Là, ça devient inhumain. Le temps d'ouvrir mes jeans, de kpoter ma bite et je la pousse entre les fesses. En voulant sortir, il recule et s'encule par la même occasion. Enguerrand a suivi me mouvement et ne lâche pas le morceau. Sa déglutition sur le gland enfoncé dans sa gorge distrait le militaire juste à point nommé pour que je conclue l'enculage.
Je ne sais pas s'il est uniquement actif où même un hétéro qui s'était fait dans l'après-midi un petit cul de mec, mais là, je sens bien qu'il n'utilise pas souvent sa rondelle dans cette activité. Je suis super serré et même bloqué le temps qu'il se détende. Enguerrand fait tout ce qu'il peut pour cela. Il suce sa bite mieux qu'une pompe à vide !
Je me presse car on va bientôt s'apercevoir de nos absences. Je l'encule à petits coups rapides et jouis en 5mn chrono. Enguerrand se recule juste au moment fatidique et s'en prend plein la figure.
On se rajuste, se rafraichit et Enguerrand lui roule une pelle avant que nous sortions.

Notre retour n'est perçu que par Marc, Ludovic et mon lieutenant. Je vois l'enculeur de Max retrouver son pote et l'écarter pour le questionner.
Diner sympa et après avoir discuté avec le chef du détachement (mon lieutenant), je décide de les inviter tous à prendre un dernier verre à notre étage.
Mon initiative à l'air de plaire à tous. Mes escorts et ma petite " famille " c'est évident mais aussi aux militaires qui ont sympathisé. Les deux qui étaient moins chauds se sont fait entrainer par les autres.
Les nouveaux venus trouvent leurs collègues nettement mieux logés qu'eux qui dorment sur des lits de camps militaires. Les installations sanitaires aussi sont plus luxueuses. Cognac, Jet 27, Génépi coulent dans les verres. Nos militaires font baver leurs collègues en ajoutant qu'ils disposent en plus des autres installations de l'hôtel, piscine, spa, sauna...

Mes escorts se mettent à l'aise c'est-à-dire en shortys et boxers. Leurs plastiques tout comme les nôtres appellent des commentaires. Quand ils apprennent que nous savons nous battre, il y a comme une ironie de leur part. Jona leur demande alors de désigner leur meilleur élément et qu'il allait se le faire.
Piqués dans leur virilité / spécificité (ce sont des combattants) / orgueil, ils désignent le plus lourd d'entre eux. Alors qu'on dégage le mobilier du salon de notre suite, le militaire se met en slip (blanc réglementaire). Je pense un moment que mon Jona va avoir du fil à retordre. Le mec doit lui prendre au moins 15 Kg de muscle !

Il roule un peu des mécaniques et est soutenu par ses collègues. De notre côté nous encourageons Jona. Seul François garde son calme et demande si on fait des paris.
Les provocations fusent, sexuelles bien sûr. On en arrive à ce qu'ils mettent en jeu leurs culs contre les nôtres. J'interviens. Je leur dis que les nôtres, ce ne sera pas un problème, ils les auraient eu même sans gagner, du moins certains. Je propose alors de les loger comme leurs collègues puisqu'il reste encore trois chambres inoccupées à cet étage. L'hôtel ne fera surement aucunes difficultés à me les louer.
La moquette est épaisse, elle amortira les chutes.
Ils commencent par se tourner autour. Jona le laisse venir. Le militaire prend l'initiative. Il attaque et est surpris de ne trouver que le vide. Par contre il sent bien le coup de pied qui lui " tue " la cuisse droite. Il vient de se rendre compte que son adversaire a du répondant. Les attaques se succèdent des deux côtés. Il est bon en défense aussi le milit. Mon lieutenant qui avait eu un aperçu de nos capacités souri de voir son collègue en difficulté. Ils combattent pendant une demi-heure avant que je fasse signe à Jona de donner le coup de grâce. 30 secondes plus tard, le milit est sur le ventre, le pied de Jona entre ses omoplates et le bras droit en extension arrière prêt à la luxation.

Arrêt du combat après comptage jusqu'à 10.

Jardinier

sasha72@hotmail.fr

Suite de l'histoire

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