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Premier épisode | Épisode précédent

Frères de coeur -7

-Il était enfin temps que tu assumes ta vraie nature de tarlouze, tu ne crois pas ? interrogea Jérémy, toujours penché au-dessus de moi, m'incombant du poids de son énorme corps d'adulte.

Je ne répondis rien, tentant à présent de fuir son regard. Je le repoussai sur le côté, histoire de pouvoir me dégager de son étreinte et, à ma grande surprise, il ne rechigna pas à me rendre ma liberté, son sourire de chasseur toujours fiché sur son visage.
-On va vraiment s'amuser, toi et moi, dorénavant, répéta-t-il avec entrain.

Je restais silencieux, incapable d'émettre le moindre mot, la moindre plainte et ne serait-ce qu'un argument pour tenter de me défaire de cette situation. Mais rien ne me venait. J'étais perdu et déboussolé par tant de changements en si peu de temps.
-Bon, j'ai faim moi ! Et si on faisait à manger ?

Il avait dit ça avec un tel naturel que je me demandais soudain s'il avait déjà oublié ce qui s'était passé avant. Je n'en revenais pas qu'une personne puisse à ce point être versatile. C'était comme s'il devenait méchant puis gentil. Une sorte de schizophrénie ou de dédoublement de la personnalité.
Jérémy se dirigea vers la cuisine et sorti du frigo un reste de pain de viande que nous avions entamé la veille et l'enfourna. Il mit également des pâtes grecques à mijoter dans une casserole et dans une autre, il vida une conserve d'haricots qu'il assaisonna à son grès d'épices et d'oignons.

Je restais coi  devant sa façon d'agir, devant sa façon d'être. Je ne comprenais pas comment on pouvait passer d'un état d'esprit à un autre qui n'a rien avoir. Je le regardais dans son dos, affairé à cuisiner, un sourire aux lèvres.
Sans mot dire, il se dirigea vers différentes armoires pour aller chercher un set de table, des couverts pour une personne mais deux assiettes. J'observai ce qu'il faisait avec surprise, fronçant légèrement les sourcils et lui demandai :
-Pourquoi ne prends-tu des ustensiles que pour une personne ?

Il tourna vers moi son visage, me sourit et me dit :

-Parce que tu pensais que tu allais dîner à mes côtés ? Bien sûr que non ! Tu vas te retrouver à ta juste te place.

Jérémy attrapa l'une des chaises qui se trouvaient autour de la table carrée et la fit racler sur le sol pour en dégager le passage. Il fit claquer son doigt comme s'il s'adressait à un chien et pointa de son index l'entrée laissée par le meuble pour m'intimer de prendre assise sous le buffet. Je le regardai d'un air circonspect et incrédule mais son sourire s'effaça légèrement et son regard se fit plus dur à mon égard, prenant un sérieux qui m'effrayait. Je préférai obtempérer et me mis à quatre pattes pour me glisser entre les pieds de la table, les genoux repliés sous mon menton, appréhendant les nouvelles intentions de mon ex-meilleur ami.
Je l'entendis finir de préparer le repas et de remplir les assiettes de nourriture. Il s'installa sur son siège et s'apprêta à me tendre la mienne quand il arrêta son geste en pleine élan, comme s'il réalisait quelque chose. Je l'entendis ricaner grossièrement tandis qu'il ramena mon repas sur la table et dit :
-Je crois que j'ai une meilleure idée : viens me faire bander avec ta petite bouche.

Je ne pus avoir le temps de réagir que déjà sa main passa derrière ma tête pour me traîner vers son entrejambe, à peine couvert par un slip noir qui moulait parfaitement son paquet qui frémissait déjà. Mon nez se colla à sa bosse et d'un geste de la paume, il frotta mon visage dessus. Je pouvais sentir ses poils pubiens au travers du mince tissu et ses testicules qui roulaient sous les dimensions qui se changeaient petit à petit, au rythme des frictions. Sa queue grossissait à vue d'oeil et de son autre main, il dégagea son pénis avant de l'enfoncer dans ma bouche.
Il empoigna mes cheveux et fit aller venir son sexe entre mes lèvres à grande vitesse. Le rythme qu'il imposa d'entrée me surprit beaucoup et j'eus beaucoup de mal à retenir un haut-le-coeur. Avec frénésie, sa queue me baiser la gorge, comme si je n'étais qu'une vulgaire poupée gonflable qu'il pouvait manipuler à sa guise.

Je sentais la salive monter dans ma bouche et entourer son membre chaud, si bien que ma bave finissait par s'écouler sur ses veines et sa peau, l'aidant à glisser mieux dans les profondeurs de mon oesophage qu'il traitait sans ménagement. J'avais l'impression d'avoir un morceau de bois, tellement il était dur. Mais malgré tout, il parvenait à y faire entrer son sexe en entier.
Jérémy n'imposa pas longtemps ce supplice car bien vite, il émit de légers râles et me repoussa assez violemment pour se masturber. Alors que je pouvais voir que son éjaculation approchait, à la vue de la taille monstrueuse que prenait son membre, il en approcha mon assiette. Dans un dernier soupir, il cracha son sperme sur mon repas, répandant sa sauce sur le maximum d'aliments que possible. Mais il n'avait pas de nécessité à s'en assurer, étant donné que la quantité qu'il répandit était excessive.
-Je t'en prie : bon appétit, railla-t-il en déposant devant moi mon plat.

Je regardai avec un certain dégoût ce que je devais manger : même si ce n'était pas la première fois qu'il me faisait avaler sa semence, la voir disséminé de la sorte me répugnait assez.
-Et comment suis-je supposé manger ? lâchai-je, tout en craignant la réponse qu'il allait me fournir.
-Ce n'est guère bien compliqué, sais-tu, me répondit-il. Regarde.

Joignant un geste à la parole, il dirigea son pied droit vers mon assiette, attrapa un morceau du pain de viande entre ses deux premiers orteils et les porta à mes lèvres.
-Aller, manges ! m'ordonna-t-il d'une voix sèche mais amusée.

Une expression dégoûtée apparut sur mon visage, répugné par l'idée de devoir me nourrir au moyen de cette partie de l'anatomie de Jérémy. Mais craignant que ma lenteur à manger ne l'énerve, je finis par céder à mon aversion et finit par aller chercher la nourriture qu'il tenait. Je mâchai et avalai avec difficulté, ne pouvant m'empêcher de penser à ce que je faisais et à quel point cela était éprouvant pour moi d'obéir un tel ordre.
-Tu peux aussi lécher entre mes deux orteils ? Cela me dérange de sentir des morceaux et de la sauce sur ma peau, me commanda-t-il.

Je passai ma langue sur son pied, là où je pouvais voir qu'il y avait de la nourriture, fermant les yeux en tentant d'imaginer qu'il s'agissait d'autre chose.
Ainsi se passa tout le repas : Jérémy amenait à ma bouche les aliments au moyen de ses orteils et moi, j'étais contraint de manger et nettoyer sa peau grâce à ma langue.
-Alors, c'était bon ? me demanda-t-il, sarcastique.

Je préférai ne pas répondre, sentant des relents nauséeux me remonter dans la bouche.
-Attends, maintenant, tu as droit à ton dessert ! clama-t-il avec joie. Tu peux sortir de la table hein. Tu n'es pas un chien.

J'avais tout à fait reconnu le ton ironique qu'il avait employé en disant sa dernière phrase et y répondit par un regard noir. Mais au lieu de se sentir coupable, il trouva cela encore plus drôle et m'adressa un sourire encore plus large.
-Allez, mets-toi à genoux devant moi et réclame ton dessert, m'intima mon ancien camarade, les bras sur les hanches, bombant le torse et mettant en avant ses attributs sexuels.
-Je n'ai plus faim.

Clac ! J'eus à peine finit ma phrase qu'une baffe magistrale claqua sur ma joue. Instantanément, elle rougit et s'échauffa douloureusement. Encore sonné par la puissance du coup que j'ai subis, j'eus du mal à retrouver ma position de soumission que m'avait imposé Jérémy. Ce dernier m'attrapa par la peau du coup et me remit sur mes genoux avec force.
-Qu'est-ce que tu viens de dire ? Je ne t'ai pas demandé si t'avais la dalle ou pas ! Je t'ai demandé de réclamer pour avoir du dessert ! Alors tu réclames immédiatement ! En fait, j'ai même une meilleure idée pour ton cas de merde de chienne désobéissante !

Il passe à mes côtés et passa son pied droit derrière ma nuque et appuya dessus pour me faire fléchir. Mon visage se retrouva collé entre le sol et le bout ses autres orteils.
-Tu vas me supplier maintenant pour avoir ce dessert ! Tu m'as bien compris, pédale de merde ?
-Oui-oui, j'ai bien compris, parvins-je à articuler, malgré la contorsion extrême que subissait mes cervicales sous le poids imposé par son talon.
-Alors supplie-moi tout de suite ! ordonna-t-il en pressant un peu plus fort.
-Je t'en supplie, donne-moi mon dessert : j'en ai très envie.
-Depuis quand est-ce que tu me donnes des ordres, bâtards ? C'est qui le putain de soumis ici ? s'écria-t-il plus fort que jamais en manquant de briser les os de mon cou.
-C'est moi... le soumis... ! prononçai-je avec grande difficulté. C'est moi... le soumis... ! Je suis désolé de t'avoir commandé ! Je voulais dire... Pourrai-je avoir de ton dessert ?
-J'aime mieux ça, répondit-il sur un ton bien plus doux en ôtant son pied de mon échine. Remets-toi sur tes genoux et attends-moi.

Jérémy se dirigea vers le frigo et en tira un yaourt nature dont il ôta le plastique qui le fermait. Il s'avança vers moi, tenant toujours le pot pour se stopper à environ trente centimètres de ma position. Il prit alors sa queue à demi-molle et la trempa dans la crème, la faisant tourner dedans pour s'assurer que chaque centimètre était bien recouvert. Il la dégagea ensuite pour finalement la pointer vers ma bouche.
Il passa ensuite  sa main derrière mon cou et l'amena vers son sexe blanc de crème, affichant un sourire en coin qui ne le quittait pas ces derniers temps. J'ouvris les lèvres pour le laisser entrer et faire des aller et venus dans ma bouche.
-Ah, je savais que ça te plairait, commenta-t-il en voyant que je faisais ce dont il avait envie sans qu'il ne me le demande. Va-y, tête-la, c'est ton petit biberon à toi. Suce-la comme si c'était une belle grosse sucette. Attends, je vais te remettre un peu de crème, qu'en dis-tu ?

Il trempa une fois de plus son sexe dans le pot et me la présenta une nouvelle fois. Chaque coup de langue que je lui donnais amplifiait sa taille une nouvelle fois, malgré qu'il ait éjaculé il y a moins d'un quart d'heure. Je m'adonnai une fois de plus à la tâche de lécher le yaourt qui couvrait son sexe. J'avais de plus en plus de mal à faire tourner ma langue autour de son membre tant il grossissait et me contentai de racler au moyen de mes joues et de mon palais.
J'entendis des soupirs d'aise s'échapper des lèvres de Jérémy tandis qu'il passait sa main dans mes cheveux, m'intimant qu'il appréciait ce que je lui faisais. Puis il m'arrêta dans ma fellation, attrapa la chaise la plus proche et s'assit dessus. Il trempa ses doigts dans le pot de yaourt et en étala sur son torse, ses abdos et ses tétons en disant :
-Allez, viens un peu lécher mon corps : je sens que tu en meurs d'envie.

Une fois de plus, il empoigna mes cheveux et m'emmena contre son corps. De ma langue, je nettoyai les différentes parties qui avaient été peintes de crème. Je m'appliquai à ce qu'il n'en reste pas une trace sur son musculeux corps, au grand plaisir de mon dominateur qui souriait de plus belle, se masturbant de sa main gauche de me voir ainsi soumis. Je passai ma langue sur ses abdos de fer, sur le V que formait son bas ventre et fit le pourtour de son nombril. Lorsque j'arrivai au niveau de ses pectoraux, sa main se fit plus pressante sur mon crâne et je compris qu'il souhaitait que je l'attarde sur chacun de ses tétons.
Je passai ma langue à plusieurs reprises et les mordillai légèrement, les faisant pointer. De mes lèvres en cul de poule, je les suçai et les chatouillai, pour son plus grand plaisir, à ce que je compris, en entendant ses gémissements répétés. Lorsqu'il jugea en avoir eu assez, il redirigea ma tête vers son bas-ventre. Mais cette fois-ci, c'était vers ses testicules qu'il s'arrêta.
-Va-y, prends-les dans ta bouche.

Je m'exécutai instantanément et pris une de ses boules entre mes lèvres. Elle était velue et grosse, au point qu'elle me remplisse déjà grandement. De sa main libre, il prit l'autre et fit son possible pour la fourrer comme il le pouvait. En faisant cela, il me commanda d'agiter ma langue et de les lécher, ce que je fis sans broncher, une fois de plus.
-T'es vraiment une belle petite pute maintenant : tu m'obéis sans rien dire maintenant, commenta-t-il sur un ton qui mêlait le dégoût et la perversité. T'es totalement mon putain d'objet, sale bâtard.
Il cracha un gros molard sur mon visage et m'imposa un plus gros poids sur le corps, ce qui me fit basculer en arrière. Etant assez proche du sol, je ne ressentis qu'un choc fort peu douloureux et je me retrouvai de nouveau dans une position que je connaissais bien, entre les jambes de Jérémy, ses testicules me remplissant totalement la bouche.

Il les retira et y enfonça son pénis avec vigueur. Il se mit en chute faciale sur une main et de l'autre, il me maintint le visage sur le sol. Puis, comme s'il faisait des pompes, son bassin montait et descendait me baisant la bouche avec son membre. Dans cette position, j'étais incapable de me mouvoir, incapable d'exercer une quelconque forme de pression. Je ne pouvais que subir les assauts toujours plus violents des  fantasmes de Jérémy. D'un coup, il enfonça son membre au plus profond de ma gorge, coupant totalement ma respiration. J'avais le nez dans ses poils pubiens qui me chatouillaient les narines et les gouttes de sueurs qui s'écoulaient se mélangeaient à son crachat, la salive que je laissais s'écouler sur mes joues et son liquide pré-spermatique. Ce dernier coulait si abondamment que je cru qu'il avait déjà éjaculé alors qu'il n'en était rien.
Il fit des cercles avec son bassin, faisant tournoyer sa queue dans mon oesophage. Il resta une dizaine de seconde ainsi, me privant totalement d'oxygène avant de reprendre sa baise orale de façon toujours plus vigoureuse. À chaque va et vient, il ne laissait que son gros gland dans ma bouche avant de réenfoncer tout son membre d'un grand coup. Il procéda de cette façon durant environ cinq minutes avant de me soulever par les aisselles pour me remettre sur les genoux et me pousser vers un mur, dos à la paroi. Il écarta alors ses cuisses, avança vers moi son sexe en érection, attrapa à deux mains mon visage et l'enfourna une fois de plus au maximum, employant de toute la force dont il était capable pour me maintenir en place. Je sentais l'étrange mélange des quatre liquides s'écouler lentement sur mon menton et atteindre ma nuque. J'avais un goût salé et amer dans la bouche, caractéristique de son sperme.

Puis il recommença encore une fois à me pilonner la bouche avec violence. Ma tête cognait contre le mut à chaque enfoncement. Je voyais ses muscles se tendre et se détendre au rythme de ses pénétrations. Plus il allait vite et plus ses râles étaient puissants, de vrais cris d'animaux en rut. Il ne me ménageait plus du tout. Je n'étais qu'un trou, un aspirateur à bite dont il pouvait se servir à sa guise, ce dont il faisait.
Pour un dernier coup, il resta profondément ancré dans ma bouche. Je sentis tout son corps se raidir et ses testicules se raffermir. Je ne perçu même pas le sperme s'écouler dans ma gorge tant il était enfoncé mais vu le temps qu'il resta, il y en a un sacré paquet. Il poussait des mugissements de boeuf et ton son corps irradiait d'une intense chaleur, me faisant suer à grosses gouttes.  Lorsqu'il retira son sexe de ma bouche, il en profita pour me donner deux coups secs avec.
-Putain, c'est encore meilleur quand tu me suces maintenant !

Valtaria

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