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La Communauté 8
Retour au désert
Les trois frères insistèrent lourdement pour que je renonce à mon projet de trouver la Communauté, faisant part de leur inquiétude à me laisser là au milieu de nulle part, me rappelant la probable angoisse de mon père trouvant la maison vide, et me faisant imaginer une vie de plaisirs sûrs entre lui et des séjours à l'exploitation agricole où je pourrais " leur vider les couilles à loisir " et me " refaire une santé sur leurs bites ". Ils n'étaient pas loin de réussir à me dissuader. Les images qui commençaient à se dérouler dans mon esprit réveillèrent mon petit trou, stimulé avant le repas par les doigts d'Alain et André. Je choisis de mettre fin à cette conversation en me levant, me débarrassant de mon boxer et mon tee-shirt, et allant m'allonger sur la banquette-lit du fond, cuisses relevées et cul offert tourné vers eux. Ne préféraient-ils pas profiter de nos dernières heures avant leur retour ? Les trois mâles se levèrent en même temps, jetant leur serviette sur la table, puis leurs caleçons, et me rejoignirent. Quel beau spectacle, que ces trois frères virils, à poil, marchant de concert vers moi et mon cul pour s'en régaler à coup sûr ! Et c'était parti pour 3 heures de tournante où je fus exploité bien comme il faut. Je n'eus aucun répit, à l'avant comme à l'arrière. Peut-être pensaient-ils pouvoir m'épuiser pour finalement m'emmener endormi avec eux ? Sauf qu'ils avaient dû oublier qu'à chaque dose de protéines de couilles, je me sentais revivre et capable de courir un marathon de la baise. En plus, pas malins, ou alors pensant me séduire ainsi, ils prirent soin de toujours me gicler en bouche - enfin pas toujours : Claude eut le plaisir de connaître mon pompage anal, qui se réveilla soudainement, sans que j'établisse vraiment le déclencheur, mais c'était peut-être d'avoir pu enfoncer toute ma langue dans le cul d'André sur lequel je bataillais depuis un moment ; en tout cas, Claude ne s'en remit pas et ne put s'empêcher d'exploser au fond de moi. Bref, avec les cinq décharges que je m'étais pr!
ises, je ne me fatiguais pas et les couilles, les trous et les queues pouvaient défiler, je me sentais d'attaque ! En fait c'est eux qui déclarèrent forfait, chacun dégoulinant de sueur au moins autant que moi. On se doucha, et l'ambiance devint plus morose quand il fallut se séparer. Ils me donnèrent de la nourriture et une autre gourde, une seconde torche et je refusai la tente et le duvet que j'avais déjà ; ils ne savaient plus quoi faire pour se rassurer quant à mon départ, le soir, en plein désert. Moi-même je n'étais pas très fier, en voyant le noir profond par les vitres... Mais bon, après avoir été embrassé, caressé, encouragé, je fus laissé au bord de la route et regardai les feux disparaître dans la nuit.
Je me remis en marche : toujours cette route, interminable, et à moitié abandonnée depuis longtemps. J'essayais de ne pas penser aux dangers qui me guettaient sans doute. A mon père et à son chagrin. Je repensais plutôt aux étreintes sûres de ces trois mâles, à leur générosité sur tous les plans ; physiquement je me sentais bien, repu, et je pus faire quelques kilomètres sans peine. Mais où était cette putain de Communauté ? si loin ? et comment la trouver ?! j'allais je ne savais où, à part sur cette maudite route. Une heure dut se passer et je faillis ne pas voir un sentier qui partait sur le côté, vers la gauche, vers les flancs tout noirs de la montagne. Je le pris, me retrouvant vite parmi les herbes en touffe et les cailloux. Et je fus bien surpris, moins d'un kilomètre après, de voir une tache plus claire : oui, une cabane, pas loin d'être effondrée, mi planches de bois mi tôles. J'entrai la peur au ventre ; elle était vide. Je vis avec plaisir une cheminée et fis aussitôt un feu. Chaleur et lumière me firent le plus grand bien, tandis que j'installais mes affaires. Et puis... je me rendis compte de l'absurdité de ma situation : assis sur mon duvet, devant le feu, en plein désert en pleine nuit, seul et ne sachant pas où j'irais le lendemain... J'allais chercher des pensées rassurantes, et bien sûr je pensais au cul, ce que j'avais toujours fait dans les moments pénibles pour oublier. Naturellement mon esprit me ramena à Marc, et à Alex, et donc à mes deux mois d'été à la clinique. Quel bonheur, et c'était même peut-être l'amour ? Bien sûr je savais déjà que j'aimais tellement la bite que je pouvais confondre ma fascination pour la bite de Marc avec de l'amour... Bref, je décidai de ressortir mon gode-piston et de me faire du bien en repensant à ces journées de baise - sur prescription du médecin de l'hôpital, s'il vous plaît ! Je m'allongeai, relevant les cuisses face aux flammes, et m'enfonçai le gode, sans l'allumer. Mon trou, stimulé tout l'après-midi, me procurait déjà assez de plaisir sans le mouv!
ement du piston. J'oubliais un peu ma situation limite désespérée, et me branlottais la bite en m'immergeant dans mes souvenirs.
Après ma sortie de l'hôpital, et le diagnostic donné, nous passâmes mon père et moi quatre jours assez tranquilles, car j'avais été bien rassasié, et je retrouvais sans grave sensation de faim la routine qui s'était installée depuis le départ de mes frères. Je purgeais mon père au réveil, il partait au boulot, le voisin passait m'enculer en journée et au retour du travail, mon père allait directement s'asseoir dans le canapé, la bite à l'air, sur laquelle je me jetais avec gourmandise. On en était justement là, le soir du retour, quand il me lut la brochure donnée par le docteur et je l'écoutais tout en le pompant. Le CRVHN (Centre de Recherches sur la Virilité Hors-Norme - ces noms à la con !) était une petite clinique, hyper moderne, où on étudiait des cas déclarés (et apparus récemment) d' " anormalité " (terme à la con aussi) dans la sexualité, les performances, la libido de quelques hommes. Ceux-ci avaient choisi la clinique d'eux-mêmes pour essayer d'être traités, soignés, et qu'on leur permette de retrouver une vie " normale ", puisqu'ils en étaient arrivés, à cause de leurs performances, à rencontrer des problèmes de violence, de couple, de sociabilité, etc. Des expériences parallèles étaient menées, soit vers le sevrage, soit au contraire vers l'exploitation de ces performances. On avait bon espoir, après une longue phase d'observation, de découvrir un traitement idéal. L'objet de mon job alors, c'était de pouvoir satisfaire, soulager ces hommes hors-norme. Mon père en conclut que j'allais passer mes journées à sucer des bites, ce qui me fit le pomper encore plus avidement, et il dut interrompre la lecture pour gicler ses grosses doses du soir. Bref. Après la tournante du samedi, nous fûmes vite au lundi et je découvris la clinique.
Je fus reçu dans le bureau du directeur, l'ami d'études du doc de l'hôpital. Il connaissait déjà mes dispositions et n'hésita pas à en profiter pour commencer sa journée : il me donna sa bite à téter et je le fis dégorger derrière son bureau en 2 minutes : il n'avait rien de charmant, sa queue non plus, mais son jus était excellent. Il m'expliqua ensuite le fonctionnement et les règles de la clinique, et nous irions ensuite au local. J'allais pouvoir choisir 2 ou trois mâles avec qui passer la journée ; ils seraient attachés dans un premier temps, chacun dans une cellule indépendante, et il ne fallait SURTOUT pas que je les détache avant qu'ils aient joui au moins deux fois. La raison en était qu'après une nuit, au minimum, de frustration, ils étaient violents, très sérieusement. Je demandai s'ils ne pouvaient pas se branler. Non, précisément, la phase d'observation consistait à maintenir le plus longtemps possible - enfin le temps des examens - l'absence de jouissance. Je trouvai cela horrible... mais j'avoue que j'imaginais aussi les doses... Bref. Ses assistants m'expliqueraient davantage de détails, en me faisant choisir mes mâles pour ce jour-là. J'étais libre d'en changer chaque jour, mais comme il n'y avait qu'une dizaine de patients, au fil des jours j'allais forcément en retrouver certains. Ils étaient extrêmement propres, préparés pour moi, et il entendait que je sois propre aussi. Je lui assurai que oui.
J'allai ensuite au local. Deux jeunes assistants en blouse me détaillèrent de haut en bas. Il y avait des tas d'écrans, dont un géant, des consoles et toutes sortes de touches. Ils m'expliquèrent que tout serait filmé, pour l'expérience et aussi ma sécurité, et me répétèrent la nécessité de ne pas libérer trop vite les mâles attachés. Ils firent défiler ensuite les photos sous tous les angles et en érection des patients pour que j'en choisisse trois. Dès le premier je fus conquis, ce qui les fit rire, m'assurant qu'il en avait encore onze. Mais je voulus celui-là : un mec de mon âge, superbe, des pieds à la tête, imberbe, blond bouclé, au visage et aux yeux clairs, Alex :
- 1m82, 78 kg, pointure 42 ; 19 x 5. 21 ans.
- Trop plein de sperme permanent, appelé aussi la " fraiseuse ", impossible à arrêter et calmer, adore bouffer le cul et se le faire bouffer. Sourd-muet.
Ils le sélectionnèrent donc sur l'écran, puis on continua. Le n° 3 me produisit un choc ! Jamais je n'avais vu un tel homme, un colosse, aussi ténébreux par ses poils bruns et son regard que l'autre était solaire : Marc. Je ne pouvais me repaître de ses photos, je me les fis repasser plusieurs fois, rien que pour admirer, et mon corps réagissait en brûlant.
- 1m92, 88 kg, pointure 44 ; 21 x 5. 32 ans.
- " la fontaine ", juteur, bandeur, baiseur interminable, adore se faire lécher le cul, les tétons et les pieds.
Toutes ses proportions, tous les détails de son corps me parurent merveilleux et impressionnants. Je le sélectionnai donc et le fis passer en priorité.
Je m'arrêtais ensuite au n°8, qui me fit une impression presque inquiétante, un ours au regard pervers : Hervé.
- 1m85, 84 kg, pointure 44 ; 18 x 6. 42 ans.
- " la bête ", dominateur, atteint de priapisme (ce qui était aussi la tendance des deux autres), " le pilonneur ", aux éjaculations particulières, aussi grosses que violentes, comme des décharges de cartouche.
Mon excitation devenait terrible ; en plus, les assistants mirent les caméras des cellules 3, 1 et 8. Je vis les trois gars assis sur un banc adossés au mur, et attachés aux poignets bras écartés à celui-ci, bâillonnés, cuisses ouvertes sur une bite bien bandée tous, et à poil. Il y avait un autre banc sur le côté de la cellule, et juste un petit lavabo à l'entrée. Il fallait au plus vite que je me sente rempli. A l'accélération de ma respiration, un des assistants sur ma droite me demanda si j'allais bien. J'avais la tête à hauteur de ses hanches, et mon regard, allant de ses yeux à cet endroit, fut assez clair : il déboutonna sa blouse puis sa ceinture, juste de quoi faire sortir une belle bite blanche et un peu incurvée, que je me mis à sucer aussitôt. L'autre assistant préféra nous laisser : " un hétéro fanatique " me dit son collègue en savourant ce que je faisais. Puis il voulut vérifier ma propreté et en profiter pour me préparer un peu le cul, pour les prochaines heures. Il me pencha sur les consoles, me doigta et m'encula efficacement par derrière, tandis que je ne détachais plus mes yeux des écrans. Au moment d'exploser il se retira et je m'agenouillai pour recevoir son jus, une dose assez moyenne, ce dont il s'excusa presque : " il avait bien farci sa copine avant de venir au boulot ". Pendant qu'il se réajustait, je me mis à poil, et il me conduisit à la porte du couloir, me disant que tout irait bien si je restais prudent au début. De toute façon j'étais filmé et ils interviendraient si nécessaire. Puis la porte se referma sur moi.
Mike
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