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"Plan à 3"
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Premier épisode | Épisode précédent

La Communauté 9

Souvenirs de la clinique : Marc

J'allai directement à la cellule 3.

En ouvrant la porte, je pus admirer de plus près le mâle merveilleux qui attendait. Il leva la tête aussitôt vers moi et je vis sa poitrine s'agiter, tandis qu'il m'indiquait du menton sa bite dressée et énorme entre ses cuisses. Quel regard ! de la fureur, de la détresse, des yeux sombres et brillants, qui m'électrisèrent aussitôt. Il me suppliait. J'entendais gémissements et cris étouffés par le bâillon. Jamais je n'avais vu pareil corps : je crus sans peine aux dimensions qu'on m'avait données. J'approchai, aussi excité qu'apeuré : je voyais qu'il tirait sur les attaches de ses poignets, et ses efforts contractaient ses muscles. Quelle puissance il dégageait !

Il est clair qu'il aurait pu me broyer. Je fondais littéralement, et me retrouvai à genoux entre ses cuisses longues, massives, velues, et devant cette bite incroyablement belle. Mon ventre se tordit d'envie tandis que je détaillai d'un clin d'oeil les grosses couilles, le cylindre massif, régulier, les veines, le gland parfait où perlait de la mouille. Je léchai le frein avec délice en fixant ses yeux, brillants de larmes, et recueillis cette perle, puis j'empoignai la queue à sa base, sans pouvoir fermer vraiment mes doigts autour, et goûtai au merveilleux gland, le suçai, le léchai. Lui me regardait le visage crispé, et sa poitrine ne cessait de se soulever au rythme d'une respiration effrénée. Je pompais lentement de plus en plus profond dans ma gorge.

Il grognait à chaque fois que son gland frottait mes amygdales. Je lui caressais les couilles de l'autre main, terriblement dures ; je tentai de les assouplir en les malaxant doucement ; elles remplissaient ma main. Après l'avoir pris à fond deux fois, je sentis tout son corps se raidir, et s'il n'avait pas eu le bâillon il aurait hurlé. Je n'avais pas sucé plus de deux minutes ; sa bite eut un brusque sursaut qui me la sortit presque de la bouche. Averti par les assistants, je la maintins fermement ; une décharge violente me remplit d'un coup. J'avalai une grosse gorgée brûlante : jamais je n'avais connu un tel délice. Mais ma surprise ne s'arrêta pas là : les jets ne cessaient pas : je sentais sous mes doigts les violentes poussées animer la hampe, sur l'intérieur de mes joues et sur mon palais les giclées. J'avalai tout, en je ne sais combien de gorgées, tellement délicieuses que j'en couinais à chaque fois, et lui m'accompagnait avec ses râles, qui exprimaient au fur et à mesure non plus de la douleur, mais un soulagement extrême.

Je ne pensai pas à regarder son visage, j'étais tout occupé à tout déglutir, j'avais l'impression d'être une gourde qui gonfle ou d'être embouché à un pis, ou qu'on vidait un biberon plein en pressant ses parois pour accélérer la vidange par giclées. Après une dizaine de geysers de foutre, ce n'était pas fini : on ne m'avait pas menti ! le gland continua de déborder de sperme par nappes, que je léchai et tétai au méat. Je regardai mon mâle : il en pleurait de soulagement ! Il s'était complètement relâché et me regardait, des larmes coulant sur ses joues, sa poitrine s'apaisant lentement. Il poussait encore quelques soupirs espacés. Moi je plissais les yeux de plaisir en dégustant les dernières gouttes de son jus. Pour la première fois j'avais l'impression d'avoir été rassasié par un seul homme. Et quel homme ! comme il était beau ! comme il m'avait fait du bien en me remplissant le ventre !

Je ne savais comment lui dire mon plaisir et lui marquer ma reconnaissance. J'entrepris de respirer tout son corps et de le couvrir de baisers, son immense torse mat et poilu, ses tétons tout saillants sur ses larges pectoraux, ses aisselles fournies des mêmes poils très noirs qui formaient une ligne régulière du plexus au nombril et au pubis, taillé court. Sa bite n'avait pas débandé d'un millimètre ! Je léchai l'intérieur de ses cuisses, descendis jusqu'aux pieds longs et carrés, très beaux. J'aurais bien aimé voir son dos et ses fesses ! mais je luttai contre la tentation de le détacher trop tôt, et changeai d'idée en léchant chaque pied, tout en le regardant. Comprenait-il que tout ce jus qu'il m'avait donné, avec ses propriétés extraordinaires, me rendaient complètement à son service ? Il ne me quittait pas des yeux ; il étendait la jambe et me voyait téter avec amour ses orteils. Sa jambe était tellement puissante que j'avais peine à la tenir levée, le talon dans mes mains.

Il étendit l'autre quand il voulut que je change de pied ; il appréciait à en juger par son regard ! Puis je remontai vers sa grosse paire de couilles (quel pouvoir phénoménal elles avaient !), en léchant encore l'intérieur de la jambe, et les soulevai de la langue, puis, encore en le fixant, je tentai d'atteindre son cul. Il écarquilla les yeux et bougea pour s'asseoir à la turque sur le banc. Ses mouvements de tête étaient on ne peut plus clairs : je me renversai pour poser la mienne sur le banc, sous ses fesses : vue imprenable sur ses boules miraculeuses et sa raie sombre un peu velue ; puis je le guidai pour qu'il me couve comme un oeuf, son trou pile sur ma bouche.

Il était brûlant, impeccable, petit et serré. J'obtins un grognement de plaisir dès que je commençai à le lécher, et d'autres plus vifs quand en écartant plus ses fesses viriles de mes deux mains, je dégustai avec application cette rondelle de mâle. Je ne m'arrêtai qu'à cause de ma position inconfortable et j'étouffai, le nez dans sa raie. Quand chacun reprit sa position, je vis qu'un long filet de mouille s'échappait du gland. Je le léchai aussitôt. Comment pouvait-il ne pas avoir débandé du tout ?! et même ses couilles me paraissaient aussi lourdes et dures que tout à l'heure !

Je me tournai devant lui, me baissai en écartant mes fesses, et vis avec plaisir que son regard brillait d'excitation. Il désigna encore sa bite. J'entrepris de la sucer en salivant un maximum, et me doigtai le cul en même temps : il allait falloir que je m'enfile ces 21 cm magnifiques. Son pied vint titiller ma raie ; je compris aussitôt, lâchai sa bite pour aller téter et mouiller son gros orteil, puis je me le calai sur le trou et revins me pencher pour pomper sa queue. A petits coups, l'orteil me dilatait la rondelle, me faisant gémir. Je ne quittai pas ses yeux, la bouche pleine et le cul investi. Je fis quelques mouvements sur l'orteil tout à fait rentré, et n'y tenant plus, je montai le rejoindre sur le banc ; il avança légèrement le bassin et les yeux dans les siens je m'empalai lentement sur son dard de rêve ; j'avais passé mes bras autour de son cou et nos visages étaient à 10 cm l'un de l'autre.

Le passage du gland m'arracha un cri, puis je m'enfonçai le reste millimètre par millimètre, en soufflant, en le voyant osciller entre crispations et yeux révulsés à mesure que je m'enfilai son mastard. Jamais je ne m'étais senti rempli à ce point et dilaté tout du long par une seule queue, je devenais le moule parfait pour sa bite parfaite. Elle était tellement puissante que je sentais dans mon ventre les petites secousses qu'il donnait à sa bite en bandant encore plus dur ; rien que ça me faisait prendre mon pied, et il le vit bien : il continua un petit moment, alors que je me perdais dans ses yeux, et je sentis mon sperme se répandre entre nos ventres. Il donna alors ses premiers coups de bassin, avec un regard qui semblait dire " t'as rien vu encore ". Et à chaque coup je gueulais de plaisir. Mais il avait dû être tellement frustré que là encore il ne tient pas longtemps : son visage se crispa longuement, il beuglait derrière son bâillon et soufflait comme une bête, me faisant sauter de plus en plus vite et sèchement. Je m'accrochais d'autant plus à son cou, où je plongeai aussi la tête, mi criant mi suppliant avec mes " ouiii " interminables.

Je crus qu'il allait péter ses attaches tant il se raidit et dans un cri heureusement étouffé il jouit en moi. Assis sur sa bite entièrement, je pouvais sentir sur mon sphincter la hampe se gonfler pour chaque giclée. Sensation merveilleuse hallucinante. Il ne bougea plus tant qu'il se vida, je ne sentais plus que sa queue pulser son jus et je m'imaginais gavé de l'intérieur autant que l'avait été mon estomac. Sur la fin de sa vidange, les soubresauts le reprirent, et je m'accrochais toujours à lui, ne pouvant m'empêcher de l'embrasser dans le cou, en couinant de bonheur. Il baissa la tête pour reprendre son souffle, et nous restâmes immobiles quelques minutes. Quand nous nous regardâmes, l'amour était là, j'en étais sûr ; et son regard me disait que je pouvais le détacher.

Je me levai lentement, sentant quel vide il avait creusé en moi à mesure que sa bite se dégageait. Le gland n'était pas sorti que je me vidai de son jus cette fois, une vraie mare lui recouvrit la queue et les couilles, et ça continuait de s'écouler quand je remis pied à terre pour me tenir debout. J'avais l'impression d'avoir pris un obus dans le cul ; quand je me redressai tout à fait, la fermeture de mon anneau me coûta un cri, ce qui nous fit sourire tous les 2. J'allai chercher la clef des menottes près de la porte, lui enlevai le bâillon et nos lèvres se mêlèrent instantanément. " Tu m'as choisi en premier ; j'oublierai jamais ça ! " me dit-il. Après le baiser je le détachai ; il me prit aussitôt dans ses bras immenses et musclés et se leva ; je ceignis sa taille et sa nuque, et les baisers continuèrent longtemps, longtemps...

Sous ma raie, je pouvais sentir sa queue, toujours pas ramollie ; elle était juste plus horizontale et moins dure, mais aussi grosse. Je glissai de ses bras pour me rendre compte : oui, encore toute gonflée, de même longueur, à peine déclinante. J'hallucinai complètement ! Il rit en me disant que s'il était là c'était pour une bonne raison... Jamais je ne m'étais senti si petit et soumis à un géant pareil, la tête face à sa bite dégoulinante. Je me mis à le téter avec précaution, avec une forme de respect, tandis qu'il se massait les poignets, se dégourdissait les épaules, et quand je caressai ses cuisses brunes, musculeuses, qu'il contractait, trop heureux de se tenir debout, je me ressentis bander. Tout en léchant doucement pour nettoyer les moindres traces de jus, j'explorais de mes mains tout ce qu'elles pouvaient atteindre, et constatai la perfection de ce corps, des mollets aux pectoraux, si chauds, velus et durs. Je léchai ses couilles, comme nappées de sperme.

Il m'interrompit pour prendre sur l'autre banc le mini matelas, sur lequel il me dit de m'allonger sur le dos, et il vient au niveau de ma tête, et fléchit les jambes pour poser sur ma bouche son trou du cul. Je ne boudai pas mon plaisir en léchant la rondelle bistre que ses mains ouvraient au maximum ; je caressais son dos immenses, ses lourdes couilles sur mes yeux, et me faisais un festin, comme lui qui ne cessait de répéter à quel point c'était bon. Au bout de 10 mn il me releva sous les aisselles comme une plume, et me mit en levrette, me disant qu'il avait vraiment besoin de se dégourdir les reins... Commença alors un ramonage de fou d'une demi-heure, où effectivement son bassin fit merveille. Je ne sais lequel des deux s'exprimait le plus, sauf que moi j'étais dans les aigus, et lui dans les " hummm " rauques et ininterrompus. A chaque changement de position il se faisait sucer la bite en rajoutant de la salive dans mon conduit chauffé à blanc.

Il me fit jouir une première fois, en m'enculant debout, me tenant une jambe alors que je m'appuyais des mains sur le banc ; mon autre pied touchai à peine le sol. Il salua l'arrivée de son torrent de jus d'un " ouais putain, je vais me vider ! " en beuglant, et de retrouver les sensations de sa hampe gonflée par les giclées, de la chaleur qui me remplissait, suffit à me faire juter moi-même sur le carrelage. Mais ce n'était pas fini : sa bite était toujours plantée au fond et toujours aussi raide ; le ramonage reprit dès qu'il se sentit purgé. Après avoir visité tous les angles de la pièce, il m'acheva en missionnaire, en faisant des pompes sur moi, écartelé, et seule sa grosse bite était en contact avec moi, pilonnant sans relâche, m'arrachant cris sur cris, prières sur prières, et lui m'encourageait à me donner encore mieux, en bonne salope affamée.

Et puis il me promit une nouvelle dose, se mit à hurler en limant comme un malade, comme si on lui arrachait les couilles. Il sortit brutalement, s'installa à ma hauteur un genou à terre et tenant fermement sa bite ; le temps qu'il me relève la tête et que j'arrive à emboucher son gland, je me prenais déjà une giclée terrible qui me recouvrit le visage, et seulement ensuite, prêt, je pus me délecter des jets suivants. Me voyant bien calé, il se remit en position de pompe, cette fois avec sa bite seule dans ma bouche. Je m'étouffai presque tant il y en avait. Lui me regardait me nourrir, étendu de tout son 1m92, sur ses poignets et ses orteils : " vas-y, bébé, régale-toi bien, prends bien tout - h, putain c'est bon ! ".

A mesure que je me remplissais le bide de ce lait exceptionnel, tenant la bite d'une main, caressant ses pecs de l'autre, le plaisir montait en moi aussi, au point que j'en giclai moi-même sur mon ventre, plié en deux par les spasmes qui me firent m'enfoncer son énorme bite, heureusement moins raide, au fond de la gorge. Grognement de bonheur de Marc, qui m'encouragea, le visage radieux : " oui, bébé, vide-toi, moi je te remplis ". Une fois sa source tarie il s'allongea à mes côtés ; je tremblais de partout. Il me prit dans ses bras et on fit une petite pause. J'étais au paradis et je ne sentais plus mon corps sauf mon estomac, comme si j'avais bu un bol de lait chaud, et mon trou, que je sentais pulser sans se calmer.

Mike

cherchebiberon64@hotmail.fr

Suite de l'histoire

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