Cette histoire réelle s'est passée voilà quelques années ; j'avais 35 ans ; brun 180m 75kg ; cheveux châtain ; un peu poilu ; corps bien dessiné mais sans plus.
Depuis quelques mois, 5 taches sur ma peau (qui est mat) avait grossi au point de devenir de petits boutons. Avec tout ce qu'on entend sur le cancer de la peau, je prends rendez- vous chez le dermato le plus proche de chez moi pour un mercredi à 13.00.
Le cabinet est au premier étage dans un immeuble haussmanien ; je sonne à la porte ; un docteur de 55/58 ans , cheveux gris, la blouse à même la peau , vient m'ouvrir et de me demande de patienter dans une salle d'attente avec 4 mètres de plafond, deux cheminées et surtout personne d'autres.
Il revient 5 minutes plus tard et me fait passer dans son cabinet : une grande pièce de 60m2 avec deux grande fenêtres qui donnent sur l'avenue ; deux grandes glaces au-dessus de deux cheminées ; un plafond 4 ou 5 mètres ; ça ressemble plus à un salon qu'a un cabinet de docteur ; il y a un bureau immense en bois ... et aussi une table de consultation.
Je lui expose mes préoccupations ; après les questions classiques sur mes antécédents médicaux, il me demande : est-ce votre première visite chez un dermato ? ...moi : oui ... lui : bon, voyons ces boutons ... pourriez-vous vous mettre en sous-vêtements mais sans garder les chaussettes (autrement dit : en slip) ... on va commencer par un contrôle globale rapide pour voir s'il n'y a pas autre chose.
Où se déshabiller ? pas de paravent, pas d'endroit ou se cacher ... il voit ma surprise et me dit : vous pouvez vous déshabiller ici, c'est plus pratique .. après allongez-vous sur le lit médical .. je reviens ... il sort .. je mets mes affaires sur le siège visiteur et m'allonge en caleçon .. il revient
Il commence à inspecter le visage en le prenant dans ses mains ; puis le cou, puis elles descendent sur les bras, les épaules, le torse, le ventre ; il repousse mon caleçon à la limite des poils .... puis il passe aux pieds, ses mains remontent sur les mollets, les cuisses, le haut des cuisses à la lisière du caleçon ...
Lui : très bien .. rien à signaler à part les boutons , pourriez baisser votre caleçon sur vos genoux, svp.
Moi : euh
Lui : ne vous inquiétez pas c'est juste un contrôle de routine .... Un peu comme à l'armée .
Moi : je n'ai pas fait le service, ils n ont pas voulu de moi.
Je baisse mon caleçon au niveau de mes genoux. Ses mains palpent le haut de mes cuisses ; lui : pourriez-vous écarter les cuisses au maximum .. j'écarte .... Mais le caleçon me gène , je le vire. Me voila à poil sur la table. Il palpe l'intérieur des cuisses ... je commence à avoir chaud ... il est sur le plis de l'aine .. vérifie s'il y a des boutons sous mes poils pubiens. Tout d'un coup, ses mains palpent mes couilles ... il me regarde dans les yeux .. je vous fais mal ? moi : non ; lui : vous avez eu des problèmes à l'adolescence ; moi : aucun, elles sont descendues normalement, qu'en pensez vous ?
Lui (ses mains toujours sur mes roustons) : effectivement, tout à l'air normal ; continuons. Il prend ma queue toute molle et l'inspecte .... Je ne peux plus respirer ; Normalement je devrais bander comme un âne , je suis annhilé et tout mou (ouf) ; lui : vous avez un méat important ; aucun problème avec ? moi : aucun ; lui : comment faites vous quand vous urinez ? moi : je décallote ; lui : et dans vos rapports intimes, est ce que vous avez eu des soucis ? des douleurs ? moi : aucun souci, aucune douleur. Lui : pourriez-vous vous décalotter svp ; moi : oui bien sur !
Me voilà en train de décalotter mon gland devant le docteur ; j'ai du mal à réaliser . Il le prend en main et passe son doigt sur le bord du gland sur toute la circonférence ... moi : un problème, docteur ? lui : il ne semble pas mais votre méat est vraiment important ; en fait, cet examen devrait se faire une verge tendue pour être 100% sûr ; mais c'est bon pour aujourd'hui ; pourriez-vous vous allonger sur le dos.
Je me retourne , pas fâché d'arrêter cet examen. Il inspecte le cou, le dos, les fesses, les jambes puis remonte sur les jambes. Là, il met une main sur chacun de mes fesses et me dit : pourriez-vous écarter les fesses svp ! Je ne sais pas quoi répondre ; c'est l' humiliation totale ; le gars va voir ma rondelle qui est rasée de frais et toute propre. Après quelques secondes qui me semblent des plombes, j'écarte un peu. Lui : relâchez-vous un peu plus ; essayez de pousser comme si vous vouliez déféquer. Je pousse au max. Le temps s'arrête ; il ne bouge plus, il regarde ; je sens son souffle sur ma rondelle. Aucun mouvement de son côté. Il semble perplexe comme s'il découvrait un truc nouveau, inattendu. Ma queue commence à durcir. Lui (sans bouger) : vous avez une rougeur mal placé, vous utilisez quelle lame et quelle crème pour vous raser ? vous vous rasez souvent ? Et me voilà allongé sur le ventre, les fesses écartées entre ses mains en train de lui expliquer comment je me rase la rondelle !!! surréaliste !
Il n'a toujours pas bougé ; je voudrais le voir ; je tourne la tête à droite et là je vois la glace sur la cheminée et surtout l'image qu'elle renvoie : il a sa tête sur mes fesses quasiment. Ca y est je bande mais il ne le voit pas.
Il bouge sa main droite et d'un doigt inspecte l'intérieur de ma fesse droite jusqu'à l'anus ; il se met à le caresser et me demande : vous sentez une douleur quand je fais ceci ? Tu penses bien que non ducon. Moi : pas du tout, vous caressez mon anus très doucement.
Lui : c'est bizarre cette rougeur ; vous a-t-on déjà fait un toucher rectal ? moi : pour raison médical, jamais !
Après ce qui me semble des heures, il me lâche et me dit : bon allez maintenant on traite vos boutons ; on verra cette rougeur la prochaine fois. Il enlève les boutons de mes jambes et de mon dos (moi toujours à plat ventre à poil) ; il les enlève avec un petit instrument. Ca fait un peu mal et je bande un peu plus. Lui : voilà, il m'en reste un à faire, celui sur le torse. Moi : il est tout petit ; ce n'est pas nécessaire ; lui : non , il faut l'enlever aussi, c'est peut-être le plus dangereux.. Je n'ose pas lui demander de me passer mon caleçon qui est par terre plus loin ; que faire ? je décide de me retourner à plat dos en masquant mon érection avec mes mains et bras et de voir sa réaction ; s'il se détourne, je saute et enfile mon caleçon.
Me voilà à plat dos, mes mains sur les couilles et ma queue sous mon bras gauche. Je suis ses yeux . Ils passent furtivement sur mon entrejambe puis y repassent et y re-repassent. Je comprends en un éclair: il se régale à mâter en fait depuis le début... je zyeute son pantalon qui me le confirme. Anéanti par la situation, je n'avais pas compris. Là tout change car je suis aussi assez exhib surtout avec un mateur.
Il se penche sur le bouton qui est sur le côté de mon torse. Je laisse mes deux bras pendre vers le sol. Ma queue est libérée et apparait toute raide au-dessus de mon ventre et mon gland partiellement décalotté. Ses yeux ont regardé furtivement quand ma queue est apparu mais il se contrôle.
Je passe à l'attaque. Moi : une fois que vous aurez enlevez ce bouton, vous pourrez vérifier s'il n'y a aucun problème avec mon gland ; qu'en pensez-vous ? C'est peut-être pas assez tendu ?
Il tousse, s'active sur le dernier bouton et finit par répondre : pourquoi pas ?
J'ai pris le contrôle de la situation.
Olifun
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