Premier épisode | Épisode précédent
C'est beaucoup plus soft quand ils reviennent de leur weekend vers 21h : sales et crevés, je leur ai prévu un bain et un massage pour chacun, et un bon repas. Texto : " on est à une demi-heure ". Je vais couler un bain. On peut dire que ça sent l'homme quand on s'embrasse ! " on s'est lavés que les dents... " Je leur propose le programme : " nickel ! vas-y, Tophe, moi je vais m'allonger ", décrète Mathieu. J'emmène le beau Normand, le met à poil et fourre ses fringues puantes dans la machine. Il entre dans le bain, je reste au bord, le caresse : ça bande dur ! mais je préfère le laver pour l'instant : bite, pieds qui dépassent, cheveux. Je le laisse un peu, rejoins Mat' qui dort et se laisse déshabiller : ça pue aussi ! J'ajoute ses fringues et lance la machine. Retour à Christophe. Il se met debout et je le lave en entier, cul et re bite. Je le sèche bien, " c'est bon de se laisser faire " dit-il. Tu m'étonnes !
Je l'envoie dans l'autre chambre et rince la baignoire, qui en a besoin... Il est sur le ventre et je le masse d'abord. Puis sur le dos, je baise, lèche et suce tout ce que je peux. Je suce ses orteils en 69 sur lui qui me doigte le cul. Puis je recule et il me le bouffe tandis que je le pompe. J'ai bien récupéré, dit-il, il m'a connu plus dilaté !... Je sens sa bite hyper gonflée, et d'ailleurs il m'arrête : il est archi plein mais me ferait bien le cul. Il me repousse en avant, et en appui sur les chevilles, je m'empale sur son gourdin, pour qu'il voie bien le spectacle. Ouf, je le sens passer ! Mais je mouille très vite, et me le prends de mieux en mieux et de plus en plus vite, à sa grande satisfaction : " ah ouais, défonce-toi ! Tire-moi le jus ! " Je lui palpe les couilles en même temps, puis prend appui sur une main et fouille sa raie d'un doigt de l'autre. Je sens que mon cul lui moule parfaitement la queue et il doit avoir une vue d'enfer. J'enfonce mon doigt, il geint de bonheur. Et heureusement que je n'ai pas à soutenir l'effort longtemps en appui, il me tient bientôt la taille, gueule et se soulève à cause du plaisir : il m'inonde le conduit. " Montre-moi " dit-il un peu calmé. Je me lève, lâche sa dose sur sa bite qui claque contre son ventre. " Ouais... " commente-t-il. Quand je me retourne, il me dit d'un air coquin faussement désolé : " oh, faut tout renettoyer... ". Alors je lèche son jus et suce délicatement sa bite. Tout propre et soulagé, je le laisse profiter du repos.
Au tour de Mat' ! Je fais couler le bain et vais le réveiller doucement. Je lui prodigue la même toilette qu'à Christophe mais c'est dans la salle de bain même qu'il décide de me sauter, debout. J'ai une cuisse posée sur le meuble du lavabo ; on peut se mater dans le miroir. Je me branle pendant qu'il bourre comme il sait faire. Je répète son nom en gémissant et lui me répond par des " salope ! " autoritaires. Je jute, arrosant le meuble, et il me féconde aussitôt après, à grands renforts de " aah ! purée ! ". N'étant plus à une tache près, je me vide en m'agenouillant pour lui téter les dernières gouttes. Il me caresse gentiment les cheveux. Après une tendre pelle, je lui explique qu'il n'y a plus qu'à faire réchauffer des plats ; il y part, je déclenche la fonction sèche-linge, rince la baignoire (encore plus dégueu !) et essuie le sperme. Je vais réveiller Christophe et on prend l'apéro tous les trois tranquilles devant les infos, puis on mange et ils me racontent le festival. Au dessert, bien avinés tous, on passe au salon, et Chris lance qu'il est temps de me " péter le cul ". Toujours aussi poétique lui ! Je leur dis que j'avais pensé à un petit show réciproque... On vire tous nos shorts. Dans mon canapé, qui leur fait face, je bascule et lève les cuisses pour bien leur montrer mon trou. Je me doigte lentement et progressivement 1, 2 et 3 doigts. Ils ont bien vite la gaule, et vite empoignée ! Je me tringle le cul à toute vitesse, jusqu'à gémir, en les matant : ils se branlent furieusement. Je leur dis de se rouler une pelle, de se palucher mutuellement : ils s'exécutent ! j'en brûle de plaisir, et me doigte encore plus furieusement, rajoute de la salive, un 4ème doigt. Finalement je les rejoins, je m'empale alternativement et on se roule des pelles à trois. L'un me rajoute un ou deux doigts quand je suis sur la bite de l'autre : ça sent la double ! et en effet, Mat' bascule en longueur, et Chris vient ajouter son barreau : on peut gueuler tous les trois, et je me fais démonter par la mitraillette de Mat' et défoncer par le lourd piston de Chris.
Et j'en réclame ! et je veux mes deux doses dans le cul cette fois. Les mâles s'en donnent à coeur joie et à pleine bite. Chris est le premier à " larguer sa sauce " ; il est tellement secoué que j'ai l'impression qu'il me déchire encore plus le trou ; ses mouvements ralentis finissent de branler Mat' qui jute à son tour dans un cri de torture. On reste un moment comme ça, haletants ; je pourrais juter rien qu'en visualisant ce qui se trouve dans mon cul. Chris sort et, debout, propose sa bite luisante et encore raide : " Tiens, Mat' " ; chacun se marre, il lui répond " t'es con ! " et c'est bien sûr moi qui engouffre le chibre généreux. Mat' est aux premières loges. Chris m'aide ensuite à me dégager de la queue de Mat' (je suis complètement écartelé !) et de ses deux larges mains m'écartent un max les fesses : son " putain ! le ravage ! " est suivi d'un " ouais !! " répété quand j'expulse le sperme sur la bite de Mat'. Il écarte encore plus et admire (il doit être nez à trou : je sens son souffle) et dit : " eh oooh, je te vois Mat' ! " Gros rire général - mais soudain je crie : il vient de me mettre des doigts, et dit froidement : " toi tu vas jouir du cul, jte le dis, et tu te touches pas ! ". Il a ramené mes bras dans mon dos et maintient les poignets d'une main ; j'ai la tête dans la nuque de Mat', qui me tient la taille, et c'est parti : ses doigts liment à toute vitesse, puis un troisième, et lubrifié comme je suis, ça rentre et sort sans problème ! il tourne ses doigts puis relime, et à 4 doigts il me scie le cul comme un taré : " c'est comme ça que je doigte une chatte, moi ! ". Je gueule continuellement. Il tourne et retourne ses 4 doigts, puis retringle. Leurs encouragements ne cessent plus : " vas-y, jouis ! lâche tout ! crache ton jus, salope ! ". Je ressens un truc phénoménal dans mon cul comme s'il s'ouvrait soudainement à l'infini, ça me coupe le souffle et la voix. Dans le bref silence, on n'entend plus que le bruit de sa main jusqu'au pouce qui me charcute, le bruit mouillé des chairs. Comprenant à mon silence le stade où j'en suis (c'est simple, je crois que je vais exploser), Chris en rajoute encore, " ...péter cette chatte ! putain, jouis ! " - et là, je retrouve ma voix, enfin, un beuglement qui part dans les aigus, je suis pris de tremblements partout... je ne sais absolument plus où je suis, n'entends plus rien... c'est la langue de Mat' qui me sort de cet état : il lèche... mes larmes ! je réentends les mâles qui me félicitent en se marrant. Chris a sorti sa main, qu'il essuie sur mes fesses. Je suis KO sur l'épaule de Mat'. Chris prend une photo après lui avoir demandé d'écarter mes fesses comme il avait fait. Je sors de mon coma pour voir : j'hallucine autant que Mat' devant cette véritable chatte toute rouge et brillante, les chairs sorties, avec un trou noir bien au milieu... En me reculant je constate que j'ai joui sur le ventre et le torse de Mat', sans du tout me rendre compte. Je lèche le plus gros, descend vers sa bite encore allongée mais molle et surtout inondée de jus, du nombril aux couilles ; je nettoie de mon mieux. Chris dans l'autre canapé, me regarde souriant, s'est roulé un joint, sa grosse bite molle sur un haut de cuisse. Enfin je m'assieds à l'autre bout et souffle en avouant que c'était terrible. On se marre, le joint tourne. En deux lattes je suis dans les nuages. On boit un coup et les mâles me conduisent au lit de l'autre chambre.
Ils sont déjà lavés et en short quand ils me réveillent ave le plateau de petit déj ! je n'ai rien entendu du tout. On se retrouve à 3 sur le lit et on papote, du départ, de la veille bien sûr (" toi qui parlais de show ! t'as assuré ! " dit Mat' en rigolant) ; ils me remercient pour le séjour, " génial ! ". On devrait se retrouver l'été suivant. Pour les remercier, je leur dis que mon ptit déj fini je prendrais bien mon lait de mâle. On renouvelle l'opération d'un certain soir : je m'adosse, ils se mettent chacun d'un côté, baissent leur short et se font pomper jusqu'à bien bander. Je leur demande de se rouler encore des pelles et de se branler, juste devant mon nez, pendant que j'explore une dernière fois leurs fesses, leurs couilles, et leur petit trou vierge. Je me salive bien les index, et leur enfonce le bout pour leur rappeler le plaisir de la petite branlette du cul. Ils ne s'en galochent que plus, et s'astiquent énergiquement le dard, soufflant et grognant dans leurs baisers voraces. Ils mouillent bien du cul et je bande comme un fou en regardant tantôt les mâles qui se mangent la bouche tantôt leurs glands prêts à exploser. Mat' est le premier à monter, il s'arrache aux lèvres de Chris, gueule, gueule, enfonce son gland et se vidange les couilles en 2 poignées supplémentaires.
Je me régale, mais ne peut récupérer mon index tant il serre ! Chris ne tient pas plus longtemps, gueule bien lui aussi et me balance 5 gros jets épais. Je ne récupère mes index que plus tard, alors que je les lèche gland à gland et qu'ils s'embrassent, sans que j'aie rien demandé !... Je me branle, Mat' s'allonge et me lèche un téton, Chris l'imite : quel pied ! Je couine, couine... je veux que ça dure. Mat', sur ma droite, vient m'embrasser et continue de stimuler du doigt mon téton ; Chris vient mêler sa langue aux nôtres - génial ! et son doigt vient titiller mon trou, électrisé aussitôt. Cette pelle à trois langues, leurs doigts experts, impossible de tenir plus : je jouis, sans qu'ils quittent mes lèvres, ils dévorent même mes gémissements en râlant avec moi, et je m'inonde de jus. Après une courte pause, je pars à la douche. Je sors leur linge propre et sec, qu'ils mettent dans leurs sacs qui n'attendaient plus que ça. Et cette fois, c'est la vraie fin du séjour : après de longues pelles et bien des mercis échangés à la porte, ils me laissent pour un long trajet chacun.
Je reçois un mail hyper enthousiaste de Christophe, qui annonce déjà son passage chez Mathieu l'été suivant. Et espère bien que j'y serai ! Il a quand même retrouvé avec plaisir sa meuf, qui aime tant sucer sa bite, et qui prend même maintenant du plaisir à lui lécher le cul, même s'il ne lui a pas trop laissé le choix au début... Il m'avoue que toutefois elle n'est toujours pas partante pour la sodo, et qu'il pense parfois à moi quand il " lui défonce la chatte et voit son ptit trou provocant... ". Rien sur son autre plaisir liquide...
J'ai repris ma correspondance avec Mathieu bien sûr. Un mois plus tard il rencontre son actuelle nana. Il est trop content ! En quelques mails je saisis néanmoins qu'on est loin de la fantaisie à laquelle on s'est livrés à deux et à trois. Mais, comme il me le rappelle clairement, il " aime la chatte ". Je comprends donc qu'il a vite repris son rôle, et bon, c'est comme ça...
Mike
Autres histoires de l'auteur : Famille recomposée | L'ami Mathieu | Correspondances
Défouloir pour homme marié | La communauté | À la fac