Vendredi 10 Janvier 2014, 22h ...
Ma vie sexuelle va prendre un virage à 360° ... J'étais chez moi, seul à naviguer sur Internet, en quête d'un plan bien chaud. Après une quinzaine de minutes à farfouiller, je tombe sur un profil qui retient mon attention. Un bel homme de 34 ans, totalement actif, à l'apparence virile.
Grand, bronzé, barbu, musclé, tout ce que j'aime. Je le contacte et nous échangeons alors quelques banalités. Lorsque la conversation devient plus épicée, je découvre que mon interlocuteur est en réalité un sacré queutard ... et j'aime ça. Je lui propose donc, tout naturellement, un rendez-vous nocturne. Mais c'est à ce moment précis où le grand virage s'amorce. Monsieur m'annonce qu'il est membre d'un club ultra-privé, et que chacune de ses conquêtes doit être partagée avec les autres membres du dénommé #ClubPUTERIE.
Surpris dans un premier temps, je demande plus de renseignements sur le club et sur les membres de ce dernier. Il me répond qu'ils sont huit, tout actifs, âgés de 27 à 46 ans. Il m'envoie également une photo de groupe, et j'avoue être particulièrement troublé, dans un second temps.
Il m'annonce aussi que si je souhaite fréquenter le club, je serais sous contrat pour une durée de six mois minimum. Mais qu'avant même d'être accepté au sein du groupe, il faudrait que je passe une série de tests. C'est à ce moment-là ou j'aurais du prendre la fuite. Je suis un jeune passif de 22 ans éperdument libre et plutôt bien fait (torse dessiné, cul bombé, belle gueule), donc j'aurais pu couper court à la conversation et chercher une autre bite à chevaucher ...
Mais l'excitation était trop forte. Sur un coup de folie, et avec l'envie de vivre une expérience forte, j'annonce à mon interlocuteur - dont j'ignore toujours le prénom, que je souhaite réellement rencontrer les membres du club et passer les tests afin de rejoindre le groupe. A ce moment-là, il m'envoie simplement une adresse, un horaire et fixe le rendez-vous à demain soir, sans même prendre le temps de savoir si je suis libre ou pas ... Puis il se déconnecte. Bon, j'ai encore une nuit pour réfléchir.
Il est maintenant 2h du matin. Les métros ne circulent plus, je ne paierais pas un taxi pour aller baiser, donc je fume une dernière cigarette avant de me coucher et commence alors à peser le pour et le contre ...
La suite vous attend, si vous souhaitez la lire, faites-le moi savoir par mail.
Dicksucker
Autres histoires de l'auteur : #ClubPUTERIE