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Premier épisode | Épisode précédent

Famille recomposée - 05

Les couilles bien vidées sous la douche, Gabin se dit, dans la chambre, que c'était en effet un vrai bordel et que ça puait, mais bon. Il aéra, s'habilla, et rejoignit Miky dans la cuisine. Le chocolat était prêt, Miky coupait des légumes.
-  Tu veux un coup de main ? demanda Gabin en ajoutant mentalement " et un coup de bite p'tetre aussi ? "
-  Ok, mais vas-y, déjeune d'abord.

Les deux jeunes ne parlaient pas beaucoup, mais travaillèrent ensemble sur les légumes, jusqu'à l'arrivée des jumeaux, suant et superbement identiques. Ce fut encore un coup dur pour Miky qui frôla la syncope en voyant deux fois son idéal masculin, et dut en plus s'asseoir entre les deux mâles. Jaco avait fait exprès de retenir Toni qui voulait se doucher pour lui proposer une bière avant. Il savait bien que Miky serait complètement enivré de cette odeur de sueur fraîche en plus du tableau de leurs corps moulés par les maillots. Gabin, lui, observait le petit gabarit de Miky entre les deux colosses, et son regard mi-plissé de désir impossible à exprimer. " Sûr qu'il voudrait bien se faire troncher là tout de suite par deux bestiaux comme ceux-là ! " se disait-il. Encore une fois il se l'imaginait en chienne soumise, et sa pensée le trahit : quand Jaco demanda " on peut en avoir une autre, patron ? " s'adressant à Miky pour deux autres bières, Gabin lâcha : " C'est pas patronne, plutôt ? ". Un silence tomba. Toni s'écria en gueulant : " Mais t'en veux une, ptit con ?! " ; il présentait le dos de sa large main, et exigea des excuses sur le champ. Gabin s'exécuta ; il se trouvait d'ailleurs très con. Mais ce ne fut rien comparé à ce qu'il ressentit quand Miky eut fini de parler. Il entama en effet un long discours sur sa propre sexualité, son plaisir de faire plaisir à un homme, sur tout ce qu'il y voyait de bien, et ce qu'il ne comprenait pas dans les préjugés comme ceux de Gabin. Il admettait sans problème et calmement qu'il se sentait fait pour rendre heureux un " mâle aussi beau que Jaco ", et évidemment en lui offrant sa bouche et son cul, et tout le reste : la cuisine, les massages, etc.

Et, oui, il faisait peut-être salope ou pédé, il s'en foutait du moment qu'il était bien avec son homme ; et, oui, certains mecs pouvaient bien le juger sévèrement, mais certainement des mecs qui n'avaient pas assez souffert pour pouvoir comprendre qu'on trouvait son bonheur comme on peut, et qui auraient plutôt dû se sentir flattés comme mâles de trouver en Miky en serviteur dévoué à leur plaisir... Un autre silence tomba. Jaco bouillonnait de fierté et d'amour ; Toni était littéralement scotché par la maturité et la confession amoureuse de Miky ; Gabin se sentait pire qu'une pauvre merde, vraiment très ridicule. Comme ne pas être d'accord ? alors que lui-même s'était imaginé profitant de ses trous ? Miky se leva et présenta sa main à Gabin qui la serra en répétant ses excuses, puis Jaco reprit Miky dès qu'il se fut rassis, pour lui rouler une pelle magistrale.
Les jumeaux partirent se doucher ensemble pour ne pas retarder le repas. Miky, seul avec Gabin mal à l'aise, dédramatisa et lança la conversation sur le cul :
-  Au moins ton oncle a du goût ! et il sait profiter de tous mes talents...
-  Je m'en doute... putain tu dois prendre cher avec lui !
-  Si tu savais ! mais c'est ce que je veux... en bonne salope !

Il réussit à faire rire Gabin, et le problème fut oublié. Cela tournait à toute vitesse dans la tête de Gabin : ses réticences tombaient une à une devant ce beau ptit mec si clair avec lui-même, devant des images de baises fréquentes, directes, et bien hard, que lui ne connaissait que rarement. Il se glissait dans la peau de Jaco et appréciait le bonheur que ce serait. Se défouler, ne plus avoir mal aux couilles, donner son jus à un connaisseur qui en raffole, essayer des trucs, des positions, des scénars...
Dans la douche, Toni n'arrêtait plus de complimenter son frère, de l'envier même, en reparlant du speech de Miky. " Vraiment un ptit gars super ", " cette maturité, punaise ! ", " tu te rends compte de ce qu'il a dit ? il est " fait pour la bite, et justement la tienne " c'est dingue ! veinard... ". Jaco n'avait pas besoin qu'on le lui rappelle ; il pensait déjà qu'il allait dans deux heures faire l'amour à Miky comme il le méritait. Tous deux bandaient, observaient leurs bites majestueuses et se marraient.

-  Tu vas lui donner dans pas longtemps, toi...
-  Tu penses ! tu nous laisses deux bonnes heures, hein ?
-  Oui, t'inquiète.
-  A moins que tu veuilles en profiter ; Miky serait fou, tu sais...
-  Arrête, je te dis.
-  Tu veux que je lui demande cash ? tu veux qu'il vienne lui-même vers toi ?
-  Branle-toi un bon coup et arrête tes conneries !
-  Ok ok, mais me branler non ; je lui garde tout là...
Les jumeaux descendirent, propres et habillés, et on passa à table. Toni embrassa Miky sur le front en le remerciant d'avoir tout installé et rangé dans sa chambre. Le discours de Miky avait permis de tout désamorcer et l'ambiance fut excellente. Jaco, comme s'il fallait insister, l'embrassa plusieurs fois à pleine bouche, et même lui titilla le téton au point de le faire gémir, devant tout le monde. Toni et Gabin bandaient discrètement : le père décidément aimait cette atmosphère détendue, simple, d'amour et de sexe, et le fils y venait de plus en plus.

Vers 14h, Toni déposa Gabin chez Seb et annonça qu'il ne serait pas là avant 17h. Dès qu'ils furent partis, Jaco et Miky se mirent dans le canapé ; en deux minutes ils furent tous deux à poil, à se galocher à se couper le souffle. Jaco comprit ce que Miky voulait d'abord : lui lécher le cul. Il prit une position habituelle : agenouillé et cul cambré vers l'extérieur du canapé, et Miky, assis par terre, entreprit un bouffage prolongé, de la raie entière d'abord, puis, comme il préférait, du trou lui-même. Jaco le savait et écartait le plus possible ses fesses de ses longs doigts carrés et velus. Sa rosette était offerte, presque ouverte, car Miky y avait souvent, très souvent, enfoncé sa langue, envoyant Jaco à des kms de plaisir. Miky n'était limité que par la capacité musculaire de sa langue : il lui aurait léché le trou jusqu'à épuisement ; il adorait ça, il se disait qu'il éprouvait peut-être autant de plaisir qu'en éprouvait Jaco en se faisant sucer. Tous les deux grognaient et gémissaient, et comme en plus Jaco parlait du " trou à papa " et de " bien se régaler ", Miky brûlait d'excitation. Au bout d'un petit quart d'heure, Jaco reprit la main, et les mit tous deux en 69 pour un bouffage réciproque cette fois. Mais Jaco ajoutait des doigts à sa langue : Miky qui était déjà au paradis d'avoir la langue à moitié enfoncée dans le cul de son homme, jouissait presque d'avance. Finalement, Jaco s'assit dans le canapé, et Miky vint s'empaler sur son gourdin pas loin d'exploser. Au plaisir de sentir son pieu s'enfoncer dans son fourreau humide et brûlant, Jaco gagnait en plus celui de voir toutes les expressions sur le visage de Miky : la brève crispation de douleur, l'étonnement, toujours malgré les deux ans, de la masse envahissante, puis le soulagement d'être rempli au max... Il lui avait formé le cul à sa bite, c'était parfait. Ils s'embrassèrent sans plus se détacher alors que Miky commençait à monter et descendre sur la bite, et Jaco lui fit les seins en même temps. Miky gicla une première fois en feulant sur le torse et le ventre poilu de son amant. Puis il lova sa tête dans le cou puissant, et après une minute de répit, Jaco le souleva et se redressa. Il lui mit quelques coups de bite comme ça, debout devant le canapé, puis ils gagnèrent l'étage et leur chambre sans se désemboîter. Là, Jaco était décidé à se défouler et à le baiser comme un dieu, et Miky lui se sentait complètement offert à son mâle. Ils ne cessèrent plus de gueuler, de couiner, de jurer, enfin libérés de pouvoir s'exprimer à haute voix ; et Jaco matraqua dans toutes les positions le cul accueillant, presque fragile d'aspect. Ils montèrent lentement vers une jouissance assourdissante. Et c'est à ce moment-là que Gabin rentra dans la maison ; ils n'entendirent rien, mais lui, dès son entrée, entendit que ça baisait sévère à l'étage. Il décida de ne pas se faire remarquer, et monta comme un chat, l'oreille tendue vers les cris, les insultes, les encouragements... dans l'escalier il percevait même le claquement des chairs : " putain, qu'est-ce qu'il lui met ! ".

Ses baskets ne faisaient aucun bruit. Il s'approcha de la porte, le coeur battant - et la queue dans un état ! Comme son père la veille, il regarda par la fente des gonds, et il vit ... l'arrière-train tout blanc de Miky, avec la masse géante de Jaco, monté sur lui et qui lui donnait d'incroyables coups de bites, le couvrant entièrement... le trou largement ouvert de Miky quand Jaco sortait entièrement sa trique pour regarder à quel point il l'avait dilaté, les énormes couilles battantes (tiens, il se rasait)... Comment Miky pouvait encaisser tout ça ?! Gabin avait sorti sa bite et s'astiquait furieusement. Quel spectacle ! et il hallucinait aussi du concert ! entre les " pète-moi le cul ! pap ! " et " tiens, salope ! prends-toi ça ! vas-y gueule, bébé, prends bien ton pied ! ", les " ooohh ! ta biiite ! " et les " putain, ce cul ! ", Gabin aurait pu jouir sans rien voir. Jaco martela en criant et s'enfonça brutalement en plusieurs coups : il giclait dans le cul de Miky qui suppliait pour se  faire remplir de jus. Les genoux de Jaco retouchèrent le lit, il écrasait Miky qui couinait comme une femelle tout en se faisant perfuser abondamment. Puis Jaco bascula, s'allongea sur le dos, et Miky vint aussitôt se mettre à quatre pattes pour venir téter et nettoyer la bite luisante en semblant se régaler. " Putain, du cul direct à la bouche ! quelle salope, hmmm ! ". Gabin se mordit les lèvres et n'eut que le réflexe de remonter son short de basket : il en rinça l'intérieur de longues giclées crémeuses. Il venait de voir le trou de Miky martyrisé, rougeoyant et un peu ouvert encore d'où s'écoulait quelques filets de sperme bien blanc.

Et Gabin ne put pas débander car tout une heure encore, Jaco baisa Miky sans pause : une nouvelle levrette, puis debout de l'autre côté du mur où se trouvait Gabin, puis un missionnaire qui devait carrément incruster Miky dans le matelas ; il vit notamment Miky à quatre pattes sur le lit et lui faisant face, avec son oncle debout derrière lui le défonçant sans faiblir et le fessant. L'expression de Miky alors... Secoué comme une poupée, les yeux révulsés, encourageant encore son " papa ", puis poussant des cris suraigus en jutant sur le lit... Jaco le laissa se remettre une minute, sur le dos, avant de grimper sur lui et baisser son cul bien ouvert en lui disant de lécher... Gabin n'en revenait pas : se faire bouffer le cul ! et il voyait le plaisir de Miky qui se démenait sur le trou de son oncle. Parfois celui-ci basculait et lui enfonçait sa bite à l'envers en pleine bouche, limait, et redonnait son trou. " Vas-y, bouffe bien papa, vas-y, bébé ! "

Puis Jaco gueula à faire trembler les murs, et Gabin comprit au visage écarlate de Miky que son oncle se vidait complètement enfoncé dans sa gorge. Quand il se dégagea, Gabin vit la lourde queue, molle pour la première fois depuis une heure qu'il les matait. Il bandait toujours lui, les doigts pleins de sperme accrochés à sa queue, dans le short. Les deux amants s'allongèrent alors, comme pour se coucher, et Gabin ne vit plus leur buste. Il voyait les longues et puissantes jambes familiales, brunes et velues, et les plus courtes, minces, claires et imberbes, s'entrelacer ; bruits de baisers ; " je t'aime " réciproques... Ouais, bon... Gabin allait retourner discrètement dans sa chambre pour se vider une nouvelle fois en se repassant le film quand un gémissement retentit, de Miky ; il ne pouvait voir, mais à la position inchangée des jambes, aux bruits qui se firent, et qui accompagnèrent les couinements de Miky, il se dit que peut-être Jaco le doigtait. Et alors, Miky réapparut : à l'envers, le cul tendu vers le buste de Jaco (mais Gabin ne pouvait voir), il se mit à sucer les orteils de son homme avec dévotion, le visage crispé par le doigtage de plus en plus intensif. Il se branlait aussi, à voir son bras entre ses cuisses. Jaco devait avoir une de ses vues ! Gabin se remit à se branler ; Miky jouit, la bouche pleine d'un gros orteil ; Gabin le suivit et arrosa une deuxième fois l'intérieur de son short. Miky avait étendu ses jambes et les yeux fermés, le visage complètement relâché, mais sacrément en sueur !, il ne lâchait pas l'orteil des lèvres et le tétait.

Cette fois Gabin, craignant d'être découvert, retourna dans sa chambre avec mille précautions car on n'entendait plus que les respirations. Il vira son short, s'essuya grossièrement avec et le laissa au pied du lit, sur lequel il s'allongea. Eh ben ! quel show ! comme il voudrait pouvoir baiser comme ça ! jamais il n'avait pu niquer une fille comme son oncle venait de baiser Miky. Et il remerciait en pensée Seb d'avoir eu la crève : rater une séance pareille, non ! Il reprit son short et observa : il avait juté des litres. Il se sentait vachement bien, léger. Il remonta son boxer (qu'il avait sous les couilles depuis une heure), et s'endormit sans le vouloir.

mike

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Suite de l'histoire

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