Famille recomposée 07

Famille recomposée - 07

C'est l'étreinte de Jaco qui réveilla Miky : il souleva le poids plume pour l'allonger dos à son ventre sur lui. " C'est toi qui vas jouir d'abord, mon bébé ", murmura-t-il en caressant de la main gauche son ventre et son torse, et empoignant de la droite sa bite encore endormie. Jaco adorait faire jouir son ptit Miky qui, lui-même, adorait s'offrir aux mains de son homme et s'abandonner au plaisir seulement donné par lui. En une minute sa bite était raide dans l'étau puissant de la paluche, et entre ses cuisses fines l'énorme dard de Jaco pointait contre ses couilles, Jaco qui branlait efficacement la jeune bite et excitait du bout d'un doigt le téton droit ou le pinçait doucement ; il se régalait à sentir le jeune corps se trémousser sur lui, à entendre le souffle accéléré de Miky et ses petits couinements. Il lui suçait le lobe et l'encourager à montrer : " Montre-moi, Miky, montre à papa comme tu jouis bien ". Miky prenait un pied d'enfer, et cria de plus en plus, et quand il largua trois belles giclées de foutre sur son ventre, Jaco le félicita puis lâcha sa queue pour lui donner ses doigts à sucer, le temps qu'il se remette. Ensuite il le bascula de nouveau, pour le renverser ventre à ventre en 69. Il sentit le sperme mouiller ses poils et aussitôt la bouche brûlante de Miky gober sa queue à moitié et pomper. Jaco releva la nuque pour lécher le petit trou rose qui était à dispo juste devant lui, mais quand Miky s'avança et entama des gorges profondes frénétiques, il ne put plus rien faire que profiter, tétanisé par le plaisir ; il bascula la tête, se contenta de caresser les reins et les petites fesses de son jeune amant, et gémissait à chaque fois qu'il sentait son gland limer la gorge affamée. Miky adorait cette position où il pouvait tout prendre sans difficulté et s'empalait la gorge avec voracité. Jaco gémissait plus fort : Miky comprit, et sentit le canal gonfler énormément ; il recula pour ne garder que le gland en bouche car il aimait sentir le jus la lui remplir, et non filer tout droit dans l'oesophage. Et il reçut son bonheur, secoué par le corps de Jaco qui participait tout entier aux expulsions successives - mais il ne lâchait pas le gland, et il buvait, buvait, drogué de plaisir par son biberon du matin. Une fois les dernières gouttes tétées, il se retourna pour s'installer sous l'aisselle de son homme, et s'abandonna au plaisir de la digestion en respirant son odeur. Tous deux laissaient échapper des " hmmm ", le plaisir de s'être vidé ou rempli ne les abandonnant que progressivement. Puis Jaco se mit sur le côté, enveloppa Miky dans ses grands bras puissants et ramena les draps sur eux. Encore 5mn de bonheur ensemble.

- Tu sais que tu vas pouvoir en avoir deux fois plus maintenant ?
- Avec Toni tu veux dire ?
- Oui ; tu lui as fait un bien fou hier soir !
- Et lui m'a bien nourri ; c'est dingue, vous avez vraiment la même queue, le même goût, et vous jutez autant !
- Alors c'est super pour toi, non ?
- Ah ben oui !
- On sera bien à trois comme ça, tu penses pas ?
- Tu sais, tu me privais pas ! mais maintenant je vais être encore plus gâté !
- Tu veux aller le sucer ? demanda Jaco en l'embrassant sur le front ; ça fait longtemps qu'il a pas eu de pipe au réveil...
- Oui, papa, répondit Miky, levant la tête pour qu'ils s'embrassent.
Leurs langues se mélangèrent et Jaco se remit à bander en sentant le goût de son sperme, se disant qu'il l'avait bien nourri et que dans 5mn il en recevrait autant de son frère.

Toni fut réveillé par un contact sur son téton et sur sa bite. Il identifia tout de suite, dans le jour filtrant des volets, les boucles blondes de Miky, et lui murmura un bonjour. Miky vint l'embrasser légèrement, et reprit sa tétée au niveau des pecs. La bite gonflait sous sa main. Il descendit la gober entièrement tant qu'elle n'était pas complètement bandée. Toni soupira d'aise. Cette pipe du matin, il l'avait attendue ! Il replia un bras sous sa nuque et se laissa faire, tout en caressant la tête qui pompait doucement. Et pour savourer, il savoura ! Miky lui léchait les boules, léchait toute la hampe, avant de reprendre le gland et de se l'enfiler aux trois quarts de la verge, pompait, se reconcentrait sur le gland qu'il dévorait de la langue et des lèvres. Puis il plaqua l'énorme bite le long de son visage : toute la longueur, comme la veille ! Toni ne le quittait pas des yeux, et ils s'échangèrent un regard de plaisir partagé immense. Puis Miky se mit à quatre pattes et pompa avec avidité, malaxant les lourdes couilles et branlant la queue en même temps. Les " hmmmm " et " h " de Toni l'encourageaient s'il était besoin et lui-même, à l'idée de son imminent second biberon, couinait doucement en s'activant sur le pieu. Le gonflement du canal, aussi impressionnant que chez son frère, ne trompa pas Miky. Toni soufflait bruyamment : " je vais t'le donner, oui ! " et Miky frottait bien sa langue sur le frein tout en pompant à mi-bite. Toni sembla s'étouffer dans ses grognements et fut traversé de spasmes ; il déchargea dans un plaisir fulgurant, sentant ses couilles se vider avec force, et malgré ses râles de mâle il entendait les petits gémissements de Miky qui retrouvait le bonheur d'avoir la bouche pleine et de déglutir son nectar. Toni fut terrassé par le plaisir, se relâcha complètement, et entendit Miky qui lui léchait les couilles leur adresser de petits " mercis " trop mignons. Puis ils se regardèrent et échangèrent un grand sourire explicite. Alors Miky remonta à sa hauteur :
- T'es beau !
- Comme mon frère ?
- Ben oui, tout est pareil.
- Tant mieux, répondit-il en riant. Et toi tu es une petite merveille.
- Tu veux ça tous les matins ?
- Oh que oui, mon ptit poulet !

Et il serra fort Miky dans ses bras. " Tous les matins, pensait-il, putain le rêve ! Il m'a bien vidé... ce pro de la pipe ! ". Il s'enhardit à le caresser partout et hallucina de la douceur de sa peau, et ses fesses... bon Dieu, on verrait bien plus tard...

Miky le laissa bientôt et alla dans la salle de bain enfiler une tenue de jogging, cool, du dimanche matin. Il n'avait pas fallu deux jours avant qu'il ne se gave du jus de Toni. La promesse des doses futures, doublées, le mettait sur un petit nuage. Il était 9h30 et il n'allait pas devoir tarder : aller chercher les croissants et chocolatines qu'il mettait un point d'honneur à offrir à son mâle chaque dimanche. Il se rendit compte que du coup il allait recevoir deux doses de jus supplémentaire, et quand il se vit dans le miroir, il constata qu'il souriait niaisement.

Le boulanger, c'était Paul, et Miky lui faisait sa petite pipe express presque tous les dimanches, et lui vidait les couilles depuis un an et demi. Un soir dans les toilettes d'une pizzeria Paul les avait surpris : Miky biberonnait à genoux Jaco. Le boulanger et lui se connaissaient depuis le bahut. Miky n'avait pas sorti la grosse bite de sa bouche et pompa tout le temps de la brève discussion entre les deux anciens potes. Jaco lui avait proposé la bouche de Miky. Ca faisait trois mois que Jaco voyait Miky pour baiser et il ne s'avouait pas encore son attachement : il n'était pour lui qu'un jeune accro à la bite de mâle. Jaco laissa les deux après avoir inondé la bouche de son amant et 5mn plus tard les vit sortir. Paul rejoignit sa famille, avec un clin d'oeil, et " Miky passe quand il veut chercher du dessert. Je vous ferai un prix ". Miky avait confié à Jaco qu'il avait trouvé le sperme de Paul savoureux, " du bon sperme à papa très très abondant et épais ". Aussi il envoya Miky un dimanche. Paul le fit venir à l'arrière de la boutique et sortit sa bite. Ce fut le plaisir de sa semaine vu que sa vie sexuelle avec sa femme était quasi finie, et puis la fois suivante Miky ne fit pas la queue dans la boulangerie, alla directement à l'arrière et Paul vint se faire pomper. Et le rituel du dimanche s'était mis en place. Pendant un an, jusqu'à ce que Paul prenne un apprenti, le jeune Kamel, que bientôt Miky vida lui aussi. Il les avait surpris. Paul proposa à son tour la bouche de Miky en échange de son silence et le jeune, puceau de surcroît à ce moment-là, avait volontiers accepté. Donc depuis c'était un délice de double crème, puis Miky partait avec son paquet de viennoiseries.
- Bonjour ! lança Miky, voyant qu'il y avait quand même pas mal de clients dans la boutique et que Kamel était là aussi.
- Bonjour Miky ; la commande est prête à l'arrière, vas-y, je finis avec Monsieur et j'arrive.

Miky entra dans l'arrière-boutique et s'assit sur la chaise habituelle : Paul entra peu après, déjà en train d'ouvrir son pantalon de boulanger, la bite gonflée, et il lui mit le gland en bouche. Miky téta, et quand la bite fut parfaitement raide il se l'enfila en entier. Elle n'avait pas les proportions impressionnantes de Jaco, mais elle était belle, et Paul jutait surtout énormément de jus délicieux, sucré. Miky lui avait souvent dit qu'il n'était pas pâtissier pour rien. Et d'ailleurs c'était un type adorable. Pris par le temps, il baisait la bouche de Miky en lui tenant la tête jusqu'à se vider ; la première fois, il s'en était excusé et avait expliqué qu'il ne pouvait déserter la boutique. Aucun problème pour Miky, et ce fut toujours la même pratique. Parfois, en introduisant son gland ou alors après s'être vidé, Paul préisait combien de jours il avait dans les couilles. Paul juta des flots comme à son habitude, et tous deux savourèrent leur plaisir. Miky avait sorti sa bite et se branlait. Bien nettoyée, la bite boulangère reprit sa place dans le pantalon, Paul caressa la joue de Miky encore en train de déglutir : tous les deux savaient comme c'était bon ! Il dit qu'il allait envoyer Kamel, et que le paquet plein de viennoiseries était " juste là " - comme d'habitude, prêt d'un sopalin, sur une étagère toute proche. Miky se léchait encore les lèvres quand Kamel arriva, le sourire jusqu'aux oreilles, et lui aussi déboutonnant déjà son jean. Après un bref mais sincère " ça va ? ", il avait la bite plantée dans la bouche de Miky, qui pouvait prendre plus de temps avec lui. C'était une vraie pipe et la queue moyenne mais très large appelait de bons coups de langue. Kamel, dès qu'il voyait en surplomb Miky lécher toute sa queue, se transformait aussitôt en caïd grossier et fier de sa teub, et ce n'est qu'après avoir couvert Miky d'insultes murmurées qu'il déchargeait une bonne dose. Après quoi, il redevenait le jeune mec sympa, et repartait en boutique. Miky finissait sa branlette dans le sopalin, prenait le paquet de viennoiseries, gratis, et sortait. " A dimanche Monsieur Paul ! ", " A dimanche, Miky ! Bonjour à Jaco ! ".