Premier épisode | Épisode précédent
- Ca va, Toni ?, dit-il en lui serrant la main
- Ben écoute, ça va pas mal...
- Ben ça va mieux que tout à 'heure ; t'es entré sans me voir et t'as filé aux chiottes direct avec ton jeune...
- Ah ouais... ben grosse envie, tu vois...
- Ouais t'avais l'air bien soulagé en sortant... Ben c'est bien...
- Et toi, Guy, quoi de neuf ?
- Oh tu sais... j'ai su que t'avais quitté ta femme, et jte jure que t'as eu raison... La mienne ce qu'elle fait de mieux, c'est la cuisine et la gueule, tu vois... Avec mes trois collègues, on forme la bande des frustrés...
- Ah ! la mienne faisait surtout mieux la gueule ! Quoi vous êtes tous brouillés avec vos femmes ? vous tirez pas un ptit coup ailleurs de temps en temps ?
- Ben au mieux nos dames se laissent toucher le samedi soir, donc tu vois un peu la semaine... Et pour ce qui est de s'faire du bien, j'ai plus qu'à me débrouiller tout seul depuis six mois.
- Pourquoi tu te trouves pas une ptite maîtresse ?
- Bien compliqué tout ça...j'voudrais surtout d'la jeunesse qui aime la saucisse, pas me compliquer la tête avec une histoire... Dis donc, il est pas causant le jeune, mais il observe... Tu regardes quoi, gamin ?
- Euh rien..., dit-il gêné ; il venait de distinguer sur le paquet encore grossi l'esquisse d'un calibre énorme
- Enchanté, moi c'est Guy
- Tommy, répondit-il en serrant la grosse paluche velue.
- Ah ! Toni et Tommy ! eh ben vous vous êtes bien trouvés hein... vous d'vez bien vous compléter... c'est bien de savoir sur qui on peut compter au boulot, hein...
Il avait carrément les mains sur les hanches et exhibait son paquet, où il bandait comme un âne, c'était évident. Toni l'avait vu et surtout il voyait sur le visage de Tommy ce qu'il connaissait bien chez Miky : l'appel de la bite, le besoin de sucer, le besoin de faire jouir un mâle... Il commençait lui-même à bander...
- Ah ça je peux compter sur lui, hein Tommy ?
- Oh oui, tu sais bien que je veux que tu sois content de moi...
- C'est vrai que t'aimes faire plaisir et faire ça bien...
Ca y est, Toni voyait et entendait la passivité gourmande de Tommy se découvrir.
- Ça c'est très important, reprit Guy, qu'un homme ait quelqu'un de dévoué... c'est ce qui me faudrait à moi aussi, un pauvre ouvrier plein de soucis, et quand je dis plein, c'est vraiment archi plein...
- Tu veux encore manger Tommy ? proposa clairement Toni
- Ben tu sais bien... j'adore ça
- Alors faut pas te priver, gamin, surtout qu'y a des plats très bons ici (il approchait encore son bassin, sa diagonale était bien voyante, à 20cm du visage de Tommy). T'aimes ça saucisse purée ?
- J'en ai jamais assez...
- Je confirme, dit Toni, remettant son gourdin en place
- Ah, parce que y a vraiment beaucoup beaucoup de purée ici tu sais et ils doivent vraiment l'écouler, faudrait pas la perdre... et y a du rab de saucisses, même grosses comme des boudins, rajouta Guy en tournant la tête vers ses trois collègues, lesquels n'avaient pas quitté la table des yeux.
- Ouais, attends là, dit Toni, je voudrais pas que le gamin se rende malade, hein ? qu'il choppe un truc, tu vois.
- Ah ! t as pas à t inquiéter, les rares fois où on l'écoule elle finit dans le sachet...
- Je vais en prendre alors, mais je vais ptet d'abord aller aux toilettes ?, dit Tommy, avant de ne pouvoir s'empêcher de lécher directement la braguette distendue de Guy.
- Les gars, dit Toni, je suis pas sûr que ce soit très discret les toilettes, surtout si t'as plusieurs saucisses à bouffer. T es vraiment sûr d'avoir faim ?
- Oui, oui ! et surtout si y a du boudin, dit Tommy les yeux électrisés.
- Ici y a que du bon et du gros, répondit Guy en désignant du menton son bas-ventre, et André sert des portions impressionnantes, de boudin comme de purée... Bon j'dis aux gars de venir ici ?
- Ici ?!
- T'as la table la mieux cachée, deux banquettes trois places et tu vois le mieux la salle... ça te dit Tommy ? de passer un peu sous la table, comme un self ?
- Ce serait super, dit-il en regardant tout de même Toni.
- Bon... putain, vous me collez une de ces triques tous les deux ! ok, appelle tes gars !
Guy fit un mouvement de tête, et les trois ours très charpentés les rejoignirent. Les présentations furent vite faites : André, Xavier et Jean-Luc, et Tommy, c'était " le jeune qui aime la saucisse purée ", nouvelle qui réjouit visiblement les nouveaux venus, qui " avaient ça en magasin ". On profita de la nouvelle installation pour que Tommy passe sous la table. Toni fit passer André et Xavier à ses côtés, face à Guy et Jean-Luc. Toutes ces jambes n'arrangeaient pas trop les positions de Tommy, mais il était tellement content que ça lui était égal. A peine assis, Guy s'occupait de sortir son gros manche.
- Alors comme ça, vous êtes en manque les gars ? demanda Toni.
- Ben Guy a dû te dire que c'était pas la fête à la maison et comme...
- Hmmmm... oh putain ! cette bouche ! interrompit Guy, déjà en extase car Tommy s'était jeté sur un véritable boudin, bien dodu et veiné, au gland énorme.
Les gars se marrèrent et Xavier dit :
- Il va se régaler ton ptit jeune, on est pas du genre radin. Ca fait longtemps que tu lui donnes à bouffer ?
- On se connait depuis lundi, mais ça faisait longtemps qu'il attendait et il se rattrape...
- Il aime tant que ça la bite ? demanda André
- Il adore oui, il a toujours envie de...
- Hmmmmfff, je confirme...il suce comme une reine..., lâcha Guy, qui avait fermé les yeux.
- On lui en donne quand il veut, tu sais, on peut pas dire qu'elles servent beaucoup ces temps-ci.
- Et il aime le jus alors ? relança André.
- C'est ptet bien ce qu'il préfère, ça fait des années qu'il se contentait du sien.
- Hein ? il bouffe son sperme ?
- C'est à ce point-là ?
- Il a dû bien te vider les couilles depuis lundi ! et puis vos passages aux toilettes, très discrets...
- Ah putain... ah putain oui, ça vient ! ! oh tu vas l'avoir !
Les quatre mecs sortirent leur bite qui ne tenait plus enfermée et fixèrent Guy dont le visage se crispait. Tommy s'était régalé de cette belle grosse bite et sentait le moment venu, et ce fut un festin : les couilles envoyèrent de puissantes montées de jus et il eut la bouche remplie d'un foutre onctueux et avala à trois reprises de pleines gorgées, avant de siphonner les dernières gouttes du gland. Guy lâcha un long râle comme s'il se dégonflait, et murmurait " putain putain ". Puis c'est Jean-Luc qui se sentit embouché, il quitta pour un temps la conversation...
- Alors ? demanda Xavier à Guy en se marrant
- Oh putain ! que ça fait du bien de se faire vider les couilles ! s'il suce toujours comme ça, je lui donne mon jus quand il veut !
- Ben ça pourrait se faire ça, non ? demanda Xavier à Toni ; on mange là tous les midis...
- Les gars, vous êtes sûrs que pour le jus ça craint pas ?
Ce fut conclu, d'autant que le soir, rentré chez lui, Tommy n'allait pas s'éclater, et qu'il était très demandeur, donc oui, cette séance de vidange du midi lui ferait très plaisir. Jean-Luc se vida en extase, puis Tommy s'occupa de l'autre banquette, Xavier, André qui avait effectivement une bite proche de celle de Toni et des couilles archi pleines, et il finit par son homme. L'estomac bien lesté, drogué par cet apport abondant, il se rassit l'air béat, en sueur, et reçut un catalogue de compliments. Il confirma avec bonheur qu'il voulait les sucer tous les midis. Ils auraient bien fêté ça avec un dijo, mais l'heure tournait : la prochaine fois, lundi, ils mangeraient directement ensemble et seraient moins pressés, et " qui sait ? dit Tommy, peut être deux pipes chacun ? ". Tout le monde éclata de rire, et on se sépara.
Une fois dans le fourgon Toni voulut encore une confirmation : oui, c'était bien ce qu'il voulait, si Toni n'était pas fâché. Au contraire, Toni admit que ça l'avait excité et voulait avant tout que Tommy soit satisfait s'il avait besoin de beaucoup de jus. Un long baiser d'amoureux conclut la conversation. Ils arrivèrent un peu en retard et quand le patron demanda s'ils avaient bien mangé, ils éclatèrent de rire, en s'excusant pour le retard...
Tandis que tous deux se remettaient au boulot, Seb et Gabin découvraient le sujet de maths, et Miky traînait un peu dans la maison. Il bossa par lui-même le cours qu'il avait manqué le matin, et quand ce fut l'heure d'aller sucer Daniel, il en fut bien content : il sentait quand même qu'il avait bu moins de sperme que les vendredis habituels. Il faisait vraiment froid ! Ce fut une pipe express, Daniel lui promettant que ça " allait réchauffer " en sortant sa bite, et Miky garda ses mains glacées dans ses poches : Daniel lui lima la bouche efficacement jusqu'à se vider, et lui donna les clefs du camion de Jaco pour attendre sans se geler. Puis il lui dit à demain en remontant sa braguette. Miky n'eut pas longtemps à attendre, et avec Jaco ils allèrent chercher le vélo et rentrèrent. Gabin venait d'arriver et se faisait un chocolat chaud. Jaco, tout naturellement, dit à son neveu que Miky avait faim, et Miky s'agenouilla entre les jambes de Gabin. La soirée de la veille avait bien servi à désinhiber tout le monde ! Gabin sortit sa bite et donna à manger à Miky, pendant que Jaco allumait la cheminée. Quand il revint dans la cuisine, Gabin s'était levé et limait bien la gorge de Miky. Le temps que Jaco se prenne une bière, il entendit la jouissance de Gabin et il les rejoignit en sortant sa bite bien raide. Quand Miky eut tété les dernières gouttes de Gabin, il passa aux 22/7 de son mâle ; 5 mn après, Jaco lui demandait d'ouvrir la bouche et Gabin put voir les jets très généreux que son oncle envoya en grognant de soulagement. Et enfin, Miky rinça le tout avec le reste de chocolat chaud. Les trois hommes s'installèrent et discutèrent de la journée, surtout Gabin, très content de son devoir de maths. Puis le trio commença dans la bonne humeur à préparer le repas du vendredi soir, celui qui ouvrait le weekend et où on buvait un peu plus.
mike
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