Premier épisode
Chapître 2
Et voilà, on était aujourd'hui le 02 septembre et aujourd'hui, je devenais officiellement majeur et j'allais pouvoir voter .... Je n'imaginais pas, trois mois plus tôt que cet été là, tout allait changer pour moi.
C'était la fin de mes années de lycée et je venais de passer le Bac. Programmé depuis la sixième pour obtenir une mention TB, je n'obtins qu'une mention "Passable" et malgré cela, je m'estimais heureux d'avoir réussi cet examen car il faut bien le dire quelques jours avant, je fus complétement déstabilisé par Kader, mon prof de maths et par Estelle dont je pensais qu'elle était ma meilleure amie depuis des années et quand j'entrai dans la salle d'examen ce matin là, j'avais le cerveau vidé.
Au début de l'été, mes parents partirent en vacances nous laissant seuls pour les mois à venir dans l'appartement, mon frère et moi. Mon frère avait 21 ans et moi j'avais trois années de moins que lui. Il était inscrit en fac de droit mais ses études étaient bien médiocres car une seule chose l'intéressait dans la vie, coucher avec un maximum de filles, bonnes salopes car selon ses critères, les plus putes étaient les meilleures à le satisfaire sexuellement.
Quand nos parents quittèrent Paris pour rejoindre le sud, il mit au point la règle qui serait la nôtre pour les mois à venir : "je ne m'occupe pas de ton cul et tu t'occupes pas du mien, ok, petit frère ?", je le regardais sans rien dire car de toute façon, ma réponse, il s'en foutait ! L'après-midi même, il invitait deux putes à partager son lit. Je me planquais dans ma chambre essayant d'oublier ce qui se passait dans la sienne mais cela se révêla complétement impossible tant ils étaient bruyants dans leurs ébats. Une porte séparait nos chambres respectives et après avoir résisté pendant de longues minutes, je ne pus m'empêcher de poser un oeil sur le trou de la serrure : les deux putes étaient en train de se brouter la chatte dans un 69 bien chaud tandis que mon frère, à coups de reins puissants enculait celle située au dessus. Je dois dire que mon sang s'accéléra dans mes veines de façon immédiate et sans plus faire attention, ma tête pressa un peu plus sur la porte laquelle, sa ns doute mal fermée, s'entrouvrit. Mon frère sans arrêter sa besogne leva les yeux vers moi et me vit donc ! A peine perturbé, il me sourit et me fit le "V" de la victoire. Je refermais la porte et, rouge de honte, je quittais l'appartement et marchais dans la ville pendant des heures les yeux fixés sur mes chaussures.
Je ne me reconnaissais plus.
En quelques jours, le sexe avait pris la première place dans ma vie et je ne pensais plus qu'à cela. Kader m'avait révélé mon homosexualité mais pas seulement, Kader m'avait appris que mon plaisir n'était rien et ne comptait guère si je ne me concentrais pas d'abord et, finalement, exclusivement sur celui qui m'utilisait comme vide-couilles. Et j'ai appris pendant ces semaines d'été ! L'apprentissage a été progressif mais rapide, rude, très rude et, très efficace. Quand les premiers soirs, je sortais de chez lui épuisé, vidé moralement, je me disais que je ne reviendrais pas mais le lendemain, j'attendais fébrilement le texto qui me hurlait : "RAPPLIQUE Salope !" et en bonne pute soumise, en moins d'une demi-heure, j'étais chez lui pour satisfaire tous les désirs de celui qui était devenu mon maître et qui possédait mon corps d'esclave et commandait à mon cerveau.
Je ne me reconnaissais plus.
Je ressemblais à ces filles que mon frère baisait, j'étais devenu une bonne petite pute.
Chaque jour, j'arrivais chez Kader, les yeux baissés, tout entier empli de cette culpabilité qui ne me quittait plus et quand Kader m'attachait à plat ventre sur son lit, je me disais que la correction qu'il allait m'infliger, je la méritais bien et quand les coups de ceinture et de fouet pleuvaient sur mes épaules, sur mes fesses et quelquefois sur mes couilles, je retenais mes cris du mieux que je pouvais sans toutefois bien y parvenir. Ce jour où Kader me fit avouer ma faute, avoir maté mon frère en train de baiser, je fus d'accord avec lui pour dire que j'étais un petit vicieux et que je méritais une punition exemplaire. Il s'acharna sur moi pendant près de trois heures. Mes cris le faisaient bander comme un taureau et je réussissais à tromper ma douleur que d'une seule façon : fixer ce sexe splendide de mâle chaque fois qu'il était dans mon champ de vision et l'imaginer par anticipation remplissant ma bouche et ensuite ma petite chatte de pédé. En bon sadique, il ne manquait pas de le dodeliner devant mon nez. Et quelquefois, il me fallait accueillir son gland circoncis entre ma langue et mon palais et apprendre à rester impassible, surtout apprendre à ne pas mordre tandis que les coups pleuvaient sur mon cul. Je devins vite un élève discipliné et ce mélange de douleur sur mes fesses et de douceur dans ma bouche me rendait heureux. Oui, heureux !
Kader, avec son zeb, faisait de moi ce qu'il voulait.
Il le savait bien sûr et je le savais aussi. Chaque jour qui passait augmentait ma dépendance à sa bite et très vite j'eus conscience d'avoir dépassé le point de non retour : je lui appartenais et il pouvait faire de moi ce qu'il voulait.
Ce jour là, après ma correction exemplaire et après une baise brutale, j'eus la force de prendre une douche mais je me sentais incapable de rentrer chez moi aussi je demandais à Kader la permission de passer la nuit chez lui. Et il accepta et m'installa entravé au pied du lit. C'était la première fois que je passais la nuit chez lui et comme mon frère, à aucun moment, n'appela pour savoir où je me trouvais, Kader décida que, dorénavant, ma place était là chaque nuit.
Le lendemain matin, j'eus droit à une autre douche pour me réveiller et ensuite, il m'ordonna de préparer le petit déjeuner. Je le partageais avec lui et je dois dire que je dévorais avec entrain alors il ne put s'empêcher de me faire remarquer que j'allais lui coûter cher si la baise aiguisait mon appêtit ainsi. Ensuite, il me réinstalla sur le lit, cette fois allongé sur le dos mais les bras et les jambes toujours bien écartées et attachées aux quatre coins. Puis il téléphona.
Estelle arriva, elle se mit à poil et il la positionna au dessus de moi en 69. Ma mission était simple bien que peu enviable : il me fallait lui bouffer la chatte pendant que Kader lui fouettait le cul à coup de ceinturon. Elle gueulait la salope et mes coups de langue augmentaient ses cris. Kader bandait comme un Turc. Elle aurait peut-être aimé me bouffer la bite puisqu'elle était bien située au-dessus mais c'était impossible, Kader avait enfermé ma petite bite et mes couilles de gentil garçon dans une cage de chasteté métallique. Je sentais, malgré tout sa langue de chaque côté de la cage qui me léchait. Puis Estelle devint comme hystérique, comme démente, ses cris se firent de plus en plus rauques, de plus en plus femelle en chaleur. Elle écartait les cuisses au maximum, sa chatte m'écrasait la bouche tandis qu'elle réclamait une saillie avec fièvre.
Puis, finalement, les coups sur son cul s'arrêtèrent.
Estelle compris et elle souleva sa croupe. Kader, à genoux derrière elle, glissa son dard entre ma bouche et sa chatte. D'abord, il se glissa dans ma bouche puis testa sa chatte, revint vers ma bouche, retourna vers sa chatte et là, finalement, la tringla en force. Elle meugla comme une vache sa jouissance pendant que je prenais en bouche les deux couilles de Kader. Lui aussi alors se mit à être secoué de spasmes violents tandis qu'il émettait les sons puissants, gutturaux du mâle dominant qui vient de posséder sa femelle.
Ensuite, ils se douchèrent et l'appartement retrouva son calme : ils sortirent tous les deux tandis que je restais ligoté sur le lit, le cul encore en feu car moi je n'avais pas joui.
Tant pis, demain serait un autre jour et, alors, vite, je m'endormis !
Fin du chapître 2
(merci à ceux qui m'ont adressé un commentaire, après la parution du précedent chapître, ça fait toujours plaisir !)
Ggag92
ggag92@yahoo.fr
Autres histoires de l'auteur : Moi, Julien, la petite pute
