Il me mit dans la douche, il m'y força, sur un ton sec. Il devait avoir dans les 60 ans, il était mince, de bel stature, avait encore sa chevelure, blanche bien sûr, un regard bleu acier perçant et une voix virile. Il me demanda de me tourner et de poser les deux mains sur le mur. Il prit une planche et me frappa les fesses. Je hurlai de douleur, il m'ordonna de me taire. Je m'exécutai. Mes fesses rougies, il me tendit la poire de lavement qu'il avait remplie d'eau tiède au préalable. Il me donna également le gel. "Vas-y enduis-toi le fion et lave-toi la poche à merde." J'obéis. J'introduisis délicatement l'embout de la poire de lavement dans mon anus après y avoir mis du gel. J'appuyai et me laissai remplir d'eau tiède. Il ne parlait pas. Une fois l'opération terminée, je demandai à aller aux toilettes. Il me refusa cette faveur. Le liquide ne tarda pas à redescendre, telles les chutes du Niagara emportant avec elles leur flot de morceaux de merde. J'en avais jusqu'en bas des jambes et sur les pieds et j'avais honte. Je ne bandais pas. Ma longue queue pendante, dont j'étais assez fier mais qui ne me servait que pour pisser, puisque j'étais totalement passif, était résolument molle. Il me dit de me servir de la douche pour me débarrasser de mes excréments et nettoyer la douche. Je m'exécutai.
Maintenant que j'étais propre, il me tendit un objet bizarre, en latex noir, fait de grosses boules enfilées les unes aux autres le long d'une tige. Toujours habillé, il m'ordonna de me l'enfiler. Je le fis, une boule à la fois. Comme le modèle était assez gros, c'était assez pénible, mais cela me remplissait bien. J'eus beaucoup de mal lorsque j'arrivai aux deux dernières boules, il tendit la main et poussa assez violemment. Après une douleur courte, je dus me rendre à l'évidence : premièrement, tout rentrait en entier, deuxièmement, je lui étais entièrement soumis. Il laissa dépasser le bout de la tige qui était muni d'un petit anneau permettant le retrait de l'appareil.
Il me demanda alors de dandiner du cul. Je lui fis une danse du croupion, les deux mains toujours appuyées sur le mur de la douche. L'objet que j'avais dans le cul me stimulait les entrailles et notamment la prostate. Je trouvais de plus la situation excitante et me mis à bander. "Belle queue, la pute", entendis-je derrière moi. Me prenant par surprise, il tira sur l'anneau d'un coup sec et dans un moment de plaisir mêlé de douleur, je sentis les grosses boules de latex noir forcer une à une mon anus qui entretemps s'était resserré. Je gémissais et me tordais de plaisir. Sans me prévenir, il porta l'objet, un peu sale malgré le lavement, à ma bouche et me demanda le nettoyer. Je le fis, sans dégoût, parce que ça me plaisait, parce que ça m'excitait.
En récompense, j'eus droit à douze coups de cravache sur mes fesses qui s'en souvinrent pendant plusieurs jours, à tel point que j'éprouvai un sentiment de honte au sport sous la douche lorsqu'il fallut être nu devant d'autres hommes. Personne n'osa me questionner à ce sujet mais je sentis les regards gênés se poser sur mes fesses rougies et marquées.
La suite une prochaine fois... N'hésitez pas à me contacter pour me dire ce que vous avez pensé de cette courte histoire.
Simon
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