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Ma traversée -2

Nous sommes, tous les deux collés, l'un à l'autres, je suis entrain de l'embrasser, je l'ai collé, violemment, certes, contre ce mure blanc. J'ai l'image que la blanc renvoie, celui de la pureté, ironie je pense à ce moment.
Quand j'y repense, je ne me reconnais pas, moi qui suis relativement timide, je suis entrain de dominer et de mener la danse a ce petit type qui m'a tant allumer cette dernière semaine.

Il est tard, je suis un peu fatigué, l'alcool m'a un peu asséché. Mais ce petit type, mérite de comprendre qui je suis, et je me jure qu'il va savoir comment je m'appelle encore longtemps.
Je le plaque de plus en plus fort contre le mur, l'embrasse sur la bouche, sur le front, sur le nez, sur les joues, dans le cou, il remue, je me dis bien joué, un premier point faible.
En bon chemin, je ne compte pas m'arrêter ici, je m'attaque à ces oreilles, à ces lobes particulièrement, j'avais entendu durant la semaine qu'il en était particulièrement sensible.
Je les lèche, je joue avec ma langue, il se trémousse, pousse des petits cris, se remues, s'ondule et se frotte de plus en plus à moi.

J'ai arrêté de penser que c'était un côté "pépé" qui prenait le dessus sur moi, mais à ce moment, il me regarde droit dans les yeux, d'un air peureux, triste :

Lui : " Tu vas casser du "pédé" est après tu seras content de toi hein ?"
Moi : j'avoue avoir été déçu de sa réaction, " fais moi confiance, je suis plutôt respectueux, m'as-tu entendus dire du mal d'une de mes exs-copines durant la semaine?"
Lui : "C'est vrai"
Moi : "T'es diablement sexy quand tu es plaqué contre ce mur blanc"
Lui : " Je sais bien, le blanc me réussi"
Moi : "Petit con, on verra si ma queue dans ton cul te réussira aussi"
Lui : "T'inquiète pas j'en ai eu des plus grosses"
Moi : "Haha, tu sais, la taille ne me complexe pas, I'm not Hung as an elephant, but trust me that make the jobs""
Lui : "Quel prétention, jusqu'à présent, j'ai été satisfait que trois fois."
Moi : "Parce que tu as tenu un petit journal de bord?"
Lui : " Eh ouais, avoue d'aimerais être dedans."
Moi : "T'inquiète pas, j'ai déjà gagné mon nom dedans ;-)".
Lui : " Les rêves et la réalité sont deux choses différentes."
Moi : "T'inquiètes pas, j'ai bien compris tes regards, tes propos implicites et tes petits gestes."
Lui : " J'en suis ravi alors."
Moi : "Maintenant, j'espère que tu es du genre à assumer."

Il m'embrasse, je prends ça pour un signe positif.
Après une semaine à jouer, je n'ai plus aucune envie de vengeance. J'ai envie de tendresse, de câlin, d'être romantique.

Je le regarde dans les yeux, il me regarde également, je ne peux m'empêcher de lâcher un sourire, il semble conquit.

Je me sens puissant, ma bite est à présent dressé, le contact avec mon boxer est désagréable.
J'ai envie de la lâcher à l'air libre.
Il semble lire mes pensées, il se relève, m'embrasse et s'agenoue.

Ses yeux rentrent dans les miens, il descends tout d'un coup, je me retrouve la bite face à sa bouche.
Je me trouve ridicule, ridiculisé, impuissant, mais lui, il garde ce petit sourire narquois.

Moi : "Alors t'es content hein ?"
Lui : "Plutôt".
Moi : "..."
Lui : "Demain, je suis sur que tu penseras à moi, avec tout le bordel que je vais foutre dans ta tête."

Cette phrase m'énerve, j'attrape sa tête et l'enfonce sur ma queue, un morceaux normal ou je ne sais pas comment dire de 17 centimère.

Il a l'air d'être assez habitué car il me procure l'une des meilleures pipes de ma vie, je ne me gêne pas pour lui faire remarqué:

Moi: "t'as fais sa toute ta vie?"
Lui : "Malheureusement non, j'ai commencé tard, mais je compte bien me rattraper dans l'avenir."

Encore une fois, je me trouve à court de répartie, ce mec m'agace, non seulement, il me remet en question, mais en plus il me ridiculise sans cesse.

Comme pour me venger, je decide de plaquer sa tête contre le mur blanc et d'imposer un rythme soutenu et profond.

Il semble s'étouffer, mais j'insiste, puis il semble déboussoler, ces yeux cherchent, je me dis 'tiens, c'est le moment de le pousser bien bas"

J'aimerais l'insulter, lui dire à quel point, c'est une salope.

Mais seul eds mots tendres et doux semblent vouloir sortir,

Moi: "tu fais vraiment ca bien, merci beaucoup".
Lui : "MhmH (la bouche pleine)

Pour ma part, je commence à me dire qu'il est temps de lui rendre son plaisir,

Une fille m'aborde, brune, plus petite que moi, plutôt mignone et bien foutu.

Elle : Alors ce café?
Moi : Demain?
Lui : (le regard énervé)
Moi: "Owh suce toi"
Lui : Mordillant, attention a ce que tu dis.

A ce moment, mon sex est toujours dure et je ne rêve que de ces petits fesses.

Pour lui il est trop tôt, il me branle et se met des doigts pendant que je le branle.

alikos.h

alikos.h@outlook.com

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