Mes derniers cours d'EPS, matière que je n'aimais pas particulièrement, remontent au BTS. Nous étions tous quasiment du même âge, entre 21 et 23 ans à l'époque.
Personnellement, je ne suis pas particulièrement sportif, même si je garde une silhouette correcte. Du coup, l'EPS n'était pas mon fort, d'autant que j'étais toujours un peu le souffre-douleur de ma promo.
Le plus difficile et paradoxalement, le plus agréable (de mon point de vue !) était le changement dans les vestiaires. Nous sommes alors entre mecs et je traîne toujours un peu pour pouvoir profiter des entrejambes de mes camarades. La mode est plutôt aux boxers et je ne me lasse jamais de mater les paquets et les silhouettes d'hétéros. Mais j'ai toujours l'impression d'être grillé lorsque je m'attarde trop sans moi-même avoir retiré plus que mon t-shirt.
Ce jour là, nous sommes en hiver et il fait un froid polaire. J'étais un peu excité le matin et je me suis dit que je porterai un collant de danse sous mon jean. Je bande comme un fou dès que j'enfile le collant en lycra, blanc et brillant, satiné. Je l'ai apprécié lorsqu'il a fallu affronter le froid dehors et je me félicitais de mon idée.
En même temps, je savais (mais cela m'excitais aussi !) que nous avions EPS et qu'il faudrait que je me change, au risque d'être vu en collant de danse dans les vestiaires, avant de mettre mon survet.
Les mecs étaient presque tous partis des vestiaires et je me décide à baisser une fois pour toute mon jean et me retrouve en collant de danse blanc brillant. Je commence à enfiler par dessus pour aller en sport quand je vois la porte qui donne sur le gymnase s'ouvrir brutalement. C'est Jérémy, le chef de bande de la promo. Il bloque immédiatement sur moi, avec un large sourire. Je bande malgré moi, tellement excité par le fait d'être maté par lui qui aime dominer et en même temps, je prends conscience de la difficile journée que je vais vivre maintenant qu'il a vu ça.
" Bah alors, tu te prends pour une meuf ?! " me lance-t-il. " Tu portes des collants toi ? Je savais que tu étais un sac à foutre ! Cool, j'avais justement envie de me vider. T'a intérêt à rester après le cours. "
Après avoir récupéré son portable dans son jean, sur le banc, il repart. Je regarde la porte se fermer, un peu sonné et je finis d'enfiler mon survêtement et sors à mon tour.
Le prof fait l'appel et j'entends des rires grinçants derrière moi lorsqu'il donne mon nom. J'ai l'impression qu'il a déjà pris soin d'informer ses potes. Ça promet !
On a pingpong. Le cours se passe relativement bien jusqu'à ce que Florian passe derrière moi et tire son mon survêt'. Je me retrouve en collant de danse qui brille plus que jamais avec la lumière du gymnase... Les filles n'ont pas perdu un seul instant et ont immortalisé l'instant. Tous les mecs sont morts de rire et comprennent immédiatement qu'ils vont pouvoir s'amuser dans les vestiaires.
Dans les secondes qui suivent, je remonte mon survêtement et essaye de râler pour calmer les rires. Mais je suis rouge de honte.
Hélas, la fin du cours approche et le prof nous dit que l'on peut rejoindre les vestiaires dès que la dernière partie est finie.
Je traîne un peu, essayant de retarder mon arrivé aux vestiaires. Mais les derniers terminent et je dois me résoudre rejoindre les autres.
J'ouvre fébrilement la porte des vestiaires. A peine la porte se referme-t-elle que je me retrouve plaqué contre le mur par Florian et Clément. Jérémy arrive vers moi triomphant et baisse mon pantalon de survêtement. Tous les mecs sont encore morts de rire et commencent à se passer les mains dans leurs boxers. Ils ne se sont pas encore changé.
Jean-Marhy arrive aussi et commence à me caresser les cuisses et à remonter vers mon paquet. Je bande comme un fou et Jérémy le remarque et le hurle aux autres.
" Je savais que t'étais pédé. Tu vas nous sucer alors ! Les gars, faites-vous plaiz ". Les plus surs d'eux commencent à s'astiquer et sans je réalise, je me retrouve mis à genoux, toujours tenu fermement. Je m'exécute non sans un certain plaisir.
Jérémy décide alors de me faire sniffer ses TN requin. Il en porte toujours, ce qui lui donne un air dur. Je me retrouve la bouche remplie de bites, qui se succèdent sans que je puisse voir les " propriétaires " car Jérémy me cache les yeux, le nez et la bouche avec sa TN. Après 2 heures de sport, l'odeur forte mais la situation me fait toujours plus bander. Mon collant met en valeur mon paquet gonflé à bloc.
Jean-Marhy arrive alors des fringues qui pues la sueur et me les fait également sniffer. L'odeur de mec me fait gémir. Jérémy n'est pas content. Il ne veut pas que je me vide avant eux.
Du coup, Florian et Jérémy m'allonge sur le banc central et commencent à se branler et les premiers de foutre arrivent très rapidement. Jérémy s'approche de mon visage, baisse son boxer et exige que je lui lèche le cul (un cul de rêve). Les autres semblent étonnés et il leur lance : " ma copine veut pas, j'en profite ".
Brusquement, Jérémy se relève et se retourne vers moi : je vois son regard dur droit dans mes yeux et je me reçois cinq jets puissants de sperme en pleine bouche, ce qui me fait jouir entre les mains expertes de Jean-Marhy qui me branle à travers mon collant.
Je me retrouve en un instant presque seul, couvert de foutre, torse nu en collant de danse blanc. Jérémy, qui est le dernier à partir, revient vers moi : " t'as été docile, continue comme ça ! Et la prochaine fois, tu reviens avec ta tenue de danseuse. Si t'es pas gentil avec moi et mes potes, tu risques d'avoir des surprises.
Ouvres ta bouche ! "
Je m'exécute et Jérémy me crache, dans un gros mollard, le chewing gum qui a mâché depuis toute la matinée. " T'as intérêt à le garder toute la journée. Je vérifierai. " Puis il part.
J'ai un sentiment de honte et d'excitation mais je suis heureux de mon cours d'EPS !
Gaytux
Autres histoires de l'auteur : Le cours d'EPS | L'anniversaire de Jean-Marhy