Épisode précédent
Cette histoire se déroule le lendemain de la première histoire publiée. Pour résumé, mon frère, Alex, m'a violé la bouche, tout bonnement. Armé de sa puissante queue, il m'a forcé à le sucer jusqu'à me jouir dans la gorge. Le pire, dans tout ça ? C'est bien le fait que j'ai avalé ... et que j'ai jouis, par la suite. Alex, en partant, n'hésita même pas à m'appeler sa " pute ", ce qui me laissa pantois, sur mon lit, le corps couvert de mon propre sperme, la bite à demi molle et la mâchoire très douloureuse, vu ce qui pendait entre ses deux énormes cuisses d'athlètes.
Bref, mes parents en Espagne, j'étais seul dans la maison avec mon grand frère. La veille au soir, je n'étais pas sorti de ma chambre, trop honteux. Je m'étais lavé rapidement, et je m'étais vivement brossé les dents. Mais le goût puissant du sperme d'Alex restait en moi, et je sentais également le goût de son énorme verge. J'étais perturbé par tout ça. Par la vidéo, par son corps, par sa force, par le fait que je l'ai sucé et qu'il m'ait jouit dans la gorge ... et par le fait qu'au fond, j'ai aimé, puisque j'avais moi-même jouis en deux coups de poignets de mon frère.
Il était venu, le soir, deux secondes, simplement pour me dire qu'il sortait avec un pote. Je n'avais rien demandé, j'avais juste acquiescé. Je m'étais endormi en boxer sur mon lit, après avoir activement révisé le bac.
Le lendemain, ce ne furent pas les rayons de soleil qui me réveillèrent mais un bruit. Un bruit sourd, vif. Fronçant les sourcils, j'ouvrai difficilement les yeux. Et la première chose que je voyais, en face de moi, c'était ce glaive. Ce glaive énorme, puissant. Ce gland extrêmement épais, d'où coulait quelques gouttes de pré sperme. Et qui était, par accoue, recouvert partiellement par le prépuce de la verge de ... Alex. Bouche bée, je me relevais aussitôt, mais j'étais freiné dans ma course. La main puissante de Alex me coucha à nouveau sur mon lit, tandis qu'il me regardait, un sourire diabolique aux lèvres, totalement nu, ses puissants abdominaux contractés.
- Reste là salope.
Il me regardait dans les yeux. Je ne disais rien, trop surpris. Je rêvais ? Non, vu comme il me faisait mal à me tenir ainsi ... . Ce bruit, qui m'avait réveillé, ce n'était rien d'autre que ses râles bien rauques, bien virils. Il se branlait depuis combien de temps sur ma gueule endormie ? J'étais choqué. Mais à nouveau, mon corps réagissait de façon incompréhensible, et peu à peu, mon boxer se levait. Alex ne le manqua pas, et se mit à rire.
- T'aime ça, hein ... .
Avec un sourire encore plus machiavélique, il cogna sa lourde queue sur mon visage trois fois. Il soupira bruyamment de plaisir et me regarda, en me crachant vulgairement au visage, comme on aurait pu le faire avec son jouet sexuel ... ce que j'étais, apparemment, pour lui.
- Ta barbe me pique petite pute ... mais j'aime ça.
Avec un léger rire, il étala son crachat sur mon visage. Je faisais une grimace, dégoûté. Ce qui me valut une violente gifle, qui me cloua contre mon matelas. Ma peau devint sans doute rouge, mais surtout douloureuse, alors qu'il empoignait mes cheveux. Son gland énorme heurta alors mes lèvres, et il força si violemment que je dû me résoudre à les écarter, si je ne voulais pas perdre toutes mes dents.
- Pas de dégoût, compris ? A chaque visage comme ça, je te pine la gueule, sale pute.
Il m'insultait, encore. Et moi ? Je bandais comme un dingue. Ma queue soulevait le tissu de mon boxer comme rarement, et Alex l'empoigna de sa main libre et la serra, très brutalement. Je râlais de douleur, posais mes mains sur ses cuisses énormes pour le repousser, en vain. Il était bien trop lourd, bien trop puissant, même comparé à moi. J'étais impuissant, face à cet Hercule qu'était mon grand frère. Et il en profitait.
Il se retira de ma bouche, cracha sur son gland, et s'enfonça à nouveau. Et il se mit à me baiser les lèvres. Lui à moitié accroupi à côté de mon lit, moi allongé, forcé à rester dans cette position, pendant environ quinze minutes. Quinze minutes au bout desquelles je ne sentais plus ma nuque, ni mes lèvres ou ma mâchoire. Il avait abandonné ma bite depuis longtemps, et avait posé ses deux mains sur mes cheveux. Il allait et venait, rapidement, puissamment, comme s'il violait une chatte. Il râlait, encore et encore, le corps désormais couvert de sueur. Haletant, il me regardait, méprisant, comme si j'étais une merde. Et moi ? J'avais le visage couvert de bave. De la mienne, de la sienne, et je me demandais vraiment si je ne rêvais pas.
Alex sembla le voir. Il se retira d'un coup, donna trois coups de poignets sur son membre énorme et râla très bruyamment. Son gland rougi laissa alors échapper de gros jets de sperme. Un sperme brûlant qui se rependit sur mon visage, sur mes lèvres, dans mes cheveux et bien plus loin sur mon lit. Il jouissait beaucoup et il jouissait fort. Je serais les lèvres, pour ne pas en avaler. Mais il me força l'entrée de la bouche avec sa grosse queue et l'enfonça pour que je la lèche.
- Salope.
Cette fois-ci, il ne s'occupa pas de ma bite. Il se retira, me gifla à nouveau puis se tourna et partit encore vers sa chambre. Cette fois-ci, c'est moi qui venait d'empoigner ma queue, si tôt sa porte fermée. Et je me fis jouir en deux minutes. Si fort que je me reçu encore du sperme sur le visage, mais le mien cette fois. Et je sortis ma langue pour lécher le mélange des deux, reconnaissant bien celui de mon frère, plus fort et puissant.
J'étais sa pute, et petit à petit, il me l'inculquait, comme un maître à son chien. Allongé sur le lit, cette fois-ci le visage couvert de sperme, j'hésitais même à aller me nettoyer. Jusqu'à ce que je reprenne mes esprits, me lève et me dirige vers la douche.
Merci pour vos messages !! En espérant pouvoir écrire la suite rapidement.
Justinancdo
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