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18 Avril

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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Le mariage de mon meilleur ami

Chapitre 36

Je ne savais pas quoi faire mais l'instinct animal en moi s'est réveillé et je me suis jeté sur la braguette de notre beau policier. J'ai ouvert sa braguette et là : je me retrouve nez à nez avec un monstre...
Rien que de voir cet énorme mandrin me donne l'eau à la bouche.

M : Willy, ça te dirai une bonne bouche pour s'occuper de ta queue qui à l'air de ne demander que ça ?
W :J'en sais rien, je ne suis pas attiré par les mecs normalement mais là en vous voyant et cela fait quand même six mois !!!
M : Regardes comme mon homme baves devant ta queue !

Et là je n'ai pas attendu de réponses de la part de Willy que j'avais déjà engouffré sa bite dans ma bouche. Elle devait bien faire au moins 25cm sur 7. Un monstre quoi.

W : Oh putain.....
M : T'inquiètes pas, détends toi tu vas aimer ça...

Il était tellement sous le choc, qu'il s'est écroulé sur une des chaises. Mon homme se touchait en me regardant sucer notre beau flic. Du coup j'alternais entre leurs deux bites.

M : Mon coeur, ça te plairait que je t'encule pendant que tu suces Willy ?

J'ai juste hoché la tête positivement car je n'avais pas envie de lâcher sa queue.

M : Ah moins que Willy ne veuille te démonter ton ptit cul ?
W : Mmmmm putain ta bouche.... Non, tu sais comme je te l'ai dis, je suis hétéro alors je pense que sa bouche me suffit.
M : Pas de problème.

Du coup, sans même me préparer vu que mon petit trou était encore dilaté de tout à l'heure, Marc est venu derrière moi et m'a embrocher d'un seul coup. Une queue dans chaque trou, que demander de plus ?

W : Je n'aurai jamais imaginer qu'une bouche de mec serait plus agréable que celle d'une femme !!! Et je peux te dire que j'en ai connu des femmes avant la mienne...
M : Et la tu es tombé sur un gourmand...
W : Je vois ça. Putain, je ne vais pas tarder à juter...
M : Laisses-toi aller, il adore ça. Hein mon coeur ?
J : Oui je veux ton jus Willy...

Je n'ai pas eut le temps de remettre sa queue en bouche et était déjà en train de me juter sur la figure. Au bout du troisième jet, j'ai repris sa queue en bouche pour avaler le reste. Sept ou huit jets en plus que j'ai essayé d'avaler. Je sentais que son jus débordait et coulait sur mon menton. Avec sa queue, il a récupéré le reste de son jus sur mon visage pour me le faire avaler.
En voyant cela, Marc s'est mis à jouir en moi. Puis il est venu m'embrasser et lécher le gland de Willy qui commençait à débander. Il s'est ensuite relever pour ranger sa bite et se rassoir à nouveau.

W : Merci Julien, c'était une merveille ta pipe !
J : Merci à toi pour ce bon jus !
W : C'est pas le tout mais il va falloir que je parte les mecs. Mais au fait, pendant que j'y pense, pour le malade qui s'en prend à vous : je peux essayer de vous aider en dehors du taf si vous voulez ?
J : Justement, dans la nuit je me posais la question de savoir comment on pourrait le coincer vu que tes collègues n'y arrive pas ?
W : Ben écoutez si vous voulez, je passe ce soir pour qu'on en discute mais je ne veux pas vous forcer à quoi que ce soit. Et en plus que cela reste entre nous. Ok ?
M : Ok c'est cool de ta part, merci beaucoup. Et peut-être que tu auras encore le droit à une bonne pipe ?

Nous nous sommes mis à rire puis Willy est reparti en nous disant qu'il serait chez nous vers les alentours de 21h.

M : Bon mon coeur, je vais devoir y aller aussi. Faut que je bosse un peu. Je ne sais pas si je serai rentrer ce soir à l'heure mais t'inquiètes pas je ferai mon possible ok ? Mais là, je file à la douche et je pars direct.
J : Ok chéri. Mais appelles moi dès que tu arrives à ton bouleau que je ne m'inquiètes pas ok ?
M : Oui promis.

Une fois sa douche terminée, il parti au boulot et comme convenu m'appela pour me dire qu'il était arrivé. J'ai passé mon après-midi devant des émissions à la con. Mais bon, je n'avais pas envie de sortir et en plus il faisait un temps de chien dehors.

Vers 20h30, Willy sonna à la porte. Il me fit la bise en rentrant.

J : Tu as déjà dîner ?
W : Oui oui ne t'inquiètes pas. Mais Marc n'est pas là ?
J : Non, il est parti bosser cet après-midi. Il ne va pas rentrer tout de suite. Ça te dis un peu de vin ?
W : Ouai, ça ne serait pas de refus.

La soirée s'est passée normalement puis au alentours de 22h, je reçois un appel inconnu sur le fixe.

Inconnu : (avec sa voix masquée) Apparemment tu es en très bonne compagnie. Dommage que ton homme ne soit pas à tes côté ?
J : Qu'est-ce que ça veut dire ?
I : Tu le sauras bien assez tôt !!!

Et là, il me raccroche au nez ! Je prends mon portable et appelle Marc.

J : Putain de messagerie !!!! Réponds putain mais réponds....
W : Qu'est-ce qui se passe ?
J : J'en sais rien, l'autre dégénéré sait que je ne suis pas seul ici et que Marc n'est pas là non plus. J'essaie d'appeler Marc mais je tombe sur sa messagerie.
W : Tu veux qu'on aille voir à son boulot ?
J : Oui s'il te plaît !

Nous sommes donc parti jusqu'au travail de Marc et quand nous sommes arrivé : PERSONNE !!!
Il y avait du bordel partout !!!!
Puis mon téléphone s'est mis à sonner.

M : Pourquoi tu es venu ?
J : Tu es où ?
M : Sors de là tout de suite, il est ici ! Partez tout de suite !
J : Non pas sans toi ! Dis moi où tu es ?
M : Je suis caché mais partez tout de suite. Ne t'inquiètes pas pour moi !!!

Et là, un coup de feu retentit !

Chapitre 37

M : Pourquoi tu es venu ?
J : Tu es où ?
M : Sors de là tout de suite, il est ici ! Partez tout de suite !
J : Non pas sans toi ! Dis moi où tu es ?
M : Je suis caché mais partez tout de suite. Ne t'inquiètes pas pour moi !!!

Et là, un coup de feu retentit !

W : Putain, c'est quoi ce merdier ???
J : Je n'en sais rien mais tout ce que je sais : c'est que je ne partirai pas d'ici sans avoir retrouvé Marc.
W : Non on doit sortir, tu vois bien qu'il n'est pas ici !
J : Si il est là. Il vient de me dire qu'il était caché mais je n'en sais pas plus.
W : Bon, toi caches toi derrière ce comptoir. Moi je suis armé mais je vais essayer de prévenir mes collègues. Ok ?
J : Mais...
W : Y'a pas de mais qui compte. Tu te caches et surtout tu ne bouches pas.

Je me suis donc caché pendant que Willy essayait de contacter ses collègues et partait voir d'où venait le tir. De mon côté, j'essayais de rappeler Marc mais pas de réponses. J'entendais un bruit de pas qui venait dans la pièce où je me trouvais. Je pensais que c'était Willy mais dans mon fort intérieur, je savais qu'il fallait que je reste caché derrière ce comptoir. J'étais pétrifié. Cinq minutes ont passés mais on aurait dit une éternité. Je ne savais plus quoi faire. Puis d'un seul coup :

W : Poses ton arme conard !

Et là des coups de feux ont retentis mais je n'osais plus bouger. J'entendais les sirènes des voitures de police s'approcher et j'espérais qu'elles soient là le plus rapidement possible. Encore des coups de feux et puis plus rien. J'ai juste entendu quelqu'un partir en courant. J'ai pris mon courage à deux mains et je me suis relevé. J'ai juste vu une silhouette toute noire et cagoulée partir en courant et là Willy gisait au sol. Je me suis précipité vers lui en criant à l'aide mais les flics n'étaient toujours pas arrivé.

Arrivé à sa porter, je voyais qu'il était couvert de sang mais qu'il était encore conscient.

J : Où est-ce que tu es touché. Qu'est-ce que je dois faire ?
W : (avec du mal à parler) Au thorax. Appuie sur la plaie le plus fort possi...

Et là, plus rien, il s'est évanouit.
J'entendais enfin les flics arriver.

J : Je suis là, il y a un blessé. Faites quelques choses, grouillez-vous !!! Je vous en supplie appelez une ambulance.

Les flics ont pris le relais et je ne savais plus où j'étais. J'étais fixer sur mes mains pleines de sang et je me suis effondré au sol.

Lorsque j'ai enfin ouvert les yeux, je ne savais pas où j'étais. J'ai dut mettre quelques secondes pour comprendre que je me trouvais à l'hôpital. Je me suis légèrement relevé sur mon lit et là le soulagement. Marc était endormi sur une fauteuil près de moi. Puis, la porte de ma chambre s'est ouverte et un mec plutôt costaud est rentré avec un air assez sévère.

Inconnu : Bonjour, je suis le sergent Badinski. Je vois que vous êtes enfin réveillé et j'aurai voulu savoir si vous auriez quelques minutes à me consacrer pour répondre à quelques questions ?
J : Euh, ça ne serait pas possible plus tard, je me sens encore un peu vaseux et je viens à peine de me réveillé.
Sergent B : Pas de soucis. Si vous voulez, je repasserai demain matin alors.
J : Merci, c'est gentil mais au fait, j'étais dans les vapes depuis combien de temps et comment va Willy ?
SB : Eh bien, vous êtes tombé en état de choc hier soir lorsqu'une équipe de secours est arrivé sur le lieu de l'agression.
J : Ok merci mais comment va Willy ?
SB : Désolé Monsieur, je ne peux pas vous répondre pour le moment. Reposez-vous bien et je vous dis à demain. Bonne journée. Ah oui au fait, j'ai mis un agent devant votre porte. S'il y a un soucis, appelez-le compris ?
J : Oui merci.
SB : Au-revoir Monsieur.

En partant, il a claqué la porte de la chambre ce qui a fait sursauté Marc.

M : Oh mon coeur, qu'est-ce que je suis heureux que tu ailles bien !
J : Moi aussi je suis soulagé. Tu m'as fait peur hier.
M : Je sais je suis désolé.
J : Est-ce que tu sais comment va Willy ?
M : Reposes-toi, on en parlera plus tard ok ?
J : Non, je veux savoir, l'inspecteur qui vient de partir n'a rien voulu me dire. Tu sais quelque chose toi ?
M : Oui j'ai entendu deux policiers en parler ce matin quand je suis allé me prendre un café.
J : Et alors quoi ?
M : Je suis désolé mon amour, mais il est décédé dans l'ambulance à la suite de ses blessures.

Je ne savais plus quoi dire, je me suis juste mis à pleurer. Même si je ne le connaissais pas plus que ça dans un sens, c'est lui qui m'a sauvé la vie en me disant de me caché.
Marc s'est approché de moi, m'a embrassé sur le front et m'a serré dans ses bras pour me réconforter.

J : Il faut que tout cela cesse au plus vite, je suis fatigué ! Je n'en peux plus de ça.
M : Je sais moi non plus.

Puis quelqu'un frappa à ma porte.

J : Entrer.
Infirmier : Bonjour, tout va bien ? Je viens vous ausculter. Est-ce que je peux vous demander de sortir (en s'adressant à Marc), je dois faire quelques petits examens pour voir si tout va bien.
M : Oui pas de soucis. A tout à l'heure mon coeur. Je vais me prendre un café en attendant ok ?
J : Ok.

En sortant, Marc remarqua qu'il n'y avait personne devant la porte de la chambre. Mais il n'y prêta aucune attention et partit au rez-de chaussé se prendre un café à la machine. C'est là qu'il vit le flic en question qui devait surveillé la chambre.

M : Excusez-moi : vous ne devriez pas surveiller la chambre de mon ami ?
Flic : Normalement si, mais un infirmier est venu me voir en me disant qu'il y avait de la bagarre ici mais il a dut se tromper car il n'y avait rien.
M : Non mais vous déconnez là ! Avec tout ce qui se passe en ce moment, ce n'est pas le moment !!!
F : Oh on se calme, j'y retourne alors détendez-vous et que voulez-vous qu'il se soit passé en même pas cinq minutes.

Il partit en me laissant Marc. Celui prit son café et remonta dans la chambre de Julien. En entrant il n'y avait personne. Il alla parler au flic.

M : Je peux savoir où est mon ami ?
F : L'infirmier en question l'a emmener en fauteuil pour passé un scan.
M : Pourquoi faire ?
F : Je n'en sais strictement rien désolé.

Marc commençait à avoir un mauvais pressentiment. Il partit en direction du bureau des infirmières pour en savoir plus.

M : Excusez-moi Madame, est-ce que vous pouvez me renseigner s'il vous plaît ?
Infirmière : Bien sûr.
M : Je voulais savoir où est-ce que votre collègue avait emmené mon ami.
I : Dans quel chambre se trouve votre ami ?
M : Chambre C107.
I : Écoutez, normalement votre ami doit rester dans sa chambre, rien est prévu comme sorti.
M : C'est impossible, un infirmier est venu le chercher pour passer un scan !
I : C'est impossible Monsieur, à cet étage, je n'ai pas de collègue infirmier masculin et votre ami n'a aucun scan de prévu.
M : Mais....

Marc reparti en courant vers la chambre et tout essoufflé, il raconta tout au flic qui appela lui à son tour les infirmières et ses collègues. Marc était dans un état second et alla dans la chambre pour chercher ; en fait, il ne savait pas quoi chercher. Il tomba juste sur un papier qui était posé sur le lit. Il le déplia et lu ces deux seuls mots écris en gros et en rouge : TROP TARD.

Chapitre 38

Marc reparti en courant vers la chambre et tout essoufflé, il raconta tout au flic qui appela lui à son tour les infirmières et ses collègues. Marc était dans un état second et alla dans la chambre pour chercher ; en fait, il ne savait pas quoi chercher. Il tomba juste sur un papier qui était posé sur le lit. Il le déplia et lu ces deux seuls mots écris en gros et en rouge : TROP TARD.

Je ne sais pas ce qui s'est passé. J'ai la couche pâteuse. Les derniers souvenirs qu'il me reste c'est l'arrivée d'un infirmier dans ma chambre d'hôpital puis ensuite : ça a été le trou noir. Il a dut m'endormir car je ne me rappelle plus de rien par la suite.

C'est l'horreur. je ne vois plus rien, je dois avoir une sorte de sac en toile sur le visage. Je suis enchaîner aux deux poignets ainsi qu'aux pieds. Le ne me sens vraiment pas bien du tout. Il n'y a aucun bruit autour de moi. Par contre, ça pue. J'ai l'impression de m'être pisser dessus. C'est horrible. Qu'est-ce qui m'arrive. J'entends comme des petits bruits de rats autour de moi. J'ai de plus en plus peur. Se retrouver debout enchaîné les jambes et les bras écartés fait très mal.

Je n'ai plus la notion du temps. J'ai l'impression que les heures passent et je n'entends toujours rien autour de moi. Puis une porte : on dirait une porte de métal comme dans des hangars s'ouvrir. Puis des pas s'approcher de moi.

J : Qui est là ?

Pas de réponses.

J : Pitié : dîtes moi qui vous êtes et ce que vous me voulez ?

Toujours rien.

J : S'il vous plaît, détachez moi, je vous en supplie. J'ai mal partout. J'ai soif.

Les pas se rapprochent puis je sens comme une décharge en moi.

Plusieurs heures ont dues s'écouler. Je commence à me réveiller. J'ai du recevoir une décharge électrique. Je me suis vomis dessus. J'ai mal partout. Cette fois-ci j'ai les mains attachées ensembles mais je suis toujours enchaîné au sol. Je n'ai qu'une envie c'est de partir mais comment.

J'entends à nouveau cette porte s'ouvrir et se refermer et des pas s'approcher.

J : Qui est là s'il vous plaît répondez-moi ?
inconnu : (en chuchotant) Ton pire cauchemars.
J : Qu'est-ce que vous voulez de moi ?
i : Tu le sauras bien assez tôt. Mais pour le moment, il va falloir te décrasser car tu pues. Je te préviens, si tu essaies de faire quoi que se soit, je te butte immédiatement, c'est comprit ?
J : Oui oui je vous le promets.

Il m'a détaché au niveau des jambes puis m'a fait me relever. J'ai dut tomber deux fois tellement j'avais mal partout.

i : Je vais enlever ce sac sur ta tête alors fermes tes yeux ok ?
J : Ok.

Il enleva le sac sur ma tête mais immédiatement il me banda les yeux par une sorte de tissu puant.
Il m'attacha ensuite contre un mur à ce que je pouvais sentir dans mon dos après m'avoir complètement arracher mes vêtements. J'étais nu et complètement à sa merci. Puis d'un seul coup, je reçu de l'eau glacée sur moi. Il était en train de m'arroser pour me laver. J'étais mort de froid. Une fois terminer, il m'a conduit sur une sorte de matelas et m'a encore attaché à plat ventre avec les bras et les jambes écartées à nouveau. Bien entendu j'étais toujours nu et je grelottais de plus en plus.

J : Qu'est-ce que vous me voulez, je n'ai rien fait.
i : Fermes ta gueule ok ?
J : Pitié !!!
i : T'inquiètes pas tu vas aimer ce qui va t'arriver.

Il a commencé par me caresser les jambes puis tout doucement, il est remonté vers mes fesses qu'il a commencer à pétrir de plus en plus fort. J'étais tétanisé.

J : (en pleurant) S'il vous plaît pas ça. Non....

Je n'ai pas eut le temps de dire autre chose qu'il avait enfoncé trois doigts directement dans mon petit trou.

J : Pitié.....
i : Tu fermes ta gueule.
J : Je vous en supplie.
i : Tu l'auras voulu.

Il s'est relevé et m'a bâillonné. Je pleurais de plus en plus car je savais ce qui allait m'arriver. J'aurai préféré mourir que de subir ça.
J'ai ensuite entendu qu'il débouclait sa ceinture. Il se déshabillait en prenant bien son temps. Une fois qui fut nu, il me dit :

i : Tu vas voir ce que c'est que de se faire enculer à cru.
J : Non pas ça s'il vous plaît.

Il est arrivé sur moi et il a planter sa queue d'un seul coup. Et je peux vous dire que ce n'était pas une petite queue. Il y allait de plus en plus fort. Tout en m'enculant, il me tirait les cheveux en attirant mon visage vers le sien. Il me donnait de grands coups de langues dans le cou et me crachait au visage. Puis, il s'est relevé après plusieurs minutes de violence. J'essayais d'écouter ce qu'il faisait mais j'ai tellement tétanisé que je n'y arrivais plus. Puis il revint.

i : C'est pas fini mon joli.

Sans avoir eut le temps de dire quoi que ce soir, il m'avait enfiler une sorte d'énorme bâton dans le cul. Il me l'enfonçait et le retirait de plus en plus vite. J'avais tellement mal et je sentais que je saignais. Il y allait très fort. On aurait dit que j'étais juste une poupée pour lui.
Puis il vint sur moi et me souleva un peu pour attraper ma queue. Il me masturbait et il me renfonça sa queue d'un seul coup.

i : Mmmmm ton cul est un régal. Et je vois que ça te fais bander mon cochon.

Je n'y pouvais rien. Ce n'est pas que j'aimais ça, c'était juste un réflexe masculin. De plus, il me branlait en même temps.

i : Je savais que t'étais une bonne salope. Tu vas bien me vider les couilles et promis je vais bien te remplir.

Je ne pouvais plus rien dire. J'avais mal, je pleurais toujours. Je n'avais qu'une chose en tête pour m'échapper de cette réalité : c'était Marc.

i : Putain que ton cul est bon. Écoutes moi bien espèce de salope, je vais te foutre ma queue dans ta bouche. Si tu me mors, tu sais ce qui va se passer ? Réponds en hochant la tête.

J'ai du dire oui.
Il s'enleva de mon cul et enleva mon bâillon.

i : Tu sais ce qu'il te reste à faire petite pute ? Et tu as intérêt à t'appliquer ok ?

Il vint devant moi en s'accroupissant et me mis sa queue au fond de ma gorge. J'avais l'impression qu'il baisait mon cul. J'étouffais à force. Puis, il me tint pas les cheveux et juta au moins une dizaine de jets de son jus amer au fond de ma gorge. J'étouffais de plus en plus. Je n'arrivais pas à tout avaler.

i : Oh putain de sa race..... Tu es une vraie petite pute.
J : (tout en pleurant) Pitié, laisser moi partir, je ne dirais rien.
i : Tu rêves. Je n'en n'ai pas terminé terminer avec toi.
J : De l'eau s'il vous plaît.
i : Ok ok.

Il m'attacha cette fois-ci assis sur ce matelas avec des cordes. Puis il me fit boire un peu d'eau. Il m'a ensuite bâillonné à nouveau.

i : On se revoit tout à l'heure espèce de pute. Sois bien sage.

Il fallait que je parte à tout prix. Mais comment ? Avec mes doigts, j'essayais tant bien que mal à défaire mes liens. Après plusieurs minutes d'acharnements, j'y suis enfin arrivé. J'ai fini par me détaché, enlever ce bâillon ainsi que le tissu sur mes yeux. C'est là que j'ai découvert le lieux où je me trouvais. On aurait dit une vieille usine désaffectée. Je me suis relevé avec beaucoup de mal et lorsque j'ai voulu ouvrir la porte, celle-ci était verrouillée. Comment allais-je m'en sortir. Je regardais autour de moi même si j'étais dans l'obscurité totale et j'ai trouvé le fameux bâton en question qui m'avait pénétré quelques minutes auparavant. Il n'y avait plus qu'une chose à faire : attendre que ce monstre revienne et l'assommer de toutes forces.

Je ne sais pas combien de temps cela a durer mais je dirais plusieurs heures avant que je n'entende la serrure de la porte. Puis, une ombre. Et là, j'ai frappé de toutes forces. J'ai frappé, et frappé. Je me suis ensuite mis à courir le plus vite possible sans savoir où aller. Tout ce que je savais c'est qu'il ne fallait pas que je me retourne. Une fois dehors, j'ai couru en direction de la route. Nu, mais je m'en foutais complètement.

J'ai couru plusieurs minutes sans me retourner et puis j'ai entendu un klaxon derrière moi et au moment de me retourner : .....

Tounet777

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