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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Le mariage de mon meilleur ami

Chapitre 39

Je ne sais pas combien de temps cela a durer mais je dirais plusieurs heures avant que je n'entende la serrure de la porte. Puis, une ombre. Et là, j'ai frappé de toutes forces. J'ai frappé, et frappé. Je me suis ensuite mis à courir le plus vite possible sans savoir où aller. Tout ce que je savais c'est qu'il ne fallait pas que je me retourne. Une fois dehors, j'ai couru en direction de la route. Nu, mais je m'en foutais complètement.

J'ai couru plusieurs minutes sans me retourner et puis j'ai entendu un klaxon derrière moi et au moment de me retourner : j'ai juste eut le temps de voir une voiture me foncer dessus à toute allure puis c'est le trou noir.

Je me sens tellement bien d'un seul coup, on se croirait dans un rêve. J'ai l'impression de flotter dans les airs. Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais je me suis senti tomber tout doucement puis de plus en plus vite. Un vrai cauchemars. Là, je ne savais pas du tout ce qui se passait. J'ai enfin ouvert les yeux et j'ai vu un médecin à mes côté.

Médecin : Bonjour monsieur, vous m'entendez ?

J'ai acquiescé positivement. J'avais la bouche pâteuse.

Mé : Vous savez où vous êtes ?

J'ai essayé de parler avec beaucoup de difficulté.

J : Je, je pense oui. Je suis à l'hôpital.
Mé : C'est ça. Est-ce que vous vous souvenez de ce qui vous est arrivé.
J : N..non, je ne me rappelle de rien. Mais j'ai soif s'il vous plaît.
Mé : Oui bien sûr, tenez, buvez.
J : Merci. Est-ce que vous, vous pouvez m'expliquer ce qui se passe.
Mé : Oui, on va y venir mais je préfère vous posez quelques petites questions avant si cela ne vous dérange pas.
J : D'accord, allez-y.
Mé : Savez vous comment vous vous appelé ?

Et là, c'est incompréhensible, je ne me souviens pas de mon nom, ni de mon prénom. Je me rends compte que je ne sais plus rien sur moi.

J : Non, je ne me rappelle pas. Qu'est ce qui m'arrive ? Dites-moi ce qui m'est arrivé bordel de merde ?
Mé : Bien, apparemment, quelqu'un vous a retrouvé au bord d'une petite route en plein milieu des bois. Vous avez été renversé par un chauffard qui s'est enfuit par la suite. Puis, vous avez été transporter en hélicoptère dans un des plus grand hôpital du pays pour soigner vos blessures car vous étiez quasi-mort quand on vous a retrouvé.
J : Oui mais je ne me rappelle de rien de tout ça ! Depuis combien de temps suis-je là ?
Mé : Cela fait bientôt sept mois que vous étiez dans le coma.
J : Sept mois ? Et quelqu'un est venu me voir ?
Mé : Non, je suis navré. Apparemment la police a mené une enquête mais sans résultats. Ah si, une personne vient de temps en temps voir comment vous allez !
J : Ah oui, qui est-ce ?
Mé : C'est la jeune femme qui vous a retrouvé. D'ailleurs, elle doit passer dans la journée.
J : Est-ce que vous en savez plus sur ce qui m'est arrivé ?
Mé : Vous avez aussi été agressé sexuellement sur ce que j'ai put voir de vos blessure et des fluides corporels que l'on a retrouvé sur vous. De plus, lorsque l'on vous a retrouvé, vous étiez entièrement nu.
J : Je vous remercie docteur.
Mé : Bon, je vais vous laissez vous reposez, je repasserai dans une heure pour voir si tout va bien.

La matinée a passé très vite. J'essayais de me souvenir sur mon passé mais rien, c'est le néant. Puis dans le milieu de l'après midi, quelqu'un à frappé à ma porte de chambre.

Jeune Femme : Bonjour, je suis tellement contente que vous soyez enfin réveillé.
J : Bonjour.
JF : Comment allez-vous ?
J : Fatigué et déboussolé. Je ne me souviens de rien.
JF : C'est ce que les infirmières viennent de me dire. Je suis tellement contente que vous alliez mieux. Ah au fait, moi c'est Lisa.
J : Moi c'est : non je ne sais même pas comment je m'appelle.
JF : J'espère que la mémoire vous reviendra.
J : Peut-on se tutoyer, ça serait peut-être plus sympa.
JF : Oui pas de soucis.

Pendant que Lisa me parlait, je la détaillait de haut en bas. C'est une jolie jeune femme de 24 ans, blonde, de taille moyenne et très jolie.

On a discuter durant plusieurs heures, j'ai appris qu'elle vivait avec son compagnon Antoine qui a 33 ans et son petit frère Victor qui a 18 ans.

Les semaines ont passés, Lisa venait me voir presque tous les jours après mes séances de rééducation mais ma mémoire n'était toujours pas revenue. J'avais décidé de trouver un prénom et Lisa en a trouvé un qui me convenait le temps que cette putain de mémoire me revienne. Du coup, je me faisait appeler Marc. Je ne sais pas pourquoi mais je trouvais ce prénom très beau et j'avais juste cette drôle d'impression quand on m'appelait par celui-ci.

J'ai passé deux mois depuis mon réveil à l'hôpital et là, c'est le grand jour. Je dois sortir d'ici mais vu que je n'ai nul part où aller et que j'ai encore plusieurs séances de rééducation à faire, Lisa et son compagnon (que je n'ai jamais rencontré) ont décidé de m'accueillir chez eux. Le seul hic, c'est que j'allais devoir partager la chambre du petit frère de Lisa. Personnellement, cela ne me dérangeait pas mais je sais que pour un mec de 18 ans, cela allait sûrement le faire chier.

Lisa ma dit que je pouvais emprunter les affaires de son copain le temps qu'on en achète pour moi. Une fois arrivé dans sa petite maison, il n'y avait personne. Victor était au lycée, et Antoine travaillait à son bureau (il est directeur d'une agence de tourisme).

Elle m'a fait visité la maison et j'ai put m'installer confortablement. J'avais un petit lit une place (normal je suis l'invité) en face de celui de son frère (deux places). Il y avait une petite salle de bain dans la chambre. La maison était petite mais très jolie avec un petit bout de terrain.

L : Alors, est-ce que cela te conviens ?
J : Oui, c'est nickel, mais tu sais tu n'étais pas obligé de faire tout ça pour moi.
L : Tu sais, avec mon frère, on a grandit en foyer. Pas de parents, pas de famille sur qui compter alors je trouve cela normal que tu es quelqu'un sur qui te reposer dans des moments pareils.
J : C'est très gentil en tout cas.
L : Ça me fait plaisir. Tu veux boire quelque chose ? Du frais ?
J : Euh, non, je veux bien un café s'il te plaît.

On s'est dirigé vers la cuisine. Je me suis installé pendant qu'elle préparait tout. D'un seul coup, la porte d'entrée s'est ouverte puis a été claqué très fortement. Puis une autre porte par la suite.

L : Ça, c'est Victor. Tu vas voir, il est un peu sauvage mais il ne mord pas.
Victor, tu peux venir s'il te plaît ?
V : Qu'est-ce que tu me veux putain ? J'ai du taf pour demain.
L : Viens ici cinq minutes s'il te plaît. J'ai quelqu'un a te présenter.

Quand, Victor est arrivé, je suis tombé sous le charme immédiatement. Il est brun, les yeux vert, 1m80 avec un look assez branché. Tous les derniers trucs à la mode.

J : Salut, moi c'est Marc.
V : S'lut mec. Bon, je peux aller bosser maintenant ?
L : Oui vas-y mais t'aurait put rester un peu plus longtemps vers nous non ?
V : Pas le temps.
L : Bon, on mange à 19h ok ?
V : Ouais c'est ça.

Puis il est reparti et a claqué la porte derrière lui. On a bu notre café ensemble en discutant et je lui ai proposé de préparer le repas avec elle.

Peut avant 19h, Antoine est enfin arrivé de son boulot. J'ai cru qu'il allait me serrer la main mais non, il m'a fait la bise et qu'est-ce qu'il sentait bon. Et surtout c'est un pur beau goss. Bien entretenu à ce que je peut constater. Il est blond, yeux noisette, environ 1m80 aussi et on il est super bien foutu. Il porte un jean qui lui fait un cul d'enfer, une chemise bien cintré. C'est bien ce qu'il me semblait. Je dois être gay car les deux mecs de la maisons me font bander.

Lisa était en train de mettre la table quand elle m'a demandé d'aller chercher son frère dans la chambre. J'ai frappé mais pas de réponse. Je suis rentré à l'intérieur mais personne. C'est là que j'ai vu que la porte de la salle de bain était ouverte avec de la lumière qui en sortait. Je me suis approché discrètement (je ne me savais pas voyeur) et quand je suis arrivé près de l'ouverture, j'ai vu Victor de dos en train de prendre sa douche. Mmmmm, il a un beau p'tit cul le petit frère. J'étais comme hypnotisé. Ma queue était à l'étroit dans mon boxer à la vue de celui-ci.

Quand tout à coup, il s'est retourné. Putain : .......

Chapitre 40

Lisa était en train de mettre la table quand elle m'a demandé d'aller chercher son frère dans la chambre. J'ai frappé mais pas de réponse. Je suis rentré à l'intérieur mais personne. C'est là que j'ai vu que la porte de la salle de bain était ouverte avec de la lumière qui en sortait. Je me suis approché discrètement (je ne me savais pas voyeur) et quand je suis arrivé près de l'ouverture, j'ai vu Victor de dos en train de prendre sa douche. Mmmmm, il a un beau p'tit cul le petit frère. J'étais comme hypnotisé. Ma queue était à l'étroit dans mon boxer à la vue de celui-ci.

Quand tout à coup, il s'est retourné. Putain : mais qu'il a un corps de rêve !!! On aurait pas dit avec ses vêtements. Et il a une belle queue au repos. Quoi que elle est plutôt semi molle.

Je le matte quelques minutes puis je me recule tout doucement. Je me place à l'entrée de la chambre et je l'appelle.

J : Victor, excuses-moi de te déranger mais ta soeur m'envoie pour te dire que l'on passe à table.
V : Mmmm ouais, j'arrive ! Deux minutes ok ?

Je repars en cuisine pour donner un coup de main à mon hôte.

J : Tu as besoin d'un coup de main ?
L : Non, il faut juste que tu ailles t'assoir et ça sera parfait.
J : Non mais ça me gêne quand même.
L : Ben tu sais quoi, tu donneras un coup de main à Antoine quand il débarrassera.
J : Ok no problemo. Tiens au fait, il est où ton homme ?
L : Il est juste allé se changer. Il fait tellement chaud qu'il est allé enfiler un short.
A : On parle de moi ?

Et là j'ai cru que j'allais m'évanouir. Rien que de le voir comme ça je bandais direct. Imaginez-vous juste un mec avec des putains de tablettes de chocolat car oui il est arrivé torse nu avec un simple short en lin. Il avait un torse magnifique poilu mais ses poils étaient taillés très court.

A : Ça va Marc, tu es tout rouge ?
J : Oui oui ça va, j'ai juste un peu chaud.
A : Fais comme moi. Mets toi à l'aise.
L : Laisses-le tranquille ok ?
V : Bon, qu'est ce qu'on bouffe ici ?
L : Oh toi là, tu vas te détendre deux minutes oui !!!
V : Désolé.
L : J'aime mieux ça.

Du coup, Lisa nous avait concocter des pâtes à la carbonara. Nous avons discuté mais seul Victor ne parlait pas avec nous. Une fois le dîner terminé, Lisa est allée prendre une douche et Victor est allé se poser devant la télé. Quand à Antoine et moi, nous avons commencé à débarrasser la table.

A : Je suis désolé pour Victor mais tu sais il est assez renfermé mais quand on commence à le connaître, on l'apprécie de plus en plus.
J : T'inquiètes pas.
A : Sinon, Lisa m'a expliquer que tu n'avais plus aucun souvenir ? C'est dingue ça !
J : Oui et ça me gonfle de plus en plus. J'aimerai retrouver la mémoire, j'aimerai retrouver ma vie d'avant, tu comprends ?

Et là, je ne sais pas ce qui m'a pris mais j'ai commencé à fondre en larmes. Antoine s'est approché de moi et m'a serré dans ses bras.

A : T'inquiètes pas va. On est là pour toi. On ne se connait pas encore mais Lisa n'a fait que de parler de toi alors c'est comme si je te connaissais un peu.
J : Merci c'est très gentil Antoine mais je n'en demandais pas tant.

J'avais mes bras autour de sa taille et ma tête contre sa poitrine et putain qu'il sentait bon. Je me sentais en sécurité.

L : Oh les amoureux, vous avez besoin d'aide ?

J'ai d'un seul coup relâcher Antoine qui m'a attrapé le bras et il est venu me poser un baiser sur la joue.

A : Oui on s'aime et alors ?
J : Euhhh....
L : T'es con quand tu t'y mets toi je te jure !
A : Mais non, tu sais que c'est toi que j'aime mon petit colibri.
L : Victor, il est 22h, tu penseras à aller te coucher, demain tu as cours je te rappelle.
V : Ouais, je sais grande soeur.
J : Tu sais, moi aussi, je ne vais pas tarder à aller me coucher.
A : Quoi déjà ? Pour une fois qu'on a quelqu'un à la maison !
J : T'inquiètes, je serai là encore demain.
A : C'est pas faux.
L : T'es sûr ?
J : Oui, certain. Tu ne m'en veux pas j'espère.
L : Non t'inquiètes pas.
J : Bon alors bonne nuit tout le monde.
A & L : Bonne nuit.
L : Victor, au lit s'il te plaît !!!
V : Ouais c'est bon, j'ai compris, j'y vais.
L : Eh, essaie d'être sympa avec Marc, il en a bavé tu sais.
V : Je sais tu m'as déjà expliqué tout ça.
L : Bonne nuit alors.
V : Bonne nuit.

En arrivant dans la chambre, je suis allé directement me changer dans la salle de bain. Une fois en boxer, je suis allé me couché dans mon lit.
Victor est entré dans la chambre au même moment. Il a commencé par se déshabiller tranquillement puis s'est retourné vers moi.

V : Désolé mec mais faudra t'habituer, la nuit, je dors à poil.

Il me dit ça avec un aplomb d'enfer, baisses son caleçon et se plonge dans son lit.

J : Euh oui, tu fait comme tu veux. Tu es chez toi.
V : Ouais de toute façon c'est pas comme si tu ne m'avait jamais vu à poil !
J : Quoi ?
V : Tout à l'heure avant de manger quand tu es venu m'appeler dans la chambre, tu crois que je ne t'ai pas vu me mater.
J : Je euh, je suis désolé je ne voulais pas vraiment.
V : Bref, tu t'es bien rincé l'oeil en tout cas.

Je ne savais plus où me mettre, il avait raison en plus.

V : Alors comme ça t'es PD ?
J : Quoi ?
V : Arrêtes, j'ai bien vu comme tu m'as maté et j'ai bien vu comment tu matais mon beau frère. Franchement, t'es pas discret.
J : Ok, je suis gay mais c'est comme si c'était tout nouveau pour moi.
V : Tu veux dire que tu ne te souviens pas si tu as déjà vu une queue ? ou même si tu en as déjà touché une ?
J : Je crois que t'es un peu jeune pour qu'on en parle tous les deux.
V : C'est bon j'ai 18 ans. Et je sais comment marche le sexe je ne suis pas stupide.
J : J'ai pas dis ça.

Pendant qu'il me parlait, je voyais bien qu'il se touchait sous ses draps. Et ma queue était de plus en plus dure.

V : Tu regardes quoi là ?
J : Rien, je te jure.

Ce mec ne me laissait pas indifférent mais en même temps il m'angoissait.
Puis, d'un seul coup, il soulève son drap et je le vois en train de s'astiquer sa queue.

V : Ben écoutes, apparemment c'est ça que tu voulais voir et bien régales toi. Mais juste avec les yeux.

Je ne savais plus quoi dire. J'étais absorber par cette bite de 19cm à ce que je pouvais en juger. Il se masturbait lentement en se décalottant bien. Il se caressait le torse et se pinçait les tétons. Puis tout en se branlant, il s'attrapait les couilles et les tirait. Il s'est branler comme ça durant dix minutes et et il s'est mis à gicler. Putain : et quelles giclées. Au moins six qu'il a envoyé sur sa tête de lit.
Il s'est ensuite relevé pour aller à la salle de bain se laver je suppose. Puis il est revenu se coucher.

V : Bon ben sur ce bonne nuit et fais pas trop de bruit en te branlant.

Putain mais quel petit con mais c'est vrai que j'avais une de ces envie de me branler maintenant. En plus, je repensais à son jus qui se trouvait encore sur sa tête de lit vu qu'il ne l'avait même pas nettoyé. J'ai attendu une bonne demie heure avant de me relever et m'approcher de son lit. J'ai posé mon doigt là où il avait juter mais son sperme était déjà sec. Et merde. D'un seul coup, je l'ai entendu bouger dans son lit. J'étais pétrifié à l'idée qu'il me voit à ses côté et en plus en pleine érection. Je ne bougeais plus. Je le distinguais à peine avec la lumière de la lune. Ouf, il s'était juste retourné sur le dos et il avait fait tomber son drap à ses pied. Hummmm bien qu'il n'est que 18 ans, je le trouvais très mignon. Pleins de choses me passait par la tête. Je me sentais attiré par cette queue endormie. Non, c'est mal. Je suis donc allé dans la salle de bain me branler. Deux allers-retours et j'avais jouis une bonne quantité de sperme. Je suis ensuite allé me recoucher.

Je n'ai fait que tourné dans mon lit. J'étais en manque. j'ai dut tourner comme ça au moins des heures. En regardant le réveil, je me suis rendu compte qu'il était 2h30.

Allé, je tente le tout pour le tout. Je me suis relevé, et je me suis approché de son lit. Il était tourné sur le côté et le bon côté du lit super. Je me suis agenouillé au sol et j'ai commencé par tendre la main tout doucement. J'ai sut trouvé l'objet de mon fantasme très vite. je l'ai pris tout doucement dans ma main. Je ne savais plus ce que je faisais. J'en avais une furieuse envie. J'ai commencé à le branler tout doucement et en peu de temps sa queue était devenue très dure entre mes doigts mais j'en voulais toujours plus. Je me suis donc rapproché de sa bite et avec le bout de ma langue, je lui ai léché le bout du gland. Putain, il avait encore le goût du sperme. Tiens c'est étrange, je me rappelle de ça. Je n'en pouvais plus, j'ai commencer à lui prendre le gland en bouche et j'ai fini par le sucer. Putain, il a un sacré sommeil. Ce n'est pas plus mal. Au moment où je ne m'y attendais le moins, il s'est mis à me juter dans la bouche et je savais ce que je devais faire. J'ai tout avalé.

Après cette pipe furtive, je suis retourné me couché et je me suis endormi directement.

Le lendemain matin, lorsque je me suis réveillé, il n'y avait qu'Antoine à la maison. Il était en shorty blanc bien moulant (et apparemment il est bien gâté par la vie) qui était en train de prendre son petit déjeuner.

A : Ah ça y est, tu émerges enfin !
J : Salut. Tu es tout seul ?
A : Oui, Lisa est parti bosser (j'avais oublié de préciser que Lisa travaille comme caissière dans un hypermarché de renom) et Victor et au lycée.
J : Et toi, tu ne bosses pas ?
A : Non, j'ai pris ma semaine pour ne pas que tu sois seul. Vu que je suis mon propre patron, je peux me le permettre. Tiens, tu veux un café ?
V : Oui s'il te plaît.

Il s'est levé et purée mais quel beau cul !!! On aurait envie d'y croquer.

On a pris notre petit déjeuner ensemble tout en discutant.

A : Bon, je vais à la douche. Je te rejoins dans 15 minutes et si tu veux on ira faire un tour pour se balader un coup tout à l'heure ?
J : Avec plaisir.

J'ai terminer mon café et j'ai débarrassé la table. Je suis retourner dans ma chambre pour prendre une bonne douche aussi.
Puis en arrivant dans la salle de bain, un mot était scotché sur le miroir en majuscule : MERCI POUR LA PIPE.

Chapitre 41

A ce moment là, je crois que j'ai dut devenir blanc comme un linge. Putain, mais la honte ! Qu'est ce que je vais bien lui dire ce soir ? Où plutôt qu'est ce que lui va me dire ? Non mais franchement, dans quelle merdier je me suis fourré ?

Bon reprenons nos esprit et hop à la douche ! Je commence à me déshabiller et je rentre dans la cabine de douche. Je fais couler l'eau tiède sur mon corps et j'essaie de me détendre. Quand tout à coup, Antoine rentre dans ma salle de bain mouiller avec juste une mini serviette autour de la taille.

A : Je suis désolé Marc de rentrer comme ça, j'aurai dut frapper ! Mais est-ce que tu aurai un peu de chauffage à me passer, je n'en ai plus. Si ça ne te dérange pas on passera tout à l'heure en acheter.
J : (en me cachant le sexe) Euh non, tu ne me déranges pas du tout, j'ai juste été un peu surpris. Pas de soucis pour le shampoing.
A : Super merci, tu me sauves la vie ! Tu me fais un peu de place que je termine de me laver les cheveux, pas envie de mouiller partout ! Et t'as pas à être pudique, je ne le suis pas du tout. J'adore me balader à poil mais j'évite de le faire devant Victor et Lisa me gueule dessus ! Puis de tout façon on est entre mecs non ?

Il n'attends même pas ma réponse qu'il fait tomber la serviette et rentre derrière moi dans la douche.
J'ai regarder son corps si parfait et heureusement que je lui tournais le dos car quand j'ai vu sa bite, la mienne a commencé à se réveiller. Je ne vous explique même pas au repos la taille de la bête !!! Au moins 20cm alors en érection ça doit être immense ! Et ses couilles épilées et bien pendantes. J'étais troublé.

J : Euh non pas de soucis.

Je me savonnais tant bien que mal et quand j'ai voulu me frotter le dos, j'ai accidentellement touché sa queue. L'électrochoc : ni une ni deux, ma queue est devenue dure comme la pierre. Pourvu qu'il ne voit rien.

J : Désolé Antoine.
A : Pas grave, c'est moi qui suis désolé. Je prends tout la place.
J : Non non ça va t'inquiètes pas, je me débrouille.
A : Je vois bien que tu galères. Allez, files moi ton gel douche que je te frotte le dos. Par contre, je te laisse te frotter le cul !

Et là, il se met à rire tout seul de sa blague. J'attrape le gel douche et je le fais tomber. Je me penche en avant pour le récupérer et mon cul s'appuie contre sa queue. Je deviens rouge écarlate.

Je me relève et il me frappe le cul !!!

A : Tu me touches la queue, je te touche le cul ! Non, je déconne. C'est clair que cette douche est petite quand même. Alors, il arrive ce gel douche ?
J : Oui oui tiens.

Il me le prends et commence à me frotter le dos tendrement. Au niveau des épaules, il me masse un peu et je gémis légèrement tellement c'est agréable.

J : T'as l'air tout noué au niveau des épaules mec !
A : Je dois être parce que je suis stressé et en colère. Je ne me souviens pas de ma vie et j'en ai marre.
J : Je comprends oui.

Il termine mon dos et sors de la douche. Il reste dans la salle de bain pour se sécher. Il se frotte les cheveux et je profite qu'il ferme les yeux pour regarder sa queue se balancer dans tous les sens. Purée, je fonds sous son charme et sa beauté. Elle a de la chance quand même Lisa.

J : Bon, je vais me changer et on se retrouve dans le salon et on décolle après si ça te conviens ?
A : Ok pas de soucis. A tout de suite.

Il sort enfin, j'ai ma queue tellement dure qu'elle m'en fait mal. Du coup, j'ai le temps de me faire une petite branlette. Je ne pense pas être long à venir car rien qu'en me remémorant ce monstre qu'il a entre les jambes.... Je me caresse tout doucement pendant que je me masturbe et en cinq minutes, j'ai giclé comme un malade contre la vitre de douche.

Je finis de me rincer, je me sèche et je vais m'habiller. Je rejoints ensuite Antoine dans le salon. Il porte un short en jean qui lui fait un beau cul et une chemisette blanche bien cintrée. Putain, il me fait craquer.

Bref, on part comme convenu acheter son shampoing ! Qu'est ce qu'il est difficile ! Pire qu'une fille. Puis, il me fait visiter un peu la ville.

Vers les coups de 13h30, il m'a emmené manger dans un petit snack puis on est rentré à la maison vers les 15h.

A : Tiens Marc, est-ce que Lisa t'as dit qu'on avait une piscine dans le jardin derrière ?
J : Euh, non, je ne savais même pas que vous aviez du terrain.
A : Ça te dis d'aller piquer une tête ?
J : Oui avec cette chaleur ça me ferai du bien. Le petit soucis c'est que je n'ai pas de maillot.
A : Ah mince j'avais oublié ça, je devais t'emmener faire les boutiques et j'ai complètement zappé.
J : Pas grave.
A : On ira demain si tu le veux bien. J'ai un maillot à te filer si tu veux à moins que tu ne fasses comme moi ?
J : Comment ça ?
A : Moi, je baigne en tenue d'Adam. J'en profite pendant que Lisa et Victor ne soient pas là.
J : Et les voisins ?
A : Il n'y a pas de vis à vis derrière dons pas de soucis.
J : Ok pour le maillot, on verra plus tard pour faire de l'intégral.
A : Ok suis moi. Et si ça te gênes que je sois à poil, j'en mets un aussi.
J : Non non, ça ne me dérange pas t'inquiètes.

Bref, nous partons choisir un maillot que j'enfile et lui se met à poil direct. Nous prenons deux serviettes de bain et partons nous baigner.
Heureusement que j'ai mis ce maillot car sinon, ça serait une catastrophe même si le fait de bander se voit un peu. On arrive près de la piscine, il jette sa serviette et plonge directement. De mon côté, j'y vais tout doucement.

A : Alors, ça fait du bien non ?
J : Ohhhhh, c'est le pied.

Je fais quelques longueurs puis on sort de l'eau. On se pose sur les chaises longues. D'un seul coup, il se lève et part dans la maison puis revient avec de la crème solaire.

A : On va quand même pas cramer sous ce soleil de plomb.

Je le regarde se mettre de la crème. Il se frotte le torse, les jambes et commence à se badigeonner la queue. On dirait même qu'elle prend un peu de volume. Il a vu que je le matais mais ne dis rien juste :

A : Ouais sais, dès que je me touche, elle gonfle lol. Dis tu ne voudrais pas me mettre de la crème dans le dos s'il te plait ?
J : Ok retournes toi alors.

Je commence à étaler de la crème dans son dos et qu'est ce qu'il est bien musclé. Une fois terminé, je m'en étale partout et il me dit qu'il va m'en mettre dans le dos et que ça sera plus simple.

On se fait bronzer durant une bonne petite heure tout en discutant de tout et de rien. J'apprends qu'il a un frère jumeau : Tony et deux grandes soeurs : Caroline et Marrine. Il est très proche de son frère. Il se voit au moins une à deux fois par semaine.

Après toutes ses petites confidences, chacun va prendre sa douche.

J : Victor et Lisa rentrent à quelle heure ce soir ?
A : Lisa termine dans une heure et Victor va rentrer tard ce soir. Il a entraînement de Volleyball et ensuite il va manger et travailler avec une de ses amies.
J : Ok.

Ouf, un peu de répit.

A : Sinon, si on se buvait un petit apéro tous les deux ?
J : Ça ne serait pas de refus.

On continue à discuter, à rire puis l'heure est passé très vite. Lisa arrive épuisée et se dispute avec Antoine car il n'a rien fait à la maison même pas le dîner. Je ne savais pas quoi dire juste que c'était aussi de ma faute. Elle s'est enfin calmé mais était vraiment en colère contre Antoine. Elle s'est excusé auprès de moi mais que ce soir elle mangeait chez une de ses copines et que si ça ne me dérangeait pas. Je lui dit que non et du coup Antoine nous a commandé deux pizzas. Nous avons mangé et picolé puis vers les 22h30 j'étais KO et je suis allé me coucher. Une demie heure plus tard, je sentais quelqu'un me secouer. J'ai commencé à ouvrir les yeux et devant moi se trouvait Victor avec un large sourire assez lubrique je dois dire.

V : Salut vieux vicieux ! Alors, tu t'es régalé cette nuit ? Mon jus était bon ?
J : Victor, je suis désolé, je ne sais pas ce qui m'a prit cette nuit. S'il te plait, ne dis rien à personne. Je te jure que ça ne se reproduira plus.
V : T'inquiètes pas je ne dirais rien à une seule condition.
J : Je t'écoutes : laquelle ?
V : J'attends de toi que tu me suces dès que j'en aurai envie !
J : Euh, non, désolé je ne peux pas faire ça et en plus ça serait du détournement de mineur.
V T'as pas le choix. C'est soit ça, soit je racontes tout à ma soeur.
J : Non non, d'accord, d'accord.
V : Bon, ben tu sais ce qu'il te reste à faire alors ?
J : Quand, maintenant ?
V : Ben oui pas après le déluge ! Allez, sors-là et régales toi.

Je me suis relevé puis mis à genoux devant ce petit diable. Dans un sens, j'étais quand même pas mal excité par tout ça. J'ai ouvert sa braguette et j'ai sorti sa queue qui était déjà bien dure et je l'ai pris en fond de gorge. Je me suis appliqué à bien le sucer avec rapidité, plus lentement et je lui léchais les couilles de temps en temps. Je l'ai sucer comme ça pendant dix minutes ou un quart d'heure je ne sais plus quand la porte de la chambre s'est ouverte.

A : Victor, tu es..... oh putain merde désolé.

Puis il a refermé la porte et j'ai entendu la porte de sa chambre se refermer. Je ne savais plus ce que je devais faire, j'ai voulu me relevé mais Victor, m'a maintenu au sol et s'est branlé sur mon visage. Une fois qu'il m'a bien arrosé, il m'a demandé de bien nettoyer sa bite puis il est allé se couché.

V : Bon nuit vieux pervers.

J'étais mort de honte et qu'allait dire Antoine ? Allait-il en parler à Lisa ? Allaient-ils me foutre dehors ? Je ne savais plus quoi penser.

Tounet777

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13 Novembre | 74 pages

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Lopé sur l'autoroute NicoLope
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Le vendeur et la cabine d’essayage Glenn
Embauche Glenn
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Les séries : 65 pages

L’enterrement de vie de garçon | 2 | +1 JulesP
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1 | 2 | 34 | 5
Le vrai visage de mon fils | 5 | +1 Adreprofeco
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Arthur et Maxime | 12 | +1 Sylvainerotic
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 FIN
En groupe à la piscine | 3 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3
Mon beau-frère | 18 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18
L’ensemenceur | 4 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 34
L’amant de ma femme | 8 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8
Bénévolat en Australie | 8 | +1 Meetmemz
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