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Domination par Stéphane
mon futur mari
Troisième jours, mon homme joue les dominateurs à la perfection.
Mercredi 9h00, je suis réveillé et décide d'aller courir un peu. Mon homme, lui, dort toujours à poings fermés. Je lui laisse un petit mot sur le lit " le café est prêt dans le thermos et il y a du jus d'orange dans le frigo. Je suis parti courir un peu. Je t'ai laissé dormir, tu en avais besoin. Je t'aime ". J'ai été courir pendant une heure et demi sur la balade que je connais bien. A mon retour mon homme est debout et prêt pour aller au sport.
Stéphane : Tu aurais pu me réveiller, je serais venu courir avec toi.
Moi : Tu avais l'air d'avoir besoin de dormir un peu plus. Hier tu étais vraiment crevé.
Stéphane : Je suis prêt pour le sport, on y va ?
Moi : Oui mais laisse-moi boire un jus d'orange avant. De toute façon le club n'est pas loin, nous irons en courant. Comme cela tu te seras échauffé.
Nous voici parti pour le club de sport. Sur place, je fais un peu de musculation. Mon homme lui fait un peu de cardio. Il m'a fait travailler mes abdos façon Marc, tout en travaillant les siens. Nous alternons sur les machines. Une fois l'entrainement terminé, comme je n'aime pas les douches du club, elles ne sont pas si propre que ça, je propose à mon homme de rentrer en courant à la villa et d'y prendre notre douche. Sur le trajet du retour, je croise Felipe qui fait son footing comme tous les matins. Nous nous stoppons.
Moi : Comment va Felipe ?
Felipe : Ca va et vous ?
Stéphane : Comme tu le vois, on sort de l'entraînement et on rentre.
Felipe : Ce soir je suis de repos. Ça vous intéresse d'aller manger un morceau au San Sébastian. C'est un restaurant bar à tapas, comme ça je pourrais vous présenter Michel.
Stéphane : Ah oui, c'est une bonne idée, vers quelle heure ?
Felipe : On dit 18h30 ? Après on sortira dans un club gay que Michel connais bien. Un bar cuir, donc si vous avez du cuir ici, habillez-vous en conséquence.
Stéphane : Ok.
Nous reprenons le chemin de la villa.
Moi : Je ne sais pas si c'était une bonne idée.
Stéphane : Pourquoi ?
Moi : J'ai des restes d'hier et je pensais les finir ce soir dans l'intimité. Aller dans un bar gay cuir ici, ça ne me tente pas.
Stéphane : On ira parce que j'ai envie d'y aller ! Tu n'as pas le choix ! N'oublies pas qui est l'homme ici ! De toute façon je suis là et je te protègerai !
Moi : Ok mon homme.
Nous rentrons et prenons chacun une bonne douche. Direction terrasse piscine, il est un peu moins de 14h00 et le soleil tape. Je vois revenir mon homme tout nu alors que je suis en maillot de bain.
Moi : Tu n'as pas trouvé ton maillot mon coeur ?
Stéphane : Pas besoin je fais du bronzage intégral aujourd'hui. Tu sais me mettre de la crème partout ?
Moi : Ok mon homme, donnes-moi le bidon de crème.
Je prends le bidon et commence à le tartiner de crème dans le dos. Ensuite sur le ventre ainsi que ses jambes.
Stéphane : N'oublies pas de badigeonner ton sucre d'orge mon coeur.
Je lui passe de la crème sur son sexe, ce qui a le don de le faire bander tout de suite. Il gémit, je donne une petite tape dessus ce qui le fait sursauter.
Stéphane : Aie !
Moi : On se retourne. Si tu veux faire de l'intégral, il faut que je fasse ton petit cul en intégral " rire "
Il se retourne et je commence à lui masser le cul. J'en profite pour lui masser l'anus, ce qui de nouveau le fait gémir de plaisir. J'y introduis un doigt puis deux, il est aux anges. Mais au troisième il se crispe.
Stéphane : Non, arrêtes ! Tu me fais mal, en plus je ne suis pas propre de ce côté. On verra ce soir en rentrant du club, je te le promets.
Moi : Pas de souci mon coeur, mais je trouvais la position excitante.
Stéphane : Moi aussi tu m'excites, mais pas maintenant !
Il se retourne dans le transat et je vais pour l'embrasser.
Stéphane : Maintenant, je vais te mettre aussi de la crème et tu vas faire de l'intégral.
Moi : Hein, quoi ?
Stéphane : J'ai dit !
J'enlève mon maillot de bain et il me tartine de crème tout en me massant. Lorsqu'il arrive sur ma raie, il fait comme moi et m'introduit un puis deux doigts dedans. Je gémis aussi de plaisir. Qui ne le ferai pas ? Il introduit un troisième puis quatrième. Il me retourne sur le dos me fait relever les jambes et continue à me fouiller le cul avec sa main. A un moment je sens qu'il veut aller plus loin.
Moi : Non pas ça, je n'aime pas. Ça fait mal, ou du moins pas sans gel lubrifiant, je t'en prie.
Stéphane : Ça tombe bien, j'en ai pris avec.
Il a un sourire aux lèvres et les yeux d'un pervers que je ne lui connaissais pas.
Stéphane : Détends toi, je suis un expert en la matière.
Moi : Vas-y doucement s'il te plaît.
Stéphane : Mets-toi à 4 pattes sur le transat et écartes les fesses au maximum !
Je fais ce qu'il me dit. Il me met du gel sur l'anus, autour de sa main et recommence. Il essaye de rentrer sa main mais mon cul est encore trop serré pour y arriver. Il bande mais moi, par contre, je n'apprécie que très peu. Il veut m'entendre gémir et commence à me masser l'anus ce qui provoque chez moi un râle mais pas de plaisir.
Stéphane : Tu vois que tu aimes !
Moi : Ça fait mal, si je te laisse faire c'est pour ton plaisir.
Stéphane : Oui c'est pour mon plaisir, ton cul est pour mon plaisir !
Et là il enfonce sa main d'un coup et celle-ci finit par rentrer dans mon petit cul. Je hurle tellement la douleur est intense. Heureusement que la villa est isolée.
Stéphane : Maintenant, tu vas voir. Tu vas apprécier que je joue dans ton merveilleux petit cul.
Tout en gardant sa main à l'intérieur de mon cul, il me fait relever et m'embrasse dans la nuque et me dit à l'oreille.
Stéphane : Tu sens bien ma main hein. Tu aimes hein ?
Moi : Ahh, Ça fait mal.
Stéphane me repousse et sort sa main pour la remettre aussitôt et ce, 5 fois d'affilée. La douleur commence à s'estomper. Je ne prends aucun plaisir, j'ai l'impression d'être violé.
Stéphane : Tu aimes que je joue avec ton cul, tu aimes être soumis, tu aimes être à moi.......
Je ne réponds rien, je subis. Je suis essoufflé, je n'en peux plus. Stéphane retire sa main, me retourne sur le dos, me tire la tête en arrière et me rentre sa queue en bouche.
Stéphane : Bouffes ma queue, vas-y, manges, suces moi bien profond !
Il me ramone la gueule comme la dernière fois et au bout de cinq minutes il se plante bien à fond en me tenant la tête et m'envoie une dizaine de jets de sperme directement dans l'estomac.
Stéphane : ARHH. Ça fait du bien de se vider, prends tout ma semence mon homme. Elle est toute pour toi.
J'avale tout machinalement. Il se retire et je tente de m'assoir mais je ressens une douleur vive entre mes fesses, il m'a fisté et pour moi c'était une première. Je hurle de douleur et Stéphane se rend compte que je n'étais pas prêt pour ce genre d'expérience. Il me porte jusqu' à la salle de bain et me rince le cul à l'eau froide. J'ai tellement mal que j'en pleure. J'ai toujours l'impression d'avoir été violé alors que j'étais consentent.
Stéphane : Mon amour pardonne-moi, tu n'étais pas prêt. Je n'aurais pas dû mais ton cul me donne tellement d'envie que je n'ai su résisté.
Je ne lui réponds pas, je suis traumatisé. Il me sèche et me fait m'étendre dos sur le lit, il me remonte les jambes et me demande de les tenir dans mes bras. Je m'exécute comme une machine, je pleure toujours les yeux hagards. Il me met une crème apaisante et anti inflammatoire. Il me masse et je commence à avoir moins mal. Il me fait relâcher mes jambes et vient se coucher près de moi. Il sèche mes larmes et constate que je suis absent au niveau cérébral.
Stéphane : Mon amour ça va ?
Moi : Je ne sais pas, j'ai encore mal et j'ai l'impression d'avoir été violé. Je ne me sens pas propre et vide en même temps. J'ai soif.
Stéphane va dans la salle de bain chercher un verre d'eau qu'il me donne.
Stéphane : Tiens, ça va te faire du bien.
Moi : J'ai l'impression d'être déchiré de l'intérieur, je sens les battements de mon coeur sur mon anus, mon cul doit être dans un état, je n'ose y toucher.
Stéphane : Ne t'inquiètes pas pour ta belle petite rondelle. Dans une heure, avec la crème que j'ai mis, elle sera comme neuve et prête à servir.
Moi : Tu ne me toucheras plus aujourd'hui. Je te le garanti !
Stéphane : Mais je voulais juste te donner du plaisir, tu as aimé, non ?
Moi : Tu ne me toucheras plus aujourd'hui et ce n'est pas discutable. Je n'ai pas aimé car je n'étais pas prêt pour ça. Mon corps ne peut pas tout accepter si rapidement.
Stéphane : Je suis désolé mon amour, je ne voulais pas te faire de mal, je ne te toucherais plus.
Je veux me lever pour descendre et je tombe par terre. Mes jambes ne me soutiennent plus et j'ai mal au bassin. Stéphane se jette sur moi et me relève.
Moi : Qu'est ce qui m'arrive ?
Stéphane : Pas grand-chose, j'ai mis dans ton verre d'eau un produit qui va t'aider à oublier ce qui vient de se passer.
Et là je tombe dans les vapes. Stéphane " c'est lui qui me l'a dit après " m'a transporté et m'a déposé sur mon transat, à l'ombre. Je dors pendant je ne sais combien de temps. C'est Stéphane qui me réveille d'une petite gifle.
Stéphane : Coucou mon amour, réveilles-toi ! Il est 18h00.
Moi : Oui mon homme, j'ai dû m'assoupir.
Stéphane me prend dans ses bras et entre dans la piscine ce qui me réveille rapidement.
Moi : Arrêtes ! L'eau est trop froide.
Stéphane : Laisse-moi faire ! Ton corps en a besoin. Tu te sens mieux ?
Moi : Ben oui, ça va pourquoi ?
Stéphane : Avec ce que je t'ai fait tantôt.
Moi : Que m'as-tu fait ? " En réalité je ne souviens de rien "
Stéphane : Et bien j'ai joué à un petit jeu dangereux avec ton cul tout à l'heure. Je suis allé un peu trop loin. Je t'ai fisté, Tu ne te souviens de rien ?
Moi : Vaguement. Je me souviens maintenant que tu m'as fait boire un produit et puis plus rien. Mais effectivement j'ai toujours une légère douleur au cul.
Stéphane me dépose par terre mais je sens mes jambes trembler sous mon poids. Stéphane sort de l'eau et me tend un verre d'eau.
Stéphane : Tiens, bois, c'est de la vitamine accélérée. Tu verras tu retrouveras vite la forme.
Je bois le verre et veut sortir de l'eau mais mes jambes ne me suivent pas. Mon homme plonge dans l'eau et me reprend dans ses bras pour me sortir de l'eau. Il m'installe sur une chaise de jardin et me pose une serviette de bain sur les épaules.
Stéphane : Attends un peu, le produit agit vite.
Effectivement 10 minutes plus tard, je me sentais beaucoup mieux.
Moi : Je vais prendre une douche.
Je me lève et plus de souci avec mes jambes si ce n'est que j'ai difficile à marcher. Je monte les escaliers avec difficultés et me rends dans la salle de bains. Je suis curieux et me penche pour regarder mon anus dans le miroir histoire de voir dans quel état il est. Ouf, tout à l'air normal.
Stéphane : Tu vois, plus de séquelles, bon pour le service.
Moi : Je n'aimerais autant pas.
Stéphane : Comme tu veux mon coeur. Bon on se la prend cette douche, on est en retard pour la soirée.
Moi : Pas grave tu nous excuseras et tu diras pourquoi.
Nous nous préparons. Moi je mets un Jockstrap blanc, un pantalon en cuir brun que mon homme avait pris dans les valises. Un t-shirt blanc col en V et ma veste de cuir brune. Mon collier et ma boucle d'oreille, la première que mon homme m'a payé. Je me parfume et j'enfile ma montre, mon bracelet et mes bagues. Mon homme met sensiblement la même tenue mais sans slip et pour le cuir couleur noire. Il met deux bracelets larges en cuir noir et sous son-t-shirt un harnais. Sa boucle d'oreille et une veste. Et nous voici parti avec une heure de retard. En arrivant sur place nous constatons que Felipe et son mec arrive en même temps que nous. A l'entrée, Felipe nous présente Michel. Un mec d'un mètre quatre-vingt aux yeux noirs et cheveux noirs courts. Il est habillé d'un jeans recouvert d'un Chaps, d'un t-shirt blanc sans manche et d'un gilet en cuir noir. Il avait, comme mon homme, deux bracelets en cuir noir, plus un plus large au-dessus du muscle du bras droit. Pas mal mais je préfère mon homme. Felipe, lui, était habillé d'un short en cuir noir moulant, on pouvait voir les lacets de son Jockstrap, un t-shirt blanc sans manche et d'une casquette en cuir noir. Il avait une grosse boucle d'oreille du côté gauche, il avait l'air d'être maquillé aussi. Il portait aussi deux bracelet aux mains, mais avec deux anneaux sur chacun. Il en avait aux chevilles aussi. Bref, une vraie salope à son maître. Heureusement que mon homme ne m'inflige pas ça, quoi que, si ça venais de lui je ne dirais pas non. On s'installe à une table et on commande des tapas, du vin pour nous et pour Michel, et mon homme de la bière. Sur le temps que l'on boit et mange, Michel et mon homme discute ensemble. De la façon comment Michel a larvé Felipe et l'avait mis en esclavage. Lorsqu'il est au boulot ou que je ne suis pas là, dit-il, il peut porter ce qu'il veut. Mais à la maison il doit être dans sa tenue d'esclave et faire tout ce que je demande. Il doit être ma bonne à tout faire, mais par rapport à tous mes autres esclaves, je ne sais pourquoi, mais lui, en plus, je l'aime. Ce mec me dégoute mais je ne dis rien car si Felipe est heureux, c'est le principal. Mon homme, lui, raconte que nous c'est plus fusionnel. Je suis son soumis, sa chose, sa petite femme ou son esclave sexuel. Il lui raconte qu'il commence à avoir un pouvoir mental sur moi, ce qui est vrai, mais qu'avec moi il faut du temps car je n'ai pas l'habitude de certaines pratiques sexuelles. Michel lui répond que s'il le désire, avant que nous repartions en Belgique, il veut bien me soumettre devant lui à une séance de domination. Mon homme ne répond pas mais sourit. Moi de mon côté je discute avec Felipe de l'histoire d'amour entre son père et ma mère et lui demande ce qu'il en pense. Et bien au final pas plus que moi. Je remarque que Felipe a dur à rester en place sur sa chaise.
Moi : Ca va Felipe ? Tu as l'air tendu ?
Felipe : Non ça va, je t'assure.
Stéphane viens contre mon oreille et me susurre.
Stéphane : Il a un plug dans le fion et il a du mal à le supporter sur ces chaises qui sont assez dures. D'ailleurs, dorénavant, lorsque nous serons en sortie ensemble, je voudrais que tu portes le tiens aussi.
Je le regarde interloqué.
Stéphane : C'est un ordre et tâche de ne pas oublier !
Moi : Oui.
Stéphane : Oui qui ?
Moi : Oui mon homme. Vous m'excuserez, il faut que je me rende aux toilettes.
Stéphane : Tu veux que je vienne avec ?
Moi : Ça ira, on est dans une taverne et pas dans le bar de Marc. Je devrais savoir me défendre en cas de problème.
J'entre dans les urinoirs et commence à me vider lorsque j'ai senti une présence dernière moi. Je n'eus pas le temps de comprendre que j'étais plaqué contre le mur sur l'urinoir et que l'on me descendait mon froc.
Michel : Un vrai bon petit cul à larver. Je vais te larver et tu seras bientôt un esclave aussi pour ton mec.
Je peux sentir son jeans et la bosse qui est dedans contre mon cul. Mais je me dégage et remonte mon pantalon.
Moi : Mon cul est à Stéphane et à personne d'autre, vu ? Tu y touches encore et je te casse ta gueule. Tout dominateur que tu es !
Michel : Coriace le soumis, mais je vais m'occuper de toi. Je vais convaincre ton maître.
Moi : Dans tes rêves ! Felipe est à toi, moi à Stéphane.
Je le plante là et retourne à la table comme si de rien n'était. Il revient au bout de deux minutes.
Michel : Résistant à la soumission d'autres hommes ton esclave.
Stéphane : Pourquoi ?
Michel : Je lui ai dit que je me verrais bien dans une séance de dressage avec. Il m'a répondu qu'il t'appartenait et qu'il était hors de question d'une telle séance.
Stéphane : Il a bien fait. Seul moi déciderai d'une telle séance. En attendant, pas touche à mon mec !
Michel : Te fâches pas, c'était juste un test pour voir ou en était sa soumission. Bon, on va en boite. Vous nous suivez ?
Nous montons chaque couple dans sa voiture. Nous suivons Michel direction la boite, qui est plus ou moins à trente minutes en voiture. Dans la voiture Stéphane à l'air de mauvaise humeur.
Moi : Ça ne va pas mon coeur ?
Stéphane : Je n'ai pas apprécié ce qu'il ta fait dans les WC. Il aurait pu être un peu plus correct.
Moi : Je ne me suis pas laissé faire. Tu es mon homme, je n'ai pas besoin d'un autre dans ma vie.
Stéphane : Tu aimerais faire une séance de soumission-dressage avec lui ?
Moi : Certainement pas ! Ce mec me dégoûte ! Il ne me touchera pas. S'il te plaît fait lui obstacle.
Stéphane : Oui, ne te tracasse pas, j'ai même envie de lui donner une leçon. J'ai tout pour le faire. Il faut juste que Felipe ne nous fasse pas obstacle.
Moi : Que veux-tu lui faire ?
Stéphane : Comme tu le sais, et il s'en vante assez, il est actif dominateur et il ne s'est jamais fait enculé donc, il est encore vierge. Je ne supporte pas son air hautain et je suppose que toi non plus.
Moi : Tu as tout compris mon ange. Qu'as-tu en tête ?
Stéphane : Je vais lui faire prendre une pilule que j'ai dans mon portefeuille. C'est une espèce de drogue, il va se sentir mal, je vais proposer de le ramener dans notre voiture. Toi tu redéposeras Felipe chez nous, il y dormira jusqu'à ce qu'on revienne. Ensuite tu viens me rejoindre, on va le dominer et lui prendre sa virginité. Je vais le remettre à sa place tout dominateur qu'il est. Je vais rentrer dans son jeu pour la séance de domination, il sera moins vigilant.
Moi : Tu oses, tu as des capotes ?
Stéphane : Oui, j'en ai toujours dans mon portefeuille. On ne sait jamais quoique j'ai hésité à les enlever lorsque j'ai changé de portefeuille pour celui que tu m'as offert.
Moi : Je préfère que tu en ais toujours sur toi, on ne sait jamais. Tu es tellement chaud parfois que tu pourrais te taper un mec dans mon dos.
Stéphane : Tu exagères, je te serais toujours fidèle. J'ai juste pensé que cela pourrait nous servir en vacances. Tu es partant ?
Moi : Je veux, j'ai envie de le soumettre aussi ce con ! Mais j'ai une question. Tous tes petits produits que tu as, c'est bien légal tout ça ?
Stéphane : En principe non mais c'est un pharmacien prêt de chez nous qui est gay comme nous, il s'y connait dans ce genre de produit. Si tu veux, c'est un peu comme la pilule du lendemain en moins fort. C'est ce que je t'ai donné tout à l'heure, mais pour toi j'ai coupé le cachet en deux. Les vitamines c'est un petit produit dopant. Tu remarqueras que tu te sens à merveille ce soir par rapport à cette après-midi.
Moi : Je dois reconnaitre que ça fonctionne bien.
Stéphane : Pour lui, je vais mettre une bonne dose au départ mais je veux qu'il se souvienne de qui l'a soumis.
Moi : Ok. Je suis partant.
Nous arrivons à la boite et entrons ensemble. Tiens, Felipe porte un collier avec une laisse autour du cou. Décidément, Michel veux vraiment qu'il soit considéré comme esclave aux yeux des autres clients du bar. Une humiliation de plus. Stéphane viens contre mon oreille.
Stéphane : Je te verrais bien en boite avec ça autour du cou.
Moi : Hein quoi ?
Stéphane : Je rigole ! Dans l'intimité uniquement, à moins que tu ne le désires. Je désire te soumettre, pas t'humilier en public. Tu es mon homme, pas de la merde. Si Felipe l'accepte c'est autre chose, je pense que pour eux c'est un jeu et rien d'autre.
Nous-nous installons dans un coin, Michel et mon homme vont nous chercher à boire. J'en profite pour parler à Felipe.
Moi : Ecoutes Felipe, ton mec c'est ton mec ! Mais il nous a manqué de respect jusqu'ici et nous avons envie de lui donner une leçon. Donc si tu le veux bien je te raccompagnerai à la villa ou tu dormiras. Nous allons le soumettre chez lui, Stéphane a déjà tout prévu. Il va le droguer légèrement avec un produit naturel afin qu'il se laisse faire.
Felipe : Ok, pas de souci mais je participe. Il va trouver anormal de ne pas me voir là et je ne veux pas qu'il me le fasse payer. Vous m'attacherez au mur et me bâillonnerez et je ferai semblant d'être sous influence. De plus je voudrais bien vous voir à l'action.
Moi : Ok. Distrais ton homme deux minutes que je m'explique avec le mien.
Felipe : Ok.
Et voilà les hommes qui reviennent avec nos verres. Felipe se colle à Michel qui prend sa laisse en main et lui roule un patin devant tout le monde. J'en profite pour m'écarter avec Stéphane.
Moi : Felipe veut participer. Il m'a dit qu'on avait qu'à l'attacher au mur, le bâillonner et qu'il ferait comme-ci il était sous influence.
Stéphane : Ok mais il sera alors sous influence. Je te charge de mettre ça dans son verre discrètement.
Moi : Ok.
La soirée avance, Michel et mon homme discutent, Felipe est tenu en laisse et ne parle pratiquement pas. De mon côté je regarde le bar et distingue un visage familier. Il s'agit d'un grand black d'un mètre nonante habillé en cuir noir avec un air de macho. Notre regard se croise plusieurs fois et je décide d'aller à sa rencontre.
Moi : Bonsoir. On se connaît me semble-t-il ?
Lui : Effectivement Pat on se connait. J'ai été ton stagiaire il y a quatre ans, dans ta boite de publicité.
Moi : Oui, je me souviens. Olivier, c'est ça ?
Olivier : Oui. Ainsi tu es gay ?
Moi : Oui, toi aussi je suppose. Mais que fais-tu ici, tu es en vacances ?
Olivier: Non je suis ici pour encore deux mois. Je bosse pour une compagnie de télécommunications. J'installe le 4G sur l'île, ensuite je rentre en Belgique. C'est ton mec qui arrive là ?
Je me retourne et mon homme est là.
Stéphane : Je peux savoir ce que tu fabriques ?
Moi : Ne t'énerves pas. Voici Olivier, il est belge, gay comme nous et c'est un de mes ancien stagiaire. Depuis tout à l'heure, je me disais que je le connaissais, je suis allez le trouver pour en avoir le coeur net.
Stéphane : Ouais, bon tu reviens près de moi. Je te veux près de moi !
Olivier : Je ne voulais pas foutre la merde, navré.
Stéphane : Il n'y a pas de souci Olivier. D'ailleurs si tu veux on pourra se revoir ensemble en Belgique. Tu as le numéro de Pat. Là, vois-tu, on a un plan sur la table. Il serait temps de le mettre en application.
Moi : Ah oui juste. Olivier content de t'avoir revu. Téléphones-moi quand tu es rentré en Belgique. Bonne soirée.
Sur le chemin pour rejoindre Felipe et son mec :
Stéphane : J'ai déjà mis le produit dans le verre de Michel et toi.
Moi : Juste avant de quitter la table, pour détourner l'attention.
A table, nous finissons nos verres et Michel commence à avoir chaud. En voulant se lever, il titube. Felipe n'est pas au mieux de sa forme non plus.
Stéphane : On va vous ramener chez vous, vous n'êtes plus en état de conduire. Pat on va les mettre dans ma voiture et tu reprends la leur. Felipe, les clefs de la voiture de Michel.
Felipe me donne les clefs et me souffle à l'oreille.
Felipe : Tu m'as drogué aussi salaud.
Moi : Il fallait que tu sois crédible le plus possible. Mais rassures toi, je n'ai pas mis la dose entière. Mets ta main sur mon épaule pour t'appuyer.
De son coté, mon homme a carrément pris Michel sur son épaule. On dirait qu'il porte un sac de ciment. Nous sortons et arrivé devant les voitures, mon homme met Michel, complètement sonné dans le coffre de sa BMW. Il me donne un coup de main pour mettre Felipe à l'arrière de la voiture de Michel et l'attache avec la ceinture de sécurité.
Stéphane : Dis-moi mon coeur, tu sais où ils habitent au moins ?
Moi : Oui, j'ai déjà été chez Felipe boire un verre l'année dernière. Suis-moi avec la voiture.
Nous faisons le trajet environ une demi-heure de route. Arrivé chez eux mon homme reprend Michel, complètement inconscient, dans le coffre et moi je transporte Felipe qui arrive tout de même à ouvrir la porte de l'appartement de Michel. Dans l'appartement Stéphane me donne ses instructions.
Stéphane : Déshabilles Felipe tant qu'il sait encore te donner un coup de main. Attaches le au mur et bâillonne-le !
Je m'exécute et voici Felipe au mur attaché et à poil, bâillonné. Il a un corps superbe, je ne l'avais jamais vu nu. Il a une queue correcte et semi bandé " à mon Avis 20*7 " ce qui veut dire qu'il apprécie la situation. De son côté mon homme n'a pas perdu de temps. Michel est tout nu, attaché sur une table adapté aux jeux de l'extrême. Il a les yeux bandés et un bâillon. Mon homme a retiré le haut de ses vêtements.
Stéphane : Déshabilles toi, gardes juste ton t-shirt et ton Jockstrap !
Je fais ce qu'il veut et arrive près de lui.
Stéphane : Je vais te le réveiller à ma façon. Regardes et prends-en de la graine !
Et vlan il lui balance une paire de gifle magistrale. Ca réveille Michel qui essaye de se débattre.
Stéphane : Ecoutes mon gars, tu vas être bien docile et il ne t'arrivera rien à toi et à ton mec. Ou alors vous allez souffrir.
Et Stéphane lui remet une gifle bien sentie.
Stéphane : Tu as compris !
Michel se remue toujours, mais attaché comme il est, il lui est impossible de s'échapper. Vlan une troisième.
Stéphane : Tant que tu bougeras je t'en balancerai d'autres.
A la quatrième mandale, je vois des larmes sortir en dessous de son bandeau il ne bouge plus. Mon homme entreprend de lui retirer son bâillon, il commence à hurler.
Michel : Bande de cons, lâchez nous ! Je vais vous le faire payer. Je vous tuerais.
Et vlan mon homme lui cogne deux baignes tellement fortes, qu'il en perd presque connaissance.
Stéphane : Tu ne comprends pas ? Je vais m'occuper de ton mec alors.
Il lui remet le bâillon mais lui enlève le bandeau. Je peux voir son regard furieux. Stéphane le positionne pour qu'il puisse voir Felipe accroché au mur. Il attrape un fouet qui se trouvait sur la table basse et frappa Felipe trois fois. Ce dernier hurle dans son bâillon.
Stéphane : Retournes Felipe et rattaches le ! Que je continue.
Je retourne Felipe qui me regarde avec un regard d'horreur. Je vais à côté de mon homme et lui dit à l'oreille.
Moi : Va y doucement, il n'a pas l'air d'apprécier. N'oublies pas pour qui nous sommes là !
Stéphane recommença à frapper Felipe mais en y allant plus doucement. Je regarde Michel, il n'avait pas l'air de broncher et avait l'air satisfait. Je lui ai enlevé le bâillon.
Moi : Tu vas te laisser faire ou on continue.
Michel : Allez y faites-lui ce que vous voulez, c'est une lope. Une lope, ça doit être endurante.
Putain, il me cherche. Je lui remets le bâillon et prend le fouet des mains de mon homme qui a l'air surpris. Je retourne vers Michel et commence une séance de fouet sur son cul et je n'y vais pas avec le dos de la cuillère.
Moi : Ah ... Une lope c'est fait pour endurer ! Et bien endure ! Ce soir avec mon homme, on va te dresser et tu nous supplieras !
Et je le fouette fort pendant au moins 10 minutes. Je ne me rends même pas compte qu'il est dans les vapes. Mon homme vient me stopper à temps. Il avait le cul rouge presqu'à sang.
Stéphane : Arrêtes, tu vas trop loin.
Moi : Peut-être mais ça soulage.
Stéphane prend un verre d'eau froide et le jette au visage de Michel qui reprend conscience.
Stéphane : Alors ? Tu te laisses faire ou on reprend sur toi.
Et d'un geste de la tête Michel accepte.
Stéphane : Bien. On va pouvoir passer aux choses sérieuses.
Stéphane enlève le bâillon de Michel qui ne pense même plus à gueuler.
Stéphane : Maintenant tu vas me sucer et si tu as le malheur de faire quelque chose d'autre, Pat te corrigera comme tout à l'heure. Je ne le stopperai pas. Tu as compris, salope ?
Michel : Oui
Stéphane : Oui qui !
Michel : Oui maître.
Stéphane : Tu apprends lentement mais tu apprends. Si tu désobéis tu seras puni. Pat, je te laisse t'occuper de Felipe. Il l'a bien mérité. Fais lui du bien, mais pas question qu'il t'encule. Moi je m'occupe de celui-ci. Crois-moi, Michel, qu'après mon passage, tu rêveras de moi pendant longtemps en te branlant. Allez ! Suces et fait moi bander bien dur.
Je commence à m'occuper de Felipe mais celui-ci est trop crevé que pour ça continue. Je décide de le détacher et de le coucher sur le divan en lui enlevant son bâillon. Je retourne alors vers mon homme.
Moi : Laissons Felipe, il n'a pas mérité ça. En plus je crois que je n'y suis pas allez de main morte avec ton produit, il ne tiens plus sur ses jambes.
Stéphane : Ok, alors prépare-moi son cul.
Michel a un sursaut et recrache la bite de mon homme.
Michel : Non ! Faites-moi ce que vous voulez mais pas ça. Je vous en supplie, pas ça. Je suis vierge et c'est trop gros pour moi. Je vous en supplie faites de moi ce que vous voulez, mais pas ça.
Stéphane : Qui t'a permis de parler ? Bouffes ma queue et tais-toi ! Si j'ai envie de te baiser je te baise ! Une lope ne discute pas les ordres de son maître ! Tu te disais dominateur mais tu chiales comme une vrai petite chienne. Tu n'es pas un dominateur mais un soumis et tu aimes la queue parce que tu sais sucer.
Et vlan, il file une fessée sur son cul bien rouge. Michel gémit de douleur. De mon côté je commence à lui mettre du gel sur le cul et rentre directement un doigt dedans. Il ne bronche pas, j'en entre un deuxième, et puis un troisième, toujours rien. Je me retourne, enfile une capote et entre dans son cul doucement. Je le sens enfin se crisper. Mon homme aussi. Il se retire de sa bouche.
Stéphane : Alors ? Ça fait quoi de se faire enculer par mon mec, petite salope !
Michel : AHHH arrêtez, ça fait mal je vous en supplie.
Stéphane : Comptes la dessus et bois de l'eau. Vas-y mon homme, élargis le passage. Felipe ! Aux pieds et suces !
Et Felipe, subjugué, viens sucer mon homme.
Stéphane : Tu sais que tu as un beau petit cul Felipe, on doit être bien dedans.
A ma grande surprise, Felipe se retourne, se met à quatre pattes tête à terre et tend son cul à mon homme. Celui-ci met directement une capote et l'encule d'une traite, sous le gémissement de celui- ci qui la prends entier d'un coup. Comment fait-il ? Stéphane l'encule pendant au moins dix minutes et Felipe gémit comme une vraie salope. Il aime ça, ça se voit. De mon côté, Michel se détend et commence à gémir sous mes coup de butoir.
Stéphane : Allez ! On échange ! Termines toi sur Felipe! Moi je vais faire ma lope de celui-ci et lorsqu'on reviendra, il devra être à ma botte.
Nous échangeons nos positions et mon homme rentre dans le cul de Michel qui hurle de douleur. Ça peut se comprendre. Il le laboure fort au départ et Michel crie sa douleur. Moi de mon côté, j'offre ma bite à Felipe qui me suce divinement bien. J'ai envie de l'enculer mais il a l'air de prendre son pied en me suçant. Et puis j'entends mon homme.
Stéphane : Tu vois que tu gémis petite salope ! Avoues que tu prends ton pied avec ma queue. Dis que tu aimes ma queue dans ton cul !
Michel : Oui maître, j'aime votre queue dans mon cul. Baisez-moi, je suis à vous. Prenez-moi, défoncez ma petite chatte de pute. Je suis votre esclave.
Stéphane : Tu vois que tu n'es pas un dominateur. T'es une lope !
Il lui défonce le cul pendant une bonne demi-heure. Michel aime et prend son pied. De mon côté, Felipe me suce tout en se branlant. Il me pompe à fond, ça fait un bien fou.
Stéphane : Felipe ! Viens tringler ta salope de soi-disant maître !
Felipe arrête de me sucer et va chercher une capote.
Stéphane : Que fais-tu ?
Felipe lui montre la capote.
Stéphane : Non ! C'est ton mec, pas de capote. Tu le baises et tu le fécondes ! Une salope comme ça ça se féconde !
Michel n'en peut plus, mais en voyant Felipe approcher pour l'enculer, il a un sursaut d'orgueil.
Michel : Felipe, tu me le payeras je te le promets !
Stéphane : Ta gueule ! Suces !
Et il lui renfonce sa bite en fond de gorge à un point que Michel est sur le point de vomir.
Stéphane : Suces, fais pas ta chochotte ! Montres que tu aimes la bite !
Et Michel suce mon homme. L'effet de petite rébellion n'a pas duré. De mon côté, j'aide Felipe à se positionner pour enculer son mec. Il n'a pas une queue très longue mais plus épaisse que celle de mon homme. Il entre d'un coup sec, ce qui provoque chez Michel le rejet de la bite de mon homme et un hurlement de douleur. Et sa tête retombe d'un coup, comme un mec qu'on a vaincu.
Stéphane : C'est bien Felipe. Maintenant, bourres-le à fond et toi, ne t'arrêtes pas de me sucer.
Felipe et mon homme bourrent Michel en synchronisation. Michel est pris en sandwich et gémit comme jamais. De mon côté je me branle en regardant le spectacle. Felipe se raidit et jouit dans le cul de Michel et au même moment, mon homme fourre sa queue au fond de la gorge de Michel.
Stéphane : Avales ! Un esclave ça avale la semence de son maître !
Michel avale ce qu'il peut mais bave le reste. Je ne suis pas loin de jouir aussi et Stéphane le remarque.
Stéphane : Felipe, viens nettoyer ma bite ! Pat, donnes ta semence à cette salope !
Felipe accourt pour nettoyer la bite de mon mec et moi je m'enfonce dans la bouche de Michel qui me suce avidement.
Moi : Putain, tu suces bien pour une salope. ahhhh, prends tout, avales ! Nettoie ma queue !
Et je lui donne mon jus qu'il avale aussi. Mais au moment où il veut me nettoyer la queue, Felipe me tire et enfourne ma bite dans sa bouche pour la nettoyer. Stéphane est déjà en train de remettre ses habits et me montre les miens. J'arrête Felipe qui reste assis par terre et me rhabille également. Stéphane se penche sur Felipe, le relève et l'embrasse goulument.
Stéphane : Tu es un bon coup Felipe et je te respecte. Si tu veux, lorsque l'on reviendra, je te ferai l'amour avec Pat.
Felipe regarde mon homme avec un grand sourire. Ensuite, il passe derrière Michel et lui fout deux fessées.
Stéphane : Toi, ma chienne quand je reviens, je te veux aussi soumis que possible. Ton cul est maintenant fait pour la bite, en plus tu as jouis. Je peux voir ton sperme couler sur la table donc tu as aimé.
Michel : Oui.
Stéphane : Oui qui !
Michel : Oui maître.
Stéphane : Tu vois que tu n'es pas un vrai dominateur. Maintenant, j'espère que tu respecteras mieux ton homme.
Michel : Oui maître.
Stéphane : Felipe, dorénavant, quand tu le voudras, tu pourras baiser ton mec et le dominer. Chez vous il n'y a pas plus de dominateur que de soumis mais bien les deux chez chacun. Tu n'es plus le larbin de cette salope.
Felipe : Oui merci.
Il vient alors nous embrasser tous les deux, ensuite il se retourne et embrasse son homme en commençant par le détacher. Nous sommes sur le point de partir quand on entend Michel tomber par terre. Felipe essaye d'essuyer son sperme. Stéphane enlève sa veste et reprend Michel comme un sac de ciment.
Stéphane : Felipe, montre-moi ta chambre.
Felipe nous ouvre la porte de son appartement, indique la direction de la chambre. Mon homme met Michel au lit et le recouvre du drap.
Michel : Merci maître.
Mon homme l'embrasse d'un baisé majestueux que Michel en gémit.
Stéphane : Un véritable maître peut être dur mais aussi tendre avec son esclave. Tu verras, tu comprendras avant que je retourne en Belgique. Demain soir, je te veux chez toi en tenue d'esclave à 20h00. Tu verras, si tu es obéissant comme je peux être doux.
Michel : Oui maître, je serai prêt à vous recevoir.
Moi : Et moi je fais quoi pendant ce temps ? Je cueille des bananes ?
Stéphane : Mon homme tu feras ce que tu veux. Tu peux même venir mater si le coeur t'en dit.
Felipe : Je m'occuperais de toi chez moi, j'ai envie de toi.
Moi : Ok on fait comme ça. Mon coeur, tu autorises Felipe à prendre mon cul ?
Stéphane : Pas sans protection ! Comme je prends le cul de son mec, normal qu'il prenne le cul du mien. Bon on rentre !
Et nous reprenons la voiture direction la villa.
Stéphane : Tu es fâché que je m'occupe de Michel encore demain ?
Moi : Non pas du tout du moment que tu as des préservatifs aussi.
Mon homme se gare sur le côté et m'embrasse fougueusement. Tout en posant sa main sur ma cuisse.
Stéphane : Tu as encore un peu de jus pour moi ? J'ai envie de toi.
Moi : Oui je dois en avoir encore.
Nous reprenons la route et arrivés à la villa, mon homme se jette sur moi et me déshabille. Tous les vêtements volent partout, nous sommes à poil tous les deux.
Moi : Du calme mon homme, allons d'abord nous rafraichir sous la douche, on pue la sueur.
Stéphane : Ok monte. Je nous prends deux verres de vin bien frais.
Je passe sous la douche et mon homme m'y rejoins, je me rince et vais l'attendre dans la chambre. Je commence à boire mon verre de vin lorsqu'il arrive et monte dans le lit. Il m'embrasse partout comme un fou pour arriver sur ma queue qui commence à bander. Il me suce divinement pendant dix minutes, ensuite, je le vois prendre du gel et s'en mettre sur le cul et un peu sur ma queue. Il vient s'assoir doucement dessus. Ma queue rentre doucement à son rythme et surtout au rythme de mon homme. Il s'empale complètement dessus et fait des va et vient. Il se baise tout seul et gémit. Moi de mon côté je donne quelques coup de rein pour en profiter un maximum. J'ai envie de changer de position et je le mets sur le dos, lui fait prendre ses jambes dans ses bras afin que son cul me soit tendu au maximum. Il a l'air d'aimer, il tortille son cul pour bien me le montrer.
Moi : Tu me montre ton coté salope mon ange ?
Stéphane : Oui car j'ai envie de ta queue.
Et je lui rentre ma queue dans le cul et le sodomise à fond. Il est tellement recourbé sur lui-même que sa bite est sur sa bouche. J'en profite et lui fout en bouche.
Moi : Suces-toi que je vois ce que ça donne.
Et il se suce et gémit comme une salope. Il bande en plus, je sens au bout d'une dizaine de minutes qu'il se raidit. Il va jouir, je m'enfonce à fond.
Moi : Vas-y, avales ton propre jus.
Et il jouit dans sa propre bouche. Moi je ne tarde pas à venir le féconder. Je me retire mais je bande toujours, mon homme me nettoie la queue. Ensuite il va à la toilette, s'essuie le cul avec du papier toilette. Je suis sur le lit toujours bandant et je fini mon verre de vin. Il revient vers moi et se couche sur le côté.
Stéphane : Viens prends moi cette nuit, je veux ta queue dans mon cul.
Moi : Tu as mis quoi dans mon verre ?
Stéphane : Juste une goutte d'un produit pour faire bander longtemps. Pour moi j'en prends quatre donc l'effet devrait se dissiper dans une heure.
Moi : Bon ben alors tiens !
Je m'enfonce dans son cul d'un coup et violement, ce qui lui fait sortir un petit cri. Je le laboure quelques fois pour qu'il gémisse, la fatigue aidant nous finissons par nous endormir.
A suivre...
Pattlg
Autres histoires de l'auteur : Domination par Stéphane mon futur mari