J'ai 55 ans, veuf. Depuis toujours je suis sensible aux hommes, surtout mûrs. Mon histoire a débuté un jour de décembre dernier. Je prenais un café dans un bar d'une ville des Alpes. Début d'après-midi. Peu de clients. Je lisais le journal. Est entré un homme, la cinquantaine, style " sans domicile fixe ", vêtements usés et tignasse en bataille sous un bonnet défraichi. Assis à la table voisine de la mienne, il a commandé un grand café. Pas très sympa à première vue, mais souriant. Ayant fini de lire, je lui ai tendu le journal. Il l'a pris mais ne l'a pas lu. J'ai engagé la conversation. Il répondait par quelques mots. Il dormait où il trouvait abri mais jamais en foyer. Trop pénible de cohabiter et souvent dangereux. On a parlé, il a avoué que son problème était la toilette. Il ne supportait pas d'être souvent crasseux. Faire sa toilette ! J'ai suspendu la conversation. Il y un sauna près du bar. Je lui ai dit qu'au sauna il pourrait se doucher et se laver.il m'a dit qu'on lui refuserait l'entrée. Je connais le patron. Je lui ai téléphoné. Il a compris la situation et m'a dit d'arriver de suite avant l'ouverture et il ajouté qu'il avait des fringues propres à lui donner. J'ai dit tout cela à mon voisin. J'ai dû batailler pour le convaincre. On y est allés. Le patron du sauna a fait la grimace mais il s'était engagé. On s'est déshabillés. Ses vêtements ont été mis dans un grand sac poubelle. Il n'était pas crasseux. Sa peau blanche contrastait avec ses poils drus qui couvraient son corps. Maintenant on était nus tous les deux. Nous sommes allés à la douche. Il a savouré l'eau chaude, en gémissant presque. Il m'a demandé si c'était cher, ici. Je paie, pas de soucis. Il s'est savonné partout. Son sexe était massif. Comme je regardais son sexe, il a regardé le mien qui bandait, un peu. Il a souri. Moi aussi. Je me suis bien savonné la queue, bien décalotté le gland. Il a fait de même, simplement, sans ostentation. Ça a duré près d'un quart d'heure. Méconnaissable. Cheveux souples et barge éclaircie par le lavage. Nus, nous sommes entrés dans le sauna humide. Il ne disait rien. Il m'a dit cependant que ça allait bien et merci. On s'est assis côte à côte dans l'obscurité. Il respirait fortement. J'ai posé ma main sur sa cuisse. Et j'ai vu qu'il bandait. Il a dit " Pourquoi ? " Ma main est allée vers son sexe érigé. Il était gros. Je l'ai pris mais il a retenu ma main. Il m'a dit " non ! ". Mais j'ai continué. Je me suis penché vers lui et ma bouche a trouvé son gland gonflé. Il était totalement décalotté et je l'ai gobé. C'était bon pour moi et lui, il m'a pris la tête entre ses mains et il l'a pressée contre son ventre et sa queue, dure comme de l'acier, est allée au fond de ma gorge. Il ne demandait plus pourquoi. Il gémissait. J'ai retiré ma bouche et lui ai dit : viens ! On est sorti de cette pièce humide alors que les premiers clients arrivaient. Nous sommes allés dans une cabine. Il n'a rien demandé. J'ai fermé la porte. On s'est regardé et je l'ai embrassé. Après une hésitation, il m'a rendu le baiser d'une manière forte, puissante. Il aimait. Nos sexes se frottaient l'un contre l'autre, durs mais le sien était très dur. Nos bassins allaient et venaient. Nous gémissions de plaisir. Il m'a dit qu'il avait envie de baiser, que ça faisait longtemps qu'il n'avait pas baisé et qu'il n'aimait pas trop se branler. Et il m'a demandé : " Tu te fais baiser ? " Je lui ai demandé s'il en avait envie. Il n'a pas répondu. Il m'a plaqué contre le mur et son sexe a labouré mon ventre. Il me serra fort en râlant. " Je vais te baiser, sale pute " ! Il me retourna et m'obligea à me plier sur la couchette. Il cracha dans sa main et m'en enduit l'anus en le pénétrant avec ses doigts, sans délicatesse. Son excitation était totale. Il crachat à nouveau dans une main et enduit son gland qu'il branlait furieusement. Il essaya enfin de me pénétrer. Je redoutais et aussi attendait ce moment avec envie. Il força. Je cru être déchiré. J'ai eu mal. J'ai gémi et il a continué de plus en plus fort. J'ai eu l'impression que je me déchirais. Lui me traitait de pute, de chienne et il pénétra en moi. J'ai dû dire non au moment où j'ai cru que tout son corps entrait en moi. Son sexe me dilatait ; il était énorme ! il m'a couché sur le bat-flanc. Il m'écrasa de tout son corps. Et il commença a me niquer comme il m'a dit, bouche plaquée sur le cou. Pendant de longues et violentes minutes, il est allé et venu en moi. Il râlait de plaisir et il gueula de plaisir quand il me remplit de son sperme en large coup de reins. Il resta sur moi, son corps lourd m'écrasait et sa bite faisait partie de moi. Il me quitta et me donna sa queue à sucer, couverte de sperme épais et collant. Je dégustais. Il se releva. " Tu es une pute mais une bonne pute ! Tu m'as vidé ! ". Et il a quitté la cabine. Je l'ai retrouvé aux douches. Il s'est rapproché de moi pour me dire dans l'oreille : " Je veux te revoir. Chaque semaine ! Lundi prochain après midi, ce serait bien, ici ce serait encore mieux ! " Il me toucha les couilles et partit se rhabiller " de neuf ". Je l'ai revu chaque semaine. Je suis sa femme comme il dit. J'aime lui rendre ce service. Il m'a proposé de rencontré un copain à lui. Il a retrouvé du bouleau.
Pierre1
SDF | Se faire branler par un ami âgé