Travaillant pour une organisation professionnelle, j'étais amené à voyager chaque semaine de Clermont-Ferrand à Paris, parfois dans d'autres villes de province.
Chaque fois, je m'arrangeais pour arriver et repartir d'Orly ouest : plus pratique pour entrer et sortir de Paris.
Pour ceux qui connaissent les boutiques de l'aérogare, il y avait à l'époque plusieurs boutiques de bijoux et de montres. J'avais repéré dans l'une d'elle un putain de canon : beau mec bien foutu, sexy à souhait dans son costume slim noir et sa chemise blanche, gueule de mec, bien viril.
Quand je n'étais pas trop à la bourre, je passais devant sa boutique et je jouais au client intéressé ! Jusqu'au jour où il m'a abordé...
Je lui ai alors demandé d'essayer une montre. Il me l'a sortie (la montre !) et me l'a passée au poignet. La proximité de son corps, l'odeur de son parfum, ses mains au contact de ma peau... j'étais en transe !
- Je vais essayer de ne pas prendre les poils, me dit-il en fermant la boucle de la montre
- Pas de soucis, je ne crains pas grand-chose !
Il me lance un coup d'oeil coquin... Je craque !
Je passe à la caisse. Il remplit le bon de garantie, me demande mon nom...
- Vous avez aussi besoin de mon numéro de téléphone ? lui dis-je avec humour mais envie !
- Pas pour la garantie, mais il se pourrait que j'en aie besoin quand même !...
Il me tend un papier, un stylo. Je note soigneusement mon numéro : je ne voudrais surtout pas qu'il y ait un doute sur un chiffre ! Je veux que ce mec me rappelle, et vite !
Je paie. Echange de regards. Je dois prendre mon avion.
J'embarque à peine : mon smartphone vibre. Je reçois un SMS :
" Je ne sais pas vous, mais moi j'ai une envie folle de vous revoir et de caresser plus que votre poignet... "
Je suffoque... J'ai chaud ! L'hôtesse qui m'indique ma place dans l'avion me demande si tout va bien.
- J'ai rarement été aussi bien ! Merci !
Le vol est long ! 50 mn avant de pouvoir enfin répondre :
- Je reviens la semaine prochaine : vous pourrez vérifier tout le reste...
Que la semaine fut longue !... Elle nous permit toutefois d'échanger de longs messages, jour et nuit ! La température montait, de jour en jour, de nuit en nuit.
Le mercredi suivant, informé de l'arrivée de mon vol, mon bel inconnu m'attendait à la sortie de l'avion : toujours très classe ! Il m'annonce :
- J'ai réservé une chambre d'hôtel tout à côté : ne dis rien et suis moi !
Un taxi nous dépose devant l'entrée du Hilton. Monsieur me sort le grand jeu ! S'il savait qu'il ne sert à rien de sortir l'argenterie : tant qu'il me sort ses bijoux de famille, il pourrait bien me prendre sur le siège du taxi, je m'en contenterais !
Chambre 308. Une vraie suite. Le lit est immense : il servira de témoin à nos premiers ébats.
La porte à peine refermée, on se saute dessus : nos lèvres se rejoignent enfin pour sceller une semaine de désir. Nos langues s'emmêlent mais elles s'organisent si bien. Elles se cherchent. Elles se trouvent. Elles s'excitent. Nos bouches produisent une quantité de salive importante, qui se mélange.
Nos mains ont entamé ce travail si excitant de découverte du corps de l'autre. Nos vêtements volent aux quatre coins de la pièce. Seuls nos boxers tendus de désir résistent à l'assaut de nos mains. Nos caresses passent et repassent sur ces morceaux de tissu soyeux. Je suis le plus hardi : je glisse mes mains entre le tissu et la peau de son petit cul musclé. Ce mec me rend dingue. Il est bâti comme j'aime les hommes : musclés, fermes, poilus !
Il en fait autant : il vient découvrir la peau de mon cul et les poils qui le recouvrent. Il aime ça, il gémit, il grogne. Ce mec est un vrai mec. Un bonhomme viril qui va se donner et me donner du plaisir toute la nuit.
Le dernier rempart qui couvrait nos corps rejoint finalement le reste de nos vêtements. Nous voici nus, face à face. Le rut peut commencer. Mon trésor de bijoutier est entreprenant : il a l'air d'apprécier la taille de mon sexe. Il le caresse, le malaxe, passe par mes burnes et les étirent : elles résistent ! Elles en ont vu d'autres !
Il se penche enfin, se met à genoux devant le dieu Sexe et le gobe ! Il m'avale avec fougue mais sa langue, ses lèvres sont si douces. Elles lapent le gland de l'amant, le flattent, l'honorent.
Pendant ce temps, mes doigts caressent sa nuque. Le mouvement de succion s'intensifie. Mon chéri, il va falloir calmer le jeu si tu veux que l'assaut dure toute la nuit ! Relève-toi ! Redonne ta langue à la mienne ! Je bave dans ta bouche. Crache ! Rends-moi mes sécrétions ! J'aime ce mélange.
Une simple pression sur mon crâne suffit à me faire comprendre la suite du jeu : déjà offert à ma bouche experte, son sexe immense me nargue. Je l'avale sans peine, je lui montre de quoi Dame Langue est capable.
Il est si expressif. Nul besoin de demander s'il prend son pied... Le bonheur est intense. Il fait chaud dans cette piaule.
Je me relève. Re-pelles. Nos mains sont plus fermes. La pression se fait plus intense. La tension monte d'un cran. Nos tétons entrent dans la danse. Je te pince... Tu me pinces...
- Tu en veux ?...
Mon amant a sorti une fiole de poppers. Sniffe d'un côté, sniffe de l'autre ! Il ne nous en fallait pas plus. Je le retourne, le fais pencher en avant et introduis direct ma langue dans son trou rasé. Et je lèche, je pompe, je suce... Ses petits bruits d'ours attisent encore plus mon désir. Il me crie :
- Prends-moi ! baise-moi ! Je veux t'appartenir...
J'ai été bien élevé : je réponds à sa demande ! Poliment, je lui présente mon gland : mon gland, son cul ! son cul, mon gland ! Enchanté ! Entre donc : fais comme chez toi !
Je rentre sans aucune résistance. Il mouille tellement mon petit bijou ! Ah ! je l'aurais bien pris sur son comptoir à Orly ce petit obsédé, devant tous ses voyageurs en transit qui n'ont que ça à faire : mater en attendant leurs v(i)ols !
Mais l'heure n'est pas au fantasme ! Nous sommes dans la réalité : je l'ai pénétré profondément et il couine de plaisir ! Je vais, je viens, je sors, j'entre à nouveau... Le poppers attise le feu.
Je calme le jeu. Moi aussi j'ai faim. Moi aussi j'y ai droit !
Relève-toi mon beau, viens m'honorer de ta lance, mon beau chevalier !
Il s'exécute : tendrement, il s'immisce en moi. La taille plus que respectable de sa bite n'est pas un problème : je le désire si fort qu'il n'y a entre nous aucun obstacle de quelque taille que ce soit !
Il me pilonne comme un vrai mec. Il ne laisse à mon antre aucun répit. Je le voulais, je l'ai !
Le miroir immense qui orne l'un des murs de la chambre reflète nos ébats. La vision de nos deux corps scellés double le plaisir. Je te mate, tu me mates. Tu me baises. Je suis au nirvana !
Petite pause ??! Non ! encore ! La chevauchée fantastique dure. L'un donne à l'autre et vice versa !
L'heure de la jouissance a sonné : donne-toi, donne-moi !
J'ouvre la bouche et reçois le fruit de notre saillie. Mon amant se déverse sans retenue pour me donner son nectar divin. Je me branle sauvagement : je vais aussi venir. Mon héros d'un soir se penche jusqu'à la source de son bonheur et me bois sans résistance. Ahhhhhh ! je jouis intensément ! Quelle ivresse ! Nos corps tremblent tant la jouissance est forte.
Allez ! Une douche ! À deux, c'est mieux ! Je te frotte, tu me frottes, je rebande, tu rebandes ! La nuit va être chaude !...
Mon chaud du bijou va devenir mon amant ! D'autres nuits, autant de sursauts de nos corps jeunes et avides ! Nous allons expérimenter ensemble bien des chemins de traverse ! Vous avez envie d'en savoir plus ?...
SecretsDeSexe
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