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A la réception de l'hotel, le vieux réceptionniste qui me connaissait depuis que j'étais petit ne me reconnu pas. D'une petite voix, je demandai à voir M. XXX. Le vieux Monsieur qui me reluquait d'un air vicieux pris un air snob pour appeler mon parrain.
- M. XXX, la réception, une jeune personne vous attend à la réception. Je l'installe dans le salon
- ...
- Euh (Le vieux était rouge jusqu'aux oreilles) ... oui naturellement, ... chambre 12, bien Monsieur, ... une bouteille de champagne, ... bien Monsieur
- (Me toisant) Monsieur vous attend chambre 12
Sans le remercier, je virevoltai et sur moi-même et me dandinai jusqu'à l'ascenseur. Je sentais le regard vicieux du vieux réceptionniste. Cela me plaisait énormément. J'étais excitée au plus haut degré ... J'étais toute tremblante devant le n°12. Je frappai la porte avec ma petite menotte délicate. La porte s'ouvrit toute seule. Elle n'était pas fermée mais contre. L'ambiance était tamisée. Mon parrain m'attendait en costard, cravate. Il était debout, le regard sévère. Il jouait au méchant me dis-je. Je balançais du croupion et me jetai dans ses bras comme une jeune sotte.
Il me reteint brusquement. Je fus stoppé dans mon élan et dans mon enthousiasme. Avait-il changé d'avis ? Il avait commandé une bouteille de champagne ... Je me faisais des illusions ...
- Recule toi et retourne toi
J'obtempérai, reculai et fis demi tour.
- Remonte ta robe lentement ... Caresse toi.
Il bougeait des chaises dans mon dos.
- Retourne toi encore
Je vis deux chaises l'une en face de l'autre à une distance de 2 mètres plus ou moins. Quel étrange bonhomme ! Ce qui me rassurait c'est que son pantalon était tendu.
L'on frappa à la porte. Mon parrain répondit d'entrer et le vieux réceptionniste apparu dans le cadre de la porte, un seau à champagne dans les mains et deux coupes dans l'autre.
- Fermez la porte Monsieur et déposez le seau et les coupes sur le guéridon. Prenez donc place que nous discutions un peu.
A quoi jouait mon parrain ?
- Merci Monsieur, vous êtes bien aimable répondit le vieux monsieur lubrique
- Tatiana, veux tu nous servir une coupe de champagne dit mon oncle en s'asseyant en face de son ôte
Un jeu de rôle pensais-je la soubrette ... OK pourquoi pas. Je fis donc de mon mieux pour plaire. Je présentai donc une coupe au réceptionniste en faisant une petite révérence ce qui sembla amuser tout le monde. Mon oncle me demanda de m'assoir sur ses genoux. Etrange, mais j'obéis.
- Qui est donc cette charmante personne ?
- Un jeune travelot qui offre ses services aux hommes
Je me redressai rouge de honte ... Et si ce vieux réceptionniste me reconnait, faisait le lien avec Thibault, avec moi ... La main ferme de mon parrain m'avait retenu et forcé à me rassoir.
- Une petite pute doit pouvoir obéir et satisfaire ses clients. Va donc chercher dans ma poche droite un premier billet
Je glissai ma main dans sa poche. Au passage, je sentis son sexe dressé. Je fis quelque mouvement coquin. Le gland de mon parrain était fort marqué et volumineux. Je me remémorais quand je l'avais sucé et ma petite culotte mouillait. J'oubliai bien vite la violence du mouvement de mon parrain quand je sortis un beau billet de 500 EUR.
- Relève toi et ôte ta robe.
Sous l'émotion et heureuse de ce pouvoir qui me rapportait en quelques jours une deuxième fois 500 EUR, je me dévêtis avec sensualité. Je me retrouvai donc entre ces deux hommes, mon oncle - parrain grand homme maigre de 38 ans et ce vieux réceptionniste, petit chauve, tout rond que j'avais connu vieux depuis ma plus tendre enfance mais manifestement toujours vigoureux car ses mains ne parvenaient plus à cacher l'énorme bosse de son pantalon. Il faut dire qu'avec mon mètre septante-cinq et mes soixante kilo, ma taille fine, gainée de la ceinture à jarretelles en dentelles blanches mes bas blancs aux rebords de dentelles, mon string blanc mettant en valeur mes fesses rondes fermes et totalement imberbes, mon soutien pour cacher mes petits tétons, le tout haut perché sur des talons, je faisais effet.
- A genoux, tu va satisfaire mon ôte et le sucer devant moi
- T'es ouf parrain, je vieux bien jouer mais quand même, j'aime choisir avec qui ...
- LE petit Thibault ! Ah si j'avais su ! Quoique, je me suis toujours douté qu'une petite vicieuse sommeillait en lui
Mince, je m'étais trahi ... J'allais pour reprendre ma robe et partir mais mon parrain me saisissait violemment et me renversait en travers sur ses genoux, pour me claquer les fesses avec une violence inouïe. J'hurlai mais rien y fait. LE réceptionniste avait sorti ses énormes couilles et une grosse bite très large mais courte ... Mon parrain continuait de rougir mon postérieur. Je pleurais. Quand les coups cessèrent, il me caressa fermement les fesses puis les ouvrit pour caresser mon petit anus rose et vierge.
- Une belle petite chatte de salope ! Jamais utilisée ! Qu'en pensez-vous monsieur ?
Le vieux s' était levé et à son tour me caressait les fesses insistant lui aussi sur mon oeillet rose et serré.
- Superbe Monsieur XXX
- Goutez y , il faut bien humidifier ce petit trou afin de le dilater un peu
Sans attendre, le vieux me bouffa le cul. Il bavait, grognait, suçait , tentait d'enfoncer sa langue en moi. Je ne pu m'empêcher de gémir. Mon parrain me fit mettre à 4 pattes sur la chaise. Ce n'était pas confortable car soit, je tombais en avant soit en arrière. Mais très vite, une solution fut trouvée puisque le vieux m'enfonça la courte et large bite dans la bouche pendant que sans prévenir, mon parrain m'empala sur son énorme queue ... J'hurlai de douleur dans un son étouffé par la grosse queue dans ma bouche. Les larmes jaillir une nouvelle fois de mes yeux. Les 5 ou 6 premiers va et vient me déchirèrent. Ces hommes étaient en rut ... J'étais comme une poupée ballotée d'avant en arrière, soit la queue de mon parrain entrait jusqu'au claquement de ses couilles sur mes cuisses, soit j'avais la grosse bite du vieux qui s'enfonçait dans ma bouche jusqu'à m'étouffer ... Heureusement, la douleur, commençait à faire place à une certaine jouissance et je sentis ma petite bite se dresser jusqu'à jouir sans être touchée. C'est le moment ou mes deux brutes perverses se déchargèrent qui dans mon tru de cul qui dans ma bouche de salope.
Alors que je restais maintenant affalé sur la chaise. Les deux hommes se rhabillaient. Le vieux réceptionniste , sorti en prononçant un petit merci étouffé ... Il devait être gêné. Mon parrain quant à lui déposa sur la table un autre billet de 500 EUR, saisit sa valise et partit.
Seul dans la chambre, je fonçai dans la salle de bain pur prendre un bain chaud. J'y entrai dès que possible et fut horrifié de découvrir l'eau rougir. Je saignais. Mes mains se portèrent à mon anus. Cette petite fleur ferme, est fanée, flétrie, encore ouverte. Mon parrain m'a dépucelé. ..
Après une heure, je me ressaisis. Je range mes effets dans les sacs à course et je remets mon jeans moulant et mon t-shirt de jeune garçon. Je quitte l'hôtel. Le réceptionniste est plongé dans son livre de compte. Il ne me regarde pas ... IL doit avoir honte. J'ai mal à l'anus. Mon jeans frotte sur mon oeillet encore terriblement douloureux. Je ne me sens pas la force de rentrer à pied. J'appelle le taxi man. Il ne tarde pas à venir. Directement, il sent que quelque chose s'est passé. Il est surpris de me voir en garçon mais ne dit rien. Il est doux. M'aide à m'assoir et me demande où il doit me conduire ... Sans réfléchir, dans un sanglot, je lui demande de m'emmener chez lui car j'ai besoin de me reposer mais n'ose pas rentrer chez moi. Il accepte.
La suite au prochain épisode.
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Lexa
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