Je suis Marc-André, 26 ans, gay et actif depuis toujours, bon 1m80, 75 k, beau gros 18cm pour de belles rosette de mec, je suis comptable dans cette compagnie et nous devons recruter trois jeunes pour nous assister dans nos recherches.
Parmi les trois jeunes stagiaires, celui-là ma chaviré.
Un jeune super masculin de 19ans, nommé Sébastien, ce n'ai pas la beauté du jour, mais sexy pas possible. Marchand en vrai male macho, les jambes bien écartées, marchant d'un pas solide portant de vrai Adidas.
A la fin de la journée étais seul dans mon bureau, je jasais au téléphone avec un copain, tous en me caressant le paquet, la main dans mon pantalon, lui parlant d'un des jeunes, le décrivant.
- Il se nomme Sébastien et il a 19ans.
- Beau jeune pour ton plaisir. Décrit-le moi.
- Presque sur qu'il porte un jeans plus petit qu'il devrait porter.
- Comment ca.
- Son jeans lui moule les jarrets, les cuisses bien musclées, je te dis un vrai Adonis.
- Tu dois bander mon cochon.
- Oui, si tu verrais ses fesses bien fermes, qui lui donne un super cul mangeable pour y mettre ma queue a fond.
- Wow.
- Si tu lui verrais son paquet, lui moulant bien son pénis et ses couilles, je te dis qu'il porte son paquet à droite.
- Présente-moi-le.
- Non, non je le garde pour moi. Avec son survêt de la compagnie mettant ses muscles des abdos et de ses bras musclés, il s'entrainait surement régulièrement.
- Tu le pense gay.
- Non, surement pas, c'est un hétéro a 100% et dois rencontrer toutes les filles qu'il veut.
- Pas chanceux.
- Je te dis qu'il me fait bander tellement, que lavé ou pas lavé, je le lècherais partout, des orteils aux oreilles, sans oubliés sa queue, ses couilles et son petit cul qui dois être très poilus à voir les poils de ses bras.
- A ce que tu dis, trop beau pour être vrai.
- Je ferais n'importe quoi pour lui mangé la rosette de son petit cul poilu qui doit être vierge et y rentré ma langue et je te garanti que j'avalerais tous ce que son membre viril peut donner.
- Oublie-le et on se revoit ce soir au bar, pour peut-être rencontré de quoi de bâtissable.
- Parfait à ce soir.
Comme je lâchais mon téléphone, la porte de mon bureau se fermât d'un coup sec, je me suis retourné et Je vois Sébastien barré la porte de mon bureau et il s'assoit sur mon bureau face a moi, posant son pied droit sur ma cuisse et il me dit :
- Défait mon lacet
- Pardon.
- Je te dis de défaire mon lacet, t'es sourd.
- Tu te prends pour qui, toi.
- Fais ce que je te dis.
Il me dit ca d'un ton dominant et d'un regard macho, je défais son lacet, le déchausse et me dit :
- Lèche moi le pied et suce mes orteils une a une.
- Qu'est qui te prend toi.
- Je t'ai entendu au téléphone que tu ferais tous pour savourés de que j'ai dans mon jeans, alors mets toi a l'oeuvre, suce mes orteils.
Il ne portait même pas de chaussettes, après sa journée de travail, son pied dégageant une odeur et je ne sais pas pourquoi je me mis a sucé sa grosse orteil et me sentant pour la première fois de ma vie, je lui obéissais, léchant et suçant ses orteils et même de son autre pied. Il se levât et collant son Adidas sur mon nez. Le retirant collant son entre-jambe dans ma face.
- C'est ca que tu veux, sent la bien, t'aime ca une queue, si tu la veux, tu as une auto, alors on s'en va chez moi.
- Pas ce soir, je ne peux pas.
- Je t'ai dit amène moi chez moi, tu la sens pas dans ta face, tu la veux ou pas.
- Oui, je vois que tu commence à être en érection.
- Alors tu la veux ou pas !
- Je dois rejoindre un copain ce soir dans un bar.
- Appelle-le et dis lui que ton super fantasme sexy au travail, que tu lui as parlé au téléphone, que tu passe la soirée chez lui, il va comprendre.
- Sérieux !
- Si tu veux mon paquet, viens nous allons finir cela chez moi maintenant.
- D'accord.
- Tu va déguster, j'ai les couilles pleines, je ne me suis pas vidé depuis deux jours et en plus j'ai des bonnes réserves de sperme pour toi, j'espère que toi aussi.
Nous sommes partis du bureau dans mon auto, en route il me fit acheté et payé des bières, sans trop jaser, mais dans ma tête, je me disais;
(Attends tu va y gouter, je vais t'enculer à fond mon petit pervers, tu vas t'en souvenir longtemps.)
Rendu chez lui, nous primes deux bonnes bières d'affilé et il me fit mettre a genoux devant lui;
- Tu trouve que j'ai des belles jambes musclés caresse moi les de tes deux mains.
Ce que je fis aussitôt, il était vraiment tous en muscle, je fus vite en érection.
- Je ne t'ai pas dit de me poigner le cul.
- Excuse-moi, mais tes fesses sont aussi musclés que tes jambes.
- Tu trouve, t'aime.
- Bien sur.
- Relève-toi et enlève mon t-shirt.
- Ouff, encore plus beau que je me l'imaginais, un beau torse légèrement poilu et une belle ligne de poil descendant de son nombril se perdaient dans son jeans bien rempli.
- Lèche mes pectoraux de ta langue affamée.
Je lui mordillais tes mamelons. Il se releva les bras sur sa tète.
- Lèche mes aisselles.
Il était en sueur, sentant et goutant la virilité de son corps, je léchais ses aisselles poilues. Je ne me comprenais plus, mais je le voulais tellement que je le laissais me dominé, pour lui faire plaisir avant de le dominé a mon tour, pour profité de son petit cul d'hétéro.
Il se collât sur moi et pris ma tête a deux mains pour m'embrassé a pleines gueules de longues minutes.
- Déshabille-toi complètement et tu vas m'enlevé mon jeans avec seulement ta bouche, sans tes mains.
Il m'enlevât ma ceinture. Je me suis mis à poil, il me passât ma ceinturé a mon cou, comme si c'était une laisse de chien, je me sentais soumis, j'aimais moins ca, mais pourquoi pas jouer son petit jeu de macho.
Avec peine et misère, j'ai réussi à lui baisser son jeans, il s'assit sur le fauteuil pour que je réussis a lui enlevé complètement, pour le voir en slip blanc avec quelques taches d'urine, ici et la, mais superbement bien rempli. Il me fit léché son beau paquet semi bandé et sentant le male, puis lui enlevas pour y voir un super beau gros 18cm, avec un gland plus gros que ca queue, bien recouvert de son prépuce et une grosse paire de couilles bien pendantes entre des deux jambes, je lui savouré ses grosses couilles biens pendantes, ce qui le fit gémir.
- Oui, mange moi les boules, entres tous deux dans ta gueule affamé.
Remontant le long de son beau membre en super érection. Qu'il me mit dans la bouche et décalottant son gland qui goutais l'urine et même de sperme, qu'il me poussait a fond dans la gorge toujours retenu par ma ceinture a mon cou. A peine cinq minutes me retenant la tête, il me lâchât cinq super jets de sperme à fond dans la gorge, me forçant à tous avalé.
- C'est ca que tu voulais du bon jus de d'homme.
- Oui, je l'avoue et la je veux ton petit cul d'hétéro.
- Good, mange moi le cul.
Il se retournât et me mit son cul poilu en pleine face, son cul poilu n'étais pas plus propre que sa queue, je me suis contenté de lui léché et de ma langue dans sa rosette serré pour constaté qu'il était vierge du cul. Ce qui le fit gémir autant que son éjaculation plutôt. Je lui ai demandé :
- As-tu des condoms que je profite de ton petit cul vierge.
- Oui j'ai des condoms, mais fait toi pas d'idées, mon cul est et resteras vierge, c'est toi qui va te faire mettre à fond.
- Minute la, je suis gai, mais je suis jamais fait enculé et c'est toujours moi qui encule, je ne suis pas passif au lit.
- Dis toi, qu'il y a toujours une première fois et se seras ce soir.
- Pense y pas même pas.
- Je te tiens par le cou, tirant sur la ceinture, tu vas te mettre à quatre pattes devant moi.
- Je t'ai dis que je ne me fais pas pénétré.
Profitant de ses muscles, je me suis retrouvé sur son lit, les poignets attachés a la tète du lit et deux autres cordes attachés a mes chevilles qui me relevait les deux jambes en l'air bien écartés, lui offrant mon cul vierge, il me mit sa queue dans la gueule et pris une photo et ensuite d'autres photos de moi nu et jambes écartés mon cul bien visible. Il se mit en position entre mes jambes.
- Je t'en supplie, fais moi pas ca.
- Je ne vais quand même pas m'en privé.
- Mets au moins un condom.
- Pas besoin, c'est meilleur sans et ferme ta gueule, si tu crie. Ca va aller mal, je te préviens.
Complètement soumis, je sentis son gros gland sur ma rosette qu'il entrait en douceur en moi, un état que je n'avais sentie à date. Une bonne douleur me traversât, je compris pourquoi que certain que j'avais pénétré se lamentait. Il entreprit un va et viens viril en moi, je bandais comme jamais, au point que j'ai éjaculé de super bon jets sur moi, qui me fit des serrements de mon cul qu'il ressentie sur sa queue et lui continuant a me pénétré pour y jouir, sentant ses jets m'envahir. Il me détachât de ma position et se collant contre moi, me donnant un baiser sur la bouche, il me dit :
- Tu es une super bonne baisse, encore mieux que je le pensais.
- Merci, mais tu as abusé de moi.
- Maintenant tu vas m'aider à avoir le travail et repoussé les deux autres candidats.
- Mais je ne peux pas faire ca, voyons.
- Pense aux photos que j'ai prises de toi, si les photos se promenaient dans les ordinateurs de la compagnie.
- C'est du chantage ca.
- Oui, c'est du chantage et en plus tu va venir me voir chaque fois que je te dirai de me reconduire chez moi, pour m'offrir ton petit cul affamé de ma queue.
- T'es sérieux la.
- En plus tu auras un bonus, arrange moi ca, pour le travail et je t'offrirais peut-être mon cul vierge après me m'avoir rasé et trimé comme ta queue et ton cul et pour ta belle queue que je vais te sucé maintenant pour te montré que je ne pense pas juste a moi.
Il se retournât en sens inverse et commença a me sucé, j'ai bandé raide et lui aussi, nous avons terminé cela en on 69, se vidant tous deux dans nos gueules.
C'était la première fois que j'avais du sexe sans s'être lavé et je dois avouer que j'ai aimé son odeur de male et sa saveur virile. Le pire ou le meilleur, surtout nouveau pour moi d'être pénétré analement pour ma première fois et j'avoue, j'ai kiffé.
Sébastien a eu le travail comme de raison et même de l'avancement et nous travaillons ensemble et biens sur il a déménagé avec moi et j'ai pris gout a faire l'amour sans se doucher auparavant, aimant l'odeur de mon male qui me pénètre tous les jours a mon plus grand bonheur et de temps en temps il m'offre son petit cul de male.
Le meilleur de tous cela, nous avons un autre jeune hétéro de 18 ans, Étienne comme stagiaire l'année suivante que nous avons forcé à se faire rasé et enculer par nous deux s'il voulait avoir le travail. Qu'il y a pris gout, venant nous visité régulièrement.
Le bonheur était d'enculé Étienne, tous en me faisant enculé par mon beau male Sébastien, d'être l'enculeur enculé. La baisse parfaite.
JeanMarc
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