Je travaille pour l'été pour la ville pour faire un recensement, je me prénomme Sébastien, j'ai 22ans, grand, mince. Je suis souvent accompagné de mon jeune frère de 18 ans Étienne. Je suis fiancé avec Claire et un mariage est en vue l'an prochain.
En faisant quelques portes dans un nouveau quartier, je suis tombé sur deux hommes qui me parurent intéressés par mon discours sur le recensement. Ils me firent entrer dans leur maison pour en discuter. Après une heure de discussions, ils sortirent des revues gays, montrant des hommes nus et en érections, faisant même des choses indescriptibles entre eux.
Je leur ai dit que tout homme qui se respecte doit se garder vierge jusqu'au mariage, car le sexe ne se fait que par devoir. Pour un homme c'est avec une femme et marié. Ils ont ri de moi, me disant que je me masturbais surement en solo. J'ai essayé de leur faire comprendre que c'était mal de faire cela, que la semence de notre pénis sert à nous reproduire et non pas au plaisir de le gaspiller dans une bouche ou encore moins dans un rectum. Voyant qu'ils étaient irrécupérables par le bon sens, je leur dis : excusez-moi, mais je dois continuer ma tournée. Je me suis levé pour rejoindre la sortie et là, les deux gars m'ont attrapé et barré la porte. Je me suis retrouvé pris entre deux colosses, me trainant vers leur sous-sol.
En quelques minutes, ils m'ont attaché les poignets ainsi que les jambes sur un genre de mur en métal espacé de quelques pouces. L'un me mettait sa grande main sur la gueule pour m'empêcher de crier, l'autre me tripotait l'entrejambe. Il défit ma ceinture et baissa ma fermeture éclair, déchira ma chemise et baissa mon pantalon. Je me retrouvai ainsi en boxer face à deux homos qui guettaient ma virginité. Je les ai suppliés de cesser ce jeu, mais rien n'y fit. L'un à genoux léchait mon membre à travers mon boxer. Ma verge prit de l'ampleur malgré moi, tandis que l'autre me mordillait les mamelons. Avec des ciseaux il découpa mon boxer.
- Regarde cette belle grosse queue qui est bandée raide et qui lâche déjà son précum.
- Oui notre visiteur nous cachait un si beau morceau, nous allons avoir de quoi nous amuser ce soir.
Avec des jouets à batteries qu'ils me passaient sur le gland, j'étais en pleine érection et je me lamentais. Cela les faisait rire et à tour de rôle, ils me suçaient. Je vivais une nouvelle expérience qui malgré moi, me plaisait ! Jamais personne de toute ma vie n'avait touché à mon membre viril réservé à ma future femme. Je continuais à supplier, mais en même temps, je découvrais le sexe. L'un des mecs collait sa queue sur la mienne, masturbant les deux pénis collés l'un à l'autre. Je me suis retrouvé ensuite avec un collant sur la bouche pour m'empêcher de crier. C'est alors que l'un d'eux me mit sur les mamelons des ventouses aspirantes. Elles firent sortir et gonfler mes tétines. Quand elles furent bien raides, le mec se mit à me les manger. Il mit également ma queue dans un tube transparent et la sienne en sens inverse. Une pompe aspirait nos verges pour les faire bander au maximum. Il retira le tube et me masturba si bien que je n'arrivai plus à me retenir. J'ai joui et aussitôt il se mit le bout de mon gland dans sa bouche pour avaler tout mon jus. Il remit le tube sur ma queue qui reprit de la vigueur. Avec cette nouvelle érection, je jouis une seconde fois et c'est le deuxième gars qui se pressa d'avaler.
Je croyais que tout était fini quand ils m'ont détaché de ce mur. Mais c'était pour m'entrainer sur un lit, me coucher sur le ventre avec les poignets et les pieds liés aux quatre coins de ce lit avec deux oreillers sous mon ventre. Cela mettait en valeur mon anus qu'ils se sont mis à doigter, tout en me caressant la queue qui ne perdait rien de son érection. Ils me montrèrent des godemichés (des queues jouets), qu'ils m'enfoncèrent dans le rectum, c'était douloureux, mais cela les faisait rire. Je ne pouvais que me lamenter en me tortillant en tous sens. Un téléphone cellulaire se mit à vibrer, l'un des deux répondit et dit à son copain qu'il devait partir, mais qu'il reviendrait. L'autre me claqua les fesses et dit :
- Mon beau, en attendant son retour, nous allons bien nous amuser tous les deux.
- Laissez-moi partir, je vous en supplie !
- Bien sûr que non, mon beau.
- C'est mal ce que vous me faites faire, je ne suis pas gai.
- Tu vas avoir un si grand plaisir après ce qui t'attend.
- S'il vous plait monsieur.
- S'il vous plait, tu veux que je continue et que nous allions plus loin ? Tu as aimé ce qui t'arrive !
- Non-monsieur arrêtez !
- Ose me dire que tu n'as pas aimé jouir dans ma bouche avec la quantité de foutre que tu as lâchée !
- C'est la première fois que cela m'arrive et j'ai éjaculé malgré moi.
- Si tu es un homme, tu ne dois pas mentir. As-tu aimé cela ? Oui ou non ?
- J'avoue que oui c'était bon, mais c'est quand même pas bien de me forcer.
- Parfait ! Maintenant, passons aux choses sérieuses. Ton petit cul vierge a besoin de visite, tu ne crois pas ?
- Ah non ! Pas cela s'il vous plait, je vous en supplie !
- Quand tu partiras d'ici tu ne seras plus puceau, ta queue et ton cul auront gouté au sexe de première classe.
Il m'écarta les fesses de ses grandes mains pour me manger l'anus, en y poussant sa langue et en y introduisant un doigt, comme un médecin m'avait déjà fait. Mais là, il caressait ma prostate, ce qui me procurait une jouissance inconnue jusqu'à ce jour. J'étais en pleine érection. Malgré tout et sans prévenir, il mit une main sur ma bouche et je sentis sa grosse queue entrer en moi. Elle se mit à entrer et sortir. Je sentais ses couilles frapper sur mes fesses, il me défonçait brutalement, haletant fortement avant de jouir en moi. Il n'en sortit que pour placer son membre dégoulinant de sperme sur mon visage, me forçant à ouvrir la bouche pour le nettoyer. Enfin il est parti sans me détacher.
Quelque temps plus tard, les deux mecs sont revenus. Mon enculeur se mit à me sucer pour réveiller mon membre et l'autre se mit à me travailler ma prostate avec sa grosse queue. Mon suceur en profita pour me faire jouir une autre fois malgré moi. Il me détacha et me donna mon linge. Je remis ma chemise déchirée, mais pas mon boxer qui était en lambeaux.
- Écoute Sébastien, je te conseille de ne parler de ton aventure à personne.
- Vous mériteriez que je téléphone à la police.
- Je te le déconseille, car vise un peu ces photos de toi, qu'en penseraient tes amis ?
- Vous ne pouvez pas faire ça, se serait un scandale, je vous en supplie, ne faites pas cela.
- Si tu es coopératif, nous les garderons pour nous seuls.
- Mais alors, je n'aurai pas d'autre choix que de me taire ?
- Exactement ; tu gardes ça pour toi, juste pour toi.
- Et je devrai vivre avec ce secret pour toujours ?
- Oui ! Ce fut ta première vraie jouissance, car tu n'avais jamais joui aussi fort avant ça !
- Vous avez fait de moi un démon du sexe.
- Justement tu dois revenir nous voir souvent, nous t'attendrons vendredi soir prochain. Cette fois, nous ne te violerons pas et ce sera ton tour de dominer et de faire ce que tu voudras.
- Je vois que je n'ai pas le choix, mais le problème, c'est que je suis pris la plupart du temps. Nous sommes deux pour faire le porte à porte, alors ce sera impossible.
- Qui est le deuxième ?
- Mon jeune frère.
- Il a quel âge ton frère ?
- Il est nouveau, il a 18 ans.
- Parfait ! Il te suffira simplement de te laisser faire prisonnier comme ce soir. Tu ne réagiras pas puisque tu sais ce qui t'attend. Tu demandes pour aller aux toilettes et durant ce temps nous allons kidnapper le petit jeune et nous vous attaquerons tous les deux. Lui, nous le forcerons à sucer ta belle queue. En plus nous t'obligerons à le pénétrer devant nous.
- Mais vous êtes deux pervers !
- Oui, pervers et sadique. Tu vas le devenir malgré toi. Après avoir gouté au sexe extrême, tu en deviens accro pour la vie.
- Mais je ne peux pas faire ça à Étienne, il est trop timide et réservé.
- C'est cela ou les photos. À toi de décider.
- OK, je viendrai avec lui, mais je ne garantis pas qu'il acceptera.
- Quand toi tu es arrivé, pensais-tu à ce qui allait se passer ? Croyais-tu que tu te payerais la plus belle jouissance de ta vie ?
- Vous ne lui direz pas que je savais ce qui l'attend.
- Bien sûr que non, car toi aussi, tu devras faire comme ce soir : refuser.
- D'accord à vendredi, je n'ai pas grand choix.
La semaine suivante.
Le vendredi comme prévu les deux jeunes gens se présentèrent à la porte. Tous les deux étaient en costume, chemise blanche et cravate (Sébastien et le jeune Étienne de 18 ans).
Nous les fîmes entrer pour jaser et répondre aux questions de recensement. Nous leur avons servi à boire, ils ont accepté de prendre un café où mon copain avait fait fondre deux Viagras. Il ajouta une pilule dans chaque café, pour bien les calibrer et les rendre encore plus chauds en réveillant leurs libidos, même si à leur âge, ils n'en ont pas besoin. Le jeune Étienne, grand et mince, avait de belles grandes mains et des ongles très larges, ce qui devait signifier qu'il était bien membré entre les deux jambes. Après 20 minutes des blablas sur leur religion, Sébastien a demandé pour aller aux toilettes. Selon notre accort, cela signifiait qu'il était prêt !
Alors, nous nous sommes mis de chaque côté d'Étienne, mais sans bouger. Quand j'ai mis ma main sur son entrejambe, il fut consterné par ce geste obscène et voulut se relever. Nous l'avons retenu et saisi fermement. Nous l'avons forcé à descendre au sous-sol.
- Lâche-moi !
- Pas question, tu nous appartiens, tu es surement venu pour du bon sexe.
- Non, j'ai vite compris que vous étiez gay, mais pas moi !
- Nous aimons vivre dans le sexe et nous allons te faire découvrir ce que c'est.
- Laissez-moi partir. Où est Sébastien ?
- Je suis remonté pour chercher Sébastien, que je fis descendre, alors qu'il continuait à se débattre.
- Voilà deux beaux spécimens. Écoutez vous deux, si vous ne voulez pas partir nus comme des vers, enlevez vos chemises et pantalons, sinon je vous les taille aux ciseaux !
Se regardant tous les deux, Sébastien a commencé à enlever ses souliers, sa chemise, ses pantalons et gardait son boxer. Étienne, surpris, voyait qu'il n'avait pas le choix. Tous deux avaient le boxer déjà bien rempli malgré eux. Nous leur avons attaché les mains à une barre au plafond.
- Maintenant vos corps nous appartiennent, vous allez jouir tous deux au maximum.
Sébastien nous suppliait de les laisser partir.
- Écoutez bien les jeunes, si vous voulez garder vos couilles, vous allez nous laisser faire bien sagement.
- Ne nous blessez pas s'il vous plait !
Nous leur mîmes un bâillon sur leur petite gueule qui suppliait continuellement. Nous commençâmes à caresser leurs sexes, qui prirent de l'ampleur, Sébastien réagissait comme prévu,. Vite les boxers se retrouvèrent au sol. Tous deux étaient en pleine érection. Je me mis à genoux pour leur faire une bonne pipe, Sébastien gémissait, se laissant sucer et jouir, mais c'était surtout Étienne qui grognait le plus fort. Je le suçais en lui introduisant un doigt dans l'anus. Je lui mangeais les couilles. Je le sentis prêt à jouir, je lui mis deux doigts au fond de son petit cul, ce qui lui fit un peu mal. Il se tortillait dans tous les sens puis éjacula une énorme quantité de sa semence juvénile, me remplissant la bouche. C'était savoureux comme toujours, venant d'un jeune homme.
On les mit ensuite face à face avec le tube aspirant leurs queues pour les faire gonfler au maximum. Tous les deux gémissaient en voyant leurs sexes ainsi gonfler dans le tuyau. On installa les ventouses sur les mamelons. On ouvrit des poppers à leur faire snifer, ce qui les rendit dingues. On leur introduisit une pompe à l'eau chaude dans le rectum pour les faire assoir et se vider les entrailles. Ils se lamentaient tous les deux, n'arrêtant pas de demander à partir. Sébastien jouait bien son rôle pour le kidnapping.
Tous deux étaient toujours en belle érection. Nous les laissions debout et ligotés. Avec un peu de poppers, nous avons commencé à sucer ces deux belles queues. Pour moi je choisis celle d'Étienne, encore puceau. Elle était dure comme une barre de fer. Je lui tenais fermement les couilles, prenant sa bite au complet dans ma bouche. Sébastien était lui aussi sucé à fond. Tous les deux ont lâché une autre grande quantité de sperme que nous avons savouré. Tous deux connurent la vraie jouissance, même en gémissant. Sous l'influence du Viagra et des poppers, ils restaient en érection. On les mit sur le lit, tête-bêche, les obligeant à se sucer l'un l'autre. C'est Sébastien qui commença ; Étienne n'ayant pas le choix en fit autant, sous notre menace de leur couper les couilles.
- Vous faites bien cela, maintenant vous allez nous sucer.
- Mais n'éjaculez pas dans notre bouche,
- Sois sans crainte pour cela, nous ne sommes pas pressés de jouir. Maintenant sucez !
Timides, ils ont pris notre queue en bouche, nous faisions tout pour leur pousser notre bite à fond dans la gorge. Nous les forcions à snifer des poppers, pour les soumettre à notre volonté.
Nous les avons ensuite placés au bord de la table, les deux jambes bien écartées et les poignets de l'autre côté de la table. Ils nous offraient leurs petits culs bien en vue. Étienne criait, non ne faites pas cela ! Sébastien criait lui aussi de ne pas les violer.
- Pas de problème, vous ne voulez pas que ce soit nous qui vous fassions perdre votre virginité.
- Non svp.
- D'accord.
J'ai détaché Sébastien et lui ai ordonné d'enculer son jeune frère, s'il voulait conserver ses couilles. Il était déjà en belle érection. Il colla son gland sur le point rosé d'Étienne et doucement y entra le bout de sa queue. Je distribuai un peu de poppers à chacun et une bonne claque sur les fesses de Sébastien. Sa queue entrait alors complètement dans son jeune frère, ce qui provoqua un cri de satisfaction. C'était la première fois qu'il éjaculait alors il se retira.
Pour aussitôt être de retour couché sur la table et libérant Étienne qui gardait son érection et se plaçait devant le petit cul de Sébastien. Lui redisant que s'il voulait garder ses couilles, il devait le faire. Il ne se fit pas prier davantage pour enfourcher virilement le petit cul devant lui. Il le talonna de plus belle, en le tenant par les hanches. Il le baisait à fond pour y jouir lui aussi. Puis ce fut à nous de les enculer chacun notre tour pour y jouir nous aussi.
Nous les avons libérés de leurs positions provocantes. Étienne était tout chaviré par cette situation.
- Comment expliquer cela ?
- Tu ne dois pas le dire et tu ne peux pas le dire, regarde les belles photos de vous deux, toi en train d'enculer ton frère et lui aussi, t'enculant !
- Mais vous avez pris des photos ?
- Alors cela doit demeurer notre secret à nous quatre, si vous ne voulez pas vous retrouver sur Internet.
- Mais monsieur, ce n'est pas correct de votre part.
- Tu vas oser me dire que tu n'as pas aimé cela ?
- Oui, j'ai joui, mais...
- Pas de " mais " SVP, vous repartez après avoir bien vidé vos couilles. Vos petits culs ont gouté à cela vont en vont en redemander encore, donc vous savez où nous demeurons. À vous de revenir nous voir, seuls ou ensemble.
- Aller prendre une douche avant de partir.
Sous la douche nous entendions des bribes de leurs jasettes. Ils avaient été abusés, mais n'avaient jamais autant joui. C'était meilleur que leurs masturbations solitaires, le jeune était puceau, tandis que son frère avait eu quelques rapports avec sa fiancée, mais jamais aussi chauds. Ils n'en revenaient pas d'avoir joui trois fois en si peu de temps. Ils remarquaient qu'ils étaient encore en érection. Quand ils partirent, je leur dis :
- Lors de votre prochaine visite, rasez-vous les couilles et l'anus, sinon c'est nous qui le ferons.
Reviendront-ils ?
JeanMarc
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