Je suis Christian, 23 ans, 6 pieds, 175 livres, fier de mon entrejambe pour satisfaire mon épouse, nous sommes mariés depuis presque deux ans et elle est enceinte de trois mois, je serai papa d'un beau petit garçon, je continue à la baiser deux à trois fois par semaine, elle n'a jamais voulu me faire une pipe, elle lèche juste le gland et l'embrasse, je travaille en informatique avancée, étant programmeur, mon épouse Lyne est infirmière.
Un soir après notre repas, nous regardions, collés l'un contre l'autre, une série policière à la télévision, quand le téléphone résonna, mon épouse répondit, puis elle me dit :
- C'est Charles qui dit avoir probablement un virus sur son ordinateur, il demande si tu peux aller voir cela.
- Demain après-midi ferait-il son bonheur ?
- Demain je travaille de 16 heures à minuit.
- Dis-lui que j'irai vers 4 heures, si cela fait son affaire.
Charles est le jeune frère de 18 ans de ma femme. Lyne était bien satisfaite de voir que je pouvais aider son jeune frère qu'elle aimait bien. De mon côté, je m'entendais assez bien également, il était plutôt timide et peu sportif, au contraire de moi.
Vers 3,15 mon épouse partit à son travail, moi en short et t-shirt, enfourchant mon vélo je partis voir Charles en cette journée de canicule. Environ trente minutes de vélo plus tard, je suis arrivé chez mes beaux-parents. Charles m'ouvrit, lui aussi au short.
- Salut Charles !
- Entre Christian. Passons dans ma chambre, mes parents sont sortis pour la soirée, maman nous a préparé un repas pour toi et moi sachant que Lyne travaille ce soir.
- C'est bien si ton problème est difficile à trouver.
- J'ai dû attraper un virus.
- Laisse-moi voir cela.
En peux de temps, j'ai bel et bien trouvé deux virus sur son ordinateur.
- Dis Charles, vas-tu sur des sites pornos ?
- ...
- Ne sois pas gêné. Tous les gars vont sur des sites pornographiques et c'est normal.
- Des fois, oui j'y vais !
- C'est sur ces sites-la que tu as attrapé deux virus.
- Tu crois ?
- J'en suis sûr, mais c'est facile à effacer de ton ordinateur.
En peu de temps j'avais réglé son problème, mais j'ai découvert qu'il allait sur des sites gais, je me suis dit que Charles était gai et qu'il devait surement faire de bonnes pipes, chose qui me manque tellement depuis mon mariage. Je n'ai jamais trompé mon épouse, mais à bien y penser, me faire sucer par son petit frère, ce n'était pas la tromper. Il est tout petit de 5 pieds et 6 pouces, à peine un 120 livres, trop mignon dans sa timidité.
- Il fait chaud, je vais enlever mon t-shirt.
- Pas de problème, mets-toi bien à l'aise.
- Si ça ne dépendait que de moi, je me mettrais juste en boxer ou nu !
- Fais comme chez toi, nous sommes seuls.
Aussitôt dit, aussitôt fait, je me suis retrouvé nu-pieds et en boxer, j'ai vite vu que Charles discrètement fixait mon boxer. Je suis allé pisser un coup et j'ai remis en place mon pénis semi-bandé.
- Dis Charles es-tu gai ?
- Pourquoi me demandes-tu cela ?
- Je vois très bien que les sites pornos que tu visites sont des sites gais, regarde j'en ouvre un !
- Je t'en supplie ne dis rien à personne !
- Sois sans crainte se sera notre secret, alors tu es gai !
- Oui je crois que oui.
- As-tu un ami pour le sexe ?
- Oui juste un copain que je vois de temps en temps.
- Il a quel âge ?
- François a 18 ans comme moi.
- Ne sois pas sur le bord des larmes, je sais garder un secret, si toi aussi tu peux en garder un.
- Pas de problème, tu es gentil.
- Je prendrais bien une bière, pas toi ?
- Je vais aller en chercher dans le frigo.
À son retour j'avais démarré une vidéo gaie, je suis en érection totale et bien en vue, avec ma queue en évidence dans mon boxer, il la vit très bien à son retour et se mit à rougir sans rien dire. Il vida sa bière d'un trait.
- Alors on partage un secret tous les deux ?
- Bien sûr, tout ce que tu veux.
- Approche-toi de moi.
- Oui.
- Déshabille-toi et à genoux entre mes deux jambes, se sera mon secret, suce-la-moi.
Il retrouva son sourire. Il se mit à poil et à genoux devant moi, me mangeant à travers mon boxer avant de sortir la quéquette et la lécher, des couilles jusqu'au gland, me faisant gémir. Il me regardait de ses yeux qui en disaient long.
- Tu as une superbe belle grosse queue Christian.
- Tu l'aimes, elle est à toi, amuse-toi, fais-la cracher.
- Ma soeur suce-t-elle aussi bien que moi ?
- Elle ne suce pas ; elle n'aime pas ça !
- T'aimes ça quand je te la mange ?
- Oui, prends-la au complet si tu en es capable.
- Bien sûr et toi, suces-tu ?
- Je n'ai jamais sucé un mec.
- Viens t'étendre sur le lit et tu l'expérimenteras.
- Sur le lit en soixante-neuf.
Il engouffra ma queue dans sa gorge, c'était si bon que je lui léchais également la sienne. Emporté par l'extase, je le suçais un peu.
- Arrête je vais jouir !
Il me retenait par les couilles et me suçait. J'ai joui avec plusieurs jets de sperme en me lamentant. Il ne me la lâcha pas, et avala tout. Tout sourire il se masturbait au-dessus de moi pour éjaculer sur mon torse et même un peu sur ma face. Il lécha le tout, même la goutte sur mes lèvres, osant glisser sa langue dans ma bouche.
- Dis-moi Christian as-tu aimé cela ?
- Tu suces comme Dieu, je n'ai pas aimé ça, j'ai adoré !
- J'espère que tu vas vouloir me revoir.
- Je ne peux te dire oui, mais fort probablement.
- Moi j'aimerais te revoir.
- Écoute je suis marié avec ta soeur qui attend notre enfant.
- Je le sais, mais j'ai tellement fantasmé sur toi, j'étais persuadé que tu avais un gros pénis.
- Tu as aimé ma queue ?
- Oui et aussi ta grosse éjaculation et surtout t'entendre gémir en éjaculant.
- J'avoue que tu suces si bien et que tu as la gorge profonde pour la prendre au complet.
- J'adore ce que j'ai fait et pour toi je ferai tout pour te plaire.
- Merci c'est gentil !
- Allons manger les lasagnes que maman nous a préparées.
- Habillons-nous.
- Non. Reste en boxer, t'es sexy en boxer qui moule bien ton sexe, car après avoir bien mangé, je veux te la remanger comme désert.
- Dismoi, ton petit ami a-t-il eu lui aussi des virus sur son ordinateur ?
- Oui François a le même problème que sur le mien.
- Demande-lui s'il veut que je corrige son problème.
- OK, je lui parle sur Skype.
- Invite-le à nous rejoindre.
- OK, mais je ne lui dirai pas tout, nous lui ferons la surprise de notre secret.
Allons-y sur ton ordinateur. En quelques minutes, les deux étaient en conversation écrite, vu que lui aussi demeurait avec ses parents.
- François, que fais-tu ce soir ?
- Rien de spécial pourquoi ?
- Mon beau-frère a réglé mon problème de virus sur mon ordinateur et il pourrait régler le tien.
- Le beau Christian ? Le mari sexy de ta soeur ?
- Oui, en plein lui, ce soir il peut régler ton problème.
- Je lui règlerai ce qu'il cache dans son jean et son problème en échange, comme on se disait toi et moi, il doit en avoir une superbe belle et grosse à sucer.
- Tu crois cela ?
- J'en suis persuadé, je le mangerai à fond pour le faire jouir comme je te fais, il est mangeable ce beau mâle.
-
Nous sommes tous les deux partis à rire.
- Dans son jeans, on voit très bien qu'il est bien garni en pénis avec des grosses couilles. Ta soeur est chanceuse de l'avoir.
- Surement que oui !
- Je me douche partout à fond et après son départ, je veux que tu me baises.
- Parfait et mets ton boxer le plus sexy.
- Mon blanc que tu aimes tellement.
- Surtout dans ta douche, ne joue pas trop avec ton " truc ", garde-le-moi.
- Bien sûr que oui, j'arrive tout de suite. Sois sans crainte ; j'ai les couilles pleines pour toi. Après son départ, nous baiserons en pensant à lui.
J'en ai profité pour regarder dans son ordinateur et pour mettre à jour certains programmes, dont Windows Defender. Une trentaine de minutes plus tard, François arriva, il me dit reste ici, assis comme tu es là, les deux jambes bien écartées, mettant en valeur ton beau ballot, je vais lui ouvrir.
François en arrivant dans la chambre de Charles, me voyant torse nu et en boxer mettant en évidence mes atouts masculins, en a presque échappé son ordinateur. Il me regardait et me fit un sourire en se léchant les lèvres, il me donna son ordinateur avec se yeux ailleurs que dans les miens, voyant très bien que son problème était le même que sur celui de Charles. Ce fut réglé assez vite pour détruire les virus. Les deux étaient maintenant en boxer, me regardant travailler.
- C'est bien ! Maintenant tout est réglé, mais soyez prudent quand vous allez sur vos sites de pornos.
- Nous allons faire attention.
- Surtout quand vous êtes sur un site et que vous cliquez pour voir une vidéo de petits mâles et que vous tombez sur plusieurs sites qui s'ouvrent l'un après l'autre, il faut les fermer tous.
- Merci beaucoup Christian.
- Ce fut un plaisir.
- À nous de te faire plaisir. Étends-toi sur le lit et laisse nous faire !
Je me suis étendu sur le lit à leur disposition et à ma grande satisfaction. Tous les deux, chacun de son côté me léchait le torse et me mordillait les mamelons, léchant même mes aisselles en sueur, vu la chaleur. Moi je bandais sec en peu de temps et me suis retrouvé tout nu. Tous deux me léchaient la queue et les couilles, j'étais au paradis. Je frémissais de tout mon corps. François me suçait à fond. Il réussissait à la prendre au complet dans sa bouche, mon gland touchant sa luette, Charles me mangeait les couilles et enfonçant un doigt dans mon cul. Je n'arrivais pas croire de ce qui m'arrivait, mais c'était tellement extraordinaire à 23 ans d'être complètement perdu dans cette extase !
- Arrêté, je vais jouir, stop, stopppppppppp. Non, n'arrête pas OUIIIIIIIIIIIIIIII.
N'en pouvant j'ai éjaculé ce qui m'a semblé un litre, tellement fut forte la jouissance que j'ai eue, j'en perdais le souffle, tandis que les deux jeunes se régalaient. Ils se sont embrassés et se sont partagé mon éjaculation de bouche-à-bouche.
Les deux jeunes se sont mis en 69, pour se sucer l'un l'autre et Charles a fait mettre François à quatre pattes pour l'enculer à fond devant moi, Charles se mit ma queue en bouche et j'ai rebandé. Je ne pouvais pas le croire, mais ma queue était encore raide ! Charles hurla sa jouissance dans le cul de son copain, François se retira de la queue de Charles pour carrément s'assoir sur la mienne bien à fond. Je l'ai retourné sur le dos, lui remontant les deux jambes sur mes épaules pour bien le pénétrer. Son sourire disait tout, je ne me suis pas gêné pour le baiser virilement. Jaloux, Charles me fit comprendre que lui aussi voulait sentir ma queue en lui, il était beaucoup plus serré du cul. Ilm'avoua que c'était la première fois qu'il se faisait pénétrer et je lui ai offert mes derniers efforts pour jouir en lui. Je me suis écrasé de satisfaction.
- Vous êtes deux petits pervers, les jeunes !
- Nous avons tellement parlé et fantasmé sur toi...
- Vous l'avez eu votre fantasme !
- Oui et nous espérons te revoir.
- Je ne dis pas oui ou non. Qui sait !
- Si nous avons encore un virus sur l'ordinateur, tu ne viendras pas régler cela.
- Mais, bien sûr ! Et vous allez me payer comment, mes deux jeunes pervers ?
- Tout ce que tu voudras. Nous deux pour toi !
JeanMarc
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