Premier épisode
Je reviens vers vous comme promis pour la suite de mon histoire. Tout d'abord, je tiens à remercier ceux qui m'ont écrit pour me dire qu'ils avaient bien kiffé en me lisant. Je précise que cette histoire est vraie (même si les noms ont été changés et les dialogues retravaillés).
Je m'étais arrêté au moment où Guillaume, mon ami hétéro, venait de juter abondamment dans ma bouche au moins de me faire jouir sans même me toucher.
Guillaume "Je vois petit cochon que tu as juté aussi, allez déshabille toi, tu ne vas rester souillé"
Je me suis donc totalement déshabillé et en effet j'avais lâché une bonne dose de foutre dans mon boxer.
Guillaume s'approcha et récupéra le précieux nectar.
Guillaume : "Tiens, lèche mes doigts !"
Je me suis exécuté immédiatement me délectant de mon propre sperme. Je ne sais ce qui m'arrivait, je n'avais plus aucune inhibition.
Guillaume : "Tu es vraiment accro au foutre ! Je me demande si Olivier te nourrit assez, il devrait te doser plusieurs fois par jour. Mais ne t'en fais pas je vais remédier à ça à partir de maintenant."
Je continuais à sucer ses doigts avec gourmandise, ils étaient luisants de salive.
Guillaume : "C'est bon arrête et mets-toi à quatre pattes petite salope. Ce serait vraiment dommage de ne pas profiter de toute cette salive."
Je me suis donc mis à quatre pattes, les fesses tendues vers lui. Sans hésiter il m'a enfoncé 3 doigts dans le cul et a commencé des vas-et-vient rapides et profonds.
Guillaume : "Putain ça rentre comme dans du beurre !"
Je dois avouer que douleur et plaisir se mélangeaient. Il n'y allait pas de main morte, mais je crois qu'au fond de moi c'est ce dont j'avais toujours rêvé. Certes, je vivais une magnifique histoire d'amour avec Olivier, mais sexuellement il me manquait quelque chose. Cet homme se servait de moi comme d'un jouet et j'aimais ça.
Guillaume : "Tu es bien ouvert, tu es prêt à recevoir ma bite. Si tu es aussi doué avec ton cul qu'avec ta bouche je vais franchement kiffer, surtout que depuis que je suis avec Julie je n'ai plus pratiqué la sodo, elle s'y est toujours refusée !"
Là, sans hésiter il me planta directement sa queue turgescente sur toute sa longueur. Je criais comme un malade, la douleur était terrible. J'avais oublié qu'il était hétéro et qu'il ne se rendait pas compte que prendre un cul ce n'est pas comme prendre une chatte, qu'il faut commencer en douceur, car il n'y a pas de lubrifiant naturel.
Guillaume : "Arrête de gueuler, je t'ai bien préparé avec mes doigts et tu étais bien ouvert et puis tu la voulais ma queue donc maintenant encaisse !"
Il continuait à me pilonner avec force et conviction. Il enfonçait son chibre totalement jusqu'à ce que ses couilles claquent sur mes fesses, mais ressortait entièrement, laissant mon trou béant et vide.
La douleur diminuait de minute en minute et laissait place à un plaisir immense. Je commençais à gémir doucement, à me tortiller.
Guillaume : "Je vois que tu commences à apprécier. Tu gémis comme une chienne en manque".
Il avait raison, lorsque sa queue sortait entièrement de mon fondement, je reculais instinctivement pour la reprendre aussitôt.
Guillaume : "Je sais ce que tu veux, tu veux me montrer combien tu aimes la bite"
Il s'installa sur le canapé, il branlait sa queue et cracha dessus.
Guillaume : "Viens t'asseoir dessus !"
Je suis venu m'installer au-dessus de lui. Il positionna son gland sur ma rondelle.
Guillaume : "Vas-y empale toi !"
Je suis descendu sur son morceau de chair, trop content de le retrouver en moi.
Guillaume : "Fais-toi plaisir, déchaine-toi !"
Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, mais ce mec faisait de moi ce qu'il voulait.
Je me suis mis à coulisser sur son sexe énorme et dur. Je prenais un pied d'enfer ! Je couinais comme jamais. Lui aussi prenait son pied, je le voyais sur son visage. Il transpirait à grosses gouttes et grimaçait un peu. Je sentais qu'il se retenait, il ne voulait pas jouir trop vite, il voulait profiter au maximum de mon cul.
Soudain je sentis une chaleur envahir tout mon ventre, le plaisir montait, j'allais avoir un orgasme prostatique. Un "vrai" orgasme en somme pas celui qu'on ressent en se branlant. Cet orgasme-là est difficile à décrire, mais il vous envahit totalement. Il est intense et dure bien plus longtemps.
Je le chevauchais avec encore plus de fougue.
Et d'un coup, je me suis mis à hurler de plaisir !
Moi : "Ahhhhhhhhhhhhhh"
Je pleurais, l'émotion et le plaisir étaient trop forts.
Guillaume : "Ohhhhh putain je viens !!!!!!!!!!!!"
Guillaume aussi atteignait l'orgasme, il se vidait en moi, me remplissaient de son jus chaud et épais.
Nous sommes restés ainsi quelques minutes. On se regardait intensément sans rien dire. Puis Guillaume brisa ce silence.
Guillaume : "Je n'ai jamais ressenti ça, c'était énorme ! Qu'est-ce qui t'est arrivé ? Je n'ai jamais donné autant de plaisir à une fille."
Moi : "J'ai eu un orgasme prostatique, on orgasme avec mon cul si tu veux"
Guillaume : "Putain c'était hallucinant. Tu as su vraiment te laisser aller et franchement j'ai adoré. À partir de maintenant tu es mon jouet personnel et je n'ai pas fini de m'amuser avec toi !"
Moi : "Joue avec moi autant que tu veux, car je n'ai jamais joui avec autant d'intensité et moi aussi j'ai adoré !"
Guillaume : "Par contre, tu devras faire tout ce que je te demanderai sans jamais dire non. Tu es sûr de vouloir ?"
Je voulais dire "non", mais bien sûr j'ai dit "oui". Pour continuer à vibrer sous ses mains j'étais prêt à tout accepter.
(La suite prochainement... N'hésitez pas à m'écrire pour me donner votre avis;) )
Franck84
Autres histoires de l'auteur : Le jouet d'un hétéro