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Guillaume sera là dans moins d'une heure... j'avais baisé toute la nuit avec mon mec et pourtant j'avais hâte qu'il arrive, je me demandais ce qu'il me réservait. Je me doutais qu'il était capable de tout : j'étais à la fois inquiet et surexcité.
Je me suis précipité sous la douche, il fallait que j'enlève l'odeur de foutre qui me collait à la peau. Je profitais de l'eau chaude réparatrice pour nettoyer mon corps souillé par cette nuit torride.
Le ruissèlement de l'eau me faisait un bien fou, mes muscles se détendaient au fur et à mesure. Je massais mes fesses, ma rondelle endolorie par les coups de butoir de mon mec. C'est vrai qu'il avait été bestial cette nuit, il s'était vraiment acharné sur moi. Je pense que quelques jours auraient été nécessaires pour que je sois totalement remis de cet assaut, mais je n'aurai pas ces jours, dans moins d'une demi-heure mon maitre sera là.
C'est la première fois que je me surprenais à nommer ainsi Guillaume, mais je dois avouer que ça reflétait bien notre relation.
Une fois séché, je suis allé entrouvrir la porte d'entrée puis prendre un foulard dans un placard.
Je me suis installé dans le salon, nu comme un ver, j'ai mis le foulard sur mes yeux et j'ai attendu.
Les minutes m'ont semblé une éternité. Quand, tout à coup, j'ai entendu des bruits de pas. Ils se dirigeaient vers moi. J'étais à 4 pattes sur le tapis, ma croupe bien relevée. Soudain, une main a touché mes fesses, un frisson m'envahit. Cette main a continué à caresser tout mon corps, du bas vers le haut et une fois sur ma tête, elle a saisi vigoureusement mes cheveux et a tiré ma tête en arrière. J'ai poussé un petit cri et ouvert la bouche qui a aussitôt été remplie par une bite dure et humide.
Je me suis mis à sucer comme si ma vie en dépendait. C'était assez jouissif de sucer sans rien voir. J'adorais la queue de Guillaume et j'étais ravi de la retrouver encore dans ma bouche gourmande. Il était en super forme ce matin, car sa bite semblait encore plus grosse et plus longue que d'habitude.
Il me baisait littéralement la gueule. Il voulait la fourrer au fond de ma gorge le salaud. Il forçait le passage et écartait ma bouche avec ses doigts pour que ça rentre davantage.
Je suffoquais tellement il me remplissait. Je salivais comme jamais. Je ne pouvais rien faire, sauf subir et attendre que ça finisse. Mais malgré la situation, je ne voulais pas que ça finisse, j'adorais ça. Je prenais un pied d'enfer. Par moment, il enlevait complètement son chibre de ma bouche et le replongeait immédiatement. Je n'avais que quelques maigres secondes pour reprendre mon souffle.
Je sentais ses couilles battre sur mon menton. Elles semblaient immenses et lourdes. C'était un sacré producteur de jus. Je l'avais complètement vidé dans sa cuisine la veille au soir et là il n'allait pas tarder à m'en mettre plein la gueule !
Je sentais ses gémissements, il résistait à la jouissance qui montait en lui. J'étais rassuré, car je me disais que s'il se vidait dans ma gorge, il épargnerait peut-être mon cul qui avait déjà bien souffert cette nuit avec mon mec.
Il s'activait avec encore plus de fougue dans ma bouche et haletait de plus en plus. Le point de non-retour était atteint, sa queue se durcit encore davantage et dans un soubresaut il se vida dans ma gorge et ma bouche. Au moins six bonnes giclées d'un jus chaud, plutôt épais et étrangement salé.
C'est là que j'ai compris...
Que j'ai compris que cette queue qui venait de me pourfendre la gueule pendant une bonne vingtaine de minutes, que cette queue énorme et veinée qui avait répandu tout son nectar en moi, n'était pas celle de Guillaume !
Guillaume : " Avale et après tu pourras voir la queue que tu viens de vider et le mec à qui elle appartient ".
Obéissant et désarçonné, j'ai avalé sans rechigner ce nouveau jus. Là, j'ai senti que Guillaume enlevait le foulard de mes yeux. Il m'a fallu quelques secondes pour récupérer pleinement ma vision.
Et c'est là que je vis devant moi un rebeu d'une trentaine d'années, grand, sportif, aux poils entretenus. Il avait une belle gueule et un sourire désarmant.
Guillaume : " Je te présente mon pote Icham, on fait du sport ensemble. Icham, t'en penses quoi de ma salope ? "
Icham : " Parfaite ! Il suce à la perfection et encaisse bien les gorges profondes. Et puis, tu avais raison, il aime le jus et j'en avais plein les couilles ! ".
Guillaume : " Je t'avais dit que tu ne serais pas déçu. Et tu dois reconnaitre qu'il est plus doué qu'une meuf ".
Icham : " C'est clair qu'on ne m'avait jamais pompé comme ça ! "
Ces deux mâles virils parlaient de moi comme si je n'étais pas là. J'étais vraiment réduit à l'état de vide couille et ce n'était pas pour le déplaire.
Guillaume s'installa sur le canapé et dégrafa sa braguette pour sortir sa magnifique bite. Il commença à se branler tout en me regardant.
Guillaume : " Je suis fier de toi, tu as bien sucé mon pote, tu as bien joué ta chienne. Tu m'as grave chauffé maintenant il va te falloir assumer, allez viens en rampant jusqu'à ma queue et suce ! "
Je me suis exécuté instantanément. Je me suis mis à lécher sa colonne de chair de bas en haut, je donnais de grands coups de langue et j'adorais ça.
Tout à ma pipe j'en oubliais complètement Hicham. Mais lui par contre ne m'oubliait pas, il s'approchait de mon cul, m'écartait les fesses et enfonçait ses doigts.
Je suçais Guillaume tout en me faisant fouiller le cul par un parfait inconnu. Pendant quelques secondes, j'ai failli tout arrêter, mais Guillaume s'en est rendu compte et m'a dit :
Guillaume : " Tu sais que tu en as envie au fond de toi donc tu la fermes et tu encaisses en silence ! Oui Hicham va te baiser là maintenant dans ton salon pendant que tu me suces et tu vas adorer j'en suis sûr. Tu as vu la taille de sa queue ? Tu as déjà eu une telle bite dans ton cul ? "
Non jamais et c'était bien là le problème. Avec la nuit que j'avais passé avec Olivier mon cul était tout endolori et me prendre ce chibre magnifique, mais immense me faisait peur. Il devait bien faire dans les 20 ou 21cm et bien large, au moins 6 ou 7 cm. Jamais je ne pourrais recevoir ça dans mon fondement sans souffrir. Surtout s'il me baisait le cul comme il m'avait baisé la gueule !
(La suite bientôt...)
(Une nouvelle fois je remercie vivement tous ceux qui m'ont écrit. Vous lire est une super motivation pour continuer à écrire. Surtout, continuez à m'envoyer vos messages.)
Franck84
Autres histoires de l'auteur : Le jouet d'un hétéro