Mi-septembre, j'ai dû monter sur la région parisienne pour me débarrasser d'une caravane.
Mon retour à la maison se fit tardivement. De plus le parcourt fut long et difficile.
Arrivée au péage je ressentis l'envie d'aller aux toilettes. Mais il ne me restait plus qu'une bonne centaine de kilomètres pour la maison. Étant déjà très en retard, je pensai pouvoir tenir jusque-là.
À la hauteur de Brignoles l'envie fut trop pressente, encore plus de soixante-dix kilomètres, je ne tiendrai pas sur une telle distance, je devai donc m'arrêter en cours de route.
Dans une descente, une aire de repos fut signalée à deux kilomètres. Je venais de doubler un camion et à l'annonce de l'aire de repos je ralentis, puis vint le panneau des trois cents mètres.
Malgré le fait que je ne vais pratiquement jamais sur les aires de repos (seulement sur les stations), devant l'envie pressante je mis mes clignotants et m'y engageai. Je vis le camion en faire de même.
C'est là, qu'une drôle d'aventure m'est arrivé. Un truc complètement barge qui ne m'était jamais arrivé alors que j'aie à présent quatre-vingt ans.
Ou, peut-être, dans mes fantasmes ?
La voie de gauche menait sur l'aire des camions et celle de droite, qui n'était pas goudronnée, me mena vers les toilettes dont j'aperçus l'éclairage au travers des arbres.
Pendant la recherche d'un emplacement, je vis deux hommes l'un à genoux, la tête enfouit dans l'entrejambes du second qui, quasiment assis sur le capot d'un véhicule, donnait le rythme au premier. Pas besoin d'être devin pour connaitre leur activité. Mais j'étais dans l'urgence et je n'en fis pas cas.
Autour des toilettes il n'y avait aucune place de libre.
Des voitures étaient garées (environ une bonne douzaine) avec leurs chauffeurs à l'intérieurs et portière ouverte (la portière ouverte signifiait qu'ils n'étaient pas là simplement pour se reposer mais bien pour prendre un peu de bon temps).
- " Mais où étais-je tombé ? "
Ensuite d'autres emplacements étaient délimités par des blocs de rochers. Mais là aussi toutes occupés
Il était pourtant bien au-delà de minuit. Je pris un chemin sur la gauche qui me ramena sur mes pas pour un second tour. Je repassai devant le couple de tout à l'heure.
C'était l'inverse, celui qui tout à l'heure suçait était à plat ventre sur le capot et l'autre pointait son manche dans son arrière train.
Je les vis mais je n'avais pas le temps de regarder et passai mon chemin.
J'eu bien du mal à trouver une place disponible.
Je dépassai les toilettes et ma vessie criait au secours. Je ne tiendrai plus longtemps. Mais je dû refaire un troisième tour. C'est là que je vis au travers des arbres un couple de phares qui partait de la zone des toilettes.
Vingt mètres après les toilettes je vis enfin l'emplacement de libre.
Ainsi je pus aller me soulager.
Je sortis aussi vite que possible du véhicule, ferma les portières et couru au toilette en rangeant mes clefs et en débouclant ma ceinture.
Arrivée sur le perron j'avais déjà déboutonné ma braguette.
Devant les toilettes des types semblèrent attendre, mais pour l'instant ce n'était pas mon problème.
Par politesse je leur dis bonsoir. Aucune réponse et même ils me regardèrent comme un phénomène.
Me dirigeant vers le WC j'aperçus la porte verrouillée alors je bifurquai vers les pissotières.
Devant l'une d'elle je descendis le pantalon dont j'avais déjà descendu la fermeture éclair. Mais mes hanches bloquèrent sa descente et je dû tortiller des fesses pour pouvoir avoir accès à Mirza.
Il était temps, j'ai bien cru que j'allais lâcher les vannes trop tôt.
Le bruit de mon jet fut si fort que les chutes de Niagara auraient ressemblé à un léger murmure.
Étant donné l'importance de mon envie, je restai un temps certain devant l'urinoir et, bien sûr, cela intrigua ceux qui attendaient je ne savais trop quoi.
C'est à cet instant que je réalisai ce qui alla devenir le départ d'une sacrée aventure.
Imaginez !
Vous êtes à la portière des toilettes d'une aire de repos et vous voyez un type arriver en courant ceinture et boutons de son pantalon ouverts. En passant devant vous il dit " bonsoir " et prend la direction du WC. Puis s'arrête pour s'orienter vers les pissotières. Ça vous fait marrer.
Là, le type s'aperçoit que l'ouverture de sa braguette ne descend pas assez bas pour sortir le matos. Alors il attrape les côtés de son pantalon et tortille des fesses pour le descendre. Au fur et à mesure qu'il le baisse voici ce que vous découvrez.
Un bord de slip avec une fine et belle dentelle blanche apparait puis la dentelle est décorait de petits triangles en tissus rouge flamboyant.
Le pantalon continu de descendre en tortillant du cul et le corps du slip est en tissus noir. Mais le tissu est si fin que l'on peut y distinguer la couleur d'une peau blanche en dessous.
Là, le type continu de se tortiller pour continuer à faire descendre le pantalon et un joli coeur brodait rose apparait au-dessus du coccyx.
Et vous vous dites surement " Putain c'est une culotte de femme ! " Et bien sûr votre entrejambe envisage peut-être une possibilité. Petit coquin !...
Mais pour l'instant le pantalon continu de descendre et montre le haut des cuisses décorées par une belle petite dentelle blanche. Hummm...
Savoir que des types me regardent et qu'ils sont dans le même cas que dans cette scène, fit que Mirza commença à prendre un peu de volume, même si je fus honteux de montrer ma tenue vestimentaire et surtout inquiet, compte tenu de la gente présente.
Je me doutai bien qu'ils n'allèrent pas rester sur le pas de la porte à simplement me zyeuter. Et l'un d'eux vint se placer en face de l'urinoir voisin. Du coin de l'oeil, je vis qu'il avait déjà son matos bien développé en main et doucement se caressa tout en me regardant. De mon côté je regardai droit devant moi et me dis " - Putain, Michel ne regarde pas... NE REGARDE PAS ".
Mais pourtant je ne pus résister et ce fut sa verge que je regardai et je me disais qu'elle serait bien mieux en bouche. Je commençai à être sacrément émoustillai et j'en bavai un peu.
Elle était belle, bien développée. Je ne pouvais pas en connaitre l'importance ne voyant que la partie sortie par l'ouverture de sa braguette. Surtout qu'il la tenait à pleine main et ne cessa pas de faire des va et vient.
Et là j'entendis sa voix :
- T'as un beau cul de femelle. Et Popaul aimerait bien lui rendre une visite.
Je le regardai droit dans les yeux. Il me sourit, et instinctivement je lui répondis
- Il y a un certain Jean Gabin qui disait " t'as de beaux yeux " Mais toi, c'est mon cul qui te fait dresser la pine.
- Vue la mignonne petite culotte de dentelle que tu portes... Tu ressembles plutôt à une pute qui cherche le chaland, non ?
Le regardant droit dans les yeux je lui répondis : - Qui sait !
Là, je sentis sa main se poser sur ma fesse et il commença à me la tripoter. Puis il passa sa main sous l'élastique de ma petite culotte et ses doigts descendirent le long de ma vallée fessière jusqu'à l'entrée de mon petit trou.
- T'aime ?
Sa question fut plutôt superflue. Il le vit à ma réaction car au lieu d'essayer à lui échapper (ce que j'aurais dû faire depuis un bon moment) je me mis à cambrer ma croupe pour mieux lui permettre d'atteindre son objectif et, en plus, je lâchai un soupir.
Pourquoi ce geste instinctif et irréfléchi ? Car en même temps ma main tenta d'attraper son membre.
Sa main toujours dans ma petite culotte, il m'obligea à lui faire presque face et me roula avec fougue une pelle bien fougueuse.
Je senti sa langue m'explorer et entra en duel avec la mienne alors que son doigt me pénétra et continua à explorer plus profondément mon petit trou.
Il me prit la main pour la plaquer sur son manche et vue mon état d'excitation je l'enserrai aussitôt.
Quand nos lèvres se décollèrent je me retrouvai à bout de souffle et encore plus honteux de mon comportement devant tant d'inconnus, mais en même temps mon anus, hyper excité, s'ouvrit de lui-même et ce cochon s'en aperçu.
De sa main libre il me prit par le bras et me dit : - Viens, suis-moi... J'aimerais faire plus ample connaissance avec ton cul.
C'est ainsi que l'on sortit, lui un doigt dans mon cul et moi tenant sa pine d'une main et mon pantalon de l'autre, car en marchant celui-ci subit l'attraction terrestre et progressivement descendit. J'eus juste le temps de le rattraper arrivé aux genoux. Tout le monde put voir le haut d'une paire de bas. Même si cela était des bas de rétention féminins. Au passage de la porte un type en profita pour me mettre la main aux fesses. Au lieu de lui lancer un sale regard, je le regardai en lui souriant.
- " Mon dieu où suis-je tombé, je crois que je vais subir des outrages ! "
Les types des voitures en stationnement devant les toilettes étaient sortis et avec d'autre (qui trainaient autour) nous regardèrent traverser la placette. Mon compagnon leurs firent un signe de la main et certains retournèrent dans leur véhicule. Nous nous engageâmes dans le sous-bois.
Bien sûr il y a une suite si cela plait.
Mimi83
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