C’était un soir très froid à New York. J’y étais pour 2 semaines de séminaire professionnel, logé dans un Hilton à 5 minutes à pied des bureaux de la compagnie. Quand j’ai croisé la première fois ce SDF (homeless en anglais) devant l’entrée d’un fastfood quelconque, ce qui m’a marqué, ce sont ses yeux bleus lumineux qui tranchaient avec son allure sale et négligée. Comme souvent les homeless, il faisait la manche poliment, souhaitant une bonne soirée même à ceux qui ne lui donnaient rien. D’habitude, je ne donne jamais dans la rue, mais là j’ai sorti 5 dollars et les ai mis dans le gobelet qu’il me tendait. J’ai eu le droit à un sourire lumineux et des remerciements que j’ai trouvé très exagérés, très américains ! La même scène s’est renouvelée matin et soir pendant une semaine. Un soir, pourtant la température a baissé davantage et lorsque je lui ai tendu un billet, je l’ai regardé davantage. Ses mains étaient enveloppées de chiffons, il grelotait ; je ne sais pas pourquoi, je lui ai proposé de venir prendre un café chaud et une douche à mon hôtel. Il m’a regardé quelques secondes avant d’accepter toujours aussi chaleureusement. La traversée du hall du Hilton a été un grand moment, mais personne ne nous a arrêté. J’ai inséré ma carte dans l’ascenseur direction 23ème étage. Une fois arrivés à ma chambre, pendant que je préparais un café, David me regardait sans rien dire : 25 ans environ, les yeux bleus, longs cheveux blonds emmêlés, barbe touffue, il ne semblait pas savoir comment se comporter. Je lui ai tendu le mug de café brûlant. Il s’est réchauffé les mains autour avant de le boire à petites gorgées. Une fois le café terminé, je lui ai montré la salle de bains et le fauteuil de la chambre où il pouvait déposer ses affaires. IL s’est déshabillé rapidement gardant juste un caleçon informe. Son corps était très blanc, musclé sans graisse (évidemment) et il semblait encore plus timide. Je réfléchissais à son histoire tout en me demandant si c’était bien raisonnable de l’avoir fait venir. Moi cadre sportif de 50 ans, en costume cravate, je discutais avec un homeless dont je savais juste qu’il avait 5 ans d’armée ayant terminé sans pension et rapidement devenu homeless sans famille pour le soutenir. David est entré dans la salle de bains et je me suis tourné vers la baie vitrée pour observer la nuit sur New York. Il y est resté pratiquement une heure, mais quand il est sorti, une serviette blanche autour de la taille, j’ai eu du mal à le reconnaitre : ses cheveux lavés, démêlés et noués en catogan, il avait utilisé le rasoir jetable que je lui avais laissé pour mettre de l’ordre dans sa barbe. Il se tenait debout sans rien dire, comme s’il hésitait à me demander quelque chose. Est-ce que je peux faire quelque chose pour toi ? je lui demande. Il me dit qu’il a faim et que… si c’était possible, il voudrait bien laver ses habits avant de les remettre pour garder un peu le bénéfice de sa douche. Je lui dis que je vais appeler le room service pour faire monter quelque chose à manger, mais aussi pour laver ses habits, mais que ça va prendre du temps et qu’ils nous seront rendus pas avant demain matin. Il sourit, me dit qu’il ne voit pas d’inconvénient à rester cette nuit au chaud, que le canapé lui ira très bien. Je souris aussi, en lui indiquant que nous pouvons partager le lit king size (1m93 de large !) et que ce sera plus confortable. Je lui tends un caleçon et un t-shirt à moi (taille XL) pour qu’il puisse s’habiller. Je m’attends à ce qu’il retourne dans la salle de bains pour se changer, mais il pose juste sa serviette sur un fauteuil avant d’enfiler caleçon et teeshirt, ce qui me permet de le voir nu. Si je ne me trompe pas, il s’est aussi rasé le pubis après la barbe !
Deux heures sont passées. Ses vêtements sont partis au pressing de l’hôtel, j’ai laissé un billet de 100 dollars au valet d’étage pour qu’il lui trouve des habits équivalents à sa taille, des gants une écharpe et un bonnet. David a avalé les 2 steaks Angus frites que j’avais commandés. J’avais déjà diné, j’ai juste avalé la bière qui l’accompagnait. C’est l’heure de dormir je lui annonce, il s’installe du côté droit du lit et j’éteins les lumières. Ça pourrait être excitant de se trouver à côté d’un corps jeune et vigoureux, et à priori bien équipé de ce que j’ai pu apercevoir, mais j’aurai l’impression de profiter de sa misère, genre un lit contre du sexe. Je veux être raisonnable quand je sens son bras qui entoure ma poitrine pour me serrer et sa tête qui se loge contre mon épaule. David murmure thanks you, you are a very nice guy. Je suis troublé, mais je ne me dégage pas. Il poursuit I am not gay, but I like you. Sur ces mots, il s’endort rapidement. Il me laisse avec une érection douloureuse que le caleçon large que je porte ne suffit pas à contenir… Tant pis ! Je finis quand même par m’endormir. Plus tard dans la nuit, une sensation très agréable me réveille. La main droite de David est en train de jouer avec mon téton gauche et c’est très bon. Je suis si hypersensible des tétons. Je me retiens de gémir ne sachant pas si c’est volontaire ou pas. C’est quand sa langue vient jouer avec mon téton droit que je me laisse aller. Je gémis sans retenue pour exprimer ma satisfaction. Je passe ma main dans ses cheveux lui caresse la nuque. J’ai envie de plus. Je me dégage et me place face à lui. J’allume la lampe de chevet pour le voir. Il baisse les yeux, n’ose plus me regarder… Je lui attrape le menton et l’embrasse sur les lèvres. Il ne se dégage pas, mais reste immobile. Petit à petit il se détend et ouvre les lèvres me laissant jouer avec sa langue dans un baiser de plus en plus profond. À mon tour de jouer. Je le fais enlever son teeshirt et je prends un téton autour de ma langue. Il gémit à son tour pendant que mes mains lui caressent avidement le torse et le ventre. Ma langue descend doucement vers son nombril, s’approche de l’élastique de son caleçon. David se redresse sur les coudes, me regarde fixement I never did Be careful. Don » t worry je lui réponds. Mes mains caressent ses cuisses passent sous le caleçon. Son sexe est déjà dur je m’y frotte par-dessus le tissu. Je ne peux plus attendre : je vire son caleçon et entreprends de le sucer cm par cm. Son sexe est de bonne taille, large et lourd et je me régale à le sucer. David apprécie si j’en crois ses gémissements. Il bouge son bassin avec sensualité. Soudain, il me fait comprendre d’arrêter. Je m’en étonne, mais il m’explique que c’est trop bon, qu’il risque de jouir (to come) trop vite ! Il m’embrasse langoureusement et me fait changer de position ensuite. Nous nous retrouvons en 69 ; il prend mon sexe en main et commence timidement à le lécher avec sa langue. C’est trop sexy de le voir s’affairer de plus en plus autour de mon sexe dur. Il le prend carrément en bouche, m’arrachant des soupirs supplémentaires. Je continue pour ma part à le sucer avec ardeur. Je deviens audacieux, je pose un doigt sur son anus vierge. Je le sens se contracter, mais je me contente de masser doucement son anus sans le pénétrer. J’abandonne à regret sa queue magnifique pour glisser ma langue sur son anus. D’abord surpris, il se met à gémir sur cette caresse inconnue. Je fourre ma langue au plus profond que je peux. Ses râles démontrent combien il apprécie. Quand il est suffisamment lubrifié par ma salive je glisse doucement un doigt. Il ne me rejette pas et quand j’atteins sa prostate, David découvre tous les plaisirs de ce massage interne ! Notre 69 dure encore quelques minutes, mais c’est David qui l’interrompt : droit dans les yeux il m’annonce I want to give you my ass but it will be the first time… Trop mignon ; j’ai un peu l’impression d’abuser, mais je suis trop excité pour refuser. Je choisis de le placer sur le dos, je relève ses jambes sur mes épaules. Avec 2 doigts, je lui lubrifie abondamment son orifice étroit en le regardant dans les yeux pour vérifier que ce n’est pas (trop) douloureux pour mon joli homeless. Je pose maintenant mon gland gonflé sur son anus. Il serre les dents quand les premiers cm s’introduisent en lui, mais petit à petit il se détend et je peux commencer de lents va et viens qui me procurent un plaisir fabuleux. Je vois que son visage se détend aussi et qu’il commence à y prendre du plaisir. Je ne vais pas résister tellement c’est bon d’être engainé dans son fourreau étroit. Moins de 5 min après avoir commencé, je sens que je vais décharger. Je l’annonce à David qui se masturbe en même temps. Go I will come in same time. Nous jouissons simultanément en grognant fort. Son sperme est abondant et se répand sur son ventre en longues giclées. Nous nous endormons immédiatement…
Le jour se lève que David dort encore. C’est samedi et je n’ai pas à me lever non plus. Je regarde mon homeless étendu le dos, nu et déjà en érection dure. Je suis tenté de lui rendre la pareille. J’attrape son sexe et le caresse lentement. David gémit, mais ne se réveille pas. J’ai envie de le sentir en moi. Le temps de me lubrifier et de le lubrifier aussi, j’enjambe David, saisis son sexe et le place en moi lentement, car il est vraiment bien monté, tant en longueur qu’en diamètre. MMM ça faisait longtemps, mais c’est trop bon. Je commence à me mouvoir autour de cette colonne de chair. David ouvre les yeux, mets quelques secondes à comprendre où il est et ce qui se passe mais il ne se dégage pas. Il pose ses mains sur mes cuisses et accompagne mes mouvements de coups de bassin qui le font s’enfoncer en moi encore plus profond ! Notre plaisir sera atteint encore ensemble, mais plus lentement.
La suite de cette histoire ? J’ai bien évidemment été incapable de le laisser partir. Nous sommes restés ensemble toute la semaine qu’il me restait à passer à New York, alternant des séances de sexe torrides et des moments plus tendres. Lavé et habillé de neuf, David a pu trouver 2 emplois de serveur à cumuler. Je lui ai servi de caution et ai fait l’avance du premier mois de loyer d’un appartement minuscule à Brooklyn. Ce fut difficile de rentrer en France, mais j’ai revu David chaque fois que je suis revenu à New York. Même s’il s’était mis rapidement en couple avec une jolie brune rencontrée au travail et installé avec elle au bout de 3 mois, il était toujours disponible pour passer la nuit avec moi et se donner à fond, son sexe et ses fesses qui m’étaient toujours exclusivement réservées.
Catalan66
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