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Saison 04 / Chapitre 7 :
Comment j’ai enculé Mattéo
Bonjour à tous,
Cela fait une éternité que je n’ai plus écrit ici et que j’ai laissé mon histoire inachevée, je m’en excuse auprès de tous ceux qui m’ont écrit de très gentils messages. Je remercie aussi tous ceux qui ont voté pour moi lors des élections du meilleur auteur — peut-être que si j’écrivais plus régulièrement, j’aurais eu un meilleur classement ?
En tout cas, avec le confinement, j’ai trouvé le temps de terminer mon histoire — au moins, il aura eu ça de bon !
Pour ceux qui n’auraient pas suivi : Marc (le narrateur) raconte une longue histoire qui s’est passée quand il avait 18 ans, avec plusieurs de ses amis de 18 ans, et des potes de son grand frère, qui eux ont plutôt 22 ans. Il en était même venu à plus ou moins sortir avec Fred, chez qui se passe la soirée en cours. Suite à une dispute, il avait fait le pari auprès de Fred de pouvoir enculer tous les autres garçons présents dans la maison. Il avait commencé par prendre le cul de Noah dans la salle de bain (alors même que Noah était la « pute » de Kamel), puis il avait profité du fait que Kamel soit complètement défoncé pour le prendre à son tour. Il restait encore Mattéo, le petit frère de Fred. Marc avait réussi à convaincre Mattéo de lui prêter son cul si en échange, il s’arrangeait pour lui passer Noah. Et en faisant venir Guy (un autre pote de la bande des grands frères, un grand noir), il avait convaincu Kamel de lui « donner » Noah…
— Pour ceux qui ont du mal à suivre, vous pouvez relire les épisodes précédents !
Suite de l’histoire :
Noah et moi, nous avons donc laissé Guy et Kamel sur le canapé du salon, et je lui ai dit de monter les escaliers. Nous nous étions rhabillés — tous les deux en shorts, t-shirts. Je sentais bien que Noah n’était pas très content : il avait bien aimé mon coup de bite avant parce qu’il était vraiment chaud, mais il ne m’avait jamais apprécié plus que ça, et même si Kamel lui avait découvrir le plaisir d’être la pute d’un mec, il ne se voyait pas du tout à mon service à moi. Ce n’était pas très grave — je savais qu’il allait bien plus apprécier Mattéo, qui lui était un vrai macho.
Mais là, pour un mec censé être soumis, il n’était pas très coopératif et, arrivé en haut des escaliers, il me regarda en haussant les sourcils d’un air blasé et me demanda où je voulais le baiser. J’ai voulu le mater un peu, alors, en le prenant par surprise, je l’ai saisi par la nuque, je l’ai retourné et je l’ai plaqué la face contre le mur en lui murmurant à l’oreille :
Moi : Tu fais le malin ? Mais tu es à moi maintenant, et je fais de toi ce que je veux, d’accord ?
Et j’ai glissé ma main libre dans son short et je me suis frayé un chemin jusqu’à sa raie pour glisser un doigt dans son cul bien propre. Ça l’a fait gémir.
Moi : D’accord ?
Noah : Oui, oui d’accord.
Moi : D’accord qui ?
Noah : D’accord Marc. Je ferai tout ce que tu veux, Marc.
Moi : C’est bien, je vois qu’on se comprend.
Rien que me coller à Noah et lui glisser un doigt dans le cul m’avait fait aussitôt bander. Je le trouvais vraiment très beau, avec sa chevelure noire épaisse, sa peau blanche, sa silhouette à la fois fine et ferme, et son cul à se damner… Il faut dire aussi que juste avant, j’avais commencé à enculer Kamel et que je n’avais pas joui, je réagissais au quart de tour… J’aurais pu l’enculer là direct, mais non, il fallait que je suive mon plan et que je garde mon excitation pour Mattéo. J’ai sorti ma main et je l’ai laissé se retourner vers moi. Il y avait une belle bosse au niveau de son entrejambe : ce petit moment d’action l’avait aussi excité.
Je lui ai lancé un petit sourire, lui a baissé les yeux de honte, puis je l’ai poussé et nous sommes entrés dans la chambre de Mattéo, qui sursaute, tout surpris de nous voir. Il n’avait pas bougé de l’endroit où je l’avais laissé en le quittant : à poil, allongé sur son lit, en train de jouer sur son téléphone portable. Il fit les grands yeux en voyant Noah — il avait compris que j’avais tenu parole.
Mattéo, c’est un petit macho d’origine italienne. Petit parce qu’il doit faire un peu plus d’1m70 — il n’est pas si petit que ça. La peau brune, très lisse, sans beaucoup de poil sauf sur les jambes et au-dessus du sexe, assez musclé, et très masculin (voire macho, donc) dans son comportement. Jusque là, il avait été 100 % hétéro, sauf depuis la fois où moi et Fred, son grand frère, l’avions sucé, et depuis cet après-midi où il avait commencé à me sucer après avoir perdu à un jeu. Un peu plus tard, il avait commencé un plan à trois en se faisant sucer par Noah qui, lui se faisait enculer par Kamel, mais quand Kamel avait commencé à l’enculer, il avait dit non et s’était réfugié dans sa chambre. J’avais réussi à lui faire dire que je pourrais l’enculer si je lui amenais Noah, mais là, devant le fait accompli, il commençait à regretter ses paroles.
Moi : Alors Mattéo, prêt à tenir ta parole ?
Je fis un geste et Noah sauta sur le lit pour s’assoir dans le coin et moi, je m’assis sur le rebord : Mattéo était pour ainsi dire coincé entre nous deux, et il était à poil alors que nous deux étions habillés, ce qui le rendait encore plus vulnérable. Il voulut se redresser, mais je l’ai repoussé et il se retrouva allongé sur le dos, appuyé sur ses coudes, sa queue, toute molle, bien exhibée aux regards. Lui aussi, à sa manière, était très beau, et son attitude un peu apeurée et méfiante le rendait encore plus sexy.
Moi : Noah m’obéit désormais au doigt et à l’œil. Pas vrai Noah ?
Noah : Oui Marc !
Moi : Comme convenu, je te propose de te le donner. Tu pourras agir envers lui comme Kamel le faisait avant, et pour le reste, vous verrez entre vous. Pas vrai Noah ?
Noah : Oui Marc !
Moi : Mais pour ça, faut faire ta part, et faut que tu me prêtes ton cul…
Mattéo tournait les yeux tantôt vers moi, tantôt vers Noah et il me sembla que sa queue devint encore plus petite qu’elle ne l’était. Noah le tentait, mais le prix lui paraissait trop haut… Je lui posai une main sur la cuisse, ce qui le fit sursauter.
Moi : Ne t’inquiète pas. Je ferai tout pour que tu n’aies pas mal, au contraire, je suis sûr que tu vas aimer ça.
Mattéo : Tu dis ça, mais j’ai vu ta queue quand tu bandes, elle est énorme, elle ne va jamais rentrer. Franchement les gars, c’est cool, mais laissez tomber. Faites ce que vous voulez entre vous, mais je préfère encore les meufs.
Je n’avais aucune envie de le laisser m’échapper alors que j’étais tout près de gagner mon pari. Je revins à la charge.
Moi : Réfléchis un peu ! D’un côté, tu as Noah qui pourra te sucer et que tu pourras enculer quand tu voudras. Un vrai vide-couille, et bien plus que ça. Toi-même tu voulais son cul avant. Il sera à toi quand tu veux et comme tu veux ! Et d’un autre, je te propose de découvrir une nouvelle expérience. Et si tu as trop mal, je m’engage à m’arrêter aussitôt.
Mattéo : Aussitôt ?
Moi : Oui ! Attention, c’est normal d’avoir un peu mal quand ça entre, mais si vraiment la douleur ne part pas, j’arrête et je considère comme ta parole tenue et Noah sera à toi. Noah se porte garant.
Noah : T’inquiète, Mattéo, tu vas kiffer.
Mattéo : (après un moment de réflexion) : Bon ben je fais quoi ?
Moi : Tu peux commencer par te mettre à quatre pattes !
Et c’est comme ça que Mattéo, le bad boy du lycée qui m’avait même plusieurs fois fait chier du temps du lycée, le macho et dragueur invétéré, se retrouva à poil à quatre pattes devant moi. Il attendait patiemment que je m’occupe de lui, un peu fébrile. Je me suis rapidement déshabillé — toujours sous le regard curieux de Noah, dans un coin du lit (à deux places heureusement !), et qui était resté habillé.
Je commence par le lécher — du classique. Mattéo sursaute, puis se détend, puis apprécie, puis gémit. Je glisse une main entre ses cuisses pour caresser sa queue qui retrouve des formes rapidement et se met même à bander bien dure. Il n’aura pas fallu trois minutes pour que je sente Mattéo saisi par le plaisir anal (même de surface !) et entièrement à ma disposition.
Je m’interromps et je lui dis de s’allonger sur le dos. Intrigué, il s’exécute tout en se demandant ce qui va se passer. Moi, à genoux entre ses jambes, je me penche pour commencer à le sucer. Il apprécie aussi, mais je ne lui laisse pas le temps de reprendre ses réflexes d’actif : tout en le suçant, je glisse un doigt vers son trou encore bien humide que je caresse avec insistance. Il réagit avec un frisson de plaisir. Je mouille mon doigt puis cette fois je rentre à l’intérieur : tout doucement, mais fermement, en étant le plus attentif possible à ses réactions. Ça rentre plus facilement que ce que je craignais — au contraire, ça s’ouvre étonnamment bien et je peux très vite y mettre deux doigts.
Mattéo laisse retomber sa tête sur le matelas et gémit en fermant les yeux pour profiter des sensations. Moi, pour profiter du spectacle, je me redresse. Une main occupée à le doigter, l’autre à le branler, j’admire le corps nu qui se tortille devant moi, les jambes écartées, les muscles qui se bandent, les poings qui serrent les draps. Même Noah est étonné d’une telle réceptivité ! Excité lui aussi par la scène, il se déshabille et se retrouve vite nu à son tour, le sexe tout droit entre ses cuisses. J’ai abandonné le sexe de Mattéo pour, avec la mouille recueillie sur son gland, en enduire ses lèvres et glisser un doigt, puis deux, dans sa bouche. Mattéo les avale avidement, puis il ouvre les yeux, attrape la nuque de Noah et j’ai tout juste le temps de retirer mes doigts avant qu’ils ne s’embrassent sur la bouche.
Je choisis ce moment pour retirer mes autres doigts, soulever les cuisses entre mes épaules et présenter mon gland à moi à l’entrée du trou. Il n’y avait pas de gel, mais entre ma salive et la mouille qui sortait de mon gland à moi, nous n’en avons pas eu besoin. Mon sexe commence à rentrer, ça bloque, je force un peu, Mattéo grimace. Noah me vient en aide : tout en embrassant Mattéo, il se met à le masturber, ce qui le détend aussitôt. J’entre un peu plus. Mattéo s’arrête d’embrasser Noah pour se concentrer sur moi.
Moi : Ça va ? Tu veux que je me retire ?
Mattéo : Non non, continue. Vas-y doucement, mais continue.
Pour une première fois, il encaissait plutôt bien ! Il soufflait fort, contrôlait mon entrée avec une de ses mains sur ma cuisse, mais j’entrais petit à petit.
Moi : Ça y est, je suis dedans. Je suis entré complètement.
Je suis resté un instant sans bouger puis j’ai commencé de timides allers-retours et très vite, Mattéo a commencé à prendre son pied d’une manière qui, je crois, nous surprit tous. Très vite, je me mis à le baiser à fond, à lui donner de grands coups de reins qui le faisaient gémir de plaisir, et il écartait ses jambes et tendait son cul pour que j’entre encore plus profond. Il embrassait Noah à pleine bouche et comme je n’étais pas loin non plus, il se tourna et m’embrassa également sur la bouche.
Il ne m’en fallut pas plus pour éjaculer. Après l’épisode avec Kamel, j’avais trop accumulé, je ne pouvais plus me retenir et ce baiser avec ce garçon que je n’aurais jamais cru pouvoir embrasser un jour suffit pour me faire jouir. Je ne sais pas combien de sperme j’ai lâché dans le cul de Mattéo, mais ça ne voulait plus finir — même avec Fred, j’ai rarement eu un orgasme aussi intense. C’était si bon, si chaud… Et Mattéo réagissait si bien à chacun de mes mouvements…
Quand ce fut fini, je me suis retiré et je me suis allongé à côté de Mattéo (du côté du rebord du lit, alors que Noah était du côté du mur). Il y avait quelques mouchoirs et je pus me nettoyer. J’étais vidé, épuisé. Le problème, c’est que Mattéo n’avait pas joui et il en voulait encore…
Il avait laissé retomber ses jambes et continuait d’embrasser Noah tout en tendant son cul vers lui. Noah comprit la situation, il souleva la jambe gauche de Mattéo et entra directement en lui d’un seul coup, lui arrachant un cri de plaisir. Noah avait une queue fine et longue, et il faut croire que cette nouvelle position (allongé sur le flanc) lui faisait toucher de nouvelles zones, car son plaisir semblait encore redoublé. Il était collé contre moi, sa queue frottait contre ma cuisse et il alternait entre m’embrasser moi sur la bouche, et Noah qui le saisissait par la nuque pour lui faire tourner la tête vers lui. Je ne rebondis pas — c’était trop tôt, j’étais trop vidé — mais la situation était vraiment excitante.
C’est à ce moment-là que la porte s’ouvrit sur Fred qui se demandait ce qu’était tout ce bruit qu’il entendait de sa chambre à côté, et qui découvrit son macho de petit frère en train de se faire prendre par Noah tout en m’embrassant. Il resta un instant interdit — je crois que c’est le mot qu’on utilise dans ces cas-là — et il s’apprêtait à ressortir quand Mattéo lui dit de rester et d’approcher. Et là, il se passa quelque chose que je n’aurais jamais cru voir de ma vie : une fois Fred au bord du lit, Mattéo se redressa, tira le short de son frère vers le bas, en sortit sa queue et la prit dans la bouche. Pour ça, Fred fut obligé de se pencher. Autrement dit, j’étais littéralement sous la queue de Fred que je voyais se faire gober par Mattéo penché sur moi, appuyé sur ma poitrine, accusant chacun des coups de reins que Noah lui faisait subir. Il n’a pas fallu beaucoup de temps à Fred pour bander, même si la situation le mettait un peu mal à l’aise. Moi, coincé, je ne savais plus quoi faire et j’étais dépassé par les évènements que j’avais moi-même initiés. Mattéo était complètement envahi par le plaisir qu’il découvrait et qui le faisait se précipiter même sur la bite de son grand frère ! Il s’y prenait assez bien, d’ailleurs, n’hésitant pas à faire de lui-même des gorges profondes. Fred avait saisi son frère par la nuque pour l’encourager.
Noah et Mattéo éjaculèrent en même temps : Noah dans le cul de Mattéo, et Mattéo, sans se toucher, vida son sperme sur ma cuisse et sur son lit. Il avait gardé la queue de Fred dans sa bouche jusqu’au bout, sans crier ni rien, juste en fermant les yeux au moment de l’orgasme. Mais j’avais senti à quel point tout son corps s’était tendu par le plaisir.
Puis tout retomba. Mattéo s’affala sur son lit. Noah se retira et s’allongea à côté. Fred, déstabilisé, rentra sa queue raide dans son short et ressortie et moi aussi, je finis par sortir pour aller sous la douche et laisser Mattéo et Noah seul à seul. Par la suite, Mattéo ne reparla jamais de ce moment avec moi ou avec son frère, mais il continua à voir Noah régulièrement.
***
Voilà, c’est plus ou moins la fin de mon histoire, de la grande saga des « potes de mon grand-frère » (où mon grand frère n’apparait pas !). J’avais gagné mon pari en enculant tout le monde — sauf Guy, mais lui c’était une exception, il était arrivé après. Après ma douche, je pus retrouver Fred dans sa chambre tandis que, en bas, sur le canapé du salon, Guy et Kamel célébraient leurs retrouvailles par une séance de baise qu’ils m’assurèrent être mémorables.
J’avais réussi à enculer trois personnes en une soirée, et, dans le même temps, à refaire trois couples : Kamel et Guy, et Mattéo avec Noah, et Fred avec moi. Kamel et Guy furent plus des potes de baise, une sorte de bromance qui ne les empêchèrent pas d’avoir des vies sentimentales de leur côté. Mattéo et Noah, c’était un jeu sexuel qui les amusa énormément pendant quelques mois (Noah étant le soumis, et Mattéo se découvrant une âme de dominateur, même si, de temps en temps, Mattéo demandait à Noah de l’enculer). Il n’y a que Fred et moi qui sommes devenus un « vrai » couple, avec des sentiments, malgré notre différence d’âge, et même si, de mon côté en tout cas, il m’arriva encore quelques drôles d’aventures par la suite…
Et parce que ça fait toujours plaisir de recevoir des remerciements, des réactions, des critiques ou des idées pour d’autres textes :
micmac67@live.fr
(je ne m’interdis pas de profiter de ce confinement pour imaginer d’autres histoires à mes personnages, ou pour raconter d’autres histoires ! Pourquoi pas aller dans des directions très différentes que ces histoires au long cours... Si vous avez des idées…)
Marc-67
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