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Yoann-2 :
J'ai souvent Yoann (mon cousin) au téléphone. Même s'il sait son grand frère réceptif depuis le nouvel an passé, il préfère parler avec moi de ses aventures et évolutions dans le sexe entre mecs.
De mon côté, l'enquête que j'ai demandée m'a apporté les preuves dont j'avais besoin pour museler leur père au besoin. Notamment un petit film récupéré chez un des chefs scouts de Yoann plus le rapport du psy qui analyse la cause du traumatisme dont mon petit cousin a été la victime. Mais jusque-là je n'en ai pas eu besoin.
Les nouveaux meilleurs amis de Yoan, Arsène et Hubert, ont continué son éducation sexuelle, même si les jours passés au blockhaus lui ont donné une bonne base. Après quelques semaines de relation à trois, ils lui ont fait connaitre des terminales de leur lycée avec qui ils avaient eu des " contacts ".
J'ai pu voir apparaitre sur les vidéos de surveillance (hé oui, l'appart est " sécurisé " !), une demi-douzaine de bogosses plutôt contents de trouver un petit mec de plus avec qui baiser et en plus disposant d'un lieu plutôt sûr question risque de se faire surprendre.
Si la plupart d'entre eux préférait user des bouches et rondelles cadettes, d'autres totalement versatiles leur renvoyait la pareille.
Spectacles bandants s'il en fallait !! Dans mon cerveau ça brainstorme et j'arrive à la conclusion que j'aimerai bien tâter du breton !
Renseignements pris sur les usagers de l'appart, familles catho pratiquantes, bourgeoisie plus ou moins argentée plus un aristo fauché, peut-être de futurs Escorts pour moi ?!
Avec l'accord de Yoann, mais sans prévenir ses amis, je me suis arrangé pour arriver à l'appart au début d'une de leur mini-touze (Yoann, ses deux amis et 4 terminales).
Arrivé en avance, je regarde sur mon téléphone où ils en sont.
Quand ils sont tous les 7 à poil et qu'ils ont entamé les préliminaires, pelles, pipes, 69 et autres bouffages de rondelles, je me pointe à l'appart.
Les sacoches laissées dans le séjour confirmeraient le nombre de participants si je n'avais eu la télésurveillance. Innocemment j'appelle Yoann. Il lui faut 2 minutes pour descendre l'escalier en shorty déformé par sa bite raide.
Je remonte avec lui et quand j'ouvre la porte, les autres protagonistes sont à la recherche qui de son slip, qui de ses chaussettes, certains trébuchant sur le lit avec leurs jeans aux genoux.
Je lance un stop qui fige tout ce beau monde en émoi. Yoann me présente comme son cousin à qui appartient l'appart et me nomme qui est qui dans ce capharnaüm. Les plus vieux sont dans leurs petits souliers comme si j'allais les dénoncer à leurs parents. Les deux autres sont plus à l'aise à sentir leur pote Yoann super détendu.
Je les invite à continuer ce qu'ils avaient commencé c'est-à-dire de se mettre nus. J'ajoute que s'ils n'y voyaient pas d'inconvénients, j'allais me joindre à eux. Yoann répond pour tous qu'ils sont OK.
Si avec mes 29 ans je ne peux plus jouer les lycéens, j'arrive sans peine à faire encore l'étudiant vu mon physique. Mon tatouage fait son petit effet et fait oublier les circonstances de mon arrivée.
Les 4 terminales sont plutôt bogosses même si musculairement ils se situeraient limite (avant travail de présentation et muscu) sauf un. Lui arbore déjà de beaux pecs bien épais qui surplombent une tablette d'abdos sous laquelle apparait une bite d'une bonne 20aine de cm, plutôt épaisse, accompagnée de deux belles couilles rasées. Je termine de le " dévisager " : des cuisses d'handballeur ou de footeux. D'après son prénom, c'est le fils d'aristo fauché !
Je me l'accapare en premier. S'il n'est pas d'accord, il ne me le dit pas. Mais mon contact ne le fait pas débander, c'est déjà ça !
Physiquement je suis un peu au-dessus de lui. Je prends l'initiative et lui roule une pelle. Sa bouche légèrement pulpeuse sans aller jusqu'à la vulgarité, s'écrase sur la mienne. Nos mâchoires s'ouvrent et nos langues se trouvent. Haleine fraiche, langue tonique, le mélange de nos salives renforcent notre excitation. Sa queue, plaquée entre nos abdos, collée à la mienne en tressaute de plaisir. Il monte ses bras et vient les mettre autour de mon cou. Mes mains, elles, descendent plutôt. Son dos est aussi musclé que sa face avant. Sa taille fine est sensible à ma caresse. Quand je les pose sur ses fesses, j'ai le plaisir (pas la surprise car vu l'état musculaire du mec, il y avait peu de risque qu'elles soient molles) de sentir ses fessiers se contracter avant de laisser mes doigts s'enfoncer entre eux.
De lui-même il se décolle et descend le long de mon corps. Je le laisse faire et crois me rappeler que c'était un des plus avancés dans l'art de la baise entre mecs.
Sa bouche glisse sur mon oreille gauche (sans boucle). Il m'en mange le lobe avant de faire glisser sa langue sur ma carotide. Mes tétons attirent son attention et il ne les quitte qu'une fois les deux bien gonflés (même si mon piercing lui a donné un peu de mal).
Sa langue suit la ligne médiane de mes abdos et rencontre vite, me cachant le nombril, mon gland que l'excitation a décalotté.
Il s'agenouille et entreprend de m'impressionner avec sa pipe. Je dis cela car dès le début il m'a gratifié d'une gorge profonde. Et effectivement il est bon ! Ses mains alternent de mes fesses pour les pousser alors que mon gland est déjà dans sa gorge à mes couilles qu'elles soupèsent, caressent et étirent un peu vers le bas.
Après m'être laissé aller à frôler l'éjaculation, je le relève et goute à nouveau à sa bouche. Je le pousse sur le lit où il rejoint Yoan occupé par Arsène et un terminale. Je tourne la tête et vois Hubert se faire défoncer la bouche et le cul par les deux derniers terms sur le canapé.
De sur le dos, je retourne ma proie. Son dos est musclé harmonieusement. Ses fesses plutôt petites pour son gabarit sont bien rondes et il me laisse les écarter sans résistance. Pourtant toujours si je me souviens bien des vidéos où il apparaît, je ne l'ai toujours vu qu'actif. Je me penche, hygiène irréprochable, je lui fais une feuille de rose (je lui bouffe le cul quoi !!). Il aime ça et ses gémissements de plaisir en sont la preuve, tout comme l'ouverture que ma langue perfore. Quand je me recule, il pousse sur ses genoux pour surélever ses fesses et pour que ma langue reste au contact de sa rondelle. Ok je suis sûr qu'il va kiffer ma sodo. Quand je le sens prêt, je lui confie un flacon de poppers (il n'est pas pris en traitre) et me kpote.
Une couche de gel plus tard, je m'enfonce en lui. Il sniffe et mon gland passe sa rondelle. Je le laisse sniffer à nouveau et quand je sens son anneau se décrisper, je lui mets le reste de ma bite. Je profite qu'il se soit bien gazé pour écarter ses fesses et pousser à fond mon " avantage ". Le soupir qu'il pousse me rassure. Je capte les regards étonnés de deux de ses collègues. Dans cette position je lime sa rondelle jusqu'à ce que ma queue coule dans son boyau comme un piston de moteur dans sa chambre à explosion.
Je tire son bassin pour le mettre en levrette et de lui-même il passe à 4 pattes. Il tourne la tête et quémande implicitement ma bouche. Je fais plus puisque je le fais se cambrer au maxi pour lui rouler une pelle. Passage sur le dos. Mon partenaire est toujours planté sur ma bite et semble maintenant y prendre beaucoup de plaisir. Il serre ses jambes dans mon dos et je m'essaye à le soulever du matelas. Ça le fait même si je ne suis pas sûr de tenir longtemps !
J'arrive quand même à déplacer ses 80Kg jusqu'au fauteuil dans lequel je m'assois. Il passe ses jambes par-dessus les accoudoirs et se sert de ces derniers pour supporter sa chevauchée. Sa rondelle branle ma bite. Sa position écarte au maximum ses fessiers et je sens bien que c'est sa rondelle qui s'écrase sur mon pubis.
Face à face il arrive à garder nos lèvres scellées et nos langues en contact.
Il est le premier à craquer et je sens son jus maculer nos mentons. Ses contractions anales achèvent le travail commencé par mes va et vient dans son trou. Plusieurs fois je l'immobilise, ma queue tout au fond, alors que je remplis ma kpote.
Il s'écroule sur moi, son visage au creux de mon épaule. Ma queue reste raide, heureusement ! Avant d'être totalement froid, il crispe une dernière fois ses quadriceps et retire ma bite de son trou. Petite grimace car je suis encore bien raide, il enjambe le fauteuil me laissant la place de me lever.
A un des terms qui lui fait la remarque que c'était la première fois qu'il se laissait enculer, il répond qu'il devrait essayer lui aussi.
Je suis raide et ça pas l'air de passer. Je change de kpote et m'approche du mec. En train de sodomiser mon cousin, il est bloqué par ses jambes (du cousin) qui ceinture sa taille. Je pense qu'il voudrait bien s'en passer mais lui non plus n'ose pas me dire non.
Je pousse sur son dos qu'il se colle à Yoann. Son cul se relève et j'ai juste à plier un peu les genoux pour positionner mon gland. Gentiment mon ancien partenaire vient lui faire respirer le poppers et quand je le vois changer de couleur, je le défonce. Ce coup-là, mon partenaire laisse échapper un cri qui rapidement se transforme en gémissement étouffé par la bouche de Yoann.
Je suis gentil, c'est mon deuxième prénom !! Je le laisse s'habituer au volume qui lui remplit le cul avant de me mettre en mouvement. Quand Yoan laisse retomber ses épaules sur le lit, un des terminales restant l'enjambe et enfonce sa queue dans la gorge de mon enculé. Si ce n'était pas ses pratiques usuelles, je sens que ça va le devenir ! Après avoir subi passivement la situation pendant quelques instants, il se met à participer. Ses mains se posent sur les fesses de son pote pour assurer la stabilité de sa pipe. Son bassin bascule d'avant en arrière pour limer Yoan et se faire limer par moi. Bientôt ses 3 partenaires n'ont plus qu'à le laisser gérer. 10/15mn suffisent pour qu'il jute au fond de Yoann, qu'il me laisse juste le temps de sortir pour que je lui recouvre le dos jusqu'aux cheveux de mon sperme et que je le vois avaler la production de son pote sans y parvenir tout à fait !
Après les douches, les trois jeunes nous laissent et je débriefe avec les terminales.
Je les rassure sur le fait que je ne suis pas venu leur interdire de baiser les 3 jeunes. Je leur demande comment se passe la vie sexuelle d'un jeune homo sur Rennes.
Les deux que j'ai baisés, sont plus diserts que leurs comparses, et quand ils en ont fini avec les différents lieux de rencontre et du type de mecs sur le " marché ", je les retiens encore un peu.
Effectivement, notre proximité de tout à l'heure a baissé chez eux les barrières de la différence de situation qui perdurait avec les deux autres.
Majeurs, je leur propose un apéritif. Sur mon smartphone je relis leurs deux dossiers. Ils cherchent un peu à en savoir plus sur moi. Je leur cède quelques infos : cousin de Yoann, entrepreneur, bien sûr homo même si je sais baiser les meufs, 4 maris. Là ils sont sciés et je m'explique un peu plus. Mon premier mec qui a 51ans + PH, Ludovic et Ernesto qui sont dans mes âges. Ils n'avaient jamais imaginé que ce type de relations puisse exister.
De mon côté je complète les dossiers mais à la marge, vu comme ils sont complets. Hobereau désargenté et bourgeoisie décadente, s'ils sont de bonne famille, ces dernières ne sont plus aussi argentées que par le passé. Pour preuve les deux futurs bacheliers se dirigent vers des filières courtes en vente et commerce alors que leur niveau leur permettrait des études d'ingénieurs.
Ma proposition en est d'autant plus alléchante. Ils comprennent vite les dessous des contrats et ne se choquent pas de devoir baiser avec des quadras et quinquagénaires.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!