Mes dépucelages

Chapitre -02 : Billard à deux bandes

Dans notre groupe d'une dizaine de potes qui trainaient ensemble à la fac et se retrouvaient régulièrement, nous étions trois ou quatre à baiser plus qu'à notre tour, à couilles rabattues, à chaque occasion. Il y en avait un pourtant que je n'avais jamais ramoné : Jean, avec un cul à se damner, toujours moulé dans un jean bien serré. On s'était gamellés, paluchés. Mais il était tout aussi résolument actif que moi. J'avais tenté le coup une ou deux fois et lui avais clairement signifié que c'était son cul que je voulais... je m'étais fait jeter systématiquement.

Ce jour-là, chez moi, nous étions six ou sept à écouter de la musique. J'avais aussi invité Maxime, récent dans notre petit monde. Je savais que Jean avait des visées sur lui. Je le comprenais : Maxime avait une belle petite gueule de mec, un beau brun, mince et néanmoins musclé. Sauf que Jean s'y est pris comme un manche, attaquant Maxime de front dans un coin en lui pelotant le cul. Il s'est fait envoyer paître en beauté. Et c'est là que je me suis dit que j'avais une carte à jouer.

J'ai rattrapé Maxime alors qu'il franchissait la porte, en lui disant que Jean avait déconné, mais que lui ne pouvait pas me laisser en plan comme ça. Je l'ai emmené jusqu'à la cuisine dont j'ai fermé la porte. J'ai récupéré dans le frigo une bouteille de champagne : " C'est pour toi, pour fêter notre rencontre. Et comme je veux que tu connaisses toutes mes pensées, on va boire dans la même coupe. Promets-moi seulement que tu feras la paix avec Jean. " " OK, c'est promis. " M'a-t-il répondu. Je lui tendu la coupe, mes doigts se posant sur les siens tandis qu'il la saisissait et commençait à boire. J'y ai trempé les lèvres à mon tour sans lâcher son regard, mon visage à quelques centimètres du sien. C'est tout naturellement que nos lèvres se sont rejointes et que j'ai commencé à l'embrasser, puis à le caresser en prenant tout mon temps. Ma main s'est posée sur sa braguette : sa queue était déjà raide dans son jean. Nous nous sommes dessapés mutuellement, au rythme des caresses.

Il m'a embrassé le cou, est descendu sur mon torse, léchant et mordillant tour à tour. Sa langue était chaude sur ma peau. Vous imaginez l'état dans lequel j'étais quand ses lèvres ont rejoint ma queue. Dure comme du béton, collée à mon ventre, presque verticale. Au point que j'ai failli exploser lorsqu'il l'a enfournée. Je me suis repris, concentrant tous mes efforts à savourer le plaisir qu'il me donnait. Il alternait les moments où il se donnait à fond sur l'engin, allant et venant avec sa bouche comme fourreau de mon morceau, et les attentions plus douces, léchant tout du long, avalant mes couilles une à une et les chauffant avec sa langue. Je l'ai relevé et l'ai positionné à angle droit sur la table, m'offrant son cul, le dos bien cambré. Je me suis mis à lui bouffer la rondelle. J'avais rarement eu droit à quelque chose d'aussi appétissant : des fesses joliment dessinées, une marque de bronzage bien nette, un cul totalement imberbe, une pastille que je sentais s'ouvrir sous ma langue. Le temps d'enfiler une capote, et j'ai approché ma teub de sa rondelle, tout en lui susurrant à l'oreille d'une voix rendue rauque par le désir : " Je vais te la mettre bien profond mec, je vais te ramoner jusqu'à ce que tu hurles de plaisir. " " Oui, viens, prends-moi. " m'a-t-il répondu dans un soupir. Je n'ai pas eu de mal à le pénétrer à fond, preuve qu'il avait de l'entraînement. Je l'ai niqué à grands coups de boutoir, la table bougeant au rythme de mes allers-retours. Il a joui sans même que je lui touche la queue et ses gémissements m'ont fait décoller à mon tour et remplir la capote à gros bouillons.

Il m'a fallu une ou deux minutes pour reprendre mes esprits. " Tu ne bouges pas, Maxime, je vais faire en sorte que tu puisses tenir ta promesse pour Jean. " J'ai enfilé mon caleçon, rejoint la porte du salon et fait signe à Jean de me suivre. Il a découvert Maxime toujours dans la même position, le cul offert. Et c'est là que j'ai abattu mes cartes : " Si tu veux, il est à toi, je te l'offre. Mais tu sais ce que ça veut dire... Ça veut dire que tu y passes toi aussi, et que je m'occupe de ton cul ! " Ses yeux se sont chargés de colère. Puis il a regardé le cul de Maxime. J'ai bien vu qu'il en mourrait d'envie. " D'accord, s'est-il décidé, mais vas-y en douceur alors. " Il a demandé à Maxime de se retourner et de s'allonger sur le dos. Maxime a obtempéré, visiblement excité par la situation. Jean lui a relevé les jambes et l'a pénétré sans mal : il faut dire que j'avais préparé le passage. Je n'ai pas demandé mon reste et me suis attaqué au cul de Jean que ma langue a bien lubrifié. Je le sentais tout étroit, et j'y suis allé progressivement, massant sa rondelle d'un doigt, le faisant coulisser au plus profond, rejoint par un deuxième doigt, puis par un troisième. Ce n'est qu'après plusieurs minutes de ce régime que j'ai encapuchonné ma teub et que j'ai posé mon gland sur sa rosette. Il a interrompu ses va-et-vient dans le cul de Jean et a accompagné du bassin ma pénétration. Nous avons repris en rythme tous les trois. Ayant giclé quelques minutes plus tôt, je me sentais capable de tenir la durée, mais son fourreau était tellement étroit qu'il compressait ma queue : chacun de mes mouvements générait en moi la montée de sensations de plus en plus fortes. " Qu'est-ce qu'il est bon ton cul ! C'est vraiment le meilleur que j'ai jamais baisé. " Il a tourné son regard vers moi, ses yeux vert clair chavirés : " J'aime ça. Continue. Baise-moi ! " J'ai continué à le limer plusieurs minutes, alternant les moments de calme chevauchée et les accélérations. Je me suis retiré au moment de jouir et lui ai arrosé le cul et le dos à grands jets.

La cerise sur le gâteau, ça a été quelques jours plus tard, quand nous avons remis ça tous les deux et que je l'ai défoncé sur le canapé et bien fait couiner de plaisir devant nos potes, ébahis qu'il ait cédé et fait allégeance.