- J'ai remporté le match !
- Tu rêves, c'est moi qui t'ai soumis ! répond Luc
- Bien je crois qu'il vaudrait mieux faire une pause...
Nous gagnons la cuisine et le café aidant nous nous trouvons beaucoup de points communs. Luc a de la culture, mais la discussion tourne bientôt sur le sexe. Luc aime dominer et soumettre par la lutte son adversaire. Ensuite pour bien lui prouver qu'il est le plus fort il l'encule.
Luc indique qu'il a déjà gagné et baisé plusieurs mecs, mais quand il a parfois perdu, les mecs pourtant gays ne l'ont pas baisé, ils venaient simplement lutter.
- et bien pour moi c'est exactement pareil, je réponds, mais je ne kiffe plus trop les combats gagnés d'avance et encore moins les passifs exclusifs.
- Et bien moi ce n'est pas le cas, je suis actif et passif seulement si on me domine. On remet ça, dit Luc en se malaxant le paquet. J'ai maintenant envie de visiter ton trou, ça fait 15 jours que je n'ai pas baisé et ça va être ta fête.
- on remet ça ! c'est ton cul qui va prendre, pour me baiser il va falloir me soumettre, je réponds
Nous revoilà sur le tapis, Luc place sur un côté une boite de capote et du gel.
- tu vois ce qui t'attend... tout est prêt.
Debout face à face, ensemble on se place les bras dans le dos et chacun serre. Il pousse fort, je recule et progressivement je me trouve plaqué le dos au mur. Mes bras quittent son dos pour me sortir. Il attrape au passage mes deux mains avec les siennes, me donne de violents coups de paquet contre le mien. Je sens sa bite dure frapper mon paquet.
- alors mec on apprécie l'homme ?, je vais te défoncer le cul !
Je le laisse faire, sa bête a réveillé la mienne. Je sens que je bande, mais mon dos qui tape sur le mur commence à être douloureux, je dois rompre. Je crochète une de ses jambes, et il tombe sur le dos. J'accompagne et je suis sur lui. Je lui donne de grands coups de ma bite. Il me laisse faire un peu puis commence à sortir de l'immobilisation. Je le laisse progresser et habilement je passe mes jambes autour de son corps, croise mes chevilles et verrouille en serrant mes cuisses. Il résiste bien, mais lentement il marque un peu de souffrance. Il ne peut pas bouger, je le tiens par la souffrance et mes mains sont libres ! J'en passe une dans son slip sort sa queue et le branle.
Elle est plus grande que la mienne, mais heureusement, s'il gagne, son diamètre ne semble pas beaucoup plus gros 6 je pense, contre 15 X 5,5 pour moi. Mais c'est bien dur, tout à fait apte à m'enculer.
- ah salaud !
- hum voilà une belle bite, elle ne va pas être contente de toi
- je n'ai pas dit mon dernier mot
Je lâche sa queue et baisse son slip. Je sens qu'il arrête de résister. Je le libère complètement, je me lève. Lui pour récupérer, reste sur le dos. Sans un mot j'enlève son slip et retire le mien. Il se relève et nous reprenons le combat comme au début mais nus et en érection.
Cette fois plus de poussée, direct, il me crochète une jambe et je tombe sur le dos, Luc sur moi. Il est entre mes jambes et me tient la tête et un bras. Mais je contrôle assez bien la situation.
Ne pouvant progresser il commence à me pilonner avec son sexe tendu, un cockfighting en règle... à la vache ! Au début c'est agréable, mais à la longue devient douloureux, je monte un peu mon bassin pour échapper ma bite des coups de la sienne. Mais il est malin et expérimenté dans la lutte nue. Au lieu de monter pour continuer son cockfighting, il descend et le bout de sa bite se place sur mon anus.
- alors tu sens bien ma bite ? Je vais te ramoner le cul avec.
Comme promis, il arrête ses mouvements brusques et pèse lentement sur mon anus. Il commence juste à entrer, mais brutalement je roule sur le côté. Surpris il roule de l'autre et on est séparé. On se précipite bite dressée, avides de sexe l'un sur l'autre, il est dessus, je suis dessus, roule et roule... Il a moins de technique, j'ai le temps de réfléchir et remarquant qu'il fait toujours la même erreur, je le stoppe sur le ventre et je m'allonge sur lui. Doublé Nelson avec ma bite placée sur ses fesses. Si je viens en position de le pénétrer sans qu'il puisse se défendre j'ai gagné.
Il serre ses fesses à fond, j'ai beau pilonner pas moyen de parvenir à le forcer, elle a beau être dure, ce n'est pas du bois. Dépité je suis contraint de lâcher mon doublé Nelson peu efficace et m'assoie sur son dos. Il se met à 4 pattes, je me place sur le côté pour le renverser et ça repart.
N'arrivant à rien, histoire de vérifier sa volonté, délibérément je me place sur le ventre pour le provoquer, il en profite et s'allonge sur moi. Je suis prêt et je m'attends à son doublé Nelson, mais non, il ne fait pas. Sa bite tendue est sur ma raie. Il pilonne simplement mes fesses bien serrées.
- alors ma pute tu la veux !
Ses bras sont maintenant de chaque côté de mes épaules, il a posé ses mains sur le sol et se dresse, ses pieds écartés de même. Il se trouve comme s'il faisait des pompes avec son sexe à la verticale qui essaie de forcer mon fessier que je durcis. Je suis perplexe, que faire ?
Il ne me tient même plus et je ne sens que le bout de sa bite qui percute mes fesses encore et encore.
J'ai maintenant envie d'en finir, de reprendre le combat le mater et lui défoncer son cul. Je prends appui sur mes mains et commence à me mettre à 4 pattes. Mais avec une habilité et une vitesse qui me surprennent, il en profite et avec une dextérité stupéfiante :
-recule légèrement et place un bras autour de ma taille,
-son autre main est libre,
-elle écarte ma fesse droite et guide son sexe vers mon trou
-le gland rentre légèrement,
-Je sens mon anus qui cède, j'ai ENVIE d'être enculé !
Ses deux bras sont maintenant croisés et serrent fort sur mon nombril, je tombe sur le ventre, il suit.
Je suis fait, son sexe est placé, il est agrippé à moi telle une pieuvre, il sert tellement fort que je ne peux m'échapper, il peut me pénétrer immédiatement s'il le veut. Je n'ai rien pu faire il a été le plus déterminé et le plus malin.
- Soit tu admets ta défaite soit je t'encule direct sans capote et sans gel
Je ne réponds rien. Il hésite puis appuie légèrement, son gland entre légèrement, je n'ai plus le choix.
- OK j'ai perdu, tu es le mec !
Il se lève et se dirige vers les capotes, sourire aux lèvres il en met une sur son sexe tendu, revient vers moi et m'introduit le gel avec ses doigts, un... deux qui me sonde.
Quand il le juge assez dilaté et prêt :
- à 4 pattes !
J'obéis, on se replace dans la position qui a vu ma soumission et son sexe reprend le chemin, il rentre lentement jusqu'à la garde.
Le gland passe, un peu de douleur, ensuite la sensation d'avoir le cul rempli.
- tu en es où ? (car j'ai peur d'avoir mal)
- mais je suis entré à fond j'ai mes couilles qui touchent, je t'encule, mec !
Il est bien au fond et savoure sa victoire. Ses vas et viens commencent, amples, j'encaisse, mais progressivement mon anus se détend. Je sens bien son gland qui me masse la prostate, mon sexe est archi dur. Ses mouvements deviennent maintenant plus faciles, sa bite est plus à l'aise, il le sent et décide de me finir.
Il me pousse sur le ventre, je chute,
il me pilonne alors plus vite, mes jambes tendues sont bien écartées je m'abandonne, je suis sa femelle.
Le choc de ses mouvements écrase mon sexe sur le tapis. Je bande toujours à fond par la sensation de mon cul bien rempli. Des sons rauques fusent de Luc et de moi, ses vas et viens sont devenus très rapides. Son ventre claque sur mes fesses sans arrêt. À ce bruit dominateur, il crie des " TIENS, TIENS ". Puis, d'un seul coup il s'arrête au fond et je sens les spasmes de sa bite qui décharge son flot.
- AH PUTAIN QUE C'EST BON
Moi je ne dis rien.
Au bout de quelques minutes, il sort. Sans un mot il enlève la capote pleine de sperme, me tourne sur le dos et s'approche de ma bouche en me chevauchant. J'ouvre, il place sa bite moins tendue dedans, je le malaxe avec ma langue, humiliation finale du nettoyage.
- Voilà tu vas pouvoir écrire en commentaires que je suis le gagnant et comment tu as perdu sur ton blog. On remet ça quand tu veux, t'enculer a été un vrai plaisir et je le referais volontiers. Tu as trouvé ton mec, on est pas loin, je t'encule tous les jours si tu veux.
Il quitte la salle et passe dans la salle de bain, je le suis, douche mutuelle. Sous l'eau chaude il a pitié de mon érection intense, il me met 2 doigts et me branle avec son autre main. Rapidement je me vide. Mon foutre s'écoule par la bonde... Je suis vaincu, humilié, enculé, mais il fallait bien répondre à ce défi.
- Si tu veux m'enculer, il faudra que tu me soumettes, mais à chaque fois c'est moi qui te ramonerai après t'avoir battu.
- On verra bien
Je repars très vexé, mais la prochaine fois je me promets de le soumettre et il gueulera quand ma bite défoncera son cul sans aucune pitié.
Lutte
paul.vincent27@gmx.com
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