Cet été-là, je venais d'avoir 18 ans. J'avais travaillé toutes les vacances pour pouvoir me payer mes études d'histoire de l'art. Puis à la fin aout, j'avais décidé de partir une petite semaine sur la côte Atlantique en espérant me faire dépuceler.
Mais après 5 jours, le retour était prévu le lendemain. Si j'avais rencontré des garçons de mon âge, nous n'avions jamais été plus loin que des baisers et des caresses à cause souvent de conditions pas optimales.
La veille de mon départ, j'avais choisi de diner dans un restaurant bordant la plage pour achever mon séjour en beauté. Je me rendis compte que j'avais bien fait de réserver, car l'établissement était bondé et des gens faisaient la queue pour une table. Une fois installé, je regardais le menu qui me faisait très envie. Le maitre d'hôtel s'approcha embarrassé :
- Je vous prie de m'excuser. Nous avons un petit problème. L'homme à l'accueil avait réservé une table et nous avons oublié de la lui mettre de côté. Auriez-vous la gentillesse de l'accueillir à votre table ?
L'homme d'une cinquantaine d'années était grand, environ 1m90, avait les cheveux courts poivre et sel. On sentait la personne dynamique et cultivée qui s'entretenait physiquement. J'acceptais ce repas à deux qui me permettrait certainement d'oublier ma mélancolie.
Il s'approcha et me serra la main :
- Bonsoir, Guillaume. Merci de me permettre de manger en votre compagnie.
- Bonsoir, Tristan. Enchanté.
Nous installâmes et commençâmes à faire connaissance. Il dirigeait une entreprise de commerce international et logeait à quelques pas dans une villa prêtée par des amis. La soirée s'annonçait très sympathique tant la discussion s'avérait facile. Après la flute de champagne offerte par la " maison ", nous mangeâmes un plat de poisson.
En attendant le dessert, je m'éclipsais aux toilettes. Alors que j'urinais, Guillaume me rejoignit. Je profitais du moment où il sortit son sexe pour jeter un coup d'oeil. La surprise ! Un énorme pénis ! Au moins 18 cm au repos et d'un beau diamètre. Je n'avais pas été très discret :
- Tu as l'air d'apprécier le spectacle.
Évidemment, je ne sus quoi répondre et me mis à rougir. Je bafouillais un non peu convaincant et retournait en salle.
Avec le dessert qui nous fut servi, ma gêne s'évapora. Je n'avais plus qu'une idée : finir ce repas et rentrer me coucher tout en fantasmant à mort sur ce que je venais de voir. Mais, je n'eus pas le temps de me remettre de mes émotions. Guillaume m'interrogea avec un sourire aux lèvres :
- Tu as l'air d'aimer les hommes ?
Je faillis recracher l'eau que j'étais en train de boire. Une fois de plus, je bafouillais une réponse peu convaincante. Il enchaina :
- Je parie que tu es puceau ? Il n'y a pas de quoi avoir honte. On est tous passés par là.
Il me raconta très naturellement comment s'était déroulée sa première fois dans l'internat de son lycée. J'écoutais son expérience en me disant que cela pourrait me servir un jour.
Le repas s'acheva sur cette discussion surprenante.
Une fois sortis du restaurant, alors que nous allions nous séparer, il me fit une proposition :
- Veux-tu boire un dernier verre ?
Évidemment, pas besoin d'être mage pour comprendre où il voulait en venir. Je n'hésitais pas longtemps.
Après une centaine de mètres d'une marche silencieuse, je découvrais une villa somptueuse. Il ouvrit la porte et me laissa entrer. J'eus à peine le temps de voir l'entrée que je me retrouvais plaquer contre le mur. Je vis le désir dans ses yeux. Il n'avait plus rien à voir avec l'homme cultivé. Ce n'était plus qu'une bête de sexe avide de plaisir. Sur l'instant, je fus tétanisé ne sachant comment répondre à son désir. Il approcha ses lèvres des miennes et m'embrassa à pleine bouche. Ses lèvres charnues me dévoraient. Tous mes baisers précédents me parurent insipides face à ce que je ressentais sur le moment. De sa langue, il me pénétra, jouant avec la mienne dans un véritable ballet.
Quand il relâcha son étreinte, j'étais déjà essoufflé. Il me regarda dans les yeux et me proposa de monter à l'étage pour rejoindre la chambre où nous serions plus à l'aise. Il me prit par la main pour m'indiquer le chemin.
Je me sentais tout tremblant sachant bien que les vidéos X que j'avais pu regarder sur le net ne me seraient d'aucune utilité face à cet homme.
Nous nous allongeâmes sur le lit et reprîmes nos baisers. Ses mains commençaient à me caresser tout le corps puis passèrent très vite sous mon polo. Je me sentais maladroit, pas foutu de lui rendre la pareille.
Pourtant, peu à peu, je me détendis, prenant un peu plus d'assurance. Je me retrouvais torse nu. Il me titillait un téton de sa langue agile et me pinçait l'autre avec dextérité.
- Tu as l'air d'apprécier, petite salope !
Sa vulgarité, contre toute attente, m'excitait davantage. Je gémis d'une voix que je ne reconnus pas :
- Oh oui ! Continue.
Je n'avais pas besoin de lui dire, il savait très bien ce qu'il avait à faire. Nous nous retrouvâmes en sous-vêtement : moi, en boxer et lui, en slip. J'étais hypnotisé par l'énorme paquet que cela laissait deviner. Il m'appuya sur la tête pour que ma bouche se retrouve au niveau de son sexe.
- Vas-y, lèche-moi ! m'ordonna-t-il.
Ma langue commença à découvrir sa bite et ses testicules à travers le tissu. Il me plaquait le nez dessus. J'appréciais ses odeurs de mâle en rut. Je léchais avec entrain et sentais grossir cet énorme sexe qui commençait à déborder. Après quelques minutes, n'y tenant plus, je baissais l'élastique pour apprécier enfin le monstre. Il faisait partie des plus gros que j'avais aperçus sur le web. Il devait faire pas loin de 25 cm sur un diamètre impressionnant. Je le pris en main pour le masturber. Je voulais le prendre en bouche tellement excité par l'objet, mais il m'indiqua le chemin à suivre :
- Commence par les couilles ! Lèche-moi !
De ma langue, je les fis rouler puis j'en pris une en bouche. Il avait l'air d'apprécier. Après ce hors-d'oeuvre, j'en voulais plus. Après avoir déroulé un préservatif XXL, je titillais son gland puis je me lançais dans ma première fellation. J'essayais d'en prendre le plus en bouche, mais cette bite était vraiment trop énorme. Je multipliais les va-et-vient sur son sexe.
C'est alors qu'il m'appuya sur la tête et d'un coup de bassin, me pénétra jusqu'aux amygdales. Je crus étouffer tant j'étais rempli. Il relâcha la pression et je pus enfin respirer.
- Voilà ta première gorge profonde. T'es doué comme petite pute, me dit-il un sourire au coin. Tu veux aller plus loin ?
Chaud bouillant, je m'entendis lui répondre :
- Je te veux en moi. Vas-y, prends-moi !
Cela risque de faire mal, mais je vais bien préparer ton petit trou serré. Je parie que tu vas couiner comme un petit puceau !
Il me plaça sur le dos et se mit à jouer de ses doigts avec mon anus. Bien lubrifié, il y rentra un doigt, puis deux et même trois. Mon sphincter se détendit peu à peu.
Il présenta alors sa grosse matraque à l'entrée. Je compris que cela ne rentrerait pas comme cela. Il appuya un peu, mes jambes sur ses épaules. Mais me voyant grimacer, il relâcha la pression. Il recommença en ayant ajouté du lubrifiant. La douleur fut terrible, je criais, lui demandant d'arrêter. Il ressortit pour mieux rentrer de nouveau, la douleur s'était un peu estompée. Je me tenais aux draps en jappant comme une chienne. Je ne voulais surtout pas qu'il s'arrête.
Le plus dur est fait. Maintenant tu vas prendre beaucoup de plaisir.
Il commença des va et viens tout doucement puis de plus en plus rapidement. Il variait les coups de bassin me faisant pousser des cris à chaque fois.
- Je te l'avais dit que tu couinerais. T'aimes ça, hein ?
- Oh oui ! Continue !
J'étais totalement en extase. Je haletais, essayant de reprendre mon souffle. Il me proposa de changer de position. Il me mit à quatre pattes et me pénétra à nouveau. Cette fois, il allait encore plus profond. Il me baisait comme un sauvage, je sentais ses couilles venir frapper mes fesses. Je n'arrivais plus à supporter ces sensations. Je m'allongeais à plat ventre et il continuait à me pilonner le trou avec vigueur. Il accélérait la cadence puis ressortait totalement avant de me pénétrer jusqu'à la garde ce qui me faisait crier de plaisir. Il jouait avec moi, modulant le rythme pour m'amener avec l'extase.
Je sentis que j'allais éjaculer sans même me toucher. Je me raidis et contractais mon anus autour de son pénis. Je crachais quatre jets de foutre au moment où il fit claquer ses couilles sur mes fesses en me faisant pousser un cri de jouissance. Il remplit abondamment le préservatif dans un râle de mâle en rut.
Il me laissa sur le lit tout pantelant. Il revint avec deux verres.
- On trinque à ton dépucelage ! Santé !
- Merci. C'était mieux que ce que je pouvais imaginer. Encore merci !
Une fois nos verres finis, il prit une douche et me proposa d'en faire de même. Puis, nous nous quittâmes après un dernier baiser.
Le lendemain, avant de prendre mon train en début d'après-midi, je décidais de retourner à la villa. Je sonnais et... découvris une femme à la porte.
- Bonjour, je voulais saluer Guillaume, mais j'ai dû me tromper de maison. Désolé du dérangement.
- En effet, je reviens de vacances ce matin.
Ma première fois s'était déroulée avec un homme mystérieux que je revis quelques années plus tard dans d'autres conditions.
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