(histoire réelle)
Chapitre -01 - Présentations
Je me présente. Jérémy, 24 ans. Je suis plutôt grand (1m80) et bien bâti (80 kg). Un torse et des épaules larges (merci la natation depuis mes 8 ans). Un visage plutôt rond aux yeux verts, une bouche charnue. Châtain-blond, j'ai souvent les cheveux coiffés très courts. À 18 ans, je me suis fait poser un piercing sur le sourcil gauche et sous la lèvre inférieure. Un joli tatouage en forme d'ailes d'ange orne mes omoplates. Je suis légèrement poilu sur le torse et le pubis, mais je me rase très régulièrement, ne gardant des poils qu'au niveau des jambes et des cuisses, que j'ai musclées.
Côté sexe, la nature m'a plutôt gâté, avec une jolie queue assez épaisse et longue (10 cm au repos, 18 cm en érection) qui surmonte deux petits testicules à l'abri dans leur nid douillet et lisse. Lorsque je bande, mon gland se décalotte doucement de lui-même, surgissant progressivement sous les replis du prépuce, rouge et luisant, légèrement humide en son ouverture. De ce qu'on m'a dit, ma bite en érection présente une jolie courbure, vers le haut, pointant vers mon nombril.
Je suis né et ai grandi en Bretagne. Enfant unique, mes parents ont décidé il y a une quinzaine d'années d'adopter un petit garçon de deux ans mon cadet, Juan. Ils l'ont rebaptisé Yohan. Originaire d'Amérique du Sud, il est arrivé en France à l'âge de 6 ans. À 22 ans aujourd'hui, c'est mon petit frère adoré, je l'ai toujours considéré comme tel. Bien plus petit que moi (il fait 1m65 pour 70 kg environ), je l'ai toujours trouvé craquant. Très brun, les yeux noirs, il a une bouche superbe, des dents parfaites, des lèvres légèrement ourlées qui laissent apparaitre un sourire lumineux. Il a toujours su me faire craquer, me faisant céder par son sourire à ses caprices lorsque nous étions enfants. Sa peau mate est totalement imberbe, sauf autour de son pénis.
Prenant parfois notre douche ensemble lors de notre enfance, j'ai pu admirer pendant ces nombreuses années ses jolies fesses rondes et bronzées, et sur le devant, cette petite queue brune si pleine de vie, qui parfois sous les caresses involontaires du gant de toilette, se dressait fièrement, modeste en taille mais vigoureuse et dure.
Aujourd'hui, à 24 ans, je suis en Fac de Maths à Rennes où je prépare un Master. En cet après-midi torride de juin, Rennes étouffe de chaleur sous la canicule dont tout le monde parle. Je dois rester jusqu'à la fin du mois, car je donne des cours particuliers à plusieurs étudiants et étudiantes de Terminale et de Licence. La torpeur qui s'empare de la ville ne m'épargne pas aujourd'hui et m'enlève toute volonté de sortir ou de travailler. Je suis allongé, nu, sur le petit lit de ma piaule d'étudiant. Le ventilateur au pied du lit vrombit doucement, amenant un semblant de fraicheur. Les jambes écartées pour m'aider à rafraichir mes cuisses et mon sexe à demi bande, les yeux clos, je passe la langue sur mes lèvres à intervalles réguliers pour les humecter et les empêcher de se craqueler. Soufflant doucement par le nez, je fais aller et venir distraitement mon pouce et mon index le long de mon sexe qui s'éveille doucement, lui aussi accablé de chaleur. Je n'avais pas envie de me masturber au départ, m'allongeant pour tenter de trouver un peu de fraicheur.
Maintenant, je dérive entre sommeil et éveil, indécis, hésitant entre me donner ce plaisir qui, je le sais depuis toujours, m'emportera pour quelques secondes d'oubli, ou me laisser aller et m'endormir pour quelques heures où je pourrai oublier la chaleur et les soucis. Sans même m'en rendre compte, mes pensées se font plus sensuelles, à mesure qu'une tension impalpable et croissante s'empare de mes cuisses, de mon ventre et de mon sexe. Elles dérivent lentement mais surement, vers ces corps de filles et de garçons que j'ai désirés et parfois aimés toutes ces années. Lentement, un visage émerge et se distingue parmi eux, celui si doux et souriant de Yohan, mon frère, mon premier amant...
Je murmure " Je t'aime Yohan, mon Yohan... mon frérot chéri. " Des larmes coulent lentement entre mes paupières. Désir, manque, envie, amour... " J'ai tellement besoin de toi. Que fais-tu ? Où es-tu ? ". Des souvenirs me reviennent en rafale. Ceux de nos premiers émois entre garçons, de nos deux jolies queues fièrement dressées l'une contre l'autre, sous la douche, la mienne libérant sa semence et inondant son ventre, la sienne si dure, bien que juvénile et ne pouvant encore se libérer et jouir.
Ma bite est maintenant très dure, je bande à fond. Elle a pris toute son ampleur et déploie ses 18 cm à présent. Un filet de mouille sort de mon gland. Je m'en sers pour m'en enduire le sexe sur toute sa longueur, et faciliter le glissement du prépuce sur le gland. Je serre mes fesses, au rythme de ma masturbation. Bientôt, je sens comme une douleur poindre à l'intérieur de moi, profondément dans mon ventre. Je connais cette sensation. La douleur grossit et grossit en moi, comme une boule, se transformant progressivement en plaisir.
J'empoigne ma queue à mi-hauteur et la serre très fort en continuant mes mouvements de va-et-vient, de plus en plus rapidement. Des fourmillements apparaissent à la surface de mon scrotum, un doux frisson familier... Je me lâche, dans la solitude de ma chambre de bonne, grognant et soufflant sans me préoccuper du bruit que je fais. " Yohan, viens.. Viens... Donne-moi ta jute, frérot. " J'imagine mon frère, qui peut-être se branle au même instant. Les yeux fermés, je vois nos deux queues jouissant à l'unisson. Cette vision claire mais fugace déclenche en moi, je le sais, l'orgasme salvateur que rien ne pourra endiguer désormais. Le point de non-retour est franchi. Je ralentis à présent le mouvement, naviguant pendant quelques minutes au bord de la jouissance, ralentissant et même arrêtant le mouvement dès que je sens la semence affluer à l'intérieur de mon ventre, le reprenant de plus belle lorsque je sens l'orgasme s'éloigner.
La tension devient insoutenable. Le besoin de jouir et de me libérer est à son comble. Je serre les fesses de toutes mes forces, décollant le dos du matelas et tendant ma bite vers le ciel, comme si je voulais atteindre le plafond. Je sens le sperme progresser à l'intérieur de moi, s'accumuler à la base de mon sexe et attendre le signal de l'éjaculation, que ne tardera pas à donner mon cerveau. À ce moment, le majeur de ma main libre, que j'ai d'abord introduite entre mes lèvres, vient caresser les bords de mon petit trou, par en-dessous, entre mes fesses maintenant desserrées et offertes. Le bout de mon doigt décrit doucement ses cercles appuyés autour de mon anus, puis s'y introduit de quelques centimètres, sans forcer.
C'est le signal. Dans un dernier râle, je sens les parois de mon rectum se serrer puis se desserrer brutalement autour de mon doigt emprisonné, alors que j'expulse plusieurs jets de sperme. Mes pensées s'agitent, désordonnées et intenses. Le premier jet de semence éclabousse ma poitrine. Le second atterrit au-dessus de mon menton, je sens même son petit goût salé sur le bord de mes lèvres où quelques gouttes laiteuses se sont déposées. Mais la jouissance ne cesse pas. Cet orgasme est si intense, si long, c'est rare et j'en profite au maximum, sachant que les moments qui suivront me rendront amer et déçu. Je me tortille sur les draps, le doigt toujours entre les fesses et la main serrant ma hampe jusqu'à la douleur. Les spasmes de mon rectum et de ma queue se calment déjà, je reprends doucement mes caresses pour recueillir les dernières sensations avant que le plaisir ne s'éteigne une nouvelle fois.
Reprenant peu à peu mon souffle, je continue à masser mon sexe, en faisant sortir les dernières gouttes de sperme. Je porte mes doigts à mon nez pour en respirer les effluves marins. Je me lèche le bout des doigts délicatement, tentant d'empêcher les sentiments négatifs de s'accrocher à mon esprit. Je me lève et parcours les quelques mètres qui me séparent de la cabine de douche, prenant bien garde à ne pas laisser s'échapper quelques gouttes de semence sur le parquet flottant.
Le jet tiède de la douche me ramène peu à peu à la réalité. Je m'assois en tailleur dans le bac à douche et laisse dériver mes pensées. Je repense à Yohan.
Yohan...
Soroco63
soroco63@orange.fr
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