Voilà, je vais vous raconter une histoire, mon histoire avec Kader que j'ai rencontré sur un site de rencontre en ligne bien connu.
Tout d'abord, je me présente, je m'appelle Nathan, j'ai 22 ans, je mesure 1 M 75 et pèse 70 kg.
Je suis brun, poilu, musclé et j'ai une bonne bite bien large bien entretenue. De temps en temps actif, mais essentiellement passif avec une bonne bouche de suceuse et une capacité à produire de la salive en très grande quantité, je mouille de la bouche comme personne. Tous les mecs me le disent et apprécient mes fellations baveuses que j'associe à des massages de couilles divins.
J'avais rendez-vous chez lui pour une soirée avec diner et plus si affinités, nous avions largement échangé via internet, et je lui avais adressé des photos de mes fesses serrées, galbées et poilues, tous disent qu'elles sont superbes et endurantes !!! Kader fantasmait sur elles et me disait qu'il voulait me creuser infiniment, ce à quoi, je répondais que cela dépendrait de sa queue que je ne connaissais pas puisqu'il n'avait pas voulu m'adresser une photo. J'allais découvrir une petite merveille...
J'arrive chez lui à l'heure convenue, Kader est un plus grand, plus fin et plus jeune que moi, il est étudiant, je le trouve très beau, brun, la tête rasée, les traits fins. Il me plait et je commence à bander, mais je fais un peu l'indifférent bien sûr ; de son côté idem, il ne laisse rien paraitre et m'invite à boire un verre dans un petit salon très coloré, nous discutons de manière sympathique et nous nous régalons des plats qu'il a préparés avec soin. Puis soudain, il se lève et vient derrière moi et me léchant l'oreille, il me glisse " maintenant, je vais te faire visiter ma chambre et je te préviens, je suis très très endurant et n'arrive à jouir qu'en me branlant, aucun cul, ni aucune bouche n'est suffisamment bon pour me faire gicler ".
Il me lance un défi et je vais le relever et je réponds du tac au tac " J'espère bien que tu es endurant et que tu vas me faire jouir du cul, après promis, tu ne te branleras pas, crois ma bouche fait des merveilles... ".
La valse des habits commence et je vois sous son slip bien moulant sa queue grossir en voyant mon corps galbé... elle devient de la proportion que j'aime, grosse, mais pas trop... alors je passe à l'action et lui chuchote, je vais commencer par la faire durcir un peu plus et tu me prendras direct quand je te le dirai ! Alors, je commence à bien masser son beau slip blanc, palper ses couilles à travers le tissu pour faire grossir la bête, embrasse son cou, son torse et laisse ma langue s'attarder sur son nombril, je salive déjà à l'idée de la prendre en bouche et je descends encore ma langue plus bas au niveau de la ceinture du slip que j'arrache d'un coup sec, laissant apparaitre le beau morceau cuivré, circoncis, un peu courbé vers le bas ventre, assez large et d'une bonne longueur. Je sens Kader soufflait de plus en plus, et je pose juste mes lèvres humides et entrouvertes sur son beau gland, je bouge très peu, quelques mouvements très lents, je sens qu'il aime, alors je commence à baver, ma salive s'écoule lentement le long de sa queue puis sur ses couilles, il aime oui, alors je descends le plus bas possible ma langue sortie arrive à lécher ses couilles totalement humides ; il commence à geindre, de petits couinements qui m'excitent totalement. Alors, je me retourne, je crache dans ma main et me mouille le trou et lui prenant la queue d'une main, je lui dis " viens maintenant, défonce ma petite chatte humide Kader, vas-y fort, je veux sentir ta queue cogner au fond de mon cul ".
Et là, j'avoue, j'ai pris un grand pied, ce beau mec était en train de me limer avec sa queue bien douce et bien mouillée, c'était divin, car mon beau cul mouillait tout autant. Très endurant, en effet, il m'a bien baisé pendant plus d'une demi-heure, mais ne pouvait pas jouir, malgré mes efforts pour serrer mon cul et balancer mes reins contre ses couilles. Rien n'y faisait, il fatiguait et je décidais alors de le finir en le suçant, je voulais absolument gagner mon pari et surtout gouter à son sperme.
Je commençais par tenter de l'exciter un peu plus en parlant et en criant " Oui, oh oui, OUI... Kader, Kader... c'est trop bon, oh oui... OUI c'est bon... vas-y pousse bien, elle coulisse bien ta queue, je vais la faire cracher, jute moi dans le cul, perfore mon cul, je sens que tu mouilles, que tu vas venir, je viendrais te lécher le gland, explose dans mon cul... Je sentais qu'il était bien chaud là ; Il cognait, cognait en gémissant... hum bébé, il disait, il est bon ton cul... mais rien ne venait alors que moi, ma propre voix m'avait complètement excité et je jouissais du cul, oh oui... je hurlais en mouillant... putain, OUI, OUI Kader avec ta grosse tige bien large, tu me frottes la prostate, c'est divin, t'arrêtes pas, hum c'est bon, tu me fais gueuler comme une salope, tes grosses couilles claquent, vide-les dans mon cul, putain... JE JOUIS, je me vide le cul, je te mouille totalement le sexe ! Oh KADER... ER
Alors d'un coup, j'ai remplacé mon cul, par ma bouche et juste avant d'engloutir sa queue, je lui ai dit de faire jouir ma gorge, je sens qu'elle est prête... et il m'a bien baisé la gueule oui, mais moi, aussi j'étais doué et ma bouche était remplie de salive et mes mains s'activaient sur ses mes couilles, un doigt dans son anus serré avec sa belle petite couronne de poils et là, j'ai senti que j'allais gagner, sa queue commençait délicieusement à convulser et puis, bonheur... les jets épais arrivèrent dans ma gorge, puis sur ma gueule, 4 puis 5 et 6 gros paquets de spermes et Kader maintenant hurlait aussi, putain c'est pas vrai, elle est trop bonne ta gueule d'ange baveuse... OUI, Oui, oui et un dernier jet arriva sur mes lèvres ravies.
Ce jour-là, j'ai gagné mon pari et je ne le regrette pas, car cette séance de baise était parfaite !!
Nicolas
nibern@gmx.fr
Autres histoires de l'auteur : Comment Kader a pris son pied | Le mec d'à côté | Nicolas et Bobo