C'est ce que je suis, c'est ce que je kiffe.
Suisse - 21 mars 2019 - 14h22
30 ans - 1m73 - 65kg - canton de Berne
Je suis chez moi, seul, en uniforme militaire suisse, mes bottes de l'armée aux pieds.
J'ai la queue dure, une envie de baiser ou de me faire baiser ou les deux. Mais tout le monde bosse à cette heure-ci.
J'en entends certains se dire : " Mais pourquoi il est en uniforme militaire à cette heure, ce gars ? "
Bah, en fait, je ne sais pas. J'avais envie d'être chaud, de bien bander et je me suis mis en uniforme. Et oui, je suis fétichiste des uniformes et des tenues moto. Et, oui, je suis motard aussi en plus de faire mon service militaire obligatoire.
Comme beaucoup, je vais me connecter à Grindr histoire de voir ce qu'il s'y passe. Et comme d'habitude, mis à part des mecs chauds comme moi, mais qui ne cherchent rien de réel, des mecs non fétichistes, bah il ne reste pas grand-chose. À moins d'être prêt à faire 4h de route pour aller rendre visite à nos chers voisins français, je me déconnecte et me fous devant la télé.
Ma queue n'arrête pas de bander, je mouille même dans mon treillis et comme je ne mets jamais de sous-vêtements, ça commence à être bien humide dans le pantalon !
Mon regard alterne entre la télé et ma bosse que je caresse à travers le treillis. Je ne pense plus qu'au cul. Je veux une bite de soldat ou un cul de soldat prêt à kiffer en uniforme bottes.
Je caresse aussi mes bottes militaires, imaginant tout le foutre qu'elles pourraient recevoir. J'imagine mon partenaire s'exciter comme un fou sur ma queue et se purger les boules sur mes bottes. Je deviens vraiment de plus en plus chaud. Cela m'obsède au plus haut point.
Soudain, la sonnette de ma porte d'entrée retentit, me faisant sortir de ce kiff en solo que j'étais en train de me faire.
Je descends l'escalier de mon duplex, la bite complètement raide et qui frotte à chaque mouvement de jambe contre mon pantalon.
J'ouvre le judas histoire de voir qui ose me déranger à ce moment-là. Pfff, c'est deux gonzesses, surement là pour vendre leur bible de merde. Je n'ouvre pas et fais le mort. Je les entends redescendre l'escalier métallique, surement dépitées de ne pas avoir récupérer un mouton égaré qui filera tout droit en enfer !
Et moi, je l'aime l'enfer, j'aime la débauche, le no-limite dans les kiffes. Juste kiffer entre mecs fétichistes et larguer un max de sauce virile.
Je retourne sur mon canapé, allongé, la bite sortie de mon treillis. Faut que je crache, y'a plus que ça qui compte maintenant. Je m'abandonne à mes fantasmes, fermant les yeux.
Je suis à l'école de recrues, au milieu d'une cinquantaine de soldats, tous en uniforme. J'imagine des bites bien dures, des couilles remplies à bloc et moi au milieu, la bouche et le cul ouvert à leur sperme, me faire souiller de jus, de partout et voir leur regard vicieux qui en redemande encore plus.
Mais pas de chance, la sonnette retentit une nouvelle fois. Putain, ils ont vraiment décidé de me faire chier aujourd'hui. Je suis dans un état mixte, entre excitation et colère.
Je descends les escaliers une fois de plus pour aller ouvrir la porte à ces emmerdeurs de première.
Je ne prends même pas garde à vérifier dans le judas qui se trouve derrière ma porte et d'un élan fracassant, j'ouvre ma porte vigoureusement. Et là, vous n'allez pas me croire, mais pourtant c'est bien vrai.
Un militaire en tenue camouflage et rangers bien visibles, bien cirées.
Il doit avoir dans les 22 ans, assez grand, fin, blond aux yeux bleus, une vraie gueule d'ange. Il a son arme dans le dos et son sac à terre.
" Bonjour, Sergent, c'est bien ici le Air B & B ? " m'interroge-t-il.
" Euh, oui, en effet, mais euh, je ne savais pas que quelqu'un était prévu aujourd'hui... "
" Ah, euh, j'ai une confirmation par email que je peux te montrer si tu veux. "
Il fouille dans son téléphone à la recherche de cet email et je profite de ce moment pour le regarder dans tous les sens, avec ma bite encore plus raide dans le pantalon. Je vais le baiser, ça se sent, jusque dans mes tripes.
Il me montre la confirmation et je comprends que mon colocataire a validé le truc sans m'en parler et qu'il va falloir que je gère ça à la dernière minute.
Je fais rentrer le soldat, referme la porte derrière lui et lui semble être comme à l'armée, en attente d'un ordre.
" Pose tes affaires ici, car je n'ai pas préparé ta chambre. Mon coloc a oublié de m'informer de ta venue, je te prie de m'en excuser. "
" Pas de soucis, je peux attendre sur la terrasse si tu veux. "
" On va boire un café et je m'en occuperai ensuite. "
" Je te suis ! "
Je fais monter mon invité en premier histoire de mater son cul et ses bottes qui, tous deux, me font envie comme jamais.
On va dans la cuisine et pendant que je prépare le café, le soldat me demande :
" Comment ça se fait que tu sois en uniforme et bottes chez toi ? "
" Je suis fan de l'armée et c'est ma tenue habituelle chez moi. Si tu souhaites garder la tienne, tu peux sans autre, ça n'est pas moi que ça va gêner. "
Il sourit et ne me quitte pas des yeux. On va sur la terrasse, on s'assoit et on commence à discuter, tout en s'allumant une clope.
Machinalement, je fais en sorte d'avoir ma rangers presque collée à la sienne, car je veux ce contact de bottes entre mecs virils et en uniforme.
Je remarque cependant que son regard vient souvent sur ma bite et sur mes bottes et là, je me dis qu'il y a moyen de s'amuser avec ce petit ange blond venu tout droit de l'enfer.
Je commence à me toucher la bite et au bout d'un moment, je remarque la sienne qui gonfle assez vite, faisant en sorte que son pantalon se tend plutôt bien.
J'approche ma main de sa queue et commence à la caresser doucement pour voir ses réactions. Il semble aimer, car ses yeux se ferment et montrent qu'il s'abandonne complètement à son sergent.
Je me lève et le fais mettre à genoux, car je veux qu'il me suce à fond. Alors qu'il se met presque à quatre pattes, je me rassois et ses mains viennent se positionner sur mes bottes. Comme une sorte d'automatisme. Je le fais me bouffer la bite bien raide, je lui pince le nez pour qu'il me la bouffe à fond à s'en étouffer. Je lui prodigue une putain de gorge profonde et il assure le p'tit gars !
D'une de ses mains, il sort sa queue du treillis et je la vois hyper tendue, le gland bien rouge. Il n'en peut plus.
Là, je le fais se remettre droit et je lui baisse son treillis sur les bottes. Je le retourne et sans ménagement, je lui fous ma queue dans son cul et force le passage jusqu'à ce qu'elle soit bien calée au fond.
Et oui, j'ai pas mis de capote, je m'en tape et il en redemande.
" J'espère que t'as pas mis de capote, je veux que tu me remplisses, Sergent "
Ni une ni deux, je lui réponds que tout est sous contrôle et que je vais lui déboîter le cul. J'accélère la cadence et je sens bien que ma sauce mon vite. J'alterne entre rythme soutenu et plus calme pour faire durer le plaisir.
Lui se branle comme un dingue, étouffant de lui-même ses râles, mais je sens bien qu'il kiffe le coquin.
Après 20 minutes dans son cul, je décharge tout ce que je peux dans ses boyaux et fais en sorte de rester dans son cul pour l'empêcher d'expulser ma semence.
Il se dégage de lui-même de ma vite, se retourne, se remet à genoux et me suce la bite qui recommence à gonfler. Il place sa queue au-dessus de mes bottes et dans un coup de poignet, largue tout son jus sur mes bottes. Autant dire que cela me chauffe encore plus.
Il termine en léchant mes bottes pour les nettoyer et moi je profite qu'il soit affairé à ce nettoyage pour me branler une seconde fois et larguer toute la purée sur son dos, histoire de marquer mon territoire une nouvelle fois.
Je ferme les yeux à mon tour pour profiter de ce moment et à un moment, la sonnette de ma porte retentit une troisième fois. J'ouvre les yeux, j'étais allongé sur mon canapé, l'uniforme rempli de foutre jusqu'à mon visage. Je m'assois et essaye de comprendre ce qu'il s'est passé.
En réalité, j'ai fait un putain de rêve porno et j'ai pris mon pied tout seul, mais quel pied ! Je n'ai jamais autant juté de ma vie.
Bien entendu, j'espère toujours m'amuser avec des jeunes recrues en uniforme ou de jeunes motards full cuir dans ma région de Suisse.
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