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67 - Mon accident, première partie.
Mardi, le réveil a été sublime. Jona m'a fait une pipe mémorable rien que de l'écrire, j'en bande encore. Je lui ai donné ma production matinale en guise de premier petit déjeuner. Il fit pareil sur Felipe, qui, bien entendu, lui a servi aussi son petit déjeuner. Sur ce temps, j'étais dans la salle de bain à me préparer et je l'ai vu revenir avec un grand sourire aux lèvres. Un air satisfait d'avoir réussi son coup. Je lui ai donné une petite fessée.
Moi : Prends ta douche, mauvaise graine de salope.
Jona : Oui maitre.
Et il est entré sous l'eau tout en sifflotant. Felipe arrive.
Felipe : Qu'est-ce que tu ronfles !
Moi : Fallait me réveiller et me le dire.
Felipe : Je n'ai pas osé, par contre le réveil.
Moi : Oui il a réussi son coup. Il est sous la douche.
Felipe : Je vais le rejoindre.
J'étais toujours à me préparer que j'ai entendu des gémissements dans la douche. J'ai passé la tête et j'ai vu Felipe qui défonçait le cul de Jona bien à fond.
Felipe : Je vais t'apprendre, moi à être aussi salope. Je vais te défoncer toute la journée, je vais prendre ce qu'il faut pour tenir longtemps dans ton cul qui est à moi. Ne l'oublie pas !
Jona : Oui mon homme, je t'aime, baise-moi, oui, encore.
Et bien c'est du joli, mais ça veut dire que Felipe va nous le ramener encore ce soir et j'ai du boulot tard au bureau. Je descends et prends un déjeuner rapide, Désiré est là et m'attend déjà. La journée a été longue comme prévu, j'ai eu besoin de Felipe comme livreur et je l'ai aussi envoyé au garage pour voir si tout allait bien. Désiré qui était attendu au bar est reparti en taxi, mais a vérifié que je ne serais pas seul pour fermer. Damien vient rechercher Sylvain et nous partirons ensemble. Damien a voulu avoir une conversation avec moi entre quatre yeux.
Damien : Il parait que je te dégoute ?
Moi : Oui tu me dégoutes. Ton comportement sur Sylvain me dégoute. Ce n'est pas un esclave que tu en as fait, mais une merde à ton service. Ce n'est plus une relation maitre-esclave, tu es un tyran avec lui.
Damien : C'est toi qui, au départ, m'as dit qu'il ne fallait pas lui lâcher la bride. Tu ne peux que t'en vouloir. Tu aurais été à sa place, c'est toi, que j'aurais larvé.
Moi : Tu n'y serais pas parvenu avec moi, j'ai un caractère trop indépendant et surtout j'aime de plus en plus dominer aussi. Mais ce n'est pas le problème. Le problème, c'est qu'il n'ose plus faire quoi que ce soit sans demander l'avis de son maitre et mon avis sur son travail en tant que patron. Il a perdu toute confiance en lui et son assurance. C'est surtout ça qui me dégoute chez toi. Tu l'a tellement larvé qu'il n'arrive plus à penser de lui-même.
Damien : Je vois ou tu veux en venir. Je vais avoir une conversation avec lui et je vais arrondir les angles. Je n'ai pas supporté qu'il me trompe et c'est pour ça que je suis aussi sévère avec lui.
Moi : Il a fait une erreur de jugement, mais je peux t'assurer qu'il t'aime sinon il t'aurait déjà quitté, le reste est une question de confiance mutuelle.
Damien : Confiance mutuelle, c'est tout de même Stéphane qui t'a vendu dans un gang bang pour que tu puisses te passer de queue dans le cul pendant douze jours.
Moi : Oui et ça m'a bien rapporté en plus. Enfin, par amour pour Stéphane, je tiendrais le coup douze jours, mis à part un plan qu'il m'a organisé avec Sven.
Damien : Un plan avec Sven ? Tu vas déguster, c'est lui qui m'a tout appris en deux jours pour Sylvain. Crois-moi, en domination c'est le meilleur. C'est quand ton plan ?
Moi : Jeudi, Sven est en congé.
Damien : Bon, on va y aller. Je fais la nuit.
Moi : Oui je ferme et en plus, j'ai faim et rose m'a fait une salade. Felipe éduque Jona à sa façon donc en principe je vais être tranquille ce soir.
Nous fermons et je reprends ma voiture. Je fais une centaine de mètres et après avoir attendu à un feu rouge, je traverse un carrefour et là, une voiture arrive à fond de balle et me prend la portière côté conducteur. Je me suis réveillé pendant la nuit aux soins intensifs. J'ai appelé l'infirmier.
L'infirmier : Vous êtes réveillé, tant mieux. Je vais pouvoir vous retirer le respirateur. On va vous garder pour la nuit en observation, mais vous serez en chambre demain.
Moi : Qu'est-ce que j'ai ?
L'infirmier : Un bras cassé et l'épaule luxée, trois côtes fracturées et une cervicale abimée. Je vais vous mettre une poche antidouleur. Essayez de dormir.
Je me suis rendormi et à mon réveil, j'étais dans une chambre avec d'un côté, Jona couché avec ma main près de sa tête et de l'autre, Dimitri et Felipe. Jona dormais.
Felipe : Il a tenu à te veiller toute la nuit aux soins intensifs, il a fait des pieds et des mains auprès de l'infirmier et je pense même qu'il s'est fait sauter sous capote pour y arriver.
Dimitri : Je n'avais pas cours, je suis venu dès que j'ai appris la nouvelle. Je t'aime et j'ai eu très peur.
Moi : C'est très gentil, mais n'oublie pas de rester à ta place fiston.
Dimitri : Oui maitre.
Moi : Viens me faire un bisou.
Il est monté sur une chaise et plié, il m'a carrément roulé une pelle. Felipe m'a alors tendu son téléphone portable. Stéphane.
Stéphane : Je t'aime.
Evidement je me suis foutu à pleurer.
Stéphane : Je prends le premier avion et je rentre.
Moi : Non ça va, je n'ai rien de grave. Restes avec ton patron, c'est plus important que moi.
Stéphane : Je reviens dès que je peux. Je t'aime.
Il a raccroché et j'ai rendu le portable à Felipe. Le franc vient de tomber. Qui s'occupe du garage ? Normalement c'était mon jour.
Moi : Felipe, qui tient le garage ?
Felipe : J'ai prévenu tous les vendeurs de ton accident et ils se sont arrangés pour te remplacer et je ferais samedi. Je viendrais t'amener les papiers à signer et le résumé des ventes ce soir. Je ferais l'administratif samedi. Stéphane m'a formé à le faire en cas d'absence de tous les deux.
Moi : OK. Fais pour le mieux, mais j'espère être sorti pour samedi. Et ma voiture ?
Felipe : Complètement déclassée, tiens, regardes !
Il me montre les photos qu'il a prises sur place. La bagnole est prise sur tout le flan et le toit est ouvert.
Felipe : Tu as eu de la chance, les airbags ont bien fonctionné.
Moi : L'autre conducteur ?
Felipe : Toujours aux soins intensifs. Il était ivre au volant et sous emprise d'autre chose.
Jona s'est réveillé, car je lui caresse la tête. Il s'est mis à pleurer et Felipe a dû le consoler. L'infirmière est arrivée et a fait sortir tout le monde.
L'infirmière : On vient de recevoir des instructions de votre avocat pour vous mettre dans une chambre seul.
Moi : Ah bon ? Je n'ai rien demandé. Voilà seulement une demi-heure que je suis réveillé.
L'infirmière : Vous avez mal quelque part ?
Moi : À la nuque et aux côtes, mais je suppose que c'est normal. Quand est-ce que je peux sortir ?
L'infirmière : Pas avant lundi à mon avis, le médecin va passer tout à l'heure. Le lit d'à côté est libre et nous n'y mettrons personne pour suivre les instructions de votre avocat.
Moi : OK merci, pourriez-vous me donner un coup de main, je voudrais aller à la toilette.
L'infirmière : Pas question de bouger. Voici pour vous, vous n'avez qu'à faire dedans.
Et elle me tend la panne.
Moi : C'est vraiment obligatoire ? C'est humiliant.
L'infirmière : Ou si vous préférez, je vous place une sonde.
Moi : Non merci ça ira !
Elle est sortie et j'ai dû faire pipi dedans. Ce n'est pas évident. Jona est venu et l'a reprise pour la vider dans le WC. Merci gamin.
Moi : Jona, je crève la dalle. Tu peux aller me chercher un petit truc à grignoter ?
Jona : Felipe et Dimitri s'en chargent déjà maître.
Effectivement, ils sont revenus avec de quoi nourrir un régiment. C'est à ce moment-là que le médecin est arrivé.
Le médecin : Ah oui ! Au moins, votre accident ne vous aura pas coupé l'appétit.
Moi : Désolé docteur, mais j'avais déjà faim hier au moment de l'accident et je n'ai encore rien mangé depuis.
Le docteur : Vous pourrez sortir lundi. Je vais vous faire repasser un scanner pour votre crâne et les cervicales. Le reste je ne peux pas faire grand-chose pour le moment. Vos côtes, il faudra compter six semaines pour que vous ne sentiez plus rien. Votre bras, il vous faudra à mon avis 4 semaines de plâtre et une douzaine de séances avec un kiné.
Jona : Je suis son kiné docteur.
Le docteur : Oui, c'est juste. Je me souviens de vous et de votre formation accélérée. Mais vous êtes masseur à la base ?
Jona : Oui, mais j'ai passé mon diplôme de kiné il y a trois mois.
Le docteur : Vous êtes donc dans de bonnes mains. Je vous laisse manger, mais, à votre place, je planquerais la bouteille de champagne pour l'infirmière.
Moi : Merci docteur.
Felipe : Je vais te laisser et reprendre Jona. Il a besoin de dormir.
Jona : Mais...
Felipe : Pas de mais où tu es puni !
Jona : Oui maitre.
Dimitri : Il t'a bien formaté " rire "
Felipe lui tire l'oreille.
Dimitri : J'ai compris maitre, j'ai compris.
Felipe : Couches-toi sur le lit !
Dimitri s'est plié en deux sur le lit, Felipe lui a descendu son pantalon aux genoux.
Felipe : Comptes et souffre en silence !
Il lui a donné 10 fessées bien senties, le petit a mordu dans le lit pour étouffer ses cris, mais il a compté et surtout pleuré.
Felipe : Ça t'apprendra à te foutre d'un autre soumis en plus de la famille.
Dimitri : Oui maitre.
Felipe : Remontes ton pantalon et restes sage jusqu'à ce que je revienne !
Dimitri : Oui maitre.
Ils sont sortis et le petit est venu pleurer dans ma main.
Moi : Tu as mérité ta punition fiston.
Dimitri : Ce n'est pas pour ça maître mais je me retiens depuis que je suis arrivé. J'ai tellement eu peur de vous perdre. Je vous aime maitre.
Moi : Je t'aime aussi, mais tu vois, je n'ai pas grand-chose.
Sont alors arrivés Désiré et Oliver.
Désiré : J'aurais dû être ton chauffeur.
Moi : Ça n'aurait rien changé. Quand je vois l'état de la voiture, de toute façon j'aurais été blessé et toi aussi.
Désiré : Si tu as besoin de quoi que ce soit.
Moi : Oui en principe je sors lundi, tu viendras me récupérer avec le cabriolet et tu m'amèneras direct au garage et ensuite à ma société. Après tu me ramèneras chez moi. Quelle heure est-il ?
Olivier : 16h.
Moi : Merci, mais comme je n'ai pas ma montre ni mes effets personnels, je suis un peu déboussolé.
Moi : Dimitri, va demander à l'infirmière ou sont mes affaires et tu devrais ensuite rentrer chez toi et étudier.
Dimitri : Bien maître mais j'ai mes cours avec moi pour étudier ici.
Moi : OK.
Désiré : Nous allons y aller aussi. Olivier a un rendez-vous d'embauche dans une nouvelle boite.
Moi : Tiens, c'est vrai, je ne t'ai jamais demandé ce que tu faisais dans la vie ?
Olivier : Je suis représentant de commerce.
Moi : OK et bonne merde pour ton entretien.
L'infirmière est revenue avec mes effets personnels. Au passage elle a voulu ramasser la bouteille de champagne.
Moi : Stop on ne touche pas ! Mais si vous avez de la glace et deux coupes, je suis preneur.
L'infirmière : Disons plutôt trois coupes.
Moi : OK. De toute façon, le docteur m'a dit que vous aimiez et il risque d'en avoir bien d'autre d'ici lundi.
L'infirmière : Je vais demander qu'on vous garde un peu plus alors.
Moi : Non merci, j'ai horreur des hôpitaux. Vous êtes sûr que je ne peux pas m'assoir sur le lit parce que rester couché, j'ai mal aux dos.
L'infirmière : Vous pouvez vous assoir, mais tenez-vous droit pour vos côtes.
Moi : Merci.
L'infirmière : Je reviens avec ce qu'il faut pour le champagne.
Moi : Vous savez ce qu'il y a comme repas ce soir ?
L'infirmière : La tambouille habituelle.
Moi : Bon, je vais me faire livrer pour les jours à venir. Annulez le repas du midi et du soir, je me contenterais du déjeuner. Ah oui, ne vous étonnez pas et prévenez les autres infirmières qu'un traiteur va venir me livrer tous les jours. Est-ce que j'ai droit à du vin ?
L'infirmière : Oui.
Je prends mon portable et sonne à notre traiteur. Je m'y prends un peu tard, mais il se fait fort de me livrer ce soir et pour le reste de la semaine ainsi que du vin et du champagne. Il mettra un petit frigo congélateur dans la chambre pour tenir au frais. Il sera là vers 20h. Je sonne ensuite à Felipe pour qu'il me ramène des vêtements autre que cette foutue blouse d'hôpital et surtout du sexy. On ne sait jamais avec un bel infirmier.
Felipe : T'es qu'une salope, mais je ferais pareil à ta place. Dimitri est toujours avec toi ?
Moi : Oui pourquoi ?
Felipe : Son père le cherche et il ne répond pas au téléphone
Moi : Dimitri, aux pieds et de suite !
Dimitri : Oui maitre.
Moi : Minute !
Moi : Felipe, apportes-moi aussi ma tablette et mon journal intime, il est dans la table de nuit et interdiction de le lire.
Felipe : Tu as un journal intime ? Chochotte !
Moi : Je ne te demande pas ton avis et obéis !
Felipe : Oui frérot.
Je raccroche.
Moi : Ton père te cherche !
Dimitri : Oui il veut que je rentre, mais je veux rester ici avec vous maitre.
Moi : Donc tu désobéis !
Dimitri : Par amour, oui maitre.
Moi : Viens ici et rend toi utile ! J'ai une crampe, ensuite, tu rentres chez toi et tu dis à ton père que je m'occuperais personnellement de ta punition. Suces !
Il s'est mis à genoux et m'a fait une pipe comme-ci sa vie en dépendait. L'infirmière est arrivée avec de la glace et les coupes. Elle fut surprise et Dimitri voulu se bouger.
Moi : Bouges pas et suces !
Moi : Vous allez être étonnée tout le week-end, voire même choquée. Je suis gay et le petit ici est mon fils gay aussi. Il me soulage une crampe passagère. Il y aura d'autres surprises et je suppose que c'est pour ça que mon avocat a demandé une chambre seule.
L'infirmière : J'en ai vu d'autres. Il suce bien au moins, car il y a des infirmiers ici comme pour l'autre petit aux urgences cette nuit qui aime se faire vider par ce genre de jeune.
Moi : Tout comme l'autre c'est un pro, mais uniquement sous capote, j'insiste.
L'infirmière : Bien entendu. Celui-ci a déjà fait fantasmer un collègue tout à l'heure.
Moi : Pour le moment, celui-ci est puni. Pas de sexe sauf pour moi pour le moment. Avales !
Et je lui jute dans la bouche. Il avale tout et me nettoie la queue.
Moi : Tu rentres chez toi et je te veux ici demain après tes cours et tâche de ne pas me décevoir sinon ta punition sera encore plus forte.
Dimitri : Oui maître mais vous aller me manquer cette nuit.
Moi : File ! Mauvaise graine !
L'infirmière : Bon, on se la boit cette coupe ?
Moi : Pas de refus, mais il faut que je me recouche d'abord. J'ai trop mal partout.
L'infirmière : Juste, il faut vous changer votre Baxter.
Elle me le change sur le temps que je me recouche dans la douleur et elle me sert une coupe de champagne bien frais. Louis fait son apparition.
Louis : À ce que je vois, tu es bien.
Moi : Pas mal oui, même si je sens tous mes os.
Louis : Si tu as besoin de quoi que ce soit.
Moi : Jusque lundi, rien, mais après, sûrement d'une nouvelle voiture. Comment ça marche au niveau assurance.
Louis : L'autre chauffeur dit que c'est toi qui a brulé le feu, c'est vrai ?
Moi : Non. J'ai bien vu le feu passer au vert. De toute façon il était ivre.
Louis : Ça ne change rien pour le constat de police. Il y a des témoins qui disent que c'est toi qui as brulé le feu.
Moi : Louis, c'est un feu électronique avec caméra de circulation. Les données sont enregistrées. Que la police vérifie.
Louis : Damien est dessus, car il te suivait pour ta sécurité. Il faut le dire vite et pour lui, tu n'as pas brulé le feu, mais comme il te connaît, il ne peut être témoin.
L'infirmière : Je vous signale que c'est un médecin et qu'il était en consultation donc il se devait d'être sobre. Je vous dis ça sous le couvert de l'anonymat, mais ce genre de médecin me dégoute. Je vous laisse discuter.
Louis : Une minute. Vous pourriez prouvez vos dires ?
L'infirmière : Ma soeur est sa secrétaire et aussi sa maîtresse. Il lui a toujours dit qu'il divorcerait, mais elle n'y croit plus et elle serait prête à témoigner pour l'enfoncer.
Louis : Son numéro s'il vous plaît ?
L'infirmière lui donna son numéro et même son adresse.
Louis : Je suis venu voir si tu allais bien, j'ai croisé Dimitri en pleurs dans l'ascenseur. Il m'a dit qu'il était en rage contre toi parce que tu l'as renvoyé chez lui alors qu'il voulait rester près de toi.
Moi : Dimitri, jusqu'à preuve du contraire, a un père et des études. Je ne peux le retenir ici même si j'en crève d'envie.
Louis : OK. Stéphane a donné des instructions pour ta société en ton absence et ta convalescence.
Moi : Je suis dehors lundi et je retravaille aussitôt. Tu oublies ses ordres, c'est moi qui te paye.
Louis : Ok mais tu ne vas pas recommencer tout de suite.
Moi : Je n'ai pas le choix.
Louis : Ok mais fait doucement.
Moi : Vivement 2013. 2012 ne me réussit pas sauf pour Stéphane et ma société.
Louis : Bon je m'en vais, j'ai un petit jeune qui m'attend. Il me paye en nature mes frais d'avocat et son cul est divin.
Moi : Fixes toi avec alors.
Louis : Pas question, j'aime trop ma liberté. Bon ciao
Je me retrouve seul dans ma chambre et j'aurais bien rebu une coupe, mais cette salope d'infirmière a mis la bouteille assez loin. Je sonne et un infirmier canon arrive. 2 m de haut, cheveux blonds, yeux bleus et un sourire à faire fondre. En plus il est bien musclé et son cul doit être prometteur.
L'infirmier : Oui il y a un problème ?
Le problème c'est que j'ai la gaule rien que par sa présence.
Moi : Ah, euh, oui et non. L'infirmière a mis la bouteille de champagne assez loin et je ne peux pas me lever.
L'infirmier : On va arranger ça.
Il prend la bouteille et me ressert, mais il se baisse et me roule une pelle en même temps. Surpris, je me laisse faire.
L'infirmier : Euh, excusez-moi, je ne sais pas ce qui m'a pris.
Moi : Pas de souci, mais en attendant, maintenant j'ai une crampe.
L'infirmier : Pas de souci je vais arranger ça.
Il m'a sucé comme un pro, même plus qu'un pro, car en quatre minutes chrono, je lui remplissais la bouche. Il s'est retourné et est allé cracher mon sperme par le balcon de la chambre dans laquelle je me trouve.
L'infirmier : Je suis en règle générale actif, mais c'était pas mal.
Moi : Extra. Un petit rafraichissement ?
Il a bu une coupe et est parti. Je me rendors jusqu'au retour de Felipe. Il me ramène ce que j'ai demandé et me donne un coup de main pour me changer. Il a prévenu ma mère de mon accident et elle reprend l'avion ce soir via Rayanair. Je vais devoir me la farcir, enfin bref, au moins elle se tracasse. Felipe m'annonce qu'il dort ici cette nuit et que Christiane, c'est de l'histoire ancienne. À 20h le traiteur arrive et je vois les yeux éberlués de Felipe.
Felipe : Tout ça pour toi ? Mais tu es fou !
Moi : Effectivement il y a beaucoup, mais nous sommes deux. Jona tu en as fait quoi ?
Felipe : Il dort attaché au lit à la maison. Je lui ai donné deux somnifère et Rose ira le détacher demain matin. Je lui ai expliqué l'utilité de la chose et elle le fera sans aucun problème.
Moi : Tu y va fort avec !
Felipe : Mais il adore ça et c'est bien là qu'est mon problème.
Nous avons mangé et bu un verre de vin. À 21h30 le chef de service est venu me dire sur un ton assez vert que ce n'était pas un hôtel ici.
Moi : Monsieur, de un, on se présente c'est la moindre des politesses. Deux, au prix ou vous allez me facturer vos prestations, c'est plus cher que certains hôtels. Dehors !
Je ne suis pas gêné et si ça peut me faire sortir plus vite, c'est tant mieux. À 22h30 Je me décide à dormir, mais Felipe, lui, a des envies. Il a pris ma tablette et s'est regardé un porno tout en se branlant. Il a joui dans un cri qui a fait revenir l'infirmier de tout à l'heure. Moi j'ai fait semblant de dormir, mais Felipe, lui, est reparti avec et est revenu deux heures plus tard avec un grand sourire.
Moi : Bien monté ?
Felipe : 25*7 et il sait s'en servir. Bonne nuit.
Pattlg
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